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L’été sera chaud (4)…

L’été sera chaud (4)…



Dimanche 7 juillet 2013

Vu les évènements de cette nuit, elle se réveille encore plus tard et se sens quelque peu poisseuse. Elle se lève donc et enfile juste un T-shirt un peu long pour aller réparer tout ça à la salle de bains afin de se remettre en route.

Elle finit de prendre sa douche et elle est en train de se sécher devant le miroir du lavabo quand la porte s’ouvre sans prévenir sur Lola totalement nue. Elle entre tout de même et referme la porte. Ma sœur marque un temps de surprise puis lui dit:
– Dis donc, tu pourrais au moins frapper avant d’entrer, non?
– Ben, je croyais que tu dormais encore et j’en profitais pour venir prendre ma douche.
– Et tu viens dans le couloir toute nue?
– Oh, pas de risque, ils sont tous déjà au soleil sur la terrasse. Bon, tu permets?

Elle n’attend pas sa réponse et se place sous le jet, se mouillant abondamment avant de se savonner vigoureusement la façade, insistant bien sur les seins et l’entre-jambes. Ma sœur remarque au passage qu’elle est totalement épilée, comme moi je l’ai toujours été. Elle voudrait s’éclipser, mais quelque chose la retient. Lola lui lance:
– Tiens, puisque tu es encore là, tu veux bien me savonner derrière?

Elle ne pense même pas à refuser. Elle prend le flacon de gel et s’en remplit les mains, puis elle commence à lui frictionner les épaules avant de descendre le long de la colonne vertébrale. Lola cambre un peu son postérieur, l’invitant ainsi tacitement à s’en occuper, et c’est ce qu’elle fait sans se faire prier. Elle tente de rester soft et n’insiste pas trop sur son sillon. Pourtant elle presque envie de glisser ses doigts entre les petites fesses de sa nièce, qui lui rappellent un peu ceux de sa cousine Valy, pour caresser sa fente.

Mais elle se retient car elle a peur qu’à son âge elle ne soit choquée que sa tante se permette ça et qu’elle aille se plaindre à ses parents. Elle prends donc la douchette et commence à la rincer. Elle se retourne pour qu’elle la rince aussi devant et Sève voit que ses tétons pointent bien durs. Elle coupe l’eau et Lola prend une serviette pour s’essuyer elle-même.

Ouf, Sève a eu un coup de chaud. D’ailleurs ça se voit bien, car dans le miroir elle constate que ses cabochons sont eux aussi totalement érigés. Vu leur promiscuité, ça l’étonnerait que sa nièce ne l’ait pas remarqué. Elle remarque aussi enfin que la porte était restée entre-ouverte. Décidément, c’est l’hôtel des courants d’air. Heureusement que tous les autres sont dehors au soleil!

Ma fille quitte la salle de bains toujours aussi nue pour aller jusqu’à sa porte au bout du couloir. Sève allait enfiler son T-shirt, mais vu les circonstances, elle le prends simplement à la main et fait comme sa nièce. Elle va pour rentrer dans sa chambre quand elle se rappelle que son bas de maillot est resté dans notre chambre hier soir. Elle y retourne, mais impossible de le retrouver. Elle revient donc dans la sienne ou il y a maintenant bien en évidence sur la commode un string noir à rubans réglables et un petit mot qui dit:
« Ne cherche pas ton grand slip, il est bien caché. Hors de question que tu continues à porter ça. Et ne me dis pas que ce string ne te va pas, que tu es trop grosse, il est réglable par les nœuds sur les côtés et tes poils ne peuvent plus déborder! On t’attend, Caro.”

Elle réalise que je suis venue faire ça pendant qu’elle était à la salle de bains, et que je suis forcément passée devant. Ça l’étonnerait que je n’aie rien vu de ce qui s’y passait.

Elle hésite un bon moment, pensant au fait qu’elle va porter ça devant son fils aussi. Mais bon, tout ce qu’il s’est passé depuis vendredi l’a remise dans une autre tournure d’esprit et elle finit par trouver le côté amusant de la chose. Elle enfile donc le string et ajuste bien les rubans, puis se regarde dans la glace. Avec ses kilos superflus, inutile de préciser que la bande arrière disparait complètement entre ses fesses. Et le triangle avant se perd entre ses cuisses volumineuses. Comme il est noir, on pourrait presque penser que c’est juste sa touffe s’il n’y avait pas les rubans latéraux. Bon OK, on va se laisser aller!

Quand elle sort sur la terrasse dans cette tenue, je lui fais un clin d’œil, mon mari un petit signe discret avec le pouce en l’air et ma fille juste un petit sourire de soutien. Mais par contre, pour son fils c’est un choc, apparemment. Il ouvre des yeux démesurés et tente d’empêcher sa mâchoire de se décrocher. Je me demande s’il va se mettre à baver, telle est grande sa surprise de la voir dans cette tenue, elle la mère austère.

Et pourtant, son string est très sage, comparé à celui que j’ai enfilé ce matin: un cache-sexe blanc vraiment mini qui laisse peu de place à une présence éventuelle de poils. On pourrait appeler ça un cache-clitoris.

Vu que personne ne s’est levé tôt, c’est encore un brunch copieux qui nous attend tous, et il est le bienvenu. Nous sommes tous dans les transats avec la table basse au milieu, et je note discrètement que Thibault a souvent les yeux sur sa mère, spécialement si ses jambes s’écartent sur le petit triangle d’étoffe. Mais elle s’en fiche, et même ça doit la flatter, d’être le centre d’intérêt d’un jeune homme malgré sa ligne qui s’est laissée aller.

Une fois la collation terminée et comme elle a encore un peu de temps, elle reste avec nous prendre le soleil sur le côté pile en se mettant à plat ventre sur un matelas de plage. Elle se rends compte alors qu’en s’allongeant sur la serviette, elle a fait en sorte que ses pieds soient pointés dans la direction de son fils, ce qui lui offre une vue imprenable sur ses fesses dont la nudité n’est même pas cachée par le ridicule cordon qui s’y insinue. Je me demande si c’était inconsciemment ou si elle l’a fait exprès.

Je lui propose de lui passer la crème solaire et elle accepte volontiers. Je l’enduis bien partout. Et quand je dis partout, c’est même entre les fesses. J’écarte sans hésiter ses jambes pour me faciliter le passage. Quand j’ai terminé, elle reste dans cette position, se doutant bien que son fils doit être encore plus intéressé par l’horizon que ça lui dévoile. C’était donc bien exprès qu’elle s’était allongée dans ce sens, finalement.

Enfin il est largement l’heure et elle se lève pour aller se préparer au départ pour son stage. Elle prend bien soin de donner une dernière vue de son postérieur nu à tous avant de disparaitre à l’intérieur. J’ai bien noté la bosse à l’avant du boxer de Thibault. Et elle aussi.

Comme il fait chaud, pour la route elle a juste mis une robe légère, sans rien dessous. Il sera toujours temps de s’arrêter avant d’arriver pour remettre un slip et un soutif. Je lui ai aussi rendu le haut de son maillot, mais pas le bas. Et comme il est noir, ça lui fait comme un ensemble ave le string que je la laisse emporter puisqu’elle nous a dit qu’il y avait une piscine à l’hôtel où elle sera logée. Reste à savoir si elle osera le porter là-bas, avec ses co-stagiaires. je lui propose de prendre un de mes godes vibrants aussi, mais elle me fait remarquer qu’elle sera en principe en chambre de deux lits avec une autre stagiaire. J’insiste un peu en lui disant qu’elle verra bien comment ça se présente, et elle finit par le mettre dans son sac. Quand elle fait la bise à son fils en partant, je constate qu’il s’est bien rendu compte que ses seins ballotent librement sous la robe car l’avant de son short n’a pas désenflé. S’il savait qu’elle n’a pas de slip non plus…

Alors que tout le monde est à nouveau en train de se prélasser au soleil, Je commence une petite discussion avec Thibault, évidemment axée sur le côté sexy de nos tenues:
– Dis donc, tu avais l’air un peu gêné hier, de nous voir en string.
– Euh, oui, un peu, j’étais surpris.
– Pourtant, tu te rappelles bien nous avoir déjà vus comme ça il y encore deux ans.
– Oui, mais c’était à la plage, ça fait une autre ambiance, tout le monde est peu vêtu.
– Oh, là c’est pareil, on est au soleil et avec la piscine. Il manque que le sable…
– Et donc, maintenant ça va, depuis vendredi soir?
– Oui, un peu mieux, je m’habitue, mais…
– Mais?
– Mais il faut dire que vos maillots sont un peu, comment dire… sexy.

Je fais alors une proposition à mon neveu:
– Eh bien, l’idéal pour se sentir à l’aise, c’est de tous être à égalité, non?
– Euh, oui…
– Donc le mieux c’est que tu enfiles un string toi aussi!
– Ah, je le voyais pas comme ça.
– Mais oui, tu vas en prendre un de ton oncle et hop, l’affaire est conclue.
– Tu crois? Non, c’est pas sérieux?
– Mais si, et pour te mettre à l’aise, on va en prendre un pas trop petit.

Sur ce, je me lève et le prend par la main pour le faire lever aussi, l’entraînant illico à l’intérieur vers notre chambre pour ne pas lui laisser le temps de se rétracter.

je me penche pour farfouiller dans un tiroir, lui exhibant de près la ficelle qui me rentre dans la fente et masque peu le petit trou. Ce qui occasionne évidemment un début d’érection à Thibault, et c’était le but recherché. Je me retourne en brandissant un string bandeau assez couvrant, que Ju utilise sur les plages trop classiques:
– Voilà, celui-là devrait te convenir! A moins que tu en veuilles un plus réduit?
– Euh, non, ça suffira avec celui-là Mais je crois que je vais un peu attendre pour le mettre.
– Pourquoi? Allez, essaye-le ici, j’en ai vues d’autres tu sais.
– Euh oui, mais là, je…
– Quoi, tu bandes? Oui, j’ai vu, je ne suis pas aveugle et ton boxer ne le cache pas.
– Alors, c’est un peu gênant pour mettre un string, non?
– Mais non, on va y arriver, tu vas voir.

Et là, je rajoute à la grande surprise de Thibault:
– Et de plus j’ai bien le droit de te voir à poil, tu ne t’es pas gêné avec moi hier matin.
– Euh, quoi? Je…
– Oui, quand j’étais sous la douche. Tu en as bien profité, non?
– Euh, Ah, tu m’a vu? Excuse-moi, je ne voulais pas…
– Mais non, c’est pas grave! Mais maintenant, montre-moi ton engin, bandé ou pas.

Et Thibault s’exécute, baissant son boxer et délivrant sa queue qui remonte comme un ressort pour dodeliner en ma direction. Je le complimente:
– Eh, dis donc, belle pièce tout de même! Tu vas faire des heureuses.
– En attendant, tu vois ce que je te disais, c’est pas possible avec le string.
– Mais si, il suffit de faire redescendre la pression.
– Euh, et comment?
– Ben, par une bonne branlette. Tu sais faire, non?
– Euh, oui, mais là, devant toi…
– Justement, tu as l’occasion de te masturber devant une belle femme qui te laisse faire.
– Vrai, ça te dérange pas si je me branle devant toi?
– Mais non, au contraire, je vais même t’aider avec des poses sexy pour aller plus vite.

Et comme je prends mes seins et les caresse devant lui tout en ondulant des hanches, Thibault n’hésite plus et s’astique le manche. Il le fait nerveusement, sans retenue, et ne tarde pas à en ressentir les effets. Il annonce:
– Oh, je vais venir! Oui, je sens que…
– Stop, tu vas tout asperger. Attend que je prenne une serviette pour rien salir.

Et effectivement, je prends dans la commode une serviette que j’étale sur le bord du lit. Mais à la grande surprise de mon neveu, je passe derrière lui et l’encercle de mes bras puis empoigne sa bite pour le branler à mon tour en lui glissant dans l’oreille:
– Comme ça je suis certaine que tu n’en mettras pas à côté…

Du coup il ne tient plus et éjacule vivement en grognant dans la serviette devant lui. Les giclées deviennent peu à peu moins abondantes et sa queue se dégonfle enfin.

Maintenant, il peut enfiler le string et rien ne dépasse, d’autant qu’il est peu poilu. Puis tous deux nous retournons à la terrasse. Je lui dis au passage:
– Et pas un mot à personne, OK?
– Promis.

Le reste de l’après-midi se déroule sans problèmes, Lola et moi ne faisant rien pour l’émoustiller. Nous avons décidé de le laisser s’habituer à porter le string sans risquer une érection qui l’aurait mis mal à l’aise.

C’est tout au moins ce qui se passe jusqu’au moment où Lola décide d’aller se coucher, suivi de peu par son père. Je reste reste seule avec Thibault, moi dans le canapé et lui dans le fauteuil presque en face. J’attendais justement ce moment programmé avec ma fille et mon mari pour m’amuser un peu avec mon neveu.

Je commence doucement en lui parlant des évènements récents:
– Dis donc, il m’a semblé que tu as pas mal été surpris par ta mère.
– Ah oui, ça je dois dire que je m’y attendais pas, vu comme elle est toujours couverte.
– Tu sais, elle portait ça régulièrement avant ta naissance.
– Difficile de l’imaginer sans le haut et puis en string. Si je l’avais pas vu, j’y croirais pas.
– Alors, et toi, le string, tu t’y habitues, pas vrai?
– C’est vrai, j’y fais pratiquement plus attention.
– Et il n’y a pas eu d’alerte, rien n’a dépassé.
– Heureusement, j’aurais eu trop la honte de bander devant Lola et Tonton.
– Et devant moi, non? C’est vrai que je t’ai même déjà vu te branler, et aussi aidé…
– Heu oui, là tu m’as vraiment surpris quand tu as fait ça.
– Tu as aimé? Personne t’avait jamais branlé? Une copine?
– Euh… non, j’ai pas de copine. Enfin pas de copine comme ça. J’ai toujours fait tout seul.
– C’est dommage, tu as une belle queue. Pas aussi grosse ni longue que celle de ton oncle, mais dans la bonne moyenne, bien dure et avec un gland appétissant. Et tu as des couilles bien rondes et surtout bien pleines, tu as inondé la serviette.

D’entendre sa tante parler de ça et avec la vue sur son entre-jambes bien ouvert qui n’est masqué que par un confetti blanc, il commence à sentir sa bite enfler et tendre le tissu à peine plus large de son propre string.

Il n’ose pas bouger et tente de penser à autre chose, mais son regard revient sur mon centre de gravité et le bout de son gland finit par choisir la liberté. Je rigole:
– Tiens, quand on parle du loup!
– Euh, excuse-moi…
– Mais non, c’est bon, on a déjà fait pire. Tiens je te propose une chose!
– Quoi?
– Tu enlèves ce string qui ne sert plus à rien dans l’état, et moi j’enlève le mien.
– Mais, je vais te voir toute nue, et ça te dérange pas?
– Tu m’a déjà vue sous la douche je te rappelle. Alors c’est pas un scoop.
– Mais je t’ai vue seulement de dos et de profil…
– Eh bien, tant mieux pour toi, tu vas voir le côté face cette fois. Allez, zou!

Et mon neveu s’exécute et se retrouve assis à poil en face de sa tante qui en a fait de même et de ce fait lui offre sa première vision d’un chatte en direct. Et en plus totalement épilée. Je pousse même le bouchon en gardant mes jambes assez écartées:
– Tu vois, tu es moins à l’étroit comme ça, non? Bon, allez, au lit!

Je me lève et prends le chemin des chambres. Lui aussi, il me suit avec un peu de distance, la bite se balançant au dessus de l’horizontale. Je m’arrête devant ma porte et me retourne. Il stoppe près de moi et je lui prend la queue par surprise pour le décalotter:
– Voilà, fais prendre l’air à ton gland. Bonne nuit, j’en ai un autre qui m’attend…

Je m’’éclipse et il se retrouve tout seul à poil dans le couloir, en pleine érection. Vu ce que je viens de lui dire, il lui vient une idée pour agrémenter la branlette qu’il va s’offrir.

Au lieu d’entrer dans sa chambre, il se glisse dans celle que sa mère a libérée en partant, se disant qu’elle a une porte-fenêtre, comme celle d’à côté. Et qu’avec un peu de chance, Ju et moi aurons mal fermé les volets. C’est sans qu’il le sache ce qu’on recherchait, l’attirer à nous mater pendant une séance de baise pour le faire progresser.

Il prend garde de ne pas allumer la lumière et voit que les volets sont restés ouverts et la porte-fenêtre entre-baillée. En ouvrant les rideaux, il aperçoit par la porte-fenêtre une lueur venant d’à côté, preuve que nous aussi avons laissé ouvert. C’est donc son jour de chance. Et en effet, en sortant derrière, il constate que les volets et les portes-fenêtres ne sont pas non plus fermés et que les rideaux laissent un interstice suffisant.

Il s’approche et découvre le spectacle auquel il s’attendait. Ju est assis sur le lit et je suis à genoux en train de le sucer voluptueusement.

Il commence donc à se masturber tranquillement, voulant faire durer le plaisir tout en nous matant discrètement. De plus, nous ne regardons pas dans cette direction, ayant bien calculé d’être de profil pour qu’il prenne confiance.

Donc il a tout le loisir de nous voir en soixante-neuf, en levrette, en chevauchée fantastique, puis enfin un dernier pompage qui se termine par une éjaculation que je reçois au début dans ma bouche, laissant le reste des giclées de Ju s’écraser sur ma poitrine.

Thibault a réussi à ne pas venir avant, mais là il ne tient plus et lâche tout dans l’herbe. Puis il retourne dans l’autre chambre, re-croise en silence les vantaux de la porte-fenêtre, regarde si la voie est libre, traverse rapidement le couloir et se réfugie enfin dans sa chambre, vanné. Il s’endort en repensant à ce qu’il vient de voir.

A suivre…

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