MON NOUVEAU PAPA – CHAPITRE 2
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Le week-end se passe bizarrement, entre les sourire adorables de Jamal et ses commentaires grivois sur mon cul ou sur mes « talents de femelle » lorsque fais la vaisselle ou le ménage je ne sais plus trop quoi penser, et peu à peu je pense en faveur de la détestation du personnage. Il sent que son comportement m’énerve et que je lui fais face, étrangement ça a pour effet de l’énerver plus que l’adoucir et nous venons à un cercle vicieux où devant ma mère nous sommes gentils mais l’un à l’autre nous sommes sarcastiques et méchants.
Le long de ma semaine de cours le scénario est le même que ce week-end, et vendredi soir, au termes de ma semaine au collège, je rejoins ma mère et Jamal pour le dîner.
Julia – Émile, faut que je te parle.
Émile – Euh… Oui ?
Julia – Qu’est-ce qui ne va pas avec Jamal ?
Je suis d’abord étonné que ma mère se soit rendu compte de l’animosité que nous nous portons, mais seul avec ma mère, Jamal dans la cuisine, je lui explique que j’exprime des réserves quant à sa relation avec Jamal mais que ça ne me concerne pas et que je m’adapterai.
Julia – C’est gentil de ta part, mais comme tu l’a dit tu dois t’adapter. Je veux rester avec Jamal pendant un moment, et il te reste encore beaucoup d’années à l’école, je veux que vous vous entendiez bien. *J’acquiesce à ma mère* Écoute la semaine prochaine tu es en vacances, ce serait sympa que vous restiez ici tous les deux, moi je pars chez ta tante pour la semaine, l’occasion pour vous de faire connaissances.
Oulalah… Je suis sûr que ça va bien se passer tiens… On va sans doute passer notre semaine à se mettre sur la gueule. Jamal reviens et nous sert à manger, toujours adorable en façade. Nous dînons en parlant un peu de ma famille maternel, le sujet étant lancé, Jamal se propose dans la semaine à m’aider pour mes devoirs, je lui dis que ça pourrait être sympa effectivement même si l’idée de faire mes devoirs ne m’avais pas traversé la tête…
Nous finissons de manger et je débarrasse avant de faire la vaisselle, comme je le fais tous les Vendredi soirs histoire de remplir ma part du devoir dans la maison, Jamal me rejoins dans la cuisine comme il l’avait fait la semaine précédente.
Jamal – Bon écoute Émile, je sais qu’on est pas forcément partis du bon pied depuis une semaine, je veux pas être méchant avec toi. J’espère qu’on va pouvoir passer une bonne semaine tous les deux.
Émile – Ouai… Désolé si je suis un peu sec avec toi aussi, j’ai toujours été le seul mec à la maison ahah, j’ai l’impression que tu prends ma place des fois ahah.
Jamal – Pourquoi tu dis ça ?
Émile – Parce-qu’à la mort de mon père j’ai essayé d’être le bonhomme de la maison pour protéger ma mère, mais j’ai jamais vraiment réussi, et toi tu es arrivé et tu as parfaitement assumé le rôle.
Jamal – Tu as pas réussi ?
Émile – Euh… Non ? Je sais pas quoi te dire en fait, non j’ai jamais été l’homme du foyer.
Jamal – Et tu trouves que je suis l’homme du foyer moi ?
Émile – Bah… Ouai plutôt, en tout cas moi je trouve maintenant. Tu assumes le rôle paternel assez bien.
Jamal – Et ça te fais pas bizarre que ça soit pas ton papa qui assume ce rôle ?
Poussé à bout je commence à repenser à mon manque d’image paternelle et commence à pleurer. Jamal s’approche, att**** mes mains mouillées de la vaisselle, les colles contre son torse et me fais un câlin chaleureux et sincère.
Jamal – Chuuuut ça va aller mon chéri, chuuuut… *Je sanglote mais me calme doucement apaisé et serein, câliné par un mâle. Il embrasse ma tête et détache mon chignon avant de passer sa main dans mes long cheveux et de me masser la tête. Je me calme et le câline à mon tour en passant mes mains derrière lui* Je suis là mon chéri, je suis là. Tu veux m’appeler papa maintenant ?
Saisi par sa phrase je commence à sangloter de nouveau et affirme au fantôme de mon père mon amour pour lui.
Émile – Je t’aime Papa…
Jamal – Moi aussi je t’aime mon chéri. *Me dit-il d’un ton paternaliste qui me réconforte*
Il att****s mes jambes et me porte dans ses bras et sort de la cuisine avant de monter dans ma chambre pour me déposer dans mon lit, je m’endors un peu mais refuse de le lâcher, et l’agrippe contre moi. Il se détache avec mal et me déshabille pour me mettre au lit comme un enfant.
Je sens sa main se poser sur mon visage, j’ouvre les yeux et il est devant moi nu, son énorme bite en l’air, je me met à genoux sur mon lit et commence à le sucer avec délice, il att**** ma tête et baise ma petite bouche, sors sa grosse queue et me crache à la gueule, puis me met une grosse claque dans la gueu-
Émile – AH !… *soupir*
Je halète en panique, réveillé en sursaut de mon rêve. Je soulève ma couette d’un coup, mon petit sexe est bandé à fond, limité par mon string sur lequel coule une goutte de liquide pré-séminal. Je reprends doucement ma respiration et enfile un débardeur et un yoga pants que je porte toujours en guise de pyjama avant de descendre. En arrivant dans la cuisine je lance un café, Jamal me rejoins dans la cuisine.
Jamal – Bonjour mon chéri.
Émile – *Toujours émoustillé par mon rêve* Bonjour papa. *dis-je avant de lui faire un bisou sur la joue*
Jamal – Bien dormi mon chéri ?
Émile – Oui et toi papa ?
Jamal – Très bien mon chéri je te remercie. *me dit-il en caressant ma joue* Ton pyjama te fais un joli cul mon poussin.
Émile – *Je pose une seconde de surprise* Merci papa.
Il pose lentement son café sur le plan de travail de la cuisine, att**** le mien et le pose également, puis prend mes épaules, me retourne sans difficultés, att**** mes yoga pants et les descend d’un coup jusqu’aux genoux.
Jamal – C’est moi qui t’ai dessapé hier. Tu m’expliques ce string ?
En string dos à Jamal, je sens une chaleur m’envahir de nouveau, ma troisième personnalité qui m’a visiblement fais rêver cette nuit reprend le contrôle. Impossible de m’exprimer tant je suis tiraillé entre la culpabilité d’avoir été surpris en string et l’excitation d’avoir été dominé et le fait d’exposer au mâle de la maison que j’appelle papa mon petit cul rebondi.
D’un coup une grosse main ma claque le cul avec force et me demande pourquoi je ne réponds pas. Désormais totalement muet, mon petit sexe s’est dressé, de nouveau mon sexe laisse sortir du liquide pré-séminal à travers mon string que je tends d’autant plus en poussant mon cul en arrière d’excitation. D’un sourire que je devine carnassier, Jamal att**** mes côtes et pose mais mains sur le mur, bien penché en avant en positions soumise, par un couteau il coupe l’intersection de mes yoga pants avant d’écarter mes jambes.
Sans un seul mot je le laisse me soumettre, à présent le cul bien en l’air comme une salope et les jambes écartées je suis totalement à sa merci. Il pelote mon cul lentement avec douceur, ce qui me fait gémir, puis me met des grosses claques sur le cul qui me font couiner de plaisir et haleter en accentuant ma position de soumise. Prenant bien son temps, il me pelote le cul en y mettant régulièrement des grosses claques qui me font gémir. Tout la cuisine est silencieuse, seuls résonnent mes couinement de femelle et les grosses fessées que je subis avec plaisir. Après de bonnes minutes de fessée, il touche délicatement mes petites boules à travers mon string. Mes halètements se font plus courts mais j’écarte les jambes encore plus en me penchant en avant pour bien lui laisser accès. Il écarte mon string et laisse mon petite sexe tendu ainsi que mes petites boules sortir de leur étreintes, il att**** mes boules et commence avec douceur à lentement les écraser légèrement. Je lâche de longs soupirs, j’ai abandonné toute résistance, ma troisième partie a désormais pris tout contrôle et je laisse maintenant mon beau-père m’écraser les couilles. Toujours dans le silence le plus complet, j’entends un braguette s’ouvrir, mes deux autres parties de moi tentent de se réveiller en me relevant mais impossible, ma partie salope a définitivement pris contrôle de mon corps et je couine au bruit de braguette et tend mon petit cul en avant, sachant ce qui m’attend. Contre toute attente, rien ne touche mon trou, pas un doigt ni l’instrument auquel je me suis soumise, mais sa grosse queue vient rencontrer le bas de mes petites couilles, son énorme gland fait trois fois l’épaisseur de ma queue, je sens son gland dégoulinant de liquide pré-séminal qui tartine l’entièrement de mes boules de sa pré-semence d’un seul coup de gland. Il glisse doucement sa queue le long de la mienne, la dépasse de bien 15 centimètres avant de coller son pubis à mes petites boules qui désormais s’écrasent contre lui. Je respire fort et halète de plaisir lorsque je sens son corps musclé de mâle alpha écraser mes petites couilles. Il revient en arrière avant de revenir coller son bassin sur mes boules en les écrasant un peu. Puis il entame le long et lent aller-retour qui me font gémir de plaisir alors que cet énorme chibre me domine et me rappelle à chaque instant ma position de soumise. Le mouvement devenant de plus en plus rapide, il att**** maintenant mes hanches et mon cul bien rebondis claque sur ses hanches, je pousse maintenant de gémissement de plaisir chaque fois que mes petites boules s’écrasent sur lui et chaque fois que son énorme gland masse ma petite bite dressée de soumission sur son aller et sur son retour. Il ne tiens plus et défais mon chignon avant d’att****r mes cheveux, poser une main sur mon dos et me tirer les cheveux violemment, ce qui normalement m’aurait fait mal viens de me faire couiner comme une chienne et j’ai laissé échapper de ma voix soumise un « HUmmm !! » et une morsure de ma lèvre inférieure qui n’a pas laissé mon beau-père insensible, lâchant mon dos qui visiblement se cambre tout seul de soumission il utilise maintenant sa main gauche pour claquer mon cul qui en redemande chaque fois qu’il me frappe. puis à un moment, il me laisse partir en avant, lâche tout, descend son corps un peu, att**** mes fesses, tout ça dans une demie seconde, et remonte d’un énorme coup d’une v******e impensable son bassin contre mon cul, sa queue frappant directement mes côtes et son pubis écrasant violemment mes petites boules qui me font hurler de douleur et de plaisir en m’éjaculant dessus d’un coup, d’un orgasme de pute que je n’avais jamais eu aussi grand. Il me laisse ainsi un instant, jambes écartés, collé à un gros chibre et le débardeur bleu ciel maculé de ma semence, puis se décolle de moi, remet son jean et récupère son café avant de partir.
Après un long moment d’extase, je me remet doucement du moment, les jambes tremblantes de plaisir, je remets en place mon string, enlève les lambeaux de yoga pants de mes jambes et remonte dans ma chambre avec mon café. Je bois mon café froid et le pose sur mon bureau, enfile un nouveau yoga pants et laisse mon débardeur souillé sur moi.
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