Histoires de sexe hétéro Histoires de tromper Histoires érotiques couples amateurs

Ma belle-fille à l’hotel

Ma belle-fille à l’hotel



Ma belle fille, ma secrétaire.

Je suis directeur d’une usine familiale qui tourne pour l’instant assez bien mais qui demande une vigilance au niveau des marchés. De ce fait, les bons contacts avec les clients sont assez fructueux. Il y a quelques semaines, j’avais un rendez-vous important à Bruxelles et je m’y suis rendu en compagnie de ma bru qui est aussi ma secrétaire.
Mélanie est plutôt bien faite de son corps avec de longs cheveux noirs toujours attachés par une pince ; mais c’est son regard qui me fait craquer. Si elle n’était pas la femme de mon fils, je pense que je lui ferais la cour !
Bref, nous nous sommes rendus dans cette capitale pour un long week-end et avons loué deux chambres dans un grand hôtel du centre ville.
Nos avons rencontré nos clients à 14 h et notre réunion s’est terminée vers 19h. Ensuite, ils nous ont invités au restaurant et vers 23h, nous avons dû rentrer car Mélanie ne se sentait pas très bien.
Arrivés à l’hôtel, je lui fais prendre un médicament pour l’estomac et deux somnifères pour qu’elle se repose pour être en forme le lendemain.
Je la quitte et redescends au bar de l’hôtel prendre un dernier verre avant de me coucher.
Lorsque je remonte dans ma chambre, je suis surpris de constater que la lumière de la chambre de Mélanie est toujours allumée. Sans faire de bruit, je m’approche de la porte qui sépare nos chambres qui est restée ouverte et j’aperçois Mélanie, toujours habillée de son ensemble deux pièces, endormie assise sur le sol, la tête sur le lit. Je m’approche d’elle, l’appelle, la secoue légèrement afin qu’elle se change et se couche dans le lit. Mais rien à faire, elle est profondément endormie. Je la prends dans mes bras et la dépose sur le lit. Et là, mon regard tombe sur ses cuisses légèrement dénudées. Je pose la main sur un genou, le caresse. Pris de panique par ce que je fais, je repars dans ma chambre et me change pour la nuit. Couché, le souvenir de ma main caressant son genou m’empêche de dormir; je me lève, me dirige vers sa chambre et apercevant son corps qui n’a pas bougé, je ressens au fond de moi le même trouble que j’ai connu la première fois que je suis sorti avec ma femme.
Je pose de nouveau ma main sur son genou et le secoue afin de vérifier si son sommeil est profond. Elle ne réagit pas ( les somnifères font leur effet) et je poursuis la caresse en remontant le long de sa cuisse jusqu’à ce que je rencontre le tissu de sa culotte. Je redescends alors le long de l’autre cuisse. Je décide alors de passer aux choses sérieuses et je lui enlève délicatement ses vêtements. Sa veste ôtée, je lui déboutonne son chemisier dévoilant ainsi ses seins recouverts d’un joli soutien gorge noir. Dégrafant celui-ci, je ne peux m’empêcher de toucher, du bout du doigt, les tétons qui réagissent immédiatement en pointant vers la caresse.
La jupe est rapidement enlevée et la petite culotte noire disparaît à son tour.
Je contemple alors le joli corps nu de ma belle-fille et sans perdre de temps, je lui écarte les jambes et du doigt, je caresse l’intersection de ses grosses lèvres vaginales. Après un moment, son sexe commence à s’humidifier. Je me place entre ses jambes, lui écarte les grosses lèvres avec les doigts et passe la langue à l’entrée du vagin et sur le clitoris qui commence à bander.
Je me régale de son jus intime et j’apprécie le contact de cette chair encore neuve.
Il est temps maintenant de prendre mon plaisir et je commence par enfoncer un doigt dans son vagin tout en observant ses réactions. Comme elle ne réagit toujours pas, je baisse mon pantalon, prends mon membre tendu et le dirige vers l’entrée de son paradis. D’un petit coup de reins, mon gland entre dans son jardin secret, puis, lentement, je poursuis mon avancée écartant les chairs à l’intérieur du conduit étroit. Je suis très excité par la situation mais j’essaie de me concentrer pour ne pas jouir immédiatement. Ma verge entre et sort lentement car je veux apprécier chaque moment passé dans le corps brûlant de ma bru. Mais j’ai beau essayer de me retenir, mon sexe durcit de plus en plus et sans pouvoir me retirer, les premiers jets de foutre vont s’écraser au fond de son corps. Je reste en elle jusqu’à ce que mon sexe redevenu mou sorte seul du vagin.
Pour essayer de cacher ce qui s’est passé, je tente à l’aide d’une serviette, d’absorber le plus possible le sperme qui s’écoule de sa fente ouverte. Occupé à frotter son sexe, je m’aperçois que son anus est lui aussi recouvert du liquide blanchâtre ; je me mets à le nettoyer quand mon esprit se souvient d’images de femmes enculées par leurs amants. N’ayant jamais pratiqué ce genre d’acte, ma curiosité me pousse à introduire un doigt puis deux dans l’anus de Mélanie qui est toujours plongée dans ses rêves. Je sens mon sexe reprendre des forces et redevenir assez dur pour replonger dans le corps de Mélanie. Profitant de l’aubaine, je vais tenter de posséder ma bru par ce trou inconnu pour moi. Je retourne Mélanie, écarte ses fesses, et positionne mon gland sur la petite rosette brune. En m’aidant de la main, je pousse mon membre et sans difficultés, je me retrouve avec joie enfoncé dans son intestin. Mon fils doit certainement la baiser ainsi car son anus s’est laissé écarter sans résister. L’étroitesse du conduit m’excite encore plus mais ne voulant pas abuser des bonnes choses et surtout que je suis assez classique, je change de trou et je continue à la baiser en « levrette » jusqu’à la venue de mon deuxième orgasme de la soirée.
Quelle joie de prendre mon pied avec cette ravissante jeunette qui m’attire mais dont le corps m’est interdit!
Je passe alors un long moment à essayer de cacher ce qui s’est passé : nettoyage de Mélanie, vêtements bien rangés, enfiler une robe de nuit sur son corps nu, fermeture à clé de la porte communicante.
Inutile de dire que cette nuit là, je n’ai pas beaucoup dormi tiraillé par la honte de mes actes et le bonheur d’avoir joui de ce corps magnifique mais « intouchable ».
Le lendemain matin, à son réveil, Mélanie a mal au crâne et ne se souvient de rien.
Mon inquiétude disparaît et nous continuons nos visites de travail. Le soir, nous rentrons chez nous.
Maintenant, chaque matin, quand Mélanie entre dans mon bureau et m’embrasse, l’odeur de son corps, de son parfum, réveille mon sexe qui grossit de désir.
J’attends avec impatience, ( somnifères dans la valise), notre prochain déplacement à l’étranger car je veux encore goûter en toute impunité à ce fruit défendu !

Vezan

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire