Qui ça, dégonflée ? Moi ? Je voudrais vous y voir !
Je suis le gars en salopette crasseuse, dans ma jolie robe à fleurs. La belle et la bête ? C’est nous… On va dans les toilettes hommes. Il m’ouvre galamment (!) la porte d’un des cabinets ! Là, il défait les bretelles de sa salopette, la descend sur ses chevilles. Il n’a pas de caleçon ! Il s’assied sur les w.c. en me souriant. Je me rends compte d’une chose très importante : il est propre ! Ça ne doit pas arriver souvent, mais je suis sûr que Max a tout organisé et lui a dit de prendre une douche. OK, lécher un ours comme hier ou un ouvrier comme aujourd’hui : même combat. Je me mets à genoux entre ses maigres cuisses et je tire sur la peau d’un long sexe grisâtre pour dégager le gland. Je le lèche, en masquant mon manque d’enthousiasme : c’est un rôle de composition ! Jérôme me regarde faire et il décolle presque de la planche tellement ça a l’air de lui plaire. Après le léchage, le gobage, ma tête va et vient sur son sexe. Je lui caresse même le gland avec ma luette.
Il me reçoit 5 sur 5 et me dit des choses en ch’ti, genre « t’es meilleure qu’eune tartine au Maroilles ». Non, ça je l’invente, mais ça m’amuse d’imaginer ça. Il dit vraiment :
— Tention, p’tite ! J’vas tout lâcher !
OK, vas-y, petit, envoie la sauce. J’avale tout comme une grande fille. Quand il revient sur terre, il me dit :
— V’savez tout avaler m’zelle ?
— Bien sûr, je ne vais pas faire des taches sur votre salopette.
— C’est mon plus beau cadeau d’anniversaire. V’s êtes un ange.
L’ange calcule que s’il y a 200 ouvriers dans l’usine, ça fait une pipe par jour ouvrable, pratiquement. Je suppose que son cousin est une exception parce que sinon, va falloir que je discute avec le Max. Et avec mon beau père. Faut quand même pas exagérer, je n’ai pas épousé le fils du patron pour sucer des bites toute la journée.
Je vais aller pleurer un peu sur l’épaule de Manu, elle n’a pas de bite au moins elle ! Ce n’est pas que ce soit la meilleure pour se faire consoler, elle est plutôt rentre-dedans, mais dans le bon sens.
Je me dis que tous les ouvriers sont déjà au courant de ce que je suis devenue un cadeau d’anniversaire, mais, non… Ceux que je croise me saluent poliment et me sourient…
Je trouve Manu aux prises avec un machin à réparer… Je salue tout le monde et je l’embrasse avant de lui dire :
— J’ai besoin de toi là-haut, un appareil à réparer…
Elle crie :
— M’sieur Raymond, j’vais réparer un truc dans les bureaux.
— OK, Manu, je regarde le moteur…
On sort de l’atelier et elle me dit :
— T’as un problème, pas un truc à réparer.
Cette fille est vraiment intelligente, qu’est-ce qu’elle fait là comme ouvrière , même mécanicienne. Elle continue :
— Viens, je te montre notre petit coin, mais motus.
— J’te jure…
— Faut pas se faire voir…
Comme des Indiens on prend différents couloirs et un escalier vers les toits. On entre dans un grand placard. Manu déplace une armoire métallique et me fait entrer dans une grande pièce. Elle remet l’armoire en place. Dans la pièce il y a deux banquettes de voiture et deux matelas posés par terre. Sur le premier deux filles assez jolies nues et enlacées se partagent un joint. Sur l’autre, il y a un jeune couple nu aussi. Ils viennent de faire l’amour et boivent une bière. Deux tabatières éclairent la pièce. Ils nous regardent tous, surpris que Manu m’amène là. Elle leur dit :
— Samia est ma copine, elle ne dira rien
— T’es sûre ?
Je réponds :
— Parole… D’ailleurs, je vais me mettre à l’aise comme vous.
J’enlève ma robe et mes dessous… ! Nue, je me sens libre… Une des filles nous dit :
— Venez avec nous… Vous voulez un joint ?
Manu répond :
— Merci, après. La directrice des relations avec les syndicats va d’abord me lécher la chatte, hein poussin ?
Elle enlève sa salopette. En dessous, elle est nue. Elle a une coiffure spéciale, les cheveux coupés très courts d’un côté, par contre elle a des buissons de poils noirs sous les aisselles et sur le pubis. J’aime ça, elle le sait.
Elle se couche et me dit :
— Avant de me lécher, tu vas embrasser mes pieds. Enlève mes chaussures !
Je défais les lacets de ses chaussures de sécurité. Vous ne connaissez pas ? C’est que vous n’avez jamais travaillé en usine. Ce sont des chaussures qui ont une forme en métal sous le cuir, pour protéger les pieds. Des pieds qui ont sué dans des grosses chaussures, c’est pas évident de les embrasser, sauf que c’est Manu, alors je couvre ses pieds de baisers. Je sens la tension disparaître, je suis comme eux et elles. Manu lève le bras en disant :
— C’est bien, tu peux te shooter, ma belle.
Je m’agenouille près d’elle et fourre mon nez dans les poils de ses aisselles. Elle sent fort la transpiration, mais j’adore son odeur, elle a raison. Elle sent la femme… bon la femme qui n’a pas pris sa douche depuis 2 ou 3 jours, mais j’aime à tel point que ma chatte miaule de plaisir… Marre des odeurs d’hommes ! Les aisselles des hommes sentent la ménagerie, celles des femmes sentent la forêt tropicale.
— Tu sais que tu es surtout lue par des hommes, Samia.
Ça, c’est ma voix intérieure.
— Eh bien, je le sais la Voix, mais mes lecteurs sont des gens soignés qui sentent très bon ! Voilà !
Manu me dit :
— Étage en dessous.
OK. Je m’installe entre ses cuisses, ma langue dans son vagin, mon nez vers son clito… odeur marine et acidulée… Faut aimer. Certaines pinceraient les narines de leurs nez délicats, moi j’adore…
Les filles et le couple sont venus regarder et… participer. On me caresse les fesses… Le garçon s’installe derrière moi et me caresse la chatte avec son gland. Cette petite salope la gobe aussi sec… enfin, sec, c’ est une façon de parler !
La langue dans la chatte de Manu et une bite dans la mienne, j’oublie mon enfoiré de beau-père et ce connard de Max… Manu jouit en me caressant la joue avec son pied… Quelques minutes plus tard, je la rejoins au 7e ciel et enfin celui qui me baise gicle dans ma chatte qui adore ça. Je ne connais même pas son prénom, pas très convenable, ça… Les deux filles excitées par notre numéro, font un très joli 69… La fille qui était avec le garçon s’est caressée. On me file un joint et une bière… Je suis toujours collée à Manu… On parle… Ils me trouvent super cool, on jure de ne parler à personne de ce qui vient de se passer… Je fais partie du club maintenant.
Je raconte les misères que me fait Max. Manu me dit :
— Il paraît que tu sors aussi avec des clients et ton beau-père et que ça se passe très bien…
— C’est vrai, mais…
— C’est beaucoup plus difficile de trouver une jolie fille qui plaît aux clients que quelqu’un pour discuter avec Max. Sois plus ferme avec lui…
Facile à dire. Pour terminer, on parle de Julien. Là c’est la grosse marrade : le fils du patron qui nettoie les chiottes. D’ailleurs, ils l’appellent le directeur général des chiottes. Ça lui va bien… On reste encore un peu à discuter, mais à 10 h 55, Manu me dit :
— On doit y aller, il y en a d’autres qui vont venir…
C’est super organisé.
On redescend vers les ateliers… Je dis à Manu :
— On reviendra ?
— Oui…
— Tu le jures ?
— Arrête de faire l’enfant, je t’ai dit oui.
On s’embrasse et je retourne vers les bureaux…
Alors Julien… qu’est ce qu’il devient ? Ne croyez pas que je l’abandonne. Je lui rends visite tous les matins, enfin à lui et à ses toilettes. Il était censé travailler avec Lisa la petite brebis obèse qui s’occupe de tout le nettoyage dans l’usine, mais elle a tout de suite pris le dessus sur lui. Au lieu de superviser la propreté, l’approvisionnement en papier, savon, produits de nettoyage, elle l’a mis au nettoyage des toilettes des ouvriers. Il y en a 10 pour les hommes et 10 pour les femmes. Ça permet à Lisa de se concentrer sur d’autres tâches… Garder impeccables 20 toilettes, c’est du boulot, surtout que les ouvriers et même les ouvrières ne sont pas tellement soigneux. Je suis sûre que vous vous dites « pôv’ Julien, il est dans la merde ! ». Vous avez le mot pour rire, vous. Ben oui qu’est-ce que vous voulez il était nul dans la publicité, les relations publiques et les autres fonctions qu’il a exercées. Imaginez qu’il rate un gros contrat avec un client c’est grave, mais s’il nettoie mal des w.c., Lisa lui met son nez dedans et le punit. Bon, il y a un inconvénient à ce boulot. Il termine son travail à 15 h parce que j’ai besoin de lui à la maison. Impossible de dire au personnel : interdit de pisser et de chier après 15 h ! Max nous menacerait aussitôt d’une grève au finish, le con ! En fin de journée, les toilettes sales ne sont plus nettoyées, il doit donc arriver très tôt le lendemain matin. Il se lève à 6 h du matin ! L’horreur ! Pas pour lui – enfin, probablement, mais je m’en fous – mais pour moi ! Il m’a réveillée une fois en se levant, du coup, il dort sur un matelas près de la porte de la chambre pour se faufiler dehors sans me déranger. Avant de partir, il me prépare le petit déjeuner mais pas le café qui serait froid. Et qui doit faire son café le matin : moi ! Ouais, c’est vraiment pas marrant.
Alors comment ça se passe à son travail ? Lisa, devenue sa chef, n’est pas commode. Je l’ai encouragée dans cette voie, parce que Julien, il faut le traiter durement… pour son bien ! Pourtant, je ne le laisse pas tomber, je passe le voir tous les matins pour lui dire bonjour et… euh… aussi, parce que je suis du matin pour les toilettes. Notez que je pourrais aller me soulager dans les toilettes des cadres, ben non, je me sacrifie et je vais chez les ouvriers, juste pour lui.
Enfin, pas exactement. Je vous explique : à côté des toilettes hommes et femmes, il y a une toilette pour les handicapés, dont le préposé a la clé. On ne l’utilise jamais puisque mon beau-père ne veut pas engager de handicapés. C’est là que je vais avec Julien, comme ça, pendant que je suis occupée à… pousser, je peux lui dicter les courses qu’il devra faire en rentrant et les corvées qui l’attendent, à la maison. L’oisiveté est la mère de tous les vices, il faut qu’il soit occupé.
Il se passe des choses dans ses toilettes. Le mieux c’est que le chef du nettoyage des toilettes l’écrive lui-même. On y va ? OK.
— Julien ! Aux pieds !
Julien vient se mettre à genoux. On dirait qu’il a peur d’être puni. Bon, c’est vrai que je le corrige un peu facilement… mais pas maintenant ! Je lui dis :
— Tu vas écrire tout ce qui se passe aux toilettes, sans inventer, mais en détaillant ce qui me plaît comme quand je viens avec Diesel. Exécution !!
À suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici : [email protected]
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