Désolé pour les fautes d’orthographe je ne suis pas écrivains…
Elle venait juste de coucher les enfants et remontant les marches vers le 2e elle s’arrêta devant moi surprise et me demanda avec un air étonné, « Tu me regarde bizarrement ce soir ». Je m’approchai d’elle sans dire un seul mot et m’arrêta 2 marches derrière elle. « A quoi tu-joues dit-moi, tu m’intrigue. » Toujours en gardant le silence j’approche alors mes mains de sa taille et doucement remonte son chemisier pour poser délicatement mes deux mains sur ses petits seins doux. Elle se tourne alors la tête vers moi et me demande avec un air à la fois surprise mais tout de même volontaire. « O.k là tu n’imagines tout de même pas que tu vas me faire l’amour dans les marches de l’entrée. »
Je ne répondis encore rien et me contenta de tout simplement lui déboutonner son chemisier et de doucement lui retirer pour qu’elle se retrouve alors devant moi le haut recouvert que de son soutien-gorge pas vraiment sexy je l’avoue mais tout sur elle lui va bien alors. J’approche alors mes mains devant elle, et déboutonne son jeans, puis descend sa fermeture éclair. Je l’entends alors laisser échapper un grand soupir qui n’était pas de découragement mais plutôt du genre qu’elle savait que je n’arrêterais pas et que quand j’ai une idée en tête je vais jusqu’au bout.
Je descendis alors son jeans jusqu’au niveau de ses genoux et comme je savais déjà qu’elle porterais un string, je commence délicatement a lui caresser les fesses de mes deux mains, puis, en me penchant vers elle je lui embrasse l’une d’elle et lui mordille quelque peu l’autre. Elle ne bronche pas d’une miette signe bien entendu qu’elle se laissera volontiers faire pour la suite. Je parcoure alors ses douce fesses que j’adore tellement en passant et de mes mains libres je descends doucement son string pour que le puisse entrevoir son jolie sexe qui semblais déjà bien humide et dégageant cette odeur qui me rend fou pour me dire qu’elle me désire sur le champ.
Je remontai alors les mains vers le haut et détacha gentiment son soutien-gorge pour libéré ses petits seins et laissant tomber le soutien-gorge par terre j’en profitai pour me mettre à les caresser doucement et coller son corps contre le mien pour sentir un peu de sa chaleur. Puis tout en l’embrassant dans le cou, je descendis ma mains le long de son corps et je la caressai le long de la cuisse et juste sur le bord de son sexe mais sans toucher celui-ci. Elle pencha alors sa tête vers l’arrière pour la déposé sur mon épaule et je me mis alors à lui caresser le sexe du bout du doigt en entrouvrant ses lèvres extérieur mais sans entrer mon doigt en elle, juste effleurer la surface de ses lèvres pour sentir son corps commencer à frissonner son mes caresse.
Je sentis alors sa main déboutonner à son tour mon jeans et descendre ma fermeture éclair, elle entra alors doucement sa main entre mon sous-vêtement et ma peau et descendant un peu elle empoigna alors mon sexe qu’elle se mise à doucement par un mouvement de bas en haut à caresser tendrement. Mon doigt écarta alors ses lèvres pour doucement du bout de celui-ci entrer en elle et la faire frissonner un peu.
Nous avions l’habitude d’avoir de long préliminaire normalement mais cette fois –ci elle me surprit en me demandant en chuchotant, « J’en peux déjà plus chérie, je dois te sentir en moi ».
Je remontai donc d’une marche et la par derrière j’entrai mon sexe en elle, je sentie un frisson parcourir son corps de bout de ses pieds au haut de sa tête, Je mis alors mes mains sur ses hanches et débuta un mouvement doux de va et viens question de ne pas partir en fou et malgré que j’ai l’impression qu’elle aurait apprécié que je sois rough ce soir-là, moi je voulais profiter du moment le plus possible. Elle se pencha du mieux qu’elle le pouvait vers l’avant et déposant ses mains contre les marches devant elle, bougea son bassin de sorte à me faire comprendre qu’il était temps d’augmenter mon rythme. Je resserrai alors mes mains contre elle et d’un coup quelque peu violant je débutai une série de mouvement très rapide qui la fit crier instantanément, j’en ai même affiché un sourire.
Elle était vraiment dedans ce soir-là, se laissant aller comme jamais et ne se préoccupant pas de faire trop de bruit, ni si elle paraissait trop cochonne à mes yeux. Non ce soir-là, elle dévorait littéralement le partage de nos corps et honnêtement j’en garde un souvenir ma foi inoubliable..
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