Premier trio suite.
François est resté un petit moment à nous regarder. Il s’était déshabillé et j’avais pu voir son sexe d’une belle taille, déjà bien dressé. L’image de ce sexe pénétrant ma femme m’avait traversé l’esprit comme un flash et je crois bien que cela m’a fait bander encore plus fort rien que de penser au plaisir qu’il allait générer.
Je léchais la chatte de ma femme de plus belle. Je titillais son bouton, lui aussi avait grossi. Je plaçais mes mains sous ses fesses afin de les relever. Avec ses jambes en l’air j’avais un accès facilité à sa rondelle aussi. Je la léchais copieusement également. Entre la cyprine qui commençait à couler et ma salive abondante, son étoile se détendait sous mes coups de langues inquisiteurs.
Ma femme me prit la tête entre ses mains et m’attira plus haut. En remontant je lui prodiguais force coups de langue jusqu’à parvenir à sa bouche que j’investissais fougueusement. Alors que François était venu s’installer à côté de nous sur le lit, ma femme me dit : « Baise-moi en premier s’il te plaît ».
En même temps, vu mon excitation à ce moment là, je ne risquais pas de refuser. J’étais tendu comme un arc. Mon gland me faisait mal tant j’étais bandé. Je me mettais en position alors que ma femme relevait ses cuisses en les écartant au maximum. Elle était trempée la salope. Était-ce mes caresses ou la présence de notre ami ? Je me débarrassais de la question en m’enfilant dans sa chatte poisseuse et gonflée de désir.
J’avais mis mes bras derrière ses cuisses et je la pilonnais tandis que François lui bouffait les nibards. Il avait bien essayé de l’embrasser mais chaque fois elle se détournait. J’étais plutôt content d’ailleurs. Néanmoins elle semblait apprécier ses caresses d’autant qu’il avait une main ou du moins le bout des doigts sur son clito qui était largement sorti de son capuchon protecteur. Elle gémissait de plus en plus fort. Il m’a bien semblé que ses seins avaient pris du volume aussi et son ventre se creusait au rythme de sa respiration de plus en plus saccadée.
François c’était mis à genou sur le lit assez près de la tête de ma femme. Je me suis douté qu’il avait un truc précis en tête et je l’encourageais. D’ailleurs elle aussi avait compris puisqu’elle lui passa un bras entre les cuisses et le rapprocha de sa bouche ouverte.
Ce fut le premier vrai choc pour moi. Je savais qu’avant de nous connaître, bien que vierge, elle avait eu des flirts et je suppose qu’elle avait dû faire quelques gâteries ne serait-ce que pour avoir la paix avec ses prétendants qui, comme chacun le sait lorsqu’on est jeune, ne pensent qu’à baiser. Toujours est-il que c’était la première bite autre que la mienne que je voyais lui franchir les lèvres. Honnêtement ça n’a pas coupé mes ardeurs mais j’ai quand même eu un petit coup au cœur. Pour autant elle semblait y prendre du plaisir et c’est bien ce que je voulais, alors….
Nous nous activions tous les deux chacun dans un orifice avec entrain lorsque ma femme pour récupérer un peu son souffle sortit la bite de sa bouche où elle paraissait bien profonde et me dit tout à trac : « Encule-moi ! »
Franchement je ne pensais pas le faire à ce moment, ni même dans cette soirée mais si c’est elle qui demande, alors là, ce n’est pas pareil. Je sortais donc complètement ma queue de sa chatte luisante et grande ouverte et descendais d’un étage. Je présentais mon gland à l’entrée de son cul lui aussi trempé par les secrétions vaginales et d’une légère poussée, il fut avalé sans résistance. J’attendais quelques secondes de plus et m’enfonçais entièrement dans son fondement. Aussitôt je reprenais mes va-et-vient dans son cul serré et elle suçait de plus belle un François apoplexique.
Je n’ai jamais résisté bien longtemps dans son cul et de fait j’éjaculais de longs jets de foutre en m’enfonçant au plus profond de ses entrailles. Après un dernier spasme, je m’écroulais à côté d’elle en déculant. (je ne sais pas si ça se dit déculer ?)
Aussitôt ma femme délaissa la bite de François et se retourna vers moi en m’enlaçant.
« C’était super bon chéri. J’ai aimé sucer sa bite en même temps. C’était excitant au possible »
« Je suis heureux que tu ais aimé mon amour. Je ne souhaite que ton plaisir. »
Pendant qu’on était serré et qu’on se susurrait à l’oreille, François a attrapé un préservatif sur la table de nuit, c’est allongé derrière ma femme et a repris ses caresses. Une main est venue entre nous et c’est saisi d’un sein. Une jambe est montée sur celles de ma femme et il a commencé à l’embrasser dans le cou, sur les épaules. Puis la main a quitté le sein et en descendant sur le flanc est arrivée sur les fesses.
Tout ça, en fait je ne le voyais pas vraiment. Toujours enlacé, prisonnier pourrais-je dire même des bras de ma femme, c’est elle qui, à mon oreille me disait à voix basse ce qu’il lui faisait.
« Chéri, il m’écarte les fesses »
« Il me doigte. »
« Il a mis deux doigts dans ma chatte. Je sens que je mouille de nouveau »
« Je crois bien que c’est son pouce que j’ai dans l’anus aussi. »
« Je sens bien sa queue sur mes fesses, elle est grosse et dure. »
« Chéri ! Je crois bien que je sens son gland à l’entrée de ma chatte. »
« Chéri ça y est, ça rentre. Tu es content, c’est ce que tu voulais ? »
« Je veux que tu es du plaisir et que nous le partagions. C’est le cas ? »
« Oui. C’est bon, ça y est il l’a entrée entièrement. »
« Tu aimes ? »
« Oui, j’adore être dans tes bras et qu’il me baise. Et toi tu aimes ? »
« Oui puisque tu aimes. »
François c’est déchaîné en va-et-vient profonds dans la chatte trempée qu’il possédait. Je me doute qu’il devait attendre ce moment avec impatience d’ailleurs depuis le temps qu’il bandait lui aussi. Ma femme c’était remis à gémir. Sa respiration devenait de nouveau saccadée. François lui tenait les hanches. Puis tous les deux, sans doute sous l’impulsion de François se relevèrent et c’est en position de levrette qu’il continua sa besogne. Ma femme la tête enfouie dans l’oreiller, les seins oscillant sous elle au rythme des coups de boutoirs. Mon François tout rouge et trempé de sueur pilonnant la chatte ruisselante. Et moi enfin en spectateur/voyeur aux premières loges pour admirer dans un ultime assaut, l’explosion des deux acteurs dans les cris rauques de leur jouissance.
Ma femme s’effondra sur les draps et François s’affala sur elle, tous deux épuisés, luisants, repus.
Je venais les rejoindre et on s’enlaçait tous les trois, ma femme toujours entre nous. Elle se retourna et se mit sur les coudes. Puis elle se tourna vers moi et vint m’embrasser sur les lèvres. Elle me remercia de l’avoir décidée à tenter l’expérience. Elle me dit qu’elle avait pris énormément de plaisir malgré ses appréhensions. Puis elle se retourna et remercia aussi François pour sa douceur, son tact et sa bonne bite ajout-t-elle. Et là, j’eu mon deuxième choc. Elle l’embrassa aussi sur la bouche et en plus elle mis la langue. Putain, j’étais sidéré. Je ne sais pas pour les autres hommes, mais moi je considère que partager sa salive, entremêler sa langue, c’est intime. Cela peut paraître curieux après avoir prêté la chatte de sa femme. Mais c’est comme ça. Moi je n’aime pas. J’ai donc eu une sérieuse pointe de jalousie à ce moment là.
Néanmoins la nuit c’est très bien terminée. Nous sommes retournés sur le canapé, tous à poil, pour finir le champagne. Faut pas gâcher. Ma femme est allée se faire un brin de toilette et à son retour, j’ai observé que ses tétons étaient bien droits et durs. Alors qu’elle allait s’asseoir sur le canapé entre nous, je l’ai fait mettre à genou sur le siège et à tour de rôle, François et moi, on lui a remis une cartouche. Je me demande encore après tout ce temps, si elle n’a pas préféré cette deuxième partie.
Le lendemain on a « débriefé » si je puis dire. Je lui ai fait part de mon désarroi lorsqu’elle a roulé une pelle à François en lui expliquant mes raisons et elle m’a assuré qu’elle ne le ferait plus.
« Ah bon, pourquoi, tu as l’intention de recommencer ? »
« Pourquoi, tu ne veux plus ? »
« Uniquement si tu y prends plaisir ma chérie. »
« Alors oui, je veux bien recommencer. »
A suivre…
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