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L’été sera chaud (9)…

L’été sera chaud (9)…



Vendredi 12 juillet 2013

Ce matin, mon neveu arrive encore en grande forme, mais c’est pour s’apercevoir que personne n’y fait cas. Il essaye de lancer une manœuvre vers moi mais je le stoppe:
– Non, Thibault, on va rester tranquilles pour réserver nos cartouches.
– Ah bon?
– Oui, on va voir ce qu’on peut faire avec ta mère ce soir, donc journée cool.

Le stage se terminant à midi, ma sœur a pris un dernier repas avec ses co-stagiaires puis a filé une heure plus tard car elle avait pratiquement quatre heures de route. Et en effet, elle arrive vers 17 heures, et n’est pas trop étonnée de me voir avec un paréo autour de la taille et les seins à l’air lors que je lui ouvre la porte. Je lui annonce qu’il y a une surprise et lui fais poser ses bagages pour l’entrainer vers la terrasse sans lui demander de se mettre à l’aise. Ce qui lui parait suspect, et elle comprends pourquoi dès que nous arrivons à l’extérieur: Tout le monde est à poil, y compris son fils. Je lui lance:
– Allez, il n’y a plus que toi!
– Euh, oui, mais comment ça se fait que…
– Que ton fils soit tout nu? Mais parce qu’on lui a dit que c’était une coutume familiale.
– Ah oui, évidemment. j’aurais du m’en douter…

Nous la décidons donc à nous imiter. Elle file dans sa chambre et prend le temps de se raisonner. Finalement, c’est guère plus que d’être en string-ficelle et après ce qu’elle a fait à Toulouse (attendez pour savoir)…
Elle revient donc vers nous en ayant laissé tous ses vêtements et tous ses préjugés dans la chambre. Je vois que son fils lorgne sans pouvoir se retenir vers son triangle sud, seule partie qu’il ne connaissait pas encore. Mais bon, c’est un peu normal.

Une fois installée dans un transat après un bon bain dans la piscine et un verre en main, elle nous raconte son séjour à Toulouse. Nous apprendrons plus tard qu’elle nous révèle ici juste la partie soft à cause de la présence de Lola et Thibault:

« Pour le stage, comme c’était des chambre à deux lits, j’étais logée avec une nana qui venait de Bretagne. La trentaine, un peu enrobée mais moins que moi, pas trop de seins et les cheveux blonds au carré. Vu l’heure, j’ai juste eu le temps de poser mes affaires et de descendre manger. Je me suis mise à table avec elle et d’autres stagiaires puis nous sommes remontées directement parce que nous avions eu du trajet (elle en train, moi en voiture) qui nous avait fatiguées. Comme elle avait l’air empruntée lorsqu’elle est ressortie la première de la salle de bain dans un pyjama très sobre, j’ai décidé de marquer le coup. Quand je suis revenue à mon tour après ma douche avec juste avec ma serviette autour du corps, elle était déjà dans son lit. Je me suis tournée vers elle et lui ai demandé:
– Au fait, j’ai l’habitude de dormir nue. Ça ne te dérange pas, au moins?
– Euh… non, c’est bon, fait comme tu le sens.
– OK, merci!

Et j’ai donc déroulé ma serviette, lui exposant mon côté pile, me glissant rapidement sous mes draps pour ne pas en faire trop la première fois. Le lendemain matin, elle a eu droit à mon côté face et à ce que je tarde à m’habiller. Rebelote le soir, sauf que je me suis permis d’entrer dans la salle de bains pendant qu’elle y était encore. J’ai calmé le jeu:
– Dis, on va passer une semaine ensemble, inutile de se gêner, non?

Nicole, ah oui elle s’appelle Nicole, n’a pas répondu, mais ne s’est pas insurgée bien qu’elle ait eu du rouge qui lui montait aux joues. Et ainsi de suite tout le stage. elle a fini par se laisser aller le mercredi soir et s’est aventurée à dormir à poil elle aussi, surtout qu’il faisait chaud. Et dès le lendemain matin, comme je n’avais pas trop fait cas de la différence, elle s’est laissée aller à sortir du lit et rester à poil. J’ai fini par lui dire qu’elle avait bien raison et elle l’a bien pris, me disant qu’en fait, elle se sentait bien comme ça, en confiance avec moi. Et elle a continué les jours suivants, ne se gênant plus du tout.”

Son récit étant pourtant peu érotique, elle s’aperçoit que ça a provoqué une belle bandaison à son fils. Elle a l’air un peu troublée car c’est la première fois qu’elle le voit en direct dans cet état. Ce qui la trouble le plus je crois, c’est qu’il ne fait rien pour s’en cacher et exhibe à tous sa bite dressée. Je sens qu’elle va réagir, alors je désamorce:
– Eh bien, Thibault, on dirait que ta mère est plus coquine que ce que tu croyais, non?
– Euh, oui. Mais je trouve ça trop cool, mieux que ce que je connaissais d’elle.
– Tu vois, Sève? Ton garçon t’aime encore plus qu’avant. Et il le montre bien!
– Justement, je trouve qu’il le montre un peu trop.

Alors je lui raconte ce qu’il s’est passé pendant son absence:
– Au début, comme il n’était pas encore habitué à nous voir Lola et moi toutes nues, surtout avec nos épilations totales, c’était forcé qu’il lui arrive de bander. Donc il a fallu le déculpabiliser en lui démontrant que pour nous c’était une réaction normale, que ça arrivait à tout le monde, et même à son oncle. Et que ça n’offusquait pas Lola, qui y était habituée depuis longtemps.

Elle se retourne alors vers Ju et constate qu’il est maintenant lui aussi avec une érection en développement déjà bien imposante. Il lui coupe le sifflet:
– Eh bien oui, voilà, comme ça il se sentira moins seul! Et ne vas pas dire que tu ne m’as jamais vu dans cet état, tu aurais la mémoire un peu courte.
– Oui, c’est vrai, mais ça fait un moment et j’avais bien oublié ce côté très libre de ta part.
– Il va falloir t’y faire, je crois!

Lors du dîner, les queues sont retombées et ça la soulage un peu. Puis après nous nous installons au salon, mon neveu entre son oncle et moi dans le canapé, Lola dans un fauteuil en face et Sève dans l’autre à côté d’elle. Ma sœur s’aperçois au bout d’un moment que Thibault recommence à bander et constate qu’en fait il est en train de lui mater l’entre-jambes. Il faut dire qu’elle s’est si bien détendue qu’elle ne fait plus trop attention et qu’elle a maintenant le compas suffisamment ouvert pour ne rien cacher de son intimité. Pour éviter une séance qui pourrait être embarrassante, surtout pour elle car lui n’a pas l’air de se gêner, elle se lève sans se précipiter et fait mine de bailler:
– Bon, c’est pas tout. J’ai eu de la route et je suis fatiguée. Bonne nuit à tous!

Du coup, ça déclenche un départ en masse vers les chambres. Son fils se lève lui aussi, la bite déjà à l’horizontale mais semblant monter encore. Elle essaie de s’empêcher de la regarder et s’éclipse la première derrière sa porte.

Elle commence à se coucher quand elle nous voit débarquer, Ju et moi, par la porte-fenêtre qui était ouverte comme toujours pour aérer. Nous la rejoignons et commençons à la caresser. Elle se rend compte alors qu’en fait elle a été plus excitée qu’elle ne le croyait par la vue de la bite en érection de son fils. Donc elle s’abandonne à une partie à trois comme une semaine auparavant. Non seulement elle s’y abandonne, mais elle participe activement pour ratt****r des années de retard. Tout y passe, un feu d’artifice. Ju a droit à sa bouche, ses seins, sa chatte, son cul. Elle partage un soixante-neuf avec moi et j’aide Ju à lui livrer un bon sandwich. Elle a droit à la crème dessert pour finir et avale tout.

Puis nous faisons une bonne mi-temps pendant laquelle elle nous raconte les autres péripéties de mon séjour à Toulouse:

« En fait, j’en ai pas parlé tout à l’heure en présence de Lola et Thibault, mais c’était pas tout. Le mercredi soir, quand enfin elle s’est décidée à se mettre elle aussi à poil, Nicole m’a dit qu’elle avait un peu mal au dos, ce qui lui arrive quand elle reste trop longtemps assise, et c’était le cas depuis le début de la formation. Je lui ai alors proposé de la masser et elle a accepté. Je me suis donc mise à cheval sur elle sur son lit et l’ai bien massée, surtout les épaules, n’insistant pas trop sur le bas du dos. Pour finir, je suis passée au niveau de ses hanches et j’ai juste un peu fait dériver mes mais sur le haut de ses fesses. Elle m’a remerciée car elle se sentait mieux et je suis allée me mettre dans mon lit. De la tripoter, ça m’avait un peu excitée, alors j’ai commencé à me caresser le clito discrètement en essayant de ne pas faire bouger le drap. Puis quand j’ai estimé qu’elle était bien endormie, j’ai pris le vibro dans mon sac et je me suis branlé avec, en évitant de le mettre en marche de peur qu’il fasse trop de bruit et la réveille.

Le jeudi matin, elle est effectivement restée à poil en sortant du lit, et j’ai attendu d’entendre l’eau de la douche couler pour entrer moi aussi dans la salle de bains:
– Dis, on va plus se gêner entre nous maintenant, hein?
– Non, tu as raison, c’est OK.
– Alors, ton dos?
– Ça va mieux, mais j’ai encore quelques courbatures.
– Tiens si tu veux, je peux profiter que tu es toute savonnée pour de masser un petit coup.

Sans attendre qu’elle réfléchisse et risque de dire non, je suis entrée avec elle et je me suis mise dans son dos pour commencer à masser ses épaules. Puis je suis descendue le long de la colonne, allant bien largement jusque sur les côtés effleurer la base de ses seins. et cette fois, lorsque j’ai atteint le bas du dos, j’ai bien insisté sur les lombaires avant de descendre sur les fesses. Et je ne suis pas resté que sur le haut, j’ai bien pétri ses deux globes sans aller jusqu’à mettre mes doigts dans son sillon. Puis je me suis savonnée aussi tandis qu’elle se retournait pour me faire face. Je lui ai demandé:
– Alors, ça fait du bien, non?
– Euh, oui, c’était bizarre, toutes les deux nues dans la douche, mais bon…
– Oh, on est deux nanas, on sait comment on est faites!
– C’est vrai, vu comme ça…
– D’ailleurs, en passant, tu as des petits seins bien mignons.
– Euh, merci, mais je les trouve trop petits. Les tiens sont plus, euh…
– Gros? oui, mais justement, c’est lourd à porter.

En disant ça, j’ai un peu soupesé mes doudounes et je lui ai dit de tester elle-même. Elle timidement soupesé ma poitrine en convenant qu’effectivement ça faisait du poids. J’ai alors empaumé les siens en lui disant que je préfèrerais pourvoir prendre les miens comme ça. Je les ai un peu massés et elle n’a pas osé me demander d’arrêter. Je n’ai pas insisté pour que ça paraisse anodin et nous nous sommes rincées et séchées pour aller nous préparer à notre journée. j’ai pu voir son petit buisson blond taillé seulement sur les côtés. Elle-même avait eu le temps depuis plusieurs jours de noter mon ticket de métro.

Le soir, rebelote. Elle à poil sur le lit et moi sur elle pour la masser. Sauf que là je suis allée plus loin. Ce qui m’a décidée, c’est que pendant que je commençais à la masser sur les épaules, elle m’a parlé de la veille et de ce qu’elle avait surpris:
– Dis-moi, j’ai pas osé t’en parler ce matin, mais la nuit dernière, je dormais qu’à moitié et j’ai compris que tu étais en train de te faire du bien sous ton drap. Je me trompe?
– Non, non. Tu as bien deviné. J’avais un besoin et je l’ai satisfait avec un vibromasseur. sauf que je l’avais laissé éteint pour que le bruit te réveille pas.
– Ah et ça te gênait pas de faire ça à côté de quelqu’un?
– Non pas trop, surtout que je pensais que tu dormais. Et toi, ça t’arrive?
– Oui, mais seulement quand je suis seule, et seulement avec mes doigts.
– Et là, ça te dirait d’essayer autrement?

Elle n’a pas répondu et j’en ai déduit qu’elle n’osait pas me dire oui. J’ai donc commencé à lui masser les fesses et je suis rapidement allée voir d’une main entre si elle était prête à ça. Comme j’ai pas senti de résistance au passage de mes doigts sur sa fente, j’ai commencé à la malaxer de l’anus au clito, mes doigts vite lubrifiés par sa mouille qui trahissait son excitation. J’ai attendu qu’elle soit bien partie pour la faire retourner sur le dos et plonger ma tête entre ses cuisses. Elle m’a laissé lui bouffer le clito et a eu un premier orgasme. Puis j’ai sorti le vibro et me suis mise en soixante-neuf sur elle pour le lui mettre dans la chatte. Ce faisant, je lui ai proposé autoritairement ma fente à lécher. Elle ne l’a pas fait au début, puis comme je frottais carrément mon clito sur ses lèvres et que le vibro commençait à faire son effet, elle a fini par s’occuper de moi.

Ce matin, on a encore pris une douche en commun, mais cette fois beaucoup plus chaude que la veille, avec le vibro pour animer un peu la séance de massage. Et voilà!”

Je la félicite et je vois que Ju a été remis en forme par son récit. Je lui demande:
– Et Thibault, tu trouves pas qu’il a une belle bite? Son père a la même?
– Oh, Caro, c’est mon fils tout de même. Et non, son père est moins bien fourni.
– Ose me dire qu’elle ne t’a pas fait envie…
– Envie, on peut pas dire. Troublée, oui. Surtout que je m’attendais même pas à le voir nu.
– Allez, avoue que ça t’a excitée de voir qu’il bandait pour toi. Et si c’était pas ton fils?
– Si c’était pas mon fils, oui. C’est toujours flatteur de voir un mec qui bande pour soi.
– Et pourtant, tu avais moins de scrupules il y a vingt ans en arrière pour te faire plaisir avec notre père, notre frère, notre cousin, etc. Et là avec mon mari.
– Oui, c’est vrai, c’est un peu idiot, mais c’est tellement nouveau de le voir comme ça.

Mais je sens bien que ça l’a excitée elle aussi, et donc elle accueille volontiers un dernier assaut de Ju qui la met en levrette et commence à la baiser à fond en disant:
– Allez, imagine que c’est ton fils qui est derrière toi!

Malgré elle, ça la fait monter dans les tours et elle jouit rapidement une dernière fois. Ju choisit cette fois de se terminer entre ses seins. Et c’est repue que nous la laissons pour réintégrer notre chambre et la laisser dormir. Ce qu’elle ne sais pas alors, c’est que pendant qu’on faisait nos acrobaties, on avait un spectateur.

Après qu’elle soit entrée dans sa chambre en quittant le salon, Lola est allée dans la sienne, mais nous avons fait entrer Thibault dans la notre en lui proposant de nous mater discrètement par la porte-fenêtre, a l’abri de l’obscurité à l’extérieur. Puis nous avons rejoint ma sœur pour faire ce que vous venez de lire. Son fils en a bien profité en se branlant à son insu. Puis comme il a éjaculé à peu près en même temps que Ju, il s’est éclipsé avant que nous revenions et il est allé faire un tour aux toilettes car il avait un envie pressante de pisser un coup avant d’aller se coucher.

De son côté, ne voulant pas rester poisseuse toute la nuit, au lieu de juste s’essuyer avec un serviette, Sève décide d’aller se faire un petit rinçage à la salle de bains. Malheureusement pour elle, elle tombe juste dans le couloir sur son fils qui revient des toilettes. Il lui souhaite bonne nuit et s’engouffre dans sa chambre dont il referme la porte. Elle espère qu’il n’a pas noté le sperme qui macule copieusement ses seins. Et là elle se leurre complètement car il le sait déjà, ayant assisté à l’éjaculation sur ses seins et qu’en passant, il a juste une vision plus proche de ce foutre qui luit sur sa poitrine dans la pénombre du couloir.

A suivre…

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