Un gros homme est assis derrière un bureau. Il remplit des documents. On le salue en inclinant le buste, puis… on attend… longtemps. Est-ce que ces uniformes rendent invisible ? Non, tout à coup, il nous rappelle à l’ordre :
— Ne vous appuyez pas contre le mur et gardez toujours les yeux baissés.
Bienvenue en Chine.
Je ne l’avais pourtant regardé qu’un instant… J’ai juste remarqué qu’il ressemble à Bouddha… Mais il n’a pas le côté bienveillant et un peu dans la vape du vrai Bouddha. Au contraire, dans son large visage, ses yeux ressemblent à ceux d’une mygale qui aperçoit un gros criquet distrait. À part, que cet homme n’a que deux yeux et pas huit. Je regarde mes pieds… Je les aime bien, mais ils n’ont pas beaucoup de conversations. Pour le moment, ils se plaignent parce qu’ils n’ont pas de chaussures. Je bouge mon pied pour toucher le pied de Inge qui est à côté de moi… Elle répond à ma légère pression. On se réconforte un peu via nos pieds. Ils peuvent discuter entre eux… C’est le genre de bêtise qui fait passer le temps. Soudain, l’homme me demande :
— Toi, la brune, quel est ton nom ?
— Samia de Préville, Monsieur.
Il donne un coup de baguette sur son bureau en disant :
— Ton vrai nom !! Et quand je te parle, tu dois me regarder.
Faudrait savoir ! Je réponds :
— Samia Sgorski, Monsieur.
— Approche !
Je vais près de lui et il vérifie si le numéro sur le collier est le même que sur ses listes. Il fait la même chose pour Giulia et pour Inge. Ensuite, il donne à chacune une feuille de papier sur laquelle il est écrit :
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Règlement concernant les ouvrières de 3e classe
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Durant mon séjour ici, je devrai obéir à tout le monde, sauf aux ouvriers et ouvrières de 3e classe, à moins qu’un chef en décide autrement. Je travaillerai toujours du mieux que je peux afin de contribuer à mon humble échelon à la grandeur et à la prospérité de la Société.
Si je manque à mes devoirs d’ouvrière de 3e classe, je serai punie.
Si je suis maladroite, je recevrai 5 coups de la canne en bambou sur la paume des mains.
Si je n’obéis pas assez vite, 5 coups sur les plantes des pieds ou les mollets.
Si je suis insolente ou désobéissante, 10 coups sur les fesses.
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Organigramme :
Le directeur général
5 directeurs de secteurs
50 contremaîtres
100 chefs
500 ouvriers et ouvrières de première classe
1500 ouvriers et ouvrières de seconde classe
10 chiens de garde
un certain nombre d’ouvrières de 3e classe.
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D’abord, je constate qu’on n’est pas très haut dans la hiérarchie, peut-être juste au-dessus des rats et des cancrelats ! Ensuite, ma gorge et mon vagin se sont serrés à la lecture des punitions. Le gros nous dit :
— Apprenez par cœur.
Il est malade l’autre ? Comment il veut qu’on apprenne ça ?
Giulia et Inge sont déjà occupées à lire attentivement… Je commence à lire aussi. Dix minutes plus tard, il me dit :
— Toi, récite le règlement.
Je commence :
— Durant mon séjour, je….
Merde, j’ai déjà un trou de mémoire. Il se tourne vers Inge en disant :
— À toi.
Elle a visiblement la trouille, peut-être même plus que nous, mais elle a retenu beaucoup plus que moi. Ensuite, c’est au tour de Giulia qui a retenu lui aussi beaucoup plus de texte. Il aurait pu faire moins bien que moi, on en reparlera. Le méchant Bouddha se lèche les babines et il nous dit d’un ton faussement attristé :
— Je vais être obligé de vous punir, estimées ouvrières.
C’est ça, fous-toi bien de nos gueules ! On devine tout de suite que punir, c’est sa passion ! Il ajoute :
— Enlevez toutes votre pantalon.
On se retrouve toutes les trois les fesses à l’air et serrées par l’appréhension. Il caresse celles de Inge, puis celles de Giulia, joue un instant avec son petit zizi, décidément… Puis il caresse les miennes… longuement…. Il nous dit :
— Si vous n’acceptez pas la punition, ce sera un défaut d’obéissance et c’est beaucoup plus grave. J’appellerai des ouvrières pour vous tenir. Vous acceptez ?
J’incline le buste en disant :
— Oui, Monsieur.
Les deux autres disent la même chose. Il faut essayer de faire ce qu’il veut. Il se tourne vers Inge en disant :
— Couche-toi sur le ventre, les jambes serrées, les pieds bien parallèles au sol.
Dès qu’elle est en position, il prend son fouet rigide pour lui caresser la plante des pieds en disant :
— Le premier coup sera ici. Deux coups si tu restes en position, cinq ou dix si tu bouges.
Il lève le fouet et l’abat au milieu des deux pieds de Inge. Elle pousse un cri et remue un peu les pieds mais reste en position. Le deuxième coup atterrit exactement sur la marque rouge laissée par le premier. Elle crie plus fort. Ses pieds s’agitent dans tous les sens mais elle reste toujours en position. Il lui dit :
— Maintenant, près des orteils.
Il frappe et une marque apparaît sur l’avant de son pied. Elle pousse un nouveau cri, puis un deuxième quand il refrappe au même endroit. Le gros a l’air de se délecter de ses cris. Il caresse les marques rouges sur ses pieds, tandis qu’elle gémit. Il lui dit :
— Plus que deux, mais hélas, ce sera sur les talons, l’endroit le plus douloureux.
Il se tourne vers nous en disant :
— Tenez ses chevilles. Si vous vous la lâchez, ce sont vos pieds qui vont souffrir.
On obéit, bien sûr. On maintient fermement ses chevilles en nous reculant pour le laisser frapper. Premier coup, qui atteint le centre du talon… suivi instantanément d’un cri aigu de la fille. Il explique :
— Sur le talon, ça fait très mal parce que la douleur se répercute dans toute la jambe.
On s’en fout, ignoble brute ! Deuxième coup juste sur le premier. Nouveau cri de Inge. Il dit :
— Lâchez-la et aidez-la à se lever.
On la remet sur ses pieds. Le simple contact de ses pieds sur le sol la fait crier à nouveau. Elle danse d’un pied sur l’autre sur ses plantes de pieds meurtries. Le gros nous dit :
— J’aime voir cette petite danse. Bon, maintenant on va faire danser… toi.
Il désigne Giulia et ajoute :
— Ce sera les mollets. Tu peux danser aussi mais pas te déplacer.
Il prend une chaise s’assied et frappe les mollets de Giulia. Là, elle crie bien et elle danse aussi. Son petit sexe danse dans tous les sens. Il se prend une vingtaine de coups sur les mollets qui deviennent tout rouges. Quand il s’arrête, Giulia continue à gémir. Le gros nous dit :
— Quel cinéma pour une petite punition. Ce sont des corrections pour les enfants. Dans deux jours, il n’y aura plus rien ou presque… Bon, toi, viens te mettre en travers de mes genoux. Je vais être clément et te donner une fessée à la place du fouet.
Et c’est mieux ? Sans doute, oui… Il rentre un peu son ventre pour que je m’allonge sur ses cuisses. Ensuite il me bloque en passant une de ses jambes au-dessus des miennes. Puis il prend mon poignet droit avec sa main gauche et le maintient sur mes reins. Je suis complètement immobilisée. Il caresse mes fesses en disant.
— J’adore les grosses fesses des Occidentales. Ici, les filles ont des petits culs.
Je m’en fous, je veux descendre !!
Paf ! Je reçois une bonne claque sur les fesses et puis une autre, puis des dizaines d’autres. Il frappe fort, ça fait mal, je crie, je pleure, je supplie…. Enfin, il s’arrête essoufflé… Il me lâche pour m’annoncer :
— Ooh, c’est pressé, là. Viens vite te mettre à genoux entre mes jambes, sinon je prends le fouet.
J’obéis, les fesses en feu. Il a sorti son sexe de son pantalon et me le met dans la bouche. Mes joues sont pleines de larmes et mon nez coule. Il me dit :
— Ne bouge pas !!
On reste comme ça quelques minutes, puis il fait une grimace et jouit dans ma bouche. Je n’ose pas faire autrement qu’avaler le sperme de ce gros salopard ! Il me repousse, range son engin et nous dit :
— Remettez vos pantalons, prenez les feuilles et allez à côté.
Il me caresse encore le derrière en disant :
— Tu es très agréable à fesser.
Je renifle et réponds :
— Merci, Monsieur.
Il tombe amoureux de moi, il enlève mon collier, on s’évade, il me donne une fessée et je le tue. Ensuite, je prends le million de $ qu’il a dans une mallette et j’achète une villa en Thaïlande. Je récupère Giulia qui redevient mon domestique Julien. Le problème vient que ce n’est pas moi qui écris mon destin.
La brute me pousse dans la pièce d’à côté en me tapotant les fesses. Il est obsédé ! On entre dans un immense atelier, il y a des dizaines, non des centaines d’ouvrières qui travaillent. Elles sont assises derrière une petite table. Certaines ont des machines à coudre, d’autres cousent à la main. Elles ont des uniformes bleus ou gris. Il y a aussi beaucoup de filles en orange dont certaines n’ont pas de pantalon, mais par contre des marques de fouet sur les fesses. L’enfer doit ressembler à ça, surtout quand on est en uniforme orange. Une grande femme mince en vêtements de ville vient vers nous. On salue en s’inclinant toutes les trois. Elle non, je suppose qu’on ne salue ni les chiens de garde ni les ouvrières de 3e classe… Elle regarde un papier et nous dit :
— Giulia, Inge et Samia.
On s’incline à nouveau en répondant :
— Oui, Madame.
— Je suis Madame Liu. Vous êtes des ouvrières de 3e classe, c’est-à-dire qu’on peut vous demander n’importe quel travail. Vous allez avoir 3 jours d’écolage, on vous apprendra à coudre et à obéir à n’importe quel ordre. Suivez-moi.
Toutes les ouvrières qui sont debout saluent. On passe dans un autre atelier, semblable à celui-ci. Enfin, tout au bout, il y a deux portes, au-dessus desquelles il y a des idéogrammes chinois et il est écrit, sur l’un « Cours accéléré d’anglais » et sur l’autre, « Formation accélérée d’ouvrières de 3e classe ». C’est dans cette pièce-là, qu’on entre. Des filles en orange sont assises par deux derrière une table, sur des bancs. Il y en a qui n’ont également pas de pantalon. Certaines sont assises comme ça sur le banc, d’autres sont à genoux. Toutes les filles se lèvent et s’inclinent sauf celles qui sont agenouillées. La femme qui s’y trouve est une très grosse matrone d’une cinquantaine d’années avec une longue tresse noire.
Madame Liu lui dit :
— Trois nouvelles pour vous, Madame Wang.
— Merci Madame Liu, vous êtes très aimable.
Elles sont très polies, on se croirait à la cour d’Angleterre, sauf que là, on ne fouette pas les filles… Enfin, je suppose. Madame Liu s’en va tandis que Madame Wang nous dit :
— Asseyez-vous sur les deux bancs du fond… Voici comment ça se passe : une erreur et vous enlevez votre pantalon, une deuxième erreur, vous vous mettez à genoux sur le banc pour travailler penchée. Une troisième erreur, c’est le fouet ou toutes punitions que j’aurai décidées. C’est clair ?
Toutes les trois, on répond :
— Oui, Madame.
Elle ajoute :
— On fait de la couture, ensuite vous aurez un cours… d’obéissance.
À suivre.
Je suis ici : [email protected] et j’envoie des histoires et des photos :o)
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