Ma mère a 42 ans. Son prénom est Claire. Elle est veuve depuis quatre ans, son mari (mon père), plus âgé qu’elle, ayant succombé à une crise cardiaque. Elle est secrétaire dans l’agence d’une multinationale bancaire.
Je suis son fils unique. J’ai 19 ans et me prénomme Marc. Je viens d’entamer des études de sciences économiques. Nous vivons ensemble dans une belle maison campagnarde.
A son âge, ma mère est restée d’une grande beauté et d’un physique attirant. Elle a des cheveux bruns lui tombant sur les épaules, des yeux verts, un nez et une bouche bien dessinés, une silhouette de mannequin avec de larges épaules, une taille fine, des hanches minces, un bassin épanoui, une croupe rebondie et des jambes parfaites.
Il y a un an (j’avais à peine 18 ans), j’ai eu le bonheur de pouvoir la contempler un soir dans sa salle de bain, complètement nue. Elle avait distraitement oublié de fermer la porte, restée entr’ouverte et je m’étais discrètement approché. Au moment où je la vis, elle portait encore un string et un soutien-gorge qu’elle se préparait à ôter pour prendre sa douche. Elle dégrafa d’abord son soutien-gorge, Elle était de dos, je n’ai donc vu que ce dernier, bien dessiné, les hanches bien incurvées. Puis, elle baissa son string et j’eus le bonheur de la voir entièrement nue de dos. Immédiatement, j’eus une érection. Ses fesses étaient deux beaux globes charnus, blancs, de texture satinée. Les parois de la sombre raie qui les séparait étaient tapissées d’un fin duvet brun et l’on devinait à peine, en son milieu, son petit trou brun clair. Ses cuisses étaient galbées, ses mollets fins et ses pieds adorables.
Elle se pencha alors pour saisir une serviette de bain, dans un tiroir proche du sol. Pour ce faire, elle se pencha en avant et j’eus alors une vue plus précise et plus excitante de son anus. Ce dernier se trouvait au centre du sphincter circulaire, d’un rose foncé, semblable à une corolle plissée, qui le fermait. Cette vue m’excita encore plus. Je défis ma ceinture, baissai mon pantalon à mi-cuisses et descendis mon slip pour commencer à me masturber, en faisant le moins de bruit possible.
La douche était perpendiculaire à la porte de la salle de bain. Ainsi, quand ma mère y entra, j’eus la joie de la voir de profil. Je contemplai la courbure parfaite de sa croupe, ses seins ronds, volumineux et bien dessinés avec des mamelons semblables à de petits bâtons cylindriques rose foncé. Une touffe de poils était visible à hauteur de sa chatte. Je me branlai de plus belle, tellement cette vue m’excitait.
Entrée dans la douche, ma mère se retourna pour en ouvrir les robinets et régler la température de l’eau. Dans cette position, je la vis entièrement nue de face et mon cœur bondit dans ma poitrine. Ses seins ressemblaient à de gros melons ronds et lisses, décorés de larges aréoles rose foncé, à la texture grumeleuse, elles-mêmes pourvues des mamelons en forme des petits bâtonnets de la même couleur, que j’ai évoqués. Mon regard descendit vers son nombril ourlé, décorant son ventre légèrement rebondi. Plus bas encore, et cela augmenta mon excitation et accéléra le mouvement de va et vient de mon poignet sur ma bite grossissante, j’admirai son pubis, revêtu d’un beau et épais buisson de poils brun-noir. Elle avait cependant soigneusement taillé et rasé les poils de sa chatte, de manière à lui donner l’aspect d’un beau triangle touffu laissant distinguer, tapie au fond, sa fente rose aux lèvres turgescentes. Ses cuisses formaient un écrin entourant ce triangle de rêve.
Quand la douche se mit à fonctionner, l’eau ruisselant sur son beau corps avec des gouttes brillantes retenues par sa toison pubienne, je fus au comble de l’excitation et me mis à gémir de plaisir, mes gémissements étant couverts par le bruit de l’eau en cascade. Elle se savonna, se tournant, se baissant, se frottant partout, ce qui porta mon excitation à son comble. Je me branlai de plus en plus vite et sentis que j’allais éjaculer. Je sortis un mouchoir en papier de ma poche et, en retenant des cris de jouissance, y recueillis le sperme qui sortait de mes couilles à gros jets. C’est alors que ma mère sortit de la douche et s’approcha de la porte de la salle de bain pour y saisir la serviette qu’elle avait préparée. Dans un mouvement de panique, craignant qu’elle ne me vît, je détalai en me reculottant à toute vitesse, mais en laissant tomber par inadvertance le mouchoir trempé de ma semence. Je rejoignis ma chambre, m’y enfermai en pensant au spectacle merveilleux que j’avais eu sous les yeux.
Chapitre 2
Aveux, confidences et complicité
Quelques minutes plus tard, ma mère frappa à la porte de ma chambre. En tremblant, je l’invitai à entrer. Elle s’introduisit dans ma chambre, le corps et les cheveux encore humides, vêtue d’une robe de chambre blanche fermée d’une ceinture mais révélant le bas de ses cuisses et le haut de son torse, juste
au dessus de ses seins.
— Bonsoir, Marc ! me dit-elle en brandissant le mouchoir en papier trempé de mon foutre.
— As-tu une explication à ceci ? » ajouta-t-elle d’une voix colérique et en fronçant les sourcils.
— Euh, maman chérie, la porte de la salle de bain n’était pas fermée et je n’ai pu m’empêcher, en passant, de jeter un coup d’œil. Je t’ai vue en sous-vêtements. Cela m’a… euh… excité. J’aurais dû m’éclipser, mais tu t’es ensuite complètement déshabillée pour prendre ta douche et… euh… je n’ai plus pu m’empêcher de contempler ton corps magnifique. Mon excitation montant à cette vue, j’ai senti que j’allais jouir et n’ai pu m’empêcher d’éjaculer dans un mouchoir. Je te demande pardon !
— Marc, mon chéri, tu te comportes comme un voyeur dévoyé et, de plus, c’est ta mère que tu reluques. Je suis fâchée et interloquée… répondit-elle sévèrement.
— Maman, je suis désolé, mais la vue de ton corps superbe m’a rendu fou. Pardonne-moi ; c’était tellement beau, tellement excitant ! répondis-je
— Mais tu es mon fils, Marc, cela ne se fait pas, cela relève de la luxure, du voyeurisme malsain ! rétorqua-t-elle.
— Maman, nous vivons ensemble, seuls depuis la mort de papa. Tous les jours, je vois ton beau corps et des envies lubriques m’envahissent. Je me suis déjà branlé souvent en t’imaginant toute nue devant moi. Plus encore depuis nos dernières vacances ensemble où je t’ai admirée prenant le soleil dans ton minuscule bikini !
— Oh, Marc, tout cela n’est pas bien. Je le répète, je suis ta mère ! N’as-tu pas de petite amie ?
— Non, maman ! La vue de ton beau corps me comble et je ne pense qu’à le contempler. Je le vois en rêve et je bande ! Je le vois en réalité et je suis excité aussi.
— Marc, mon chéri, il n’est pas normal qu’une mère s’expose nue à la vue de son fils. Mais comme nous vivons seuls, ensemble, depuis longtemps, si cela te fait tellement plaisir et si cela satisfait tes fantasmes, je veux bien m’offrir complètement nue à ta vue comme un cadeau, tout à fait entre nous, si tu n’en parles jamais à personne ! Jamais ! Jamais !
— Oh oui, maman chérie, c’est mon vœu le plus cher ! J’en ai tellement envie ! Je te promets que cela restera strictement entre nous ! Je garderai ce magnifique secret pour moi seul !
— Bien, mon chéri ! Mais, en retour, j’aimerais voir ton corps nu aussi, de temps en temps. Depuis la mort de ton père, je n’ai plus vu beaucoup de corps d’hommes, de surcroît nus et jeunes. Cela me gêne beaucoup de te faire cette confession, mais j’ai encore une libido fort active et avoue avoir fantasmé à l’idée de voir un jeune corps nu exposé à mon regard et excitant mes sens. Donc, si tu acceptais de te dénuder devant moi, et quoique j’aie un peu honte de te demander cela, tu ferais de moi une femme heureuse, même si c’est moi qui t’ai engendré ! Accepterais-tu ?
— Bien sûr, maman ! Avec plaisir, si tu aimes cela. Veux-tu que je me dévête maintenant ?
— Oui, pourquoi pas, Marc, mon fils chéri. Je suis curieuse de la sensation que cela me procurerait ! Je suis sans activités sexuelles depuis la mort de ton père, me contentant de me masturber pour me soulager ! Excuse ma franchise, ta proposition m’échauffe ! Mais passons d’abord à table, le dîner est prêt »
Nous quittâmes la chambre pour nous diriger vers la salle à manger, ma mère me précédant, toujours vêtue de sa seule robe de chambre.
Chapitre 3
Exhibitions respectives
Après le dîner, arrosé de pas mal de verres de vin dont l’absorption nous désinhiba progressivement et pendant lequel nous évoquâmes prudemment nos fantasmes respectifs, nous débarrassâmes la table et, sans mot dire, retournâmes, main dans la main, dans ma chambre.
— Alors, Marc chéri, es-tu prêt à te mettre nu devant ta mère pour satisfaire ses fantasmes secrets ? me demanda-t-elle d’une voix tremblante.
— Tiens, si tu es d’accord, je vais m’asseoir sur cette chaise pour mieux te contempler »
Ma mère s’assit en face de moi, toujours en robe de chambre dont les pans inférieurs révélaient ses belles jambes galbées jusqu’en haut des cuisses et même un bout de la fourrure de sa chatte, ce qui provoqua chez moi un début d’érection
Je m’assis au bord du lit pour ôter mes pantoufles et mes chaussettes. Puis je passai mon T-shirt au-dessus de ma tête. J’étais torse nu. Ensuite, je dégrafai la ceinture de mon pantalon, me levai et ouvris ma braguette. Mon cœur battait à tout rompre et la respiration de maman s’accélérait. Je me défis de mon pantalon et restai debout, avec une grosse bosse déformant mon slip au niveau de mon entre jambes.
— Maman, aimerais-tu ôter mon slip toi-même ? lui demandé-je.
— Non, mon chéri, Je préfère rester ici à te regarder. Tu es vraiment bien bâti, je l’avais déjà constaté lors de nos vacances à la plage !
— Merci pour le compliment, maman ! répondis-je d’une voix tremblante.
Lentement, je baissai mon slip. Ma toison pubienne apparut puis ma queue sortit de mon slip avec un « flop » dû à sa détente. Elle était dure et raide et, comme je suis circoncis, la colonne de chair érigée se terminait par mon gland bien visible, en forme de champignon rose. Mon gros sac à couilles, à la peau plissée, pendait entre mes cuisses. Ma mère poussa un gémissement en murmurant :
— Oh, mon fils, quelle belle verge tu as ! Et tes boules sont si belles et grosses aussi. Tu les rases, ma parole (ce qui était vrai) ; branle-toi un peu, que je voie encore grossir ton pénis ! Je ne comprends pas que, moi, ta mère, cela m’excite à ce point !
Disant cela, elle se mit à frotter sa robe de chambre à l’endroit de l’entre jambe, ouvrant un peu les cuisses. Je vis ainsi sa main caresser la toison de sa chatte.
— Alors, c’est vrai, tu aimes ce que tu vois, maman ?
— Oh oui, répondit-elle, c’est fort excitant. J’ai honte de ce que ta vue déclenche en moi parce que c’est mal, mais cela me procure une sensation si agréable ! J’ai vu ton beau recto, peux-tu me montrer le verso maintenant ? J’aimerais voir tes grosses boules et ton beau gros pénis pendre en-dessous de ton cul. Retourne-toi, s’il te plaît ! ajouta-t-elle en se caressant de plus belle.
Je me retournai, debout contre le lit, restai un moment immobile, entendant ma mère respirer rapidement, puis je me penchai en avant et enfouis ma tête dans la couverture. J’écartai les cuisses pour qu’elle puisse voir mes couilles pendre
sous mon cul et ma grosse queue allongée contre le rebord du lit. Enfin, j’écartai mes fesses des deux mains pour que le spectacle offert à ma mère soit le plus lubrique possible. Je crois que mon but était atteint, parce que j’entendais des « oooh », des « aaahhh » et des « c’est beau, c’est excitant, merci, Marc ! Mais que faisons nous là, mon chéri, entre mère et fils ! J’en suis tétanisée,
honteuse ! »
Je restai dans cette position un long moment, faisant ballotter ma verge tendue et mes grosses couilles, puis me relevai et me retournai. Le visage de ma mère était cramoisi et sa robe de chambre montrait une grande tache humide à la place de son entre jambes. La main avec laquelle elle s’était masturbée était trempée de la cyprine qui s’était échappée de sa chatte. Entre ses pieds, une petite flaque de son jus intime s’était formée aussi et une petite colonne de liquide continuait à couler de son entre jambes. Ma mère était une femme fontaine !!!
— Oh, maman, cela t’a plu, on dirait ! Toute cette mouille ! Regarde, moi aussi, je suis excité !
Ma bite était en effet toujours dure et tendue avec son gland écarlate.
— Allons, maman, à ton tour maintenant, comme tu me l’as promis. Je vais continuer à me branler en te regardant, si tu le permets »
— Oh oui, mon chéri, à mon tour de te gâter ! dit ma mère d’un ton rauque.
— Je vais faire cela en trois temps et tu me diras si tu aimes… ! Oh, je délire, je ne me contrôle plus, je ne comprends pas ! Que faisons-nous, toi et moi, mon fils ?
Se levant de sa chaise, elle défit la ceinture de sa robe de chambre et ouvrit cette dernière. Je retrouvai le superbe corps que l’avais admiré plus tôt dans l’après-midi. Je contemplai à nouveau ses mamelles volumineuses, en forme de gros melons ronds et lisses ; ses mamelons rose foncé, semblables à de petits bâtons cylindriques, pointaient au centre de ses larges aréoles de la même couleur. Mon regard descendit vers son délicieux nombril ornant un ventre légèrement rebondi, puis vers son pubis. Je revis la touffe de poils brun noir, bien épilée en triangle, qui permettait d’apercevoir la fente de sa chatte, à ce moment trempée du foutre apparemment engendré par la vue de mon corps dénudé et exposé auparavant.
— Tu aimes ce que tu vois, mon chéri ? demanda-t-elle.
Je ne pus m’empêcher de murmurer :
— Oh oui, maman, laisse-moi me masturber en te contemplant ; tu es si belle !
— Mmmmm ! Mais que nous arrive-t-il, mon garçon ? Quel délire lubrique ! » gémit-elle… Je vais écarter les cuisses pour que tu puisses mieux voir les détails de ma chatte humide, mais je ne sais pas ce qui me prend et m’excite à l’idée de faire tout cela !
Elle écarta effectivement ses belles cuisses pour que je puisse voir les lèvres gonflées de son con, lèvres qui pendaient un peu et le clito rose dont la pointe émergeait ; tout cela à travers sa toison pubienne bouclée, tondue et coupée juste comme il fallait pour que ces trésors apparaissent.
— Maintenant, tu vois d’où tu es sorti, Marc ! » dit-elle en souriant. « Tiens, je vais encore écarter mes lèvres des deux mains pour que tu voies mieux les parois et l’intérieur de mon vagin ! M’exposer comme cela me fait honte et me donne du plaisir en même temps !
Après quelque temps, elle se mit à genoux devant moi, exposant ses seins, son ventre, sa chatte, à mon regard concupiscent, en disant, d’une voix rauque :
— Deuxième partie ! Je deviens ta cochonne de mère, je ne sais pas ce qui me prend !
Ensuite, elle se baissa, me faisant face, à genoux et reposant sur ses avant-bras ; je vis ainsi ses grosses mamelles pendre entre ses bras, avec les tétons touchant presque le sol ; elle balança son torse pour que ses nichons ballottent devant mon regard excité. Elle les caressa et les tritura en se pinçant les mamelons, en gémissant :
— Tu aimes, mon chéri ? Tu aimes ta cochonne de mère faire tout cela devant toi et pour toi ? Tu peux employer des mots crus et cochons pour me le dire, si cela t’excite, mon fils pervers !
Je ne pus me retenir de crier des propos crus :
— Oh oui, maman ! Tu es une vraie cochonne de mère qui fait bander son fils ! Regarde ma bite qui gonfle quand je te vois dans cette position ! Tu es belle, tu es excitante, tu es ma vraie poufiasse de maman ! (Chers lecteurs, sachez que nos excitations sexuelles, à ma mère et moi, nous poussaient à dire des mots crus et même cochons… Vous le constaterez dans la suite de ce récit…)
— Oui, bande et branle ta grosse bite en me regardant, mon fils ! J’aime ton langage cru ! Il m’excite ! Nous sommes fous, lubriques, pervers et dépravés. Je vais te donner du plaisir en te montrant les parties les plus intimes de mon corps !
Ce n’était pas possible, elle ne pouvait pas avoir de telles idées, ce genre de fantasmes entre une mère et son fils, c’était pour les pervers, les dérangés d’esprit. C’était sans doute sa longue abstinence sexuelle, cumulée à la récente vision de mon corps qui avait déclenché ce délire érotique.
Elle fit un quart de tour dans la même position en levrette et, en fixant ma pine grossissante que je branlais, elle me dit :
— Troisième partie ! Regarde mon fils, ta cochonne de mère se montre de profil maintenant ; aimes-tu la vue de mes seins pendants ? Je vais frotter leurs bouts sur le tapis pour les faire s’ériger un peu. Vois-tu la courbure de mon dos, celle de mes fesses ? Aimes-tu le galbe de mes cuisses, la forme de mes jambes, mon fils ?
— J’adore, maman ! crié-je
— Encore, laisse toi aller, fais-moi plaisir ! Tu es belle à mourir ! Fais encore un quart de tour dans cette position et montre-moi ton cul !
Elle s’exécuta pour mon plus grand plaisir. Comme je l’ai déjà décrit, ses fesses étaient deux beaux globes blancs, rebondis et de texture satinée. Ces globes étaient séparés par une raie sombre aux parois tapissées d’un léger duvet foncé. Au milieu de cette dernière et dans cette position, son petit trou brun entouré d’une corolle rose et plissée se voyait mieux et m’excitait à fond. Mon excitation s’amplifia encore lorsqu’elle écarta les fesses de ses deux mains pour que je voie encore mieux cette vallée sombre et le petit trou qu’elle révélait.
Juste
en-dessous de la raie de son cul, se voyait la fente de sa chatte ornée de sa touffe brune. Comme ses cuisses étaient écartées, je vis, pour mon plus grand bonheur, les lèvres de sa vulve distendue et son petit clito rose érigé. Les lèvres avaient la forme de deux morceaux de chair plissée pendouillant entre le haut de ses cuisses. Une vue paradisiaque !
— Oh maman, quel délice ! Quelle croupe magnifique ! Quel superbe vagin ! Reste comme cela, je vais venir devant toi pour que tu me voies me branler la bite. J’espère que cela t’excitera, ma superbe cochonne de maman ! Et toi, branle ta chatte aussi ! Photos cut-urls.com/cpFTVsV1
— Mon fils, nous devenons de vils débauchés, des dépravés, des pervers, des cochons ! J’aime tout cela mais que cela ne se sache jamais !!! murmura-t-elle.
Je me mis debout en face d’elle, agenouillée et se massant la figue d’une main et les seins de l’autre. Ma bite était à hauteur de son visage, à quelques centimètres et mon sac à couilles lui touchait presque le menton.
— Maman, j’ai vu tout à l’heure que tu mouillais beaucoup en te masturbant la chatte. Je vais chercher le vase de nuit qui est dans le tiroir de la table de nuit pour que tes juteuses sécrétions puissent s’écouler sans souiller le sol »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je revins devant elle et glissai le vase de nuit entre ses cuisses écartées. Elle soupira et haleta :
— Oui, maintenant je peux me branler à fond pour ton plaisir, chéri. Continue à montrer ta queue bien dure et tes couilles bien pleines !
Ce que je fis.
Elle se branla vigoureusement en commençant à crier et à japper et, après quelques instants, commença à éjaculer sa liqueur d’amour mêlée de cyprine qui atterrit dans le pot de chambre avec un bruit de cascade, suivi d’un gargouillis. C’était incroyablement excitant. Son orgasme fut long et accompagné d’un jet de ce mélange de liquides clapotant dans le pot de chambre. Elle finit par hurler de jouissance !
Son orgasme se calma, elle haleta moins fort et me murmura après un moment :
— Merci, mon chéri. Nous sommes des dépravés, des cochons, mais cela me plaît, c’est dingue, c’est fou ! Maintenant, je te laisse une minute parce qu’avec tout le vin que nous avons bu, je dois aller faire pipi.
— Oh, maman, je t’en prie, pisse devant moi avec le vase de nuit sous tes cuisses. Cela m’exciterait tellement !!! Tu l’as dit, nous sommes des dépravés ! »
Elle rougit et me chuchota :
— Mais jusqu’où allons-nous poursuivre dans la débauche ? Tu as vraiment envie de voir ta maman pisser sous tes yeux ?
— Oui, maman s’il te plaît !
— Bien ! dit-elle
— J’ai tellement honte mais tellement envie de te faire plaisir !
Elle poussa alors sur son bas-ventre pour bien diriger son urine vers le vase de nuit et je vis un filet de pisse dorée sortir de sa vessie et rejoindre, dans un gargouillement liquide, les jus qui s’y trouvaient déjà. Ce faisant, et pendant que l’urine jaune sortait de son trou à pisse, elle ne put s’empêcher de m’empoigner la pine d’une main, me caressant et me malaxant le sac à couilles de l’autre. C’en était trop pour moi. Avec une jouissance inouïe et ne me contrôlant plus, ayant simplement le temps de crier dans un spasme : « Attention, je jouis ! », je lâchai plusieurs jets de foutre sur son visage, ses seins et son ventre sans qu’elle eût le temps de s’écarter. Mais en avait-elle envie ? La semence dégoulina sur elle en petits ruisseaux blancs pendant qu’elle achevait d’uriner et quelques gouttes de foutre blanc se mêlèrent au mélange de liquides qui souillaient le vase de nuit.
— Marc ! cria-t-elle…
— Te rends-tu compte de ce que tu fais ? Tu éjacules sur ta mère ! Tu es un dépravé !!! Jusqu’où tout cela ira-t-il ? J’ai honte ! Et en même temps, l’éjaculation de ton sperme chaud et gluant sur moi m’a excitée ! Que se passe-t-il ? Regarde mon corps souillé de ton foutre blanchâtre !!!
Elle commença alors à se frotter le visage, les seins et le ventre pour en enlever le foutre mais ne réussit qu’à le répandre en fine couche sur elle. Elle lécha ses mains enduites de mon jus et dit :
— Mmmmm ! Marc ! Finalement, c’est chaud et le goût de ton foutre me plaît… Ooooh, Marc, jusqu’à quelles extrémités dévoyées allons-nous ?
— Oh, maman, tout cela est notre secret, notre secret d’amour entre ma maman adorable et moi ! Laissons-nous sacrifier ensemble au plaisir des sens, sans retenue et sans tabous ! Et, maman, nous allons prendre une bonne douche ensemble pour nous nettoyer de nos jus respectifs !
— Oui, Marc, viens, allons à la salle de bain »
Elle se releva, le visage, les seins et le ventre encore couverts de mon sperme, et quitta ma chambre, montrant sa merveilleuse croupe.
Nous arrivâmes à la salle de bain et nous installâmes dans la douche.
— Mon Marc chéri, dit-elle, c’est vraiment pour te faire plaisir que je me livre à ces fantasmes obscènes, bien qu’ils m’excitent moi-même, sans que je le réalise et le comprenne. Je vais te caresser les couilles pendant que nous nous douchons, j’espère que cela augmentera ton plaisir ! »
— Merci, ma maman adorée ! Peut-être vais-je crier des mots crus pendant que tu fiais cela mais ton corps splendide m’excite tellement !
Elle commença à me masser et à me caresser les couilles, agenouillée devant moi dans la douche. Elle se pencha aussi pour les sucer et les lécher. Ensuite ; elle se releva et dit :
— Maintenant, douchons-nous bien, lavons-nous, frottons-nous, savonnons-nous pour être prêts et propres pour d’autres jeux ! Ensuite, nous irons au lit pour nous reposer de toutes ces folies ! »
Ce qui fut fait. Ayant remis sa robe de chambre, elle m’embrassa et me souhaita la bonne nuit en me disant :
— A demain, mon fils chéri ! Reposons-nous après tous ces excès et, peut-être, occuperons-nous la journée de demain avec d’autres activités sensuelles ?
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