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Premier trio pour mon ex, avec un jeune

Premier trio pour mon ex, avec un jeune



J’ai décidé de vous raconter aujourd’hui comment une ex, Ellen, a accepté de satisfaire un de mes fantasmes consistant à la voir jouir sous les assauts d’un autre homme. Elle me précisa qu’elle aimait avoir affaire à des jeunes bites, plus enclines à cracher rapidement leur semence il est vrai, mais dotées de facultés de récupération bien plus intéressantes que les plus âgées. Je sélectionnai le fils d’une amie, âgé de vingt ans tout juste, Thomas.
Ellen avait un désir particulier : elle ne voulait pas voir le visage du jeune homme. Je bandai donc les yeux d’Ellen, lui laissant ses dessous, un string et un soutien-gorge laissant apparaître le bout de ses seins. Je décidai de l’attacher aux montants de son lit, utilisant plusieurs de ses foulards. Elle était prête à être offerte à Thomas dès son arrivée.

Thomas arriva pile à l’heure. Très intimidé, il rentra dans la chambre, hésitant à se déshabiller entièrement. Il garda son boxer. Il ne bandait pas encore aussi je l’invitai à se rapprocher d’Ellen, de profiter du spectacle offert et de toucher, car il et elle étaient là pour ça. Dès que ses jeunes mains se sont posées sur la peau d’Ellen, celle-ci a tremblé, comprenant que le sort en était jeté et qu’il n’était plus temps de reculer. J’écartai moi-même le string d’Ellen afin de lui montrer sa chatte dont les lèvres entrouvertes avaient changé de couleur pour tourner à un rouge foncé. Il se pencha pour bien voir la vulve entièrement épilée. Je commentais le spectacle assurant au petit Thomas que lorsque sa chatte était dans cet état, elle était prête à recevoir le mâle. S’il voulait, il pouvait tout de suite prendre un acompte et y glisser sa queue, histoire de se mettre en condition car j’adorerais voir tout de suite une bonne saillie.

Ellen commençait à respirer plus bruyamment, excitée par mes paroles. Je vis Thomas s’approcher d’elle, allonger ses mains en direction du sexe d’Ellen. Il en posa une sur son pubis, le caressant doucement et plongea maladroitement l’autre entre les lèvres turgescentes. Ellen se cabra au contact des doigts qui l’ouvraient. Il bougea ses doigts les faisant aller et venir au milieu des lèvres, montant jusqu’au clitoris et les faisant pénétrer légèrement dans l’ouverture béante. Il glissa un, puis deux doigts dans sa vulve, les ressortit pour les porter à son nez en disant que son sexe sentait bon. Il se tourna pour me montrer qu’il bandait ferme. Il tomba d’un trait le boxer et s’approcha la queue dressée à la verticale, progressant à genoux entre les jambes écartées d’Ellen.

La grosseur de sa verge surmontée par un gland étonnamment fin et étiré, était impressionnante non pas par sa longueur mais surtout par son calibre. Je sentais son impatience de la fourrer. Je le laissais faire prévenant Ellen que son étalon était pressé de se loger dans sa petite chatte et qu’elle n’allait pas être déçue. Elle ne répondit pas mais je voyais sa vulve s’ouvrir par à-coups, appelant la pénétration d’une jeune bite juvénile. Il posa son gland à l’entrée, le mouillant des abondantes sécrétions, puis je le vis pousser ses reins vers l’avant. Ellen rayonnait de bonheur, sentant le membre progresser doucement dans son ventre. Je vis son visage exprimer la surprise lorsqu’elle sentit son épaisseur. Elle retint son souffle, un peu inquiète du volume qui se frayait un passage dans ses entrailles, essayant à ses sensations d’évaluer la taille de l’engin qui la perforait. Puis, n’y tenant plus, satisfaite de se sentir écartelée de l’intérieur, elle essaya de descendre son bassin pour qu’il s’enfonce à fond. Ses couilles pendaient et butaient maintenant contre ses fesses. Il commença ses allers-retours comme un métronome. Elle ouvrit la bouche, me soufflant que c’était bon, que sa grosse queue était en train de lui fendre le ventre, qu’elle sentait la jouissance venir. Thomas, à ces mots, se raidit d’un coup, serra les fesses et s’immobilisa la bite profondément enfoncée dans son ventre. Je voyais qu’il était en train de décharger sa semence dans le vagin de mon ex. Ses couilles ne pendaient plus, accrochées à la base du gland, expédiant leur contenu dans le ventre d’Ellen. La saillie avait été rapide mais mon ex avait adoré être secouée sans ménagement, m’affirmant que cette jeune bite ne débanderait pas et serait prête immédiatement à lui rendre un nouvel hommage. Rajoutant que c’était ce qu’il y avait de bien avec les jeunes. À peine joui, ils en redemandent.

Thomas posa alors ses lèvres sur les mamelons et se mit à les téter comme un bébé le ferait avec sa mère. Il passait impatient d’un sein à l’autre, arrachant des soupirs de contentement à son amante. Il se remit à bouger, recommençant un coït quelques minutes à peine après avoir copieusement déchargé. Ellen me prit à témoin m’assurant qu’il était de nouveau dur, qu’elle sentait dans son ventre sa queue reprendre vie. Elle me remercia du choix de l’étalon, qu’elle voulait en profiter et qu’il la baise à fond jusqu’à ce qu’il n’ait plus de jus dans les couilles. Elle me demanda de la libérer car elle voulait toucher la peau juvénile de son jeune amant. Elle avait envie de le prendre en bouche, de goûter à son jeune sperme, certaine qu’il ne lui faudra pas longtemps pour pouvoir l’embrocher à nouveau. Je la détachai et l’invitai à se positionner en levrette. Je lui ôtai le bandeau alors que Thomas, l’investissait à nouveau, lui arrachant un cri rauque de bête blessée. Plantant ses yeux dans les miens, elle me dit que ce petit con allait la faire jouir encore une fois. Elle me demanda de ne pas perdre une miette du spectacle d’Ellen en train de se faire mettre par un jeune, et surtout d’Ellen en train de jouir pour la deuxième fois en si peu de temps.

Thomas, accroché aux hanches d’Ellen, lui balançait des grands coups de reins, la faisant trembler à chaque pénétration. Il tirait en même temps sur ses hanches pour la perforer encore plus loin. Ellen ne me quittait pas des yeux, son regard accroché au mien. Elle m’avait promis une jouissance en direct, les yeux dans les yeux. Sa tête bougeait au rythme des coups de boutoir de son étalon. Je vis dans ses yeux la jouissance arriver au galop. Elle me sourit juste avant d’écarquiller des yeux hagards, de se recroqueviller sur elle-même, de se raidir de tous ses muscles et de laisser éclater sa jouissance dans une longue plainte rauque que je ne lui connaissais que trop. Comme promis, elle a gardé ses yeux dans ma direction, me laissant voir ses pupilles basculées, se retourner pour ne laisser voir que le blanc de ses yeux. Thomas ralentit sa cadence infernale, il n’avait toujours pas joui. Je me dis avoir décidément fait un bon choix. Il laissa Ellen s’écrouler à ses genoux, le fessier en l’air, terrassée par le plaisir. Le bougre en voulait encore mais il attendit sagement qu’Ellen refasse surface. Je replaçai prestement son bandeau sur ses yeux mais elle m’en empêcha, déclarant vouloir connaître le propriétaire de cette bite infatigable.

Elle lui sourit en lui disant qu’il était déjà un bon amant et qu’il pourrait revenir la voir. Voyant qu’il n’avait pas encore joui, elle se retourna pour prendre en bouche le vit légèrement débandé. En quelques succions, il avait repris de sa superbe. Elle se tourna vers moi et me demanda si j’avais aimé la voir jouir sous les assauts de ce jeune étalon.

Je lui demandais de lui distiller une de ses fellations dont elle a le secret. Elle goba littéralement le gland mais ne put aller très loin, gênée par le calibre de l’engin. Elle se mit à enrouler sa langue autour du gland, le flattant, descendant jusqu’au-dessous des couilles pour ensuite remonter en léchant la hampe jusqu’à son sommet, elle insistait sur le frein, déclenchant des « ouiiii, oh ouiii » de satisfaction du propriétaire. Pendant ce temps, excité par ce spectacle, je décidai d’y prendre part. Je me délestai rapidement de mes vêtements et approchai Ellen par l’arrière. Je posai une de mes mains sur le haut de son fessier lui faisant comprendre que j’allais la prendre et passai l’autre entre ses lèvres intimes dégoulinantes de sperme et de cyprine. Je pointai mon gland dans l’entrée et Ellen se cambra au maximum afin d’offrir plus d’amplitude à ma pénétration. D’un seul coup de rein, je l’embrochai jusqu’à la garde sachant que le passage de Thomas avait déjà détendu son con. L’intromission autoritaire déclenchant quelques soupirs de satisfaction. Je fis ainsi quelques allers et retours afin d’être bien lubrifié puis, me retirant complètement, je posai mon gland devant son petit anneau plissé.

Ellen ne bougeait plus, attendant l’assaut, elle s’était arrêtée de sucer Thomas qui m’observait avec le plus grand intérêt. Je poussai une première fois, heureux de voir les plis se détendre pour permettre l’entrée du gland, je poussai encore une fois pour passer une bonne partie de ma verge puis une dernière fois pour me loger au plus profond des entrailles d’Ellen. Elle me dit qu’elle était tellement excitée que j’aurais pu la sodomiser en une seule poussée. Je voyais effectivement son cul bouger autour de ma queue, s’animer par petites contractions. Je commençai alors à bouger, des grands mouvements, faisant ressortir presque la totalité de mon sexe de l’orifice pour replonger aussitôt mais jusqu’au fond. Ellen me dit que je l’enculais comme un dieu. Que ma queue lui retournait le cul et que c’était un délice. Je basculai alors sur le dos, la tenant par les hanches pour l’entraîner dans ma chute, toujours embrochée jusqu’à la garde. Thomas compris immédiatement et se plaça immédiatement entre mes genoux, soulevant les cuisses d’Ellen. La bite en avant, il s’engouffra dans l’ouverture. Ellen accusa le coup et posa ses mains de chaque côté de nos corps, afin de ne pas perdre le contact avec ma queue dans son cul.

Thomas tenait Ellen en appuyant sous ses genoux repliés vers sa poitrine, il lui balançait des coups de reins amples et profonds, la faisant aller et venir sur mon ventre, faisant coulisser mon membre dans son petit cul. Ellen avait posé sa tête sur ma poitrine et murmurait des mots sans suite, me disant que j’étais fou de lui faire faire des choses pareilles. Elle me remerciait en même temps du plaisir qu’elle était en train de prendre. Elle sentait nos deux queues à l’intérieur d’elle, elle se sentait remplie comme jamais. Elle ne croyait pas pouvoir connaître un tel plaisir.Tout à coup, elle me dit que le plaisir arrivait encore. Qu’elle allait jouir du cul. Elle me demanda de l’enculer plus fort, au même rythme que Thomas ce que je fis immédiatement. Quelques secondes après, elle poussa un long feulement de bête, qui resta suspendu dans la pièce. Elle me planta ses doigts dans les avant-bras pour se mettre à trembler de tout son corps, secouée de spasmes impressionnants. Elle cria qu’elle jouissait, que c’était bon, que nous étions deux salauds de lui perforer l’anus et la chatte en même temps, que c’était trop bon.

Thomas et moi n’avions pas encore joui. Il lui maintenait les jambes en l’air, la chatte dégagée, toujours emmanché jusqu’à la garde. De mon côté, j’essayais de maintenir mon gland dans l’ouverture, attendant qu’Ellen reprenne vie. C’est en fait nos deux queues recommençant à bouger qui l’ont fait sortir de sa torpeur. Elle me dit qu’on lui avait défoncé le cul et qu’il valait mieux que nous passions par l’autre porte maintenant car sinon tout le monde pourrait voir à sa démarche qu’elle s’était faite sodomiser grave. Elle rajouta que nous allions la tuer à la baiser comme ça mais qu’elle m’avait promis de me donner entière satisfaction. Je me dégageai, libérant son anus et l’embrassai à pleine bouche pour la remercier. Thomas entretenait sa trique en coulissant doucement dans le sexe d’Ellen, ce qui la fit rire en disant que décidément il était vraiment accroc de la baise celui-là.

Elle s’installa à quatre pattes. Thomas ne se fit pas prier et, la queue fièrement dressée, il s’engouffra en douceur dans la chatte d’Ellen. Il accentua la pression de ses mains sur les hanches d’Ellen, augmentant également l’amplitude et la force de ses coups. Thomas la besognait maintenant franchement, l’empalant sur sa bite à chaque poussée vers l’avant. Il se mit à jouir, tapissant les entrailles d’Ellen de son sperme juvénile. Je lui souris, regardant Thomas se retirer délicatement de sa nouvelle conquête. Il se laissa tomber sur le lit, les bras en croix.

A suivre …

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