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Le cocu de l’histoire

Le cocu de l’histoire



Marié depuis 10 ans à mon amour de lycée, je coulait jusqu’à il y a peu une vie pépère qui m’allait très bien. Toujours amoureux de ma femme, belle comme le jour malgré sa trentaine déjà bien entamée, mais elle prenait tout particulièrement soin d’elle, multipliant séances de running et gym intensive pour rentrer dans son petit taille 36. Un cul à tomber grâce à une chute de reins vertigineuse, ventre plat et un joli 95D qui ne tombe pas trop malgré les grossesses, ma douce fait souvent tourner les têtes à son passage. Alors c’est vrai nos ébats ne sont plus ce qu’ils étaient mais peu importe! Tous les couples vivent ça et ça ne nous empêche pas de nous aimer follement. On entretient le désir en se caressant souvent l’un l’autre et, une ou deux fois par mois, on va plus loin! C’est un peu toujours la même chose: caresses puis missionnaire et j’arrive, à ma grande fierté à la faire jouir assez souvent. Bref, même si c’était pas le paradis côté sexe, ça m’allait… jusqu’à il y a peu…
Nous étions en vacance chez mes beaux parents dans l’arrière pays languedocien. Partis en vacances eux-mêmes, ils nous avaient prêté leur charmante petite maison. Pas immense mais largement de quoi abriter ma petite brune et nos 3 bambins. C’était une de ces journées d’août suffocantes. Nous revenions d’une excursion sur la côte et les enfants, épuisés venaient juste de se coucher. Nous allions faire de même lorsqu’un visiteur inattendu se pointa. C’était Mathieu, un ex petit copain que ma femme avait eu quand elle avait 16 ou 17 ans. Juste avant moi! Je sais qu’elle était très amoureuse de lui mais comme elle faisait trop sa mijaurée, il s’était lassé et l’avait plaqué. Et le confident que j’étais n’avais pas tardé à la séduire. Voilà donc le beau Mathieu, toujours aussi séduisant, au portail de la maisonnette. Marie (ma femme) l’aperçoit et, après quelques secondes, le reconnaît.
– « Mathieu?
– Marie! Je me demandais si tu vivais encore ici?
– Non, plus depuis des années! Mais mes parents sont restés.
– Ils sont là?
– Non en vacances, ils nous ont laissé la maison à mon mari et moi!
– Je suis venu un peu à l’improviste chez les miens (qui vivaient à quelques centaines de mètres) mais tout est fermé. Je sais pas comment je vais faire?
– Bah dans un premier temps, viens boire un verre, ça te fera pas de mal! « 

Ouais, non ma chérie! Rien à foutre qu’il soit dehors pensais-je! En effet, je la trouvais franchement accueillante avec celui qui lui avait brisé le cœur! Mais bon! Ne soyons pas cons ni jaloux! Elle a raison! De l’eau a coulé sous les ponts depuis.
Après avoir sorti la bouteille de pastis et servi tout le monde, nous voilà à discuter. Enfin, les voilà à discuter! Moi je tiens franchement la chandelle. Elle lui explique ce qu’elle est devenue: une cadre qui réussie parfaitement sa vie personnelle et professionnelle. Elle était vraiment rayonnante dans sa petite robe d’été blanche! Lui, c’était moins la joie! Il passait de petits jobs en petits jobs, en intérim, et faisait de même avec les filles. Trop jalouses qu’il disait. Mouais! A mon avis, s’il baisait tout ce qui bouge comme au lycée, tu m’étonnes qu’elles devaient le foutre dehors!
La soirée avançait déjà à grand pas! Les verres s’accumulaient. On avait migré de la pergola dans le jardin, sur les chaises longues en plastique (du style de celles que l’on retrouve au bord des piscines!), profitant de la fraîcheur qui, enfin, daignait s’inviter. L’alcool aidant, je commençais franchement à m’assoupir mais fut sorti de ma torpeur par Mathieu qui semblait mettre fin à ces retrouvailles.
– « Bon je vais pas traîner trop longtemps parce que si je veux trouver un endroit où dormir…
– Tu vas aller où? lui demande Marie
– Chez des potes à 20 minutes d’ici! Je vais un peux m’incruster!
– Tu rigoles, tu prends pas ta voiture avec ce que tu as bu! » Puis elle se retournes vers moi « Chéri, tu es d’accord? » J’avais envie de lui répondre « M’en fou d’où il va dormir! » Mais non! « C’est clair » lui répondis-je
– On as un matelas de secours! Notre chambre est très grande, tu t’installes là pour cette nuit et tu iras chez tes potes demain
Il fait mine d’hésiter mais accepte en nous remerciant.
– Chéri tu veux pas installer tout ça s’il te plaît? me fait-elle avec son regard qui me fait perdre instantanément toute volonté
Et me voilà parti à installer tout ce campement de fortune ce qui me prit bien dix minutes. A mon retour, ils s’étaient ré-installés dans les chaises longues et ma femme était hilare!
-« J’ai manqué quoi?
– Oh rien chéri! Des souvenirs d’une autre époque ». Elle était gênée.
– En tout cas merci Thomas (c’est moi!). Vous êtes charmants tous les deux enfin surtout Marie si tu m’en veux pas! T’as sacrément la ligne! T’as vachement perdu » Il est vrai que ma douce était un peu ronde étant ado ce qui la complexait (ce qui lui avait sans doute coûté son histoire d’amour avec Mathieu!)
– Arrête lui dit-elle en ricanant comme une écolière, Charmeur va!
La soirée se poursuit donc sur la même lancée. Eux discutant du bon vieux temps et de ce qu’ils étaient devenus. Moi, tenant la chandelle! A 1h00 du mat’ je me décidais à aller me coucher.
– « Va mon amour » me répondit Marie.
Je l’embrasse tendrement en jetant un coup d’œil à Mathieu qui me regardait aussi fixement et m’exécutait.
Je me couche dans mon lit, frustré par la soirée. Les deux discutaient à quelques mètres de ma fenêtre mais je finis, l’alcool aidant, par m’endormir.
Je fut réveillé par un grincement de porte. Marie chuchotait
– Fais pas trop de bruit, Thomas dort. Tu veux un de ses pyjama?
– Non merci, avec la chaleur qu’il fait, un drap et rien dessous, je préfère… si ça te dérange pas.
– Comme tu veux mais je t’en met un de côté pour demain matin car les enfants risquent de se poser des questions.
– Ok
– Bon je vais prendre une douche bien fraîche! Profites-en pour te changer.
La dessus, elle se dirigea vers porte vitrée de la salle de bain. La lumière douce de cette pièce s’alluma et Mathieu en profita pour se déshabiller totalement. Puis, contrairement à ce que je pensais, ne se coucha pas! Il se dirigea vers la salle de bain puis se pencha, à l’endroit ou il manquait un minuscule morceau à la paroi de verre de la porte. Ma femme venait d’entrouvrir la porte grinçante de la douche et il ne perdait pas une miette du spectacle. Il est resté comme ça durant toute la présence de Marie dans la salle de bain. Je devinais qu’il se caressait gentiment en profitant du spectacle. Soudain il se précipita dans notre chambre. Dix seconde plus tard, Marie apparue dans une nuisette blanche satinée, celle que j’aime tant car elle est si courte qu’elle passe une bonne partie de la nuit les fesses à l’air et qui a tant de mal à contenir ses seins en position allongée.
Elle traverse la chambre en prenant soin de ne pas écraser Mathieu qui est allongé sur son matelas au pied de notre lit. Elle s’allonge près de moi mais du côté du matelas de Mathieu. Imperturbable je fais mine de dormir profondément, en forçant ma respiration lente et profonde.
– « Mathieu? Tu dors? demanda Marie?
– Non
– Ca te dérange si on discute un peu?
– Non mais ça va pas réveiller Thomas?
– Mon chéri a son compte je crois! Mais pour être sûr, ça te dérange si je me met à côté de toi.
– Non, pas du tout! T’inquiète je suis sous mon drap! »
Euh moi si! ça me dérange! Il est à poil je te rappelle! pensais-je.
Aussi tôt dis aussi tôt fait! la voilà qui quitte mon lit.
Et les voila repartis à chuchoter de plus belle, de tout et de rien. Au bout de quelques minutes à espionner leur conversation, celle ci devins plus intime.
– « Tu sais, je voudrais m’excuser de t’avoir plaqué comme une merde!
– T’inquiète c’est oublié mais tu m’as fais mal! Thomas m’a ramassé à la petite cuillère. Il est vraiment exceptionnel.
– Ouais c’est sûr…  » Il m’avait pas l’air très convaincu.
– Brr, j’ai super froid! j’aurai pas dû prendre une douche glacée, je me réchauffe pas!
– Attend, moi je bouille, je vais te réchauffer… en tout bien tout honneur! T’inquiète.
Et le voilà qui se met en place. J’entends des mains qui frottent un corps! Ce corps que j’aime tant! Je devrais tout interrompre… mais voilà! Je ne fais rien!
Au bout de quelques minutes qui me semblent interminables ce bruissement est interrompu
– Euh mes seins n’ont pas besoin d’être réchauffés!
– Ca t’embête?
– Oui Thomas est à côté!
– Il a son compte tu as dis tout à l’heure!
Et les bruissement continuent puis viennent des bruits de baiser. L’enfoiré est en train de rouler un patin à ma femme dont la respiration s’accélère
– « Arrête! Faut pas! » chuchote t-elle mais elle n’est pas convaincante!
Leurs corps se rapprochent. Encore des bruits de sussions mais plus bas! Sur ses seins dont il doit sûrement agacer les tétons. La respiration de ma femme se fait de plus en plus forte. Des clapotis! Putain mais il la doigte et vu le bruit, elle a l’air d’aimer. Encore des corps qui se déplacent. Je suis sûr qui est sur elle.
– « Non attend! Faut pas… Ahhhhhhh! »
Ca y est, il est en elle!
– « Depuis le temps que j’attends ça! » lui chuchote t-il!
– « La vache, elle est énorme! » lui répond-t-elle
Elle a baissé les armes! Il commence ses va et viens en elle et elle prend un pied d’enfer! Et moi,je ne fais rien pour les arrêter! Pire! Je bande. La respiration de Marie s’accélère! Elle étouffe un gémissement! Putain, il l’a déjà fait jouir et cette jouissance n’en finit pas! Elle est intense! Lui continue et se lâche! Il la pilonne pendant une minute puis lui dit! -« Met toi à quatre pattes! Je veux te prendre! Un bruissement de drap m’indique qu’elle s’exécute. Elle pousse un gémissement quand il se réintroduit en elle! Et le voilà reparti! Il la pilonne sans ménagement pendant un temps qui me semble interminable. A ma surprise générale, Marie pousse un nouveau gémissement! Encore un orgasme! Et pas moins intense que le premier! Elle semble épuisée!
Plus de bruit caractéristique du coït! Mais des sussions qui prennent place! Merde! Elle le suce maintenant. Au bout de quelques secondes, il pousse à son tour un râle étouffé! Elle fait un bruit caractéristique d’un avalement difficile. Je suis dégoûté mais en même temps excité! Au bord de l’orgasme sans me toucher! Elle qui m’a toujours refusé ce plaisir!
Les bruits s’arrêtent! Le silence est revenu! Épuisés, les deux amants interdits semblent s’être endormis. Je fais de même, l’alcool et la fatigue me terrassant à mon tour.
Je suis à nouveau réveillé. Le réveil indique 4h10. Ils remettent ça! Depuis combien de temps ont-il remis ça? Plusieurs minutes si j’en juge pas les respiration, les coups de boutoirs avec un claquement régulier. Celui que l’on obtient lorsque deux bassins se rencontrent en plein acte sauvage! Elle gémie à nouveau! Soudain:
– « Non pas ça! Pas par là Ahhhhh! Un cri étouffé qui témoigne plus d’un plaisir intense qu’autre chose!
Plus un mot! Plus une contestation! Juste les bruits de cet acte qui m’était encore plus interdit! Avec moi; à chaque frôlement de son anus, la réponse était cinglante! J’avais perdu tout espoir! Lui s’en donnait à cœur joie et au bout d’une ou deux interminables minutes, il se déversa dans ses entrailles dans un râle étouffé!
De la lumière! Celle du petit matin! Marie était allongée près de moi, lovée dans mes bras! J’admirai son corps, couvert pudiquement par une petite culotte de coton. Du bruit sur le matelas! Mathieu se lève et sort de la chambre avec ses vêtements. Marie n’a rien entendu! Une porte qui se ferme doucement! Il est parti! Je me rendors.
Je me réveille à nouveau! Le lit est vide! Je me lève! Les enfants dorment encore. Je rejoins ma douce sur la terrasse!
– Bonjour mon amour!Bien dormi? me dit-elle
– Il est parti?
– Comme un voleur » me répond-elle un peu déçu et frustrée.

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