Comment suis-je arrivée ici ? Me voici dans la pénombre d’une cave crasseuse d’un quartier populaire, prise par un étalon marocain qui force son énorme queue dans mon anus endolori et cela devant un groupe d’une dizaine d’hommes en rut qui attendent leur tour, la queue à la main en se branlant. Il y a dans l’air une odeur mélangée d’humidité et de foutre dont je suis toute souillée, des cheveux aux fesses…Mes seins meurtris d’avoir été pincés et sucés par les mains et bouches de mes agresseurs sont terriblement sensibles. Mes trous me font mal à chacun de leur va et viens….
Je suis Nadia, marocaine, bourgeoise et salope d’après Karim (lailatvx) mon mari.
Je vous donne quelques détails pour vous mettre en appétit…
Mes mamelles généreuses, naturelles, un peu pendantes et ramollies, ornées de gros mamelons et tétons marron adorent être malmenées et sont très sensibles.
Ma chatte est garnie d’une abondante toison noire laisse cependant deviner mes épaisses lèvres marron. Écartez mes fesses assez généreuses et vous y découvrirez la rosette de mon cul totalement dépourvu de poils (naturel).
Nous partageons, Karim et moi depuis de nombreuses années, tous nos fantasmes même les plus inavouables. L’un de nos scénarios favoris est que je me fasse sauter par plusieurs types en sa présence dans la cave d’un immeuble d’une cité chaude de la banlieue. Et voilà ce qui est arrivé…
Nous profitons d’être de passage à Casablanca pour les vacances d’été afin d’essayer de le mettre à exécution après en avoir longuement discuté et malgré les risques dont nous sommes bien conscients. L’histoire qui suit est très proche de ce qui s’est passé lors de cette aventure qui restera dans nos mémoires à tout jamais.
Karim, mon mari a veillé à me sélectionner lui-même une tenue très pute afin d’exciter les mecs.
Il m’a préparé sur le lit, minuscule slip ficelle noir, bas et porte-jarretelles noirs, soutien-gorge noir très ouvert révélant mes mamelons, minijupe très mini à raz de la chatte mettant mes fesses en valeur, Corsage blanc très transparent.
Je sors de la salle de bain ainsi affublée et me présente à Karim. Son sifflement m’en dit long….
-Tourne-toi et penche-toi en écartant tes jambes.
-Tu es un vieux cochon !
Je m’exécute.
-Superbe, tu es magnifique, tu vas les rendre complètement fous. Tu ferais même bander un pédé. Si tu es prête alors on y va !
Nous prenons la voiture et sortons. Un quart d’heure plus tard, nous conduisons entre les barres d’immeubles de cette banlieue si réputée. Nous tournons un moment pour repérer un endroit propice à ce que nous venons chercher.
Plusieurs lascars marocains et africains désœuvrés semblent monter la garde devant une cage d’escalier.
Karim me demande si cela me convient.
-Oui cela me va, de toute façon on verra bien !
Nous stationnons non loin d’ici.
-Nous allons faire semblant de monter rendre visite à quelqu’un de l’immeuble pour tâter le terrain et tester la réaction des gars. Es-tu d’accord ?
Nous descendons de la voiture, tous les visages se tournent vers nous et surtout sur moi…. Mes jambes commencent à trembler, je me sens particulièrement vulnérable. Karim me donne la main et me guide vers les premières marches extérieures où campe notre comité d’accueil.
Les gars s’écartent et nous laissent passer. Karim se dirige vers les boites à lettres qui sont presque toutes éventrées et fait semblant de vérifier un nom d’occupant. Nous commençons à gravir les premières marches. Les gars commencent à siffler. Je réalise qu’ils ont pleine vue de mes fesses que ma minijupe ne cache guère. Ils commencent à s’agiter sérieusement. Nous continuons à gravir les escaliers jusqu’au premier palier. Nous entendons d’en bas.
-Jolie ta meuf, beau cul !
-Les gars, on va se la faire celle-là ?
-Ma Chérie, je crois que cette fois tu vas passer à la casserole si tu en as toujours envie bien sûr. Tu peux encore changer d’idée. Dans ce cas, je vais appeler les flics pour qu’ils viennent nous libérer et nous frayer un chemin.
Mes jambes commencent à faiblir et mon excitation initiale est devenue une horrible peur.
Nous avons maintenant le choix. Faire une sortie en force et dans ce cas, je reste sur ma faim ou me faire violer par la bande de chiens qui nous attendent en bas (ce que j’attends depuis de nombreuses années).
Mon mari me serre contre lui et pince mon téton.
-Il est dur
Sa main descend entre mes jambes jusqu’à ma chatte qu’il tâte au travers de mon slip.
-Tu mouilles salope, tu en as envie alors…. Alors allons-y…
-D’accord mais tu dois rester à mes côtés car ils me font peur.
-OK promis, on redescend.
Mon cœur bat la chamade. Karim me tient la main comme pour m’encourager. Je sais qu’il a très envie de me voir prise par plusieurs hommes.
Les escaliers me paraissent trop courts cette fois.
Notre comité d’accueil nous attend maintenant au niveau des boites à lettres et nous barre le passage.
D’où nous nous trouvons maintenant, les lascars regardent sous ma jupe et je ne peux rien faire pour cacher mon intimité. Ils ont pleine vue entre mes cuisses.
Nous atteignons la dernière marche mais ils ne s’écartent toujours pas.
Le chef du gang, pas vilain d’ailleurs nous interpelle.
-T’as une belle meuf. Les mecs et moi on veut la baiser. Tu nous la prêtes ?
Karim prétend ne pas être d’accord et proteste.
-Non mais vous déconnez les mecs. Elle est trop bien pour vous…
-De toute façon, t’as pas le choix ou on va pas te laisser sortir d’ici sans qu’on se la fasse. T’es venu pour la faire baiser par nos gros zobs, t’es pas le premier…
La négociation tourne court. Karim est visiblement prêt à faire des concessions et ne veut surtout pas faire échouer notre plan.
-OK les gars, mais à condition que vous ne lui fassiez pas de mal, que vous mettiez des capotes et que je puisse être à côté d’elle pour voir ce que vous lui faites.
A partir de ce moment, tout se passe très vite. Plusieurs mecs s’excitent autour de moi. Des mains pelotent déjà mes fesses sous la minijupe. On me pousse vers le fond du couloir, vers la porte du sous-sol et me font descendre des escaliers puis suivre un long couloir sombre jusqu’à la porte ouverte d’une cave. C’est là que cela va se passer. La pièce très sombre n’est éclairée que par une seule lampe. Cela sent un mélange de moisi et de sueur. Mes yeux s’habituent à la pénombre, je distingue le visage de plusieurs types et noirs autour de moi. Visiblement tout a été minutieusement préparé. Ils savaient qu’ils allaient nous intercepter en redescendant. Un matelas crasseux est jeté sur le sol. Un fil tendu en travers de la pièce supporte un assortiment de culottes et soutien-gorge. Je ne suis visiblement pas la première à être passée ici. Cela me rassure un peu. La porte se referme. Je me retourne pour chercher le visage de Karim mais je ne le vois pas. Je panique.
-Fumiers, où est mon mari. Je veux qu’il soit là.
-T’inquiète pas, il va venir.
Je me retrouve seul avec une dizaine d’hommes en rut. Plusieurs palpent déjà leur paquet à travers leur pantalon en me dévisageant pour me faire comprendre qu’ils me réservent quelque chose…
Le type qui m’avait tapé à l’œil à l’entrée et semble être le chef du gang s’approche de moi.
-Mon nom est Rachid. C’est quoi ton nom ?
Je reste muette pour feindre un peu de résistance.
-Bon, ça ne fait rien, on va t’appeler Salope alors… Tu sais que tu es bien branlée et que tu as un beau cul. Si tu fais ce qu’on te dit, on ne te fera pas de mal et tu auras du plaisir. Tu sais que toutes les femmes qu’on baise ici reviennent toutes pour en avoir plus.
Rachid s’approche et palpe mes seins au travers de mon corsage.
-Dis donc, t’as des gros seins, montre nous les, enlève le haut !
-Non pas ça !
Je proteste pour la forme car je préfère enlever moi-même mon chemisier plutôt que de les laisser le faire. Je m’exécute et révèle le clivage de ma poitrine à la vue de ces mâles. J’ai beaucoup de mal à dissimuler mon excitation. Je sens mes tétons durcir et ma chatte ruisseler de mouille humectant mon slip.
Rachid promène ses mains sur mon soutien-gorge. Que C’est bon ! Il plonge maintenant ses doigts dans mes bonnets pour en extraire mes seins et les laisser pendre hors de mon soutien. J’aimerais tant que Karim puisse me voir ainsi…
Rachid reprend :
-Regardez les gars, de vraies mamelles de salope comme on les aime. Abdul, toi qui kiffes les gros seins, tu vas pouvoir te régaler et lui faire la traite… Retire ton haut et ton soutien maintenant…. Voilà superbe ! Donne-le-moi.
Il jette mon soutien-gorge aux gars qui commencent à siffler et lancer des cris de fauves. Celui qui l’att**** met son nez dedans pour le sentir puis le descend le sur sa braguette et se masturbent avec.
– Penche-toi bien vers eux pour leur montrer tes mamelles. Tiens les et suce les…
Je me redresse, Rachid en profite pour me pincer très fort les tétons, m’arrachant un cri de douleur.
-Tu aimes salope. Maintenant, tu retires ta jupe. Tu sais que tu es fringuée comme une vraie pute…
Me déshabiller devant eux est moins difficile que je ne l’avais imaginé. Cela m’excite d’ailleurs !
Je fais glisser la fermeture et la jupe descend toute seule à mes pieds. Je ne peux m’empêcher de couvrir mon pubis avec ma main tellement je me sens vulnérable.
-Tourne et penche toi encore qu’on voie ton cul, Ecarte tes jambes.
J’obtempère et je sens la ficelle de mon string creuser entre les lèvres de ma chatte et mes fesses. Je sens la dizaine de pair d’yeux qui étudient mon anatomie, s’imaginant déjà prêts à me forcer.
-T’as de belles fesses, écarte les bien avec tes mains que les mecs se rincent l’œil.
Je me rappelle l’avoir fait ce matin pour mon mari.
J’ai la chatte en feu et je sens ma mouille imprégner mon slip et passer sur le côté, elle va couler le long de mes jambes et les mecs vont le voir…
-Retire ton slip et donne-le moi, pour que je l’ajoute à nos trophées de chasses.
Je m’exécute et descends le petit morceau de dentelle le long de mes jambes et le tend à Rachid qui plonge son nez dedans.
-Les copains, cela sent la chatte en chaleur, et elle mouille en plus, sa culotte en est trempée. Penche toi encore salope et montre-moi ton cul.
-Regardez, elle a la chatte touffue mais elle n’a pas de poils au cul.
Il pose une main sur mes fesses et avec l’autre promène ses doigts dans ma raie, titille mon anus avant de descendre jusqu’à ma chatte où il plonge plusieurs doigts découvrant l’indéniable évidence que j’ai la chatte en feu.
-Les mecs on va s’amuser, elle est complètement trempée. Elle veut de la queue. Encore une qui a besoin d’être saillie comme une vraie chienne en chaleur. Tu garderas tes bas et ton porte-jarretelles, cela te donne l’air d’une vraie pute.
Les autres machos commencent à ouvrir leurs pantalons et sortir leurs zobs. Ils se masturbent en me regardant en ayant l’air de me dire :
-Tu vas voir salope, je vais te mettre ça dans le cul !
Rachid me fait asseoir sur le bord du matelas crasseux et descend son pantalon. Je comprends pourquoi il est le chef du gang à la taille de la queue qu’il me présente. Sa queue marron foncée, épaisse et longue est complètement rasée y compris ses très grosses couilles qui pendent très bas.
-Suce ma queue salope !
Je m’exécute et prends l’énorme zob entre mes lèvres en titillant le bout avec ma langue. Cela ne lui suffit visiblement pas car il prend ma tête et force sa queue au fond de ma gorge. J’étouffe. Il retire sa queue pour me laisser reprendre mon souffle et replonge à nouveau dans ma gorge. Il se retire et me fait sucer ses couilles. C’est bon…
-Mets-toi à quatre pattes sur le matelas comme une chienne en chaleur que tu es. On va te saillir par tous les trous… Abdul, c’est l’heure de la traite, essaye de lui tirer du lait…Kamal tu lui fais une gorge profonde…Pendant ce temps là, je vais la dépuceler. Tu vas voir, ça va être chose que la petite queue blanche de ton mec.
Abdul, un beau noir d’une vingtaine d’année tout nu s’approche et s’allonge sous moi et positionne son visage sous mes seins pendant qu’il commence à palper doucement avec ses doigts très longs. C’est très agréable, et j’en redemande en cambrant ma poitrine et en soupirant. Ses caresses deviennent un peu plus fermes. Il empoigne maintenant mes mamelles et commence à les allonger en les tirant vers le bas. J’ai un peu mal mais je veux vivre l’expérience. Ses lèvres commencent à sucer mon téton droit et à le mordiller, il aspire toute l’extrémité de mon sein dans sa bouche. Jusqu’où va-t-il aller ? Il suce tellement fort que mon mamelon me brûle. Il me malaxe les mamelles et les tire vers le bas et les laisse rebondir vers le haut.
Kamal m’enfonce sa queue dans la bouche.
Rachid s’agenouille derrière moi, il me donne plusieurs claques sur les fesses avant de les écarter brutalement. Il promène maintenant le bout de sa bitte épaisse dans la raie de mon cul puis descend doucement jusqu’aux poiles de ma chatte. Ses doigts caressent mon anus. Hum !!! C’est intenable tellement c’est bon. Je cambre mes fesses vers lui pour lui faire comprendre que je suis prête à le recevoir. Sa queue vient buter sur les lèvres de ma chatte, je cambre un peu plus mon derrière pour qu’il m’enfile, Je gémis de plaisir. Il est énorme et me fait un peu mal mais je dois le supporter. Rien ne l’arrête maintenant, il me pénètre de toute sa longueur jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mes cuisses. Il commence à me saillir avec de longs va et viens, il se retire complètement pour laisser ma chatte béante. Il me force à nouveau. Ses doigts écartent mes fesses et s’intéressent à mon anus.
-Non pas ça, tu es trop gros.
Il ressort de ma chatte pour me décharger plusieurs giclées de foutre bien épais entre les fesses. Je sens son foutre ruisseler le long de mes cuisses et sur mes bas. Ses doigts étale son jus dans ma raie et en lubrifie mon anus. Que me réserve-t-il ?
-Fadi, viens la, fais lui péter la rondelle avec ton gros zob.
Fadi, un beau lascar basané sort du groupe s’approche de nous en souriant. Il ne bande pas encore mais sa queue qui n’est que demi dure me fait peur.
-Toi, t’es comme toutes les salopes de bourgeoises mal baisées qui passent ici, tu viens pour notre zob. Avoue que c’est vrai, avoue que ton mec ne sait pas te baiser. Dis-moi que tu as besoin de grosses queues dans ton gros cul de salope !
Fadi me donne plusieurs claques sur les fesses.
-Oui Fadi, mon mari ne sait pas me sauter. J’ai besoin de grosses queues dans mon gros cul de salope…
-Avoue que ton mec et toi, vous êtes venus pour cela, pour que tu te fasses monter par tous mes copains.
Nouvelle fessée, il me fait mal. Même si c’est vrai, je ne peux quand même pas l’admettre… Mais si c’est cela qu’il veut entendre, autant le lui avouer, cela le calmera peut-être.
-C’était une idée de mon mari. Il voulait me voir prendre par plusieurs types.
-Et toi tu étais d’accord ?
-Oui, cela m’excitait.
Je vois que notre conversation l’excite. Sa queue est maintenant bien bandée et cela me fait peur de savoir que dans un moment cet énorme engin va forcer mon cul.
Fadi s’agenouille derrière moi. Ses mains écartent brutalement mes fesses meurtries et ses doigts commencent l’exploration de ma raie. C’est bon. Je ne peux m’empêcher de gémir et cambrer mes fesses pour lui faire comprendre que c’est bon….
-Regardez les mecs, c’est une vraie chienne en chaleur !!!!!
Il force plusieurs doigts dans ma chatte puis remonte vers mon anus qu’il pénètre sans douceur. Il ressort et crache plusieurs fois sur ma rondelle. Ses doigts reviennent à la charge et me fouillent profondément avant de se retirer en me laissant grande ouverte. Je sens qu’il s’excite.
-Tu veux mon gros zob ? Alors ouvre-toi bien !
Il écarte très fort mes fesses jusqu´à me faire mal. Ses deux pouces s’enfoncent profondément dans mon anus puis s’écartent pour l’ouvrir d’avantage. Le bout de son énorme queue vient se poser dans le creux ….Hum que c’est bon, j’anticipais ce moment avec impatience. Je sens la pression de son gland sur mon sphincter s’accroître. Il est gros, il est très gros. Je ne sais pas comment je vais faire pour le recevoir car je ne me suis jamais faite enculer par quelque chose d’aussi monstrueux. Mon mari me suggère toujours de « pousser » quand il force ma rosette. Je suis son conseil et pousse au maximum pour aider Fadi à enfoncer son zob dans mon cul sans me faire déchirer. Je le sens rentrer millimètre par millimètre. Il me fait mal mais c’est bon….
-Aie, vas-y doucement, tu me fais mal…
-Ton cul est vierge ou quoi ? Ton mec t’encule de temps en temps ?
-Oui mais tu es très gros. Je n’ai jamais été pénétrée par une queue aussi grosse que la tienne.
Il se retire doucement. Rachid s’approche de nous et lui tend un tube.
-Fous lui ça dans le cul, cela t’aidera.
Fadi vide une grosse giclée de lubrifiant dans mon anus et le fait pénétrer avec ses longs doigts tout en me gardant ouverte. Il revient à la charge et force son zob dans mon cul mais cette fois, il le pousse jusqu’à ce que je sente ses couilles buter contre mes fesses. Fadi est arrivé à ses fins et a pris possession de ce que j’avais de plus intime, mon anus. Il s’arrête un moment comme pour savourer sa victoire. Je suis sa chienne et il veut maintenant me saillir pour me faire sentir qu’il est le maître.
Toujours enfoncé en moi, Fadi monte sur le bord du matelas et se relève sur ses jambes, se retire un peu et commence son va et viens. Son rythme s’accélère. C’est bon !!!! Sa queue ressort complètement de mon cul qui reste béant et ouvert. Je cambre mes fesses vers lui pour lui faire comprendre que j’attends autre chose….
-Fadi, encule-moi fort, donne-moi ta grosse queue !
-Tu en veux salope, la voilà…
Sa queue réinvestit brutalement mon anus. Maintenant il se déchaîne et me monte comme un jockey les pieds dans les étriers. Je sens mon plaisir monter du fond de mon ventre à chacun de ses coups de boutoir. Il s’excite lui aussi. Je perds le contrôle quand un massif orgasme explose en moi. Fadi se cambre et je sens ses giclées de foutre chaud inonder mon boyau.
Fadi se retire de ma rondelle dilatée laissant s’échapper un ruisseau de foutre qui coule le long de mes cuisses.
Rachid s’approche.
-Allez les mecs, elle est à vous !
Le reste de la bande se resserre autour de moi. J’appréhende ce qui m’attend. Je suis toujours en levrette, la croupe offerte. Je me souviens de plusieurs mains me palpant violemment les fesses et les seins, une grosse queue noire forçant ma bouche pour y déverser un torrent de foutre alors que, derrière moi, les queues se succédaient pour inonder mon cul et ma chatte. Puis ils se calment, je commence à espérer que c’est fini car je suis épuisée. Je réalise que je me suis trompée quand je sens plusieurs doigts s’enfoncer dans mon anus. Le foutre que je viens de recevoir lui rend la tâche facile. La pression est de plus en plus forte. Je comprends rapidement que le monstre qui est derrière moi essaye de me fister….
-Non, Non, Arrête tu vas me déchirer !
Mes protestations n’y font rien. Je ne peux que subir et me laisser faire. Plus tôt cela sera terminé, mieux je serai.
-Salope, écarte bien tes grosses fesses de bourgeoise et pousse pour ouvrir ton cul, tu auras moins mal !
Je m’exécute, att**** mes fesses et les ouvre au maximum. Je ne peux le croire mais je sens mes sphincters s’ouvrir sous la pression de l’intrus. Sa main glisse toute entière en moi jusqu’au poignet. Plusieurs spasmes partis de mon ventre secouent mon corps, ma tête tourne, je me sens partir……
Nous rentrons chez nous mon mari et moi. Je rentre sans culotte ni soutien-gorge car les garçons me les ont confisqués pour les ajouter à leurs trophées. Tous mes orifices, mes seins, mes fesses sont encore souillés de leur foutre car je n’ai pu me doucher avant de partir.
Mon époux très calmement me demande :
-Comment te sens-tu ? C’était bon ?
– Je suis épuisée, mon corps me fait mal, mais j’ai aimé.
-Et toi ? As-tu aimé bien que tu n’aies pas vu grand-chose ?
-Oui j’ai beaucoup aimé. En fait ils m’ont laissé rentrer quand Rachid a commencé à te déshabiller.
-Tu veux les revoir ?
-Oui peut-être…..
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