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Tromperies sur internet

Tromperies sur internet



Flora avait 32 ans, elle était une femme quasiment parfaite, très jolie, châtain-clair, cheveux mi-longs bouclés, des yeux noisettes pétillants, de taille moyenne légèrement gironde, c’est à dire un fessier plutôt large et des seins lourds. L’inconvénient des seins lourds c’est que leur poids les fait légèrement tomber après la vingtaine mais Gérard trouvait ça encore plus excitant, surtout quand il la prenait en levrette et qu’ils se baladaient de droite à gauche au rythme de ses pénétrations. La poitrine de Flora était on ne peu plus attirante, en forme de poires, deux belles poires qu’on ne rêve que de malaxer et il ne s’en privait pas, n’importe quand, n’importe ou pourvu que ce soit un endroit discret, sans le lui demander, de manière autoritaire il passait sa main derrière son dos, dégrafait son soutien-gorge, prenait ces deux grosses boules en main et jouait avec en agrémentant tout ça de propos salaces du style « tu es ma pute, laisse-toi faire salope » et j’en passe… Car de caractère, Flora était disons conciliante… C’est à dire bonne femme d’intérieur et attentionnée pas contrariante, lorsqu’il lui proposait d’aller au restaurant ou au cinéma par exemple et qu’il lui demandait quel restaurant ou quel film lui ferait plaisir elle répondait systématiquement – Comme tu veux – Au début ça l’agaçait terriblement puis il en avait prit son parti et ne lui posait plus la question, ça devenait du style – Flora ce soir on va au cinéma voir tel film – Elle acquiesçait en souriant.
Pour ce qui est des relations sexuelles c’était à peu près la même chose, c’était quand il voulait ou il voulait. Il prenait un malin plaisir à abuser de la situation, elle se couchait tôt lui tard, donc quand il se mettait au lit elle dormait déjà, alors il la réveillait, c’était encore mieux quand elle ronchonnait… Pour se faire sucer, pas pour lui faire l’amour, pour se faire tailler une pipe ! Il agrémentait la situation de commentaires pervers. Au début elle avait refusé mais il l’avait menacée de la quitter. Elle avait peur de l’inconnu… Alors…
Il avait toujours rêvé d’en faire une salope, de la voir se faire baiser par d’autres mecs, mais impossible ! Entêté dans ses idées il avait imaginé un petit scénario qu’il allait mettre en œuvre…

C’était un mardi matin, il avait dit à Flora qu’il était soucieux car il était convoqué par le DRH, Il lui expliqua que depuis la reprise de sa société par ce groupe allemand il y avait eu pas mal de changements, plusieurs licenciements même, mais pour sa part il lui dit qu’il pensait ne pas avoir trop de soucis à se faire, ses résultats sans être mirobolants étant corrects.
Quand il est rentra vers 19 heures, il lui annonça la nouvelle. Il faisait partie de la charrette de réduction de postes. Le DRH avait été hermétique à ses arguments. Tout ce scénario il l’avait longuement préparé, il avait droit à ses deux mois de préavis puis juste avant la fin il n’aurait qu’à lui dire que finalement ils le gardaient.

Le repas du soir avait été sinistre, elle avait les larmes aux yeux et n’arrêtait pas de faire et refaire ses comptes. Ses indemnités de chômage ne suffiraient pas à couvrir tous leurs frais dont le crédit de leur maison était l’essentiel.
Cette nuit-là et les nuits suivantes avaient été terribles, elle n’arrivait pratiquement plus à dormir. Gérard jouait bien le jeu, noircissant les horizons, la crise, le chômage. Tout y passait.

Une semaine plus tard, alors qu’ils étaient couchés et qu’elle sommeillait.

Tu sais Flora, j’ai beaucoup réfléchi à notre situation et j’ai peut-être une solution.
Laquelle ?
Tu connais mon fantasme et tu sais que je ne suis pas un mari jaloux.
Oui, et alors ?
Tu sais que je m’amuse parfois sur internet, tu me l’as suffisamment reproché.
Oui je le sais mais je me suis dit que si ça t’excite il n’y a pas trop de mal.
Tu es tolérante c’est bien. Alors voilà, je discute souvent avec des amis là-dessus, des amis virtuels bien sûr et l’un d’eux m’a donné une idée. Il m’a dit que puisque je n’étais pas jaloux, il aimerait que je te le présente, je t’ai décrite et il se dit prêt à nous aider et à nous faire des prêts le temps que je retrouve un emploi, mais euh… Voilà… Il voudrait que tu sois gentille avec lui…
Tu veux que je me prostitue ???
Elle se retourna, leva la tête et éclaira la lampe de chevet.
De suite les grands mots… Il ne s’agit pas de prostitution mais de remercier un ami qui va nous aider. C’est pas la fin du monde.
C’est hors de question, ça me choque que tu aies pu penser que je puisse faire çà.

Il ne dit plus un mot et éteint la lumière. Les jours suivants furent moroses, il ne lui adressait pratiquement plus la parole sauf pour lui faire des reproches lui disant que s’ils perdaient leur maison ce serait de sa faute.
La semaine suivante alors qu’ils étaient couchés.

Gérard, il est comment ton ami ?
Il fut surpris et ravi de sa question.
Je ne l’ai jamais rencontré mais je lui ai demandé de se décrire, il a 41 ans, il est divorcé, il se dit bel homme BCBG, 1m80, 75kgs.
Si je fais çà tu es sûr que tu ne m’en voudras pas ? Tu sais parfois on a des fantasmes et quand ça devient la réalité on le regrette.
Au contraire ma chérie, je considérerais çà comme une preuve d’amour.
Je te donnerai ma réponse demain.

Le lendemain matin au petit déjeuner…

Alors tu as réfléchi ?
Et bien… Puisque tu me le demandes et puisqu’il faut que nous sauvions notre maison, j’accepte…

Ce soir je vais le lui dire sur internet, il sera ravi, il m’en a parlé souvent.
Mais tu crois que je vais lui plaire ?
Ne t’inquiète pas, je lui ai envoyé des photos de toi et il adore.
Tu n’as pas perdu de temps, tu étais sûr que j’allais accepter ?
Je savais que tu comprendrais et que tu ne voudrais pas risquer de perdre tout ce que nous avons eu tant de mal à construire.
Tu es vraiment sûr que tu ne m’en voudras pas ?
Je te promets que non. Au contraire je considère que c’est une preuve d’amour que tu me donnes.

Le soir même il se brancha sur internet.

Voilà Claude, j’ai réussi à convaincre Flora.
Elle accepte de coucher ?
Oui, je lui ai dit que tu allais me prêter de l’argent et que çà nous permettrait de garder notre maison.
Attends il n’a jamais été question d’argent entre nous.
Oui je sais, mais il fallait bien que je trouve quelque chose pour la convaincre.
OK, comment comptes-tu t’y prendre ?
Viens demain prendre l’apéritif, j’ai tout préparé, laisse-moi faire.

Le lendemain à 19 heures il se présenta à leur appartement un petit bouquet de fleurs à la main. C’était effectivement un bel homme, bien bâti, brun les tempes grisonnantes. Gérard l’accueilli sur le palier en lui adressant un clin d’œil puis l’invita à s’asseoir.
Flora arriva, rouge de honte, elle proposa de servir l’apéritif, ils s’installèrent pour discuter de tout et de rien mais pas de leur arrangement.
Un quart-d ‘heure plus tard Gérard se leva.

Mince, j’avais complètement oublié, il faut que j’aille porter un rapport à Olivier, il en a besoin pour demain, excusez-moi je suis obligé de vous laisser.
Tu en as pour longtemps ?
Environ une heure.

Sans plus attendre il partit. Claude s’approcha de Flora s’assit tout près d’elle. Leurs corps se touchaient, elle s’éloigna.

Bon j’ai compris, excusez-moi.

Il se leva et se dirigea vers la porte.

Non attendez.
Vous avez changé d’avis ?
Heu… oui…
Je peux m’asseoir près de vous ?
Oui.

Il se mit tout contre elle et passa sa main sur ses épaules, elle se laissa faire, figée, n’osant rien dire.Il posa délicatement l’autre main sur sa poitrine, elle ne disait toujours rien. Il déboutonna le haut de son chemisier gonflé et passa sa main à l’intérieur, la voilà cette poitrine que Gérard lui avait décrite en détails. Il déboutonna complètement son chemisier et lui caressa la joue.

N’ai pas peur je ne vais pas te faire de mal.

Elle se taisait se disant que c’était un mauvais moment à passer. Il lui prit la main et lui demanda ou se trouvait la chambre. Il l’accompagna lui tenant toujours la main, l’invita à s’asseoir sur le lit, tira les rideaux et éteignit la lumière. Enfin elle s’exprima.

J’ai l’impression d’être une prostituée.
D’une certaine manière c’est ce que tu es, non ?

Elle ne répondit pas.

Tu as déjà fais ça ou c’est la première fois ?
C’est la première fois.
Bon, on va y aller en douceur…

Il la déshabilla complètement lentement faisant glisser son chemisier déboutonné puis dégrafant son soutien-gorge, ses gros seins s’écartèrent libérés, il embrassa chacun d’eux titillant les petits bouts bruns. Il la fit allonger puis fit glisser sa jupe découvrant ses fesses fermes et pulpeuses, il posa un petit baiser entre ses cuisses puis se leva et se déshabilla rapidement. Sa bite était dure comme un bâton, il s’allongea près d’elle.

C’est terrible ce que tu m’excites, je ne sais pas si c’est ton corps ou la situation mais j’ai des montées de chaleur.

En fait ça ne se passait pas du tout comme elle l’avait imaginé, elle avait pensé qu’il lui ferait écarter les cuisses pour « tirer un coup » comme disait Gérard.
Elle ne savait pas que Gérard était caché dans le dressing et les observait, il avait demandé à Claude de rester dans la pénombre pour ne pas être vu. D’une main il tenait son portable en position caméra et de l’autre il commençait à se branler.

Claude, je peux te demander quelque chose ?
Bien sûr.
S’il te plaît fais vite, c’est une situation trop dure pour moi et puis Gérard va rentrer.

Il la caressa comme on amadoue un petit chat effrayé.

Gérard ? Il peut rentrer, c’est bien lui qui t’a offerte à moi non ? Laisse-moi faire.

Il embrassa ses seins longuement puis descendit jusqu’à ses cuisses donnant des petits coups de langue sur sa peau humide, elle respira bruyamment, il écarta ses cuisses et découvrit sa petite chatte légèrement poilue, il la respira puis donna un petit coup de langue, elle était mouillée, ce coup de langue déclencha en elle un grand soupir puis un petit gémissement. Tout en continuant à l’embrasser il y introduit un puis deux doigts qui pénétrèrent facilement, elle bougeait la tête comme pour dire non, elle se sentait encore plus coupable de prendre du plaisir.
Gérard lui appréciait de moins en moins le spectacle qu’il avait sous les yeux, coincé derrière cette porte sa bite à la main à moitié molle, il avait reposé son portable, il ne voulait sûrement pas immortaliser la scène de sa femme prenant du plaisir alors que lui n’avait jamais su lui en donner vraiment.
Il se languissait que tout ça se termine, il mesurait le ridicule de la situation s’il devait sortir comme ça au milieu de leurs ébats.
Ébats qui se prolongeaient… Flora s’était libérée de tous ses interdits et après l’avoir gratifié d’une pipe magistrale elle s’était mit elle-même en position de levrette, Claude quant à lui n’en demandait pas tant, elle jouit dans un cri rauque en même temps que lui, ils s’allongèrent exténués l’un contre l’autre, ils restèrent comme ça un long moment. Gérard était enfin soulagé, c’était enfin fini… Mais il fit la grimace, la bite de son « copain » était en train de se redresser !
Ils s’endormirent à deux heures du matin, il avait joui trois fois et elle était en transpiration, il l’avait baisée de tous les côtés, elle sur lui, lui sur elle, en levrette, elle l’avait sucé une demi-heure sans s’arrêter, il l’avait enculée ce qu’elle avait toujours refusé à son mari, elle avait joui une bonne dizaine de fois.
A leur réveil Gérard avait disparu, il avait profité de leur inattention durant leurs ébats pour aller se coucher sur le canapé et la fatigue aidant il dormait d’un sommeil profond. Flora prépara un café pour son nouveau chéri et ils le burent dans la cuisine les yeux dans les yeux.

Il faut que je te dise quelque chose.
Quoi ?

Et il lui raconta en détail le stratagème de Gérard, elle était blanche de colère.

J’ai une proposition à te faire.

Oui dit elle alors qu’une petite larme coulait sur sa joue.

Je n’ai jamais connu une femme comme toi, tu m’électrises et de te voir avec cette ordure ça me dégoûte, je recherchais une femme depuis longtemps sans la trouver alors pour passer le temps j’allais sur internet, mais tu es là et moi je te veux, est-ce que toi tu me veux ?

Je ne veux que toi !

Elle se leva, lui mis les bras autour du cou et l’embrassa farouchement, leurs langues se mélangeaient et se malaxaient.

Habilles toi, pendant ce temps j’écris un petit mot à cette andouille, il ne savait pas qu’il avait une princesse avec lui.

Avant de partir il glissa cette lettre entre sa tête et l’oreiller.

Je vous laisse imaginer ce qu’il avait écrit..

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