Émilie est une fille douce et gentille. Sa douceur légendaire fait de cette jeune fille une personne attachante et charmante. Cela fait à peine un an qu’elle est sortie de l’école et qu’elle y découvre le vrai monde. Alors qu’elle est en couple depuis tellement longtemps qu’on ne se rappelle plus d’elle sans son copain, ils vivent sur un nuage tous les deux, choyé par le bonheur et la chance.
Mais un beau jour tout changeât, lors d’une soirée organisée par son bureau ou son copain n’était invité, elle croisât le regard d’un de ses collègues. Un regard soutenu et enivrant. Elle ne put se retenir de rougir tout en détournant ses yeux ailleurs. Mais tout au long de la soirée elle senti la présence d’une force irrésistible qui la captivait. La teneur en alcool devenant de plus en plus élevée elle fini par croiser sont regard qui n’avait pas perdu en intensité et cette fois ci elle ne put résister à baisser les yeux. Il s’approchât d’elle et lui dit d’un ton posé : -suis moi.
Le rythme de son cœur s’accéléra ses jambes se mirent à le suivre sans qu’elle n’ait pu donner son avis, son regard le suivait sans jamais croiser le contact de ses yeux. Arrivé au détour d’un couloir, à l’écart de ses autres collègues, il lui chuchota : -Demain, 10h30 dans les toilettes. Et l’abandonna là.
Tétanisée par cette injonction elle ressenti un fourmillement parcourant l’entièreté de sa peau tel un orgasme incompréhensible.
La fin de la journée et la nuit furent la plus longue attentent qu’Émilie n’ai jamais dû endurer, son corps était en permanence parcouru par des décharges d’adrénaline tandis que son cerveau ne s’arrêtait pas de produire de l’endorphine entraînant la jeune fille dans une puissante transe physique et mental.
Le lendemain, elle s’assit sur sa chaise, face à son ordinateur, incapable accomplir la moindre tâche, frémissante d’impatience en regardant l’horloge à attendre que les secondes deviennent des minutes qui elles même deviennent des heures. L’heure fatidique atteinte, elle se leva et se dirigea vers les toilettes, comme convenu et tomba sur lui qui l’attendait. Tout en pointant du doigt une toilette vide il lui dit : -rentre et assied toi.
Assise sur le trône, il vint se mettre face à elle et ferma la porte derrière lui. Écarta doucement sa chemise et ouvra son pantalon pour y exposer un sexe à moitié en érection et lui dit : -Tu sais ce que tu as à faire.
Émilie pris le sexe dans ses mains et commença à faire quelques vas et vient pour donner à ce phallus sa forme finale. Guidée par un instinct naturel elle approcha sa bouche et mis à lécher timidement le bout du gland juste en dessous au niveau du frein. Cela eu comme effet un spasme de la part de son partenaire qu’elle perçu, sachant qu’elle était sur la bonne piste elle engouffra le sexe doucement dans sa bouche en prenant soins d’appliquer une pression sur toute la circonférence du sexe avec ses lèvres.
Après quelques allers retours il vint placer ses mains fermement derrière sa tête et commença à assister le mouvement. Cette position et cette sensation dégradante d’être transformé en une poupée inanimée lui procura un orgasme incontrôlé qui, suivit par les spasmes d’éjaculation du sexe présent dans sa bouche et par la douce sensation d’un liquide chaud projeté dans sa gorge, lui fit presque perdre connaissance.
Lui satisfait, se rhabilla et sorti de la toilette. Avant de partir il la regarda une dernière fois d’un air fier puis s’en alla.
Elle, toujours sous le choc, incapable de bouger mis quelques minutes avant de récupérer le contrôle de son corps. Avalant les derniers vestiges de l’expérience, elle comprit ce qu’elle était réellement, et elle aimait ça.
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