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Une vie bien remplie

Une vie bien remplie



Laura était une copine de ma sœur mais je n’osais pas la draguer mais un jour, elle est venue à la maison. C’était en juin et il faisait très chaud et j’ai tout de suite vu qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Je lui avais rarement adressé la parole, à part pour la saluer. J’ai croisé son regard et elle m’a souri. Elle s’est approchée de moi.
– Quoi ? Ça ne te plaît pas, m’a-t-elle dit avec un petit sourire complice ?
Je lui ai répondu qu’il faudrait que je sois difficile et elle a ajouté que je peux toucher.
Ma sœur avait la grosse poitrine de ma mère, de gros seins fermes et ronds qui contrastaient avec ceux de Laura qui, parce qu’ils tombaient, étaient plats. J’ai mis la main et tout de suite après, nous nous sommes embrassés.
Après ça, nous avons parlé de tout et de rien mais tout ce qui m’intéressait, c’était ses seins.
– J’aime pas vraiment les soutiens-gorges, a ajouté Laura, mais il faut bien que j’en porte ?
Je lui ai répondu que plus jamais elle n’en mettra. Je savais bien que c’était futile mais chaque fois que nous sommes sortis ensemble, elle n’en a pas mis et si je la rencontrais par hasard alors qu’elle sortait de quelque part, elle se dépêchait de le retirer.
Elle n’a pas tardé à me dire qu’elle aime bien quand je touche ses seins. Je lui ai répondu qu’elle doit bien aimer se les toucher elle aussi et elle m’a traité d’idiot. J’avais raison. Plus tard, quand nous avons été mariés, je l’ai souvent surprise à se caresser la poitrine devant le miroir de la salle de bains ou devant celui de la chambre.
Je lui avais aussi demandé si elle aime se masturber mais elle ne m’avait pas répondu. Alors, au début, quand on faisait l’amour, je guidais ses doigts sur sa chatte et je l’aidais à se masturber jusqu’au jour où elle a bien voulu le faire devant moi. Elle me suçait et elle me branlait déjà et j’ai pu la sodomiser. La première fois, ça ne lui a pas vraiment plu mais ma femme a fini par s’habituer.
Un jour que nous étions en vacances dans les Landes, nous sommes allés faire du nudisme à Montalivet. Nous longions la plage pour y arriver et nous étions en maillot de bain jusqu’à ce qu’on dépasse la limite et un couple nous a fait remarquer qu’on doit être nus et nous nous sommes exécutés.
Je n’ai pas tardé à avoir une érection et malgré le bain, j’ai continué. Je n’avais jamais autant bandé. Alors nous nous sommes allongés sur le sable, moi sur le ventre et ma femme sur le dos. J’ai même dû creuser un trou pour ne pas avoir mal. Après nous sommes rentrés à l’hôtel et c’est ce soir-là que nous avons fabriqué notre fille.
Tout s’est passé comme je l’avais imaginé. Le ventre de mon épouse enflait et ses seins se répandaient dessus. Ses seins n’ont pas tardé de lui arriver au nombril, ce qui n’a pas empêché qu’elle ait beaucoup de lait dont nous avons profité. Nous avons continué comme ça pendant des années mais je suis tombé amoureux d’une amie de notre fille et je n’ai pas pu m’empêcher de baiser avec cette fille, ce qui a fini par se savoir et il a bien fallu que je divorce. Cela faisait deux ans qu’on baisait ensemble et j’espèrais que nous allions pouvoir nous marier mais ce n’était pas vraiment son bu. La baise, m’a-t-elle dit, oui, le mariage, non.
Je me suis retrouvé seul pendant un temps puis je me suis mis avec une collègue de travail. Ce n’était pas vraiment une beauté mais elle aimait la bite. J’ai fini par m’apercevoir qu’elle voyait toujours son ex et comme nous avions fait des photos de cul ensemble, je les ai envoyées à son ex en espérant les séparer.
A quarante ans, c’est dur de se faire larguer mais c’est ce qui m’est arrivé et par là-même j’ai appris qu’elle en avait aussi fait pas mal avec lui.
Je me retrouvais encore une fois seul et pour changer un peu, je suis allé sur les sites de rencontre puis sur les sites de cul. Je n’avais jamais rencontré autant de filles et de femmes aussi variées. J’ai pensé que plutôt que de draguer des femmes de mon âge, pourquoi ne pas m’intéresser à des plus jeunes. J’ai commencé à taper dans les rubriques de jeunes. Peu importait la nationalité. Je me débrouillais pas mal en anglais. J’en ai débusquées pas mal mais un jour je suis tombé sur une jolie blonde qui débutait sur son site. Dès qu’elle a su d’où j’étais elle m’a dit qu’elle veut bien apprendre ma langue, venir me voir et m’épouser et me faire autant d’enfants que je voudrais.
Elle était vraiment superbe même si elle n’avait pas vraiment de poitrine. Je lui ai pris un billet d’avion et elle est venue me voir. Au lit, elle manquait vraiment d’expérience mais je voyais bien qu’elle aimerait apprendre. Au bout de deux jours, elle a eu ses règles et pour résoudre ce problème, elle m’a offert de la sodomiser.
J’ai hésité. J’avais eu l’occasion de voir sa jolie rosace de près. Avant de partir, la fille m’a dit que si je l’avais fait, elle n’aurait rien dit.
Je l’ai laissée repartir mais tous les soirs, je parlais avec elle sur Skype. Un jour elle m’a demandé si je me masturbe. J’ai nié mais elle m’a dit que mon bras bouge. Je lui ai dit que c’est de sa faute. Après ça, elle n’a plus arrêté de me dire qu’elle veut qu’on se marie. Elle savait bien que ça m’ennuyait d’être seul. Elle me montrait sa poitrine et elle a même fini par se masturber devant moi. Elle m’a aussi dit qu’elle veut que je l’engrosse. Je ne m’étais même pas aperçu qu’elle parlait de mieux en mieux ma langue.
J’ai fini par lui céder et j’ai fait les démarches nécessaires et je suis allée dans son pays pour me marier avec elle.. La nuit de noce a eu lieu dans la maison de ses parents. Le lendemain matin, quand je suis allé dans la cuisine, il y avait sa mère et elle parlait avec elle et j’ai demandé de quoi elles parlaient et elle m’a dit que sa mère voulait savoir si je leur avais fait honneur. Elle a alors ajouté que c’était le bon moment et que sa mère sera bientôt grand-mère.
Ça m’a fait un coup. De retour chez nous, je me suis conduit comme un salaud parce que dorénavant je me méfiais mais ma femme a vite remis les pendules à l’heure. Avec son ventre qui enflait et ses seins qui grossissaient, je ne pouvais que lui céder et quand notre fils est né, de l’avis de ma mère, c’était tout mon portrait. Un an après, j’ai suggéré qu’on fasse un autre enfant mais mon épouse m’a répondu qu’un seul c’est très bien et je me suis contenté de ça.

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