Promenade d’automne…
Je décide d’aller en forêt cette fin d’après-midi pour me promener et faire quelques clichés sur cette nature merveilleuse aux couleurs de l’automne qui s’avance. Après une bonne demi-heure de marche entre foret et champs, j’arrive près d’un parc ou broute deux chevaux. L’un des deux à son objet du désirs qui pend, mou, mais très long vers le sol. J’observe ce beau jouet non utilisé quand j’entends des branches se casser sous des pas. Je recule en direction du bois quand j’entends des voix de jeunes gens. Une voix de fille et deux voix de garçons.
Je m’approche doucement et aperçois une voiture portières ouverte et une fille sur les 20 ans retroussée et allongée sur le dos sur le capot en train de se masturber.
-Doucement José, vas-y doucement.
Devant la fille, deux mecs. Pantalon baissé, cul tendu, un jeune blond les mains écarte ses fesses, pendant que l’autre, aussi jeune, essaie de rentrer sa bite dans ce beau cul offert.
-Vas-y Jérémy, baise José, je me prépare et j’arrive.
Je suis assez stupéfait de la scène et commence à faire quelques vues.
-C’est bon il est rentré entièrement dans mon cul, c’est bon, vient Virginie, je bande comme un cerf.
C’était vrai, sa bite était fine, mais très raide. La fille, vient se placer devant José, recule en tendand bien son derrière et écartant ses jambes, penchée en avant. José l’attrapa par les hanches et j’entendis un grand feulement.
-Putain ! Ta le cul accueillant Virginie, ça rentre tout seul.
-En ce moment, je me fais défoncer le cul souvent par des vieux. Dit la fille en remuant son cul tendu.
Jérémy tend ses bras et att**** par les épaules Virginie et la tire vers l’arrière.
-Doucement Jérémy t’as bite et grosse et j’ai un petit cul. Se plaint José.
-Tu n’as qu’à faire comme Virginie, y aller plus souvent. Les trois rient. J’en profite pour faire des photos. Jérémy donne le rythme, Virginie est obligée de s’appuyer de ses mains sur le capot de la voiture. José, prit en sandwich, laisse faire le cul de Virginie qui ondule sur sa bite bien enfoncée.
-T’aime ça hein Virginie ? dit José.
-J’aime pas, j’adore. Lui répond Virginie dans un grand coup de reins.
-C’est qui, c’est vieux avec qui tu baises.
-J’en sais rien, ils doivent avoir 60 ou 65 ans tous les deux. Ils étaient sur la place du village avec leur camping-car et m’avait demandé, ce qu’il y avait à visiter dans le coin.
-Ben il y a rien ici dit Jérémy
-C’est ce que je leur ai dit. Alors ils mon dits, on va rester quand même quelques jours pour se reposer. Moi naïve, je leur demande s’ils vivent dans ce truc à roulettes. Ben oui, vous voulez visiter qu’ils mon répondu. Je suis rentré et sur la table il y avait des bouquins pornos et un gode. Un des mecs, la rangé dans un tiroir en disant : Excusez, on n’a pas rangé nos petites affaires. Moi je lui ai répondu : vous faites ce que vous voulez, moi ça ne me regarde pas, chacun et libre. Alors l’autre m’a dit : On et bi, si tu t’emmerde un soir et qu’on et encore là, frappe trois coups à la porte, puis ils m’ont offert un coca et on a parlé d’autres choses. Le soir, en rentrant du boulot après mon service au resto, je suis passé près du camion et j’ai frappé les trois coups. Ils ont ouvert et on a baisé toute la nuit.
-Ils sont encore là ?
-Oui, au camping de la prairie. J’y vais tous les soirs depuis 15 jours.
-Tous les soirs ?
-Oui ou c’est eux qui m’encule ou ils me godent le cul, mais je baise à fond en ce moment.
-Et l’après-midi avec nous en plus dit Jérémy. Ton histoire m’a excité, je sens que je vais décharger.
-Moi aussi dit José.
-Allez-y les mecs videz-vous dans vos capotes que je puisse boire votre semence à tous les deux.
L’enculage s’accéléra et le trio se détacha l’un de l’autre deux minutes plus tard. La fille se mit a genoux devant les deux hommes et retira les préservatifs pour se les vider dans la bouche. Elle avala une gorgée d’eau dans la bouteille posée sur l’herbe et la bouche pleine d’eau elle entreprit de sucer les deux mecs pour bien les nettoyer. Les bites disparurent dans les pantalons et ils remontèrent tous en voiture pour disparaitre avec la musique à fond.
J’avais fait le plein de clichés… En me retournant vers le parc, je vis que le cheval bandait toujours. Moi aussi j’aurais bien voulu sucer…
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