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Vacances au Cap d’Agde.

Vacances au Cap d’Agde.



PREAMBULE

Nous roulons tranquillement avec mon mari, Eric, vers notre lieu de villégiature. Il ne nous reste plus que quelques kilomètres à parcourir avant de retrouver nos amis Mylène et son mari Nicolas qui sont arrivés hier et ont pris possession du gîte que nous avons loué pour ces trois semaines de vacances. Nous avons retenu un bungalow au camping Beach Garden au Cap d’Agde. C’est un camping qui est en bordure de plage, qui possède des bungalows, des restaurants, des piscines, des commerces, bref tout ce dont nous avons besoin pour passer de superbes vacances.
Mylène et Nicolas sont un couple d’amis. En fait ce sont nos meilleurs amis. Nous avons déjà passés des vacances ensembles. Mylène est mon amie de très longue date. Nous nous sommes connus adolescentes au collège puis au lycée et avons même été à la fac ensemble. Plus de 20 ans d’une amitié indéfectible. Mimi comme je préfère l’appeler, est une jolie brune au cheveux mi-longs, avec un très joli visage, joviale toujours souriante, dotée d’un corps aux mensurations parfaites, une poitrine que je lui envie. Elle a des seins superbes, bien fermes et avec son 90D affole bon nombres d’hommes. Ajoutez à cela un joli ventre plat, des fesses bien rondes et des jambes parfaites et vous avez le tableau de ma bombasse de copine. Pour ma part, mes origines italiennes m’ont donné une peau mate et des cheveux noirs, mi-longs, et une très généreuse poitrine (95F). Nos maris sont tous les deux grands, carrures athlétiques car très sportifs.

En arrivant au camping, nous retrouvons Mimi et Nico qui ont déjà profité de la journée pour découvrir les environs, se baigner et faire quelques courses de premières nécessité comme les bières et l’apéro. Nous déballons nos affaires, prenons possession de notre chambre puis courrons à la plage pour un premier bain tant attendu. L’eau est merveilleusement bonne, claire et belle comme on en rêve tous. En revenant à la serviette, je remarque qu’il y a un grand nombre de « culs-nus » qui déambulent sur le sable. J’en fait la remarque et Nico nous répond que c’est normal, car il y a un camp naturiste très près et que la plage juste à côté de la notre est appelée « la baie des cochons ». J’éclate de rire en pensant que c’est une de ses blagues habituelles, mais il m’assure que c’est vraiment le nom donné à ce lieu. Nous nous séchons et nous rentrons car après un premier bain, rien ne vaut un bon apéro pour fêter le début des vacances.
Autour de la table, confortablement installés en train de siroter nos bières, Nos hommes racontent le voyage, les embouteillages et commencent à préparer leur « planning » sportif. Mimi et moi parlons plutôt plage, crème solaire, et cuisine.

Vers 23H nous partons nous coucher. Eric commence à me faire l’amour. Je me laisse faire totalement offerte à son bon plaisir, les jambes grandes écartées, il m’offre un merveilleux cunnilingus qui m’arrache des gémissements de plaisir. Dans l’autre chambre, nos amis ne sont pas en reste car j’entend le lit qui grince, et Mimi qui gémit beaucoup plus fort que moi. Elle a toujours été très « vocale ». Sous la langue experte de mon mari je sens monter en moi l’orgasme, le premier de mes vacances. Hummm que c’est bon. J’explose sans retenue dans un grand cri de plaisir. Eric se redresse alors, me retourne et me pénètre en levrette sans ménagement. Il me prend à deux mains par les hanche et me pilonne à grands coups de reins. Il jouit en moi, et nous nous effondrons totalement anéantis. Nous entendons alors Mimi et Nico, qui jouissent de concert à leur tour.

PREMIERE JOURNEE

Le lendemain nos maris ont décidés de faire une sortie en vélo, en direction de l’étang de Thau. Nous passerons donc la journée sur plage avec Mimi à bronzer et nous baigner. Nos hommes partis, Mimi et moi prenons nos affaires, fermons le bungalows et prenons la direction de la plage. Arrivées sur le sable, Mimi se dirige vers la droite, vers la plage naturiste.
« Où vas tu? »
« Viens suis moi » me répond elle
« tu veux que l’on aille chez les « cul-nus? »
« oui cette plage a une réputation « sulfureuse », et j’ai trop envie de voir par moi même ».
« et …. sans nos hommes? »
Oui c’est plus drôle … Et en plus on pourra bien se rincer l’oeil !!!
Nous éclatons de rire comme deux gamines. La complicité entre nous est toujours la même.
Nous étalons nos serviettes après avoir fait quelques dizaines de mètres sur le sable. Derrière nous, nous remarquons des chemins de sables qui s’enfoncent entre les bosquets d’arbres.
Nous retirons nos maillots, nous allongeons entièrement nues et commençons à observer les allées et venues. Il est encore tôt, peu de monde est arrivé, et la plage est calme. Nous partons nous baigner. De retour à nos serviettes, nous nous passons de la crème solaire et reprenons notre observation en « commentant » chaque promeneur.
Notre regard est attiré à un moment par deux hommes qui marchent au bord de l’eau. Ils sont plutôt beaux mecs, grands, musclés, déjà très bronzés et semblent plutôt bien pourvu par la nature. Nous nous redressons et regardons franchement dans leur direction. Eux mêmes regardent dans la notre, nos regards se croisent et s’accrochent.
« Ils ne sont pas mal du tout «  me fait Mimi
« pas mal du tout en effet » lui répondis-je
« fais ton plus beau sourire ma chérie … »
Cela semble fonctionner car les deux hommes s’arrêtent de marcher, échangent quelques mots et se dirigent vers nous.

« Bonjour belles dames … »
« Bonjour … »
« on ne vous dérange pas? »
« Non pas du tout »
« Moi c’est Paul » fait le premier
« et moi c’est Joël » enchaine le second
« Enchantées …. Maria …. et Mylène … »
« Peut on se joindre à vous? »
« Oh mais avec plaisir » répond Mimi.

Les deux hommes installent leur serviettes et s’assoient face à nous. Nous commençons à faire connaissance, les questions habituelles, depuis quand êtes vous arrivées, d’où venez vous, où logez vous, êtes vous seules en vacances …. Le fait de leur dire que nous sommes mariées ne semble pas les déranger outre mesure. Ils s’inquiètent seulement de savoir où se trouvent nos maris en ce moment !!! Mimi les « rassurent » en leurs disant qu’il sont partis pour la journée, et que nous sommes de « grandes filles ». Cette réponse semble leur convenir car ils s’enhardissent dans leurs questions.
Paul se rapproche progressivement de moi, tandis que Joël installe sa serviette tout contre celle de Mimi. Je sens Mimi toute excitée par l’attrait que semble lui porter ce bellâtre. Il faut dire qu’il est vraiment bien foutu. Entre 30 et 35 ans, blond, un joli bronzage cuivré, les yeux bleus et une carrure d’athlète aux muscles saillants. Il semble à l’aise, parle avec aisance, un sourire ravageur illumine son visage et son pénis bien qu’encore flasque est déjà de bonne taille. Paul qui s’est approché de moi semble plus réservé, ce qui me va très bien, car je ne suis pas aussi extravertie que Mimi. Il a le même âge que son copain, très brun et mat de peau. Il est également bien foutu, musclé et le corps entièrement épilé comme son copain. J’avoue que je ne suis pas aussi à l’aise que Mimi avec mon corps, et me faire draguer entièrement nue par un parfait inconnu, aussi mignon soit il, ne m’aide pas vraiment.
Je discute tranquillement avec Paul, alors que Mimi et Joël sont déjà en train de rire aux éclats. Ils se caressent sensuellement. Joël à une érection débutante qu’il ne cache même pas. Le salaud à un sexe bien large et bien épais et il n’est surement pas encore à son maximum. Mimi regarde ce pénis avidement. Joël la prend par la main, s’approche d’elle et lui glisse quelques mots à l’oreille. A ma plus grande surprise, ils se lèvent tous les deux et Joël s’adressant à moi me lance :
« Je vous emprunte votre amie un moment … »
Je reste stupéfaite et les regarde s’éloigner main dans la main en direction des arbres.
Je me remet à discuter avec Paul qui s’enhardit un peu plus et me propose de me passer de la crème. J’accepte volontiers car je suis maintenant excitée d’avoir vue Mimi partir comme cela avec un inconnu.
Paul s’avère être un très bon « masseur ». De grande mains douces et fines. Il m’enduit le dos, les fesses, les jambes. Une fois finis le côté pile, il me dit de me tourner sur le dos et recommence. Il débute par les jambes et remonte sur les cuisses, passe au ventre et termine par ma poitrine. Je suis merveilleusement bien lorsqu’il pétrit mes seins et commence à jouer avec mes mamelons qui durcissent instantanément. Je sens ma vulve devenir humide et de son côté, Paul à une magnifique érection. Il est contrairement à ce que je pensais très bien pourvu par la nature. Un sexe bien long et surtout très large et épais. Paul commence à me caresser la vulve. Je sursaute en sentant ses doigts chercher à s’insinuer entre mes lèvres intimes. Ma main arrête la sienne.
« Non pas ici s’il te plait … cela me gène que l’on nous voit »
« Viens alors, suis moi » me dit il en souriant.
Nous nous levons et prenons à notre tour le même chemin que Mimi et Joël tout à l’heure. Nous nous enfonçons un peu, et trouvons un buisson derrière lequel nous nous cachons. Paul se tient debout devant moi. Je m’agenouille et commence à le masturber. D’une main je caresse ses couilles. C’est doux et agréable. Je donne quelques petit coups de langues furtifs sur son gland. Il gémit de plaisir. Son sexe est fièrement dressé. Je le caresse et le lèche sur toute la longueur de sa hampe. Je joue avec ses testicules, les prend en bouche. Délicieuse sensation que celle de sucer des couilles totalement glabres. Avec le traitement que je lui inflige, Paul ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Je reçois un premier jet de foutre directement dans la gorge. Surprise, je me recule et reçoit les décharges suivantes sur le visage. J’en ai partout : sur les joues, le nez et dans les yeux, le surplus coule sur mes seins.
«  Continue … continue … Ne t’arrête pas … suce moi encore » me lance Paul.
Je m’exécute, recueillant jusqu’à la dernière goutte de sperme.
« Allonge toi » me dit il. « à mon tour de te bouffer la chatte ».
Je m’allonge sur le dos, jambes écartées, et Paul plonge entre mes cuisses la bouche en avant. Ma vulve dégouline de cyprine. Il me lèche les lèvres, joue avec mon clitoris, le suce, le sort de son capuchon, l’aspire, le mordille, enfonce sa langue dans mon vagin, revient à mon clito, repars, recommence ….. Je sens très vite monter en moi un orgasme depuis mon ventre. Je suis envahie par le plaisir, submergée même par ce tsunami. Les yeux fermés, je viens dans un grand cri. Je reprend à peine mes esprit que Paul est sur moi. Il me chevauche, il me prend les seins à pleines mains, glisse son sexe entre eux et s’offre une bonne branlette espagnole. Il reprend très vite de la vigueur et me pénètre d’un coup sans que j’ai le temps de réaliser que nous baisons sans préservatif. Son pieu s’enfonce en moi, force sur les parois de mon vagin, tape tout au fond de ma grotte. Il est tellement gros qu’un nouvel orgasme ne tarde pas à m’envahir encore plus intense que le premier. Paul accélère la cadence. A chaque coup de bassin, il pousse un cri de bucheron, son gland atomise le fond de mon vagin. Il jouit à son tour, son liquide chaud me remplit la chatte. Il s’effondre sur moi haletant et en sueur.

Nos esprits retrouvés nous nous levons et partons à la recherche de Mimi et Joël. Nous les retrouvons non loin de là eux aussi bien occupés. Joël est allongé sur le dos et Mimi le chevauche, totalement empalée sur son sexe. Elle monte et descend le long de cette hampe prenant appui sur le torse puissant de son amant. Ses seins suivent le même mouvement et rebondissent en rythme. Je suis hypnotisée par ce spectacle : ma meilleure amie baisant avec un parfait inconnu sous mes yeux au milieu de la nature à peine cachée. Très rapidement, Mimi jouit très « bruyamment » comme hier au soir avec son mari. Elle se dégage, s’installe à quatre pattes et Joël la prend en levrette sans délicatesse. Je remarque que lui aussi à un pénis hors norme qui s’enfonce d’un coup dans la chatte de mon amie qui ne peut retenir un cri. Il la saisit par les hanches et la pilonne sans ménagement jusqu’à ce qu’il jouisse en elle.
Paul et moi avons assister à cette scène silencieusement. Lorsqu’ils nous aperçoivent, nous éclatons de rire tous les quatre.
« Alors bande de voyeurs » nous lance Joël, «  le spectacle vous a plu? »
« Hummm … oui plutôt » je lui répond avec malice en passant ma langue sur mes lèvres.

Nous repartons en direction de la plage. La semence de nos amants coule le long de nos cuisses à toutes les deux. Nous fonçons dans l’eau sans nous arrêter. Paul et Joël nous suivent et nous chahutons un moment tous les quatre. Ils nous pelotent indifféremment l’une et l’autre. Après environ une heure de jeu, nous sortons de l’eau et partons nous sécher. Il est déjà 17h, nos maris ont du rentrer de leur sortie. Nous prenons congés de nos nouveaux amis. En arrivant au bungalow, nous retrouvons nos hommes attablés devant une bière. Nous en prenons une nous aussi, mais lorsqu’ils nous demandent comment s’est passé notre journée, bizarrement, nous nous contentons de répondre que la plage est belle et l’eau excellente, oubliant certains détails.

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