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La vie d’une chienne : Le jour ou tout &agrav

La vie d’une chienne : Le jour ou tout &agrav



Je m’appelle Marie. J’ai 23 ans…et je suis une chienne.

Pourtant, je suis une jeune femme bien élevée, héritière d’une riche famille belge. Je suis intelligente, cultivée et j’ai un diplôme universitaire. Bref, si je suis effectivement une jolie fille, je suis loin d’être une bécasse écervelée. Pourtant, sans qu je ne puisse l’expliquer, ma soif de sexe semble inépuisable et mes comportements en matière de sexe sont particulièrement pervers.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été portée sur la chose. Durant mon adolescence, je me masturbais plus souvent qu’à mon tour et j’ai du regarder bien plus de film X que la plupart des mecs que je connais. J’ai eu mon premier rapport à l’age de 15 ans avec un flirt de l’école…et entre 16 et 18 ans, j’ai connu un nombre très important de partenaire mais en réussissant à ne jamais attirée l’attention sur ma sexualité un peu trop débordante. Il s’agissait de rapport d’adolescente…fougueux mais classique…jusque là, rien de bien méchant.

Tout à basculer peu après mes 18 ans, lors des vacances d’été juste avant de rentrer à l’université.
Notre voisine, une charmante dame de 78 ans, est décédé au début du mois de juillet. En fille de bonne famille et puisque nous avions toujours eu d’excellents rapports avec elle, je me suis proposée pour aider son fils, un quinquagénaire du sud de la France, à vider la maison.
Dès que je l’ai rencontré, un déclic s’est effectué. Il n’était pas particulièrement beau, ni charismatique (comme peuvent l’être les hommes de cet âge pour une jeune fille de 18 ans)…et pourtant, je suis tombé sous le charme instantanément. Nous ne nous affairions que depuis une demi-heure dans le bric-à-brac de la maison, que je n’avais plus qu’une seule idée en tête…faire l’amour avec lui.
J’ai alors sorti toutes les armes à ma dispositions pour tenter de le séduire. En moins de 20 minutes, j’avais déboutonnée deux boutons de ma blouse, pour qu’il puisse entrevoir mon soutien en dentelle. Je me suis cambrée bien plus que nécessaire dans mon petit short en jeans moulant. Je passais et repassais ma langue sur mes lèvres après le moindre efforts…bref, j’ai sorti le grand jeu.
Je sentais que mon petit manège commençais à fonctionner, mais je ne m’attendais pas à sa manière de réagir.
D’un coup, il m’a plaquée contre un mur et a collé son visage contre le mien tout en m’agrippant les seins.
Durant peut-être 3 secondes, je suis resté sans réagir, choquée par une telle hardiesse. Puis durant les 10 secondes qui ont suivi, j’ai tenté de me débattre vainement…et puis j’ai totalement cédé.
Au bout de 20 secondes, sa langue s’enfonçait dans ma bouche, au bout de 30, sa main passait sous ma blouse et mon soutien pour me titiller les tétons et au bout de 40 secondes…son autre main était dans ma culotte, me caressant la fente avec vigueur.

Excitée comme jamais, je me suis mise à caresser son entrejambe. Je sentais sa queue dure comme du bois dans son pantalon. Ses doigts se sont introduit en moi, me fouillant avec avidité. Je mouillais comme une folle et gémissais à la moindre de ses allées et venues et à la moindre pressions sur mes seins.
Puis il s’est arrêté, a reculé d’un bon mètre pour me toiser et le plus simplement du monde il m’a dit
« Quelle salope tu fais…viens dans le salon que je m’occupe de toi »

En deux temps trois mouvement, je me suis retrouvée nue et à genoux au milieu du salon. Il a sorti son sexe gonflé d’excitation et sans ménagement, il l’a enfoncé dans ma bouche.
« Suce moi bien petite salope…suce moi bien à fond »
Cette façon de me parler, cette manière de me manquer de respect…tout en lui aurait du me dégoûter et me faire quitter cette maison immédiatement. Au lieu de ça, je le suçais du mieux que je pouvais. Je caressais son gland avec la langue, caressais ses couilles avec une main, tout en le branlant avec une autre et je le laissais s’enfoncer jusqu’à la garde au fond de ma gorge malgré les hauts-le-coeur qui me prenait. Il ne cessait de m’insulter durant tout ce temps et m’a même giflée à deux reprises (sans faire mal, juste pour m’humilier).

Au bout de quelques minutes, il m’a prise par les cheveux et m’a forcée à me mettre à quatre pattes devant lui. Il a baissée son pantalon, a craché sur mon sexe pourtant déjà ruisselant et s’est agenouillé derrière moi en m’empoignant par les hanches.
« Je vais te defoncer la chatte sale petite pute…prépare toi »
Et à mon propre étonnement…je me suis entendu dire
« Ho oui monsieur Paul…baisez moi comme une chienne »

Avec un sourire satisfait, il m’a pénétrée et à commencé à me labourer brutalement. Il ne cessait de me triturer les fesses, de caresser mon petit bouton. Il me fessait avec vigueur au point que ma peau devint rouge vif. Et toujours ces insultes… »chienne », « salope », « truie », « pute »…et c’est vraiment ce que j’étais à cet instant. Totalement soumise, me délectant de ce traitement dégradant, jouissant d’être la marionnette de cet homme assez agé pour être mon père.

Il m’a bourrée longuement…et finalement, dans un râle a peine retenu, il a craché son foutre en moi. Je n’ai pas joui ce jour là, mais en sentant son sperme chaud m’inonder le sexe…j’étais au summum de l’excitation.
Il s’est retiré rapidement, s’est essuyé le gland sur mes fesses…puis s’est relevé sans mot dire.

Encore déboussolée par ce qui venait de se passer je me suis relevé lentement et j’ai commencé à chercher mes vêtements (Et dire qu’il y’a à peine une heure, je venais naïvement aider un monsieur à déménager la maison de sa défunte mère)

Lorsque nous fûmes rhabillé tout les deux, il a allumé une cigarette et voyant que je restais planté là sans rien dire…il m’a lancé
« Casse toi d’ici maintenant…je n’ai pas besoin de l’aide d’une petite garce dans ton genre. Inutile de revenir demain…sauf si tu veux que je te fasse reluire encore une fois »
Puis il a ouvert la porte et m’a mise dehors d’un regard sans appel.

Je suis sortie, toute chamboulée…mais avant d’arriver chez moi…je savais déjà que je reviendrais. Cet événement m’avait changée pour toujours. J’étais à présent totalement désinhibée et totalement consciente de ma sexualité.

J’étais devenue…une chienne!

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