Ce soir-là, dans un bar, je discutais depuis au moins une heure avec cette fille quand elle m’a dit :
« Je ne comprends pas cette mentalité qui consiste à se raser le sexe. Je trouve ça contre-nature. Si la nature nous adonné des poils, c’est parce qu’on en a besoin. Dans mille ou deux mille ans, peut-être qu’on en aura plus, mais pour le moment on en a, alors je ne vois pas pourquoi on les raserait. C’est dans l’air du temps, mais c’est artificiel. »
Elle s’appelait Nelly. Elle avait au moins dix ans de moins que moi. J’avais trente-deux ans. Je ne sais plus comment on s’était retrouvés au comptoir côte à côte, à boire des verres.
Je lui ai répondu que j’étais d’accord.
Nous sommes des êtres humains modernes, déconnectés de la nature, mais en premier lieu déconnectés de notre nature à nous. Nous suivons des modes de façon aveugle, sans aucune réflexion. Nous leur obéissons comme des petits soldats disciplinés.
Pour être plus exact, je lui ai répondu :
« Nous ne réfléchissons pas. Obéir aux modes est rassurant. On ne se sent pas exclus. L’exclusion fait peur. Elle nous isole des autres et du reste du monde. »
« En plus de ça, répondit Nelly, ceux qui se rasent complètement le sexe sont convaincus que ça leur épargne des maladies, mais c’est faux. Le fait de se raser en provoque d’autres. »
Une femme m’avait dit la même chose, un soir à la sortie d’un concert. Je l’avais sautée dans ma voiture, sur le parking. Elle avait une bonne dizaine d’années de plus que moi et elle avait exigé que je mette une capote. Je ne sais plus qu’elle maladie elle avait contractée, à force de se raser la chatte.
J’ai répondu à Nelly :
« Ouais, à force d’hygiène à tout prix, on devient vulnérables à des trucs qu’on n’avait pas prévus. »
Et tout en lui disant cela, j’avais pris conscience d’une chose à peu près certaine : elle avait la chatte poilue.
Je ne me suis pas trompé.
Moins d’une heure plus tard, dans ma chambre, elle baissait sa culotte à la lueur de ma lampe de chevet, tandis que j’étais en train d’ôter mon caleçon. Ensuite, elle dégrafa son soutien-gorge en fixant ma bite du regard. Je bandais à moitié.
Elle m’a dit :
« La semaine dernière, je me suis faite sauter par un mec qui s’épilait intégralement. J’étais stupéfaite. On aurait dit un mannequin en plastique. Il en avait une grosse, mais tout était lisse autour. Il n’a pas compris pourquoi j’ai éclaté de rire en le voyant se mettre tout nu. Je lui ai dit que c’était nerveux et il m’a baisée. »
Sur ces mots, je me suis approché de Nelly et elle a aussitôt pris ma queue avec ses doigts pour me branler. On s’est embrassés avec la langue et j’ai touché sa chatte poilue. Elle ne s’épilait même pas au maillot. Elle était totalement poilue, jusqu’au cul, et ça me faisait bander. De plus, elle bavait en embrassant. Sa chatte était trempée et mon gland était dur comme un abricot pas tout à fait mûr.
Ensuite, elle m’a sucé. Et là encore, elle a bavé. Ça glissait. Ça coulait. Je bandais comme un âne et je ne cessais pas de tripoter les nichons de Nelly. Ils étaient assez volumineux et ils pendaient un peu. Et je matais sa chatte pendant ce temps. J’ai toujours aimé les poils. Ne me demandez pas pourquoi. Même si parfois, en léchant des chattes velues, je me suis retrouvé avec un poil sur la langue. Ce n’était pas grave. C’était la nature.
C’est notre nature.
Et j’ai toujours aimé regarder ma queue pénétrer une chatte poilue. Que voulez-vous, je n’y peux rien, c’est encore la nature j’imagine. Ou bien la différence.
La différence entre des femmes qui assument leur nature, et d’autres qui ne l’assument pas. Il y a celles qui supportent ce qu’elles sont, et celles qui font en sorte de se transformer un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. C’est leur problème. Assumer ce qu’on est, ou pas, est un réel problème de nos jours. Allez faire admettre à une femme qui se rase la chatte qu’elle est victime d’une mode, d’un phénomène de société…
Allez-y, accrochez-vous.
Je vous souhaite bonne chance.
C’est une question d’orgueil. N’importe quelle femme qui se rase la chatte saura vous démontrer que c’est un choix personnel, alors qu’elle est soumise à une tendance. Elle ne s’en rend pas compte, et ce n’est pas grave. Chacun son truc, dit-on. Mais ne venez pas me faire croire que toutes ces chattes rasées à blanc sont des choix personnels. Ce sont les fruits d’une époque ultra-soumise à l’hygiénique, et paradoxalement exposés à une multitude d’autres problèmes.
Mais à chacun ses problèmes.
Ce qui comptait pour moi ce soir-là, c’était d’éjaculer dans les poils de Nelly. Trois grosses giclées qu’elle a étalées, mélangées, et même sucées. Je les ai vues jaillir de mon gland, tout en tripotant les nichons de cette nana. Elle était brune à cheveux longs. On s’est longuement enlacés et embrassés sur la bouche, ensuite.
Son corps était brûlant.
On s’est fait un gros câlin avant de s’endormir. J’avais le goût de sa chatte sur le bout de la langue, et elle avait le goût de ma queue au bord de la sienne. J’aimais bien ses aisselles aussi. Et ses tétons moelleux.
C’était tellement naturel.
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