Je précise immédiatement que cette histoire est une fiction, inspirée de quelques faits réels 😉 Aussi, il y aura un peu de mise en place dans ce chapitre, donc désolé le cul sera plus présent dans les suivants 😉
Je m’appelle Kevin, j’ai 21 ans. Je suis dans la fleur de l’âge et j’aime beaucoup les vacances entre potes. Une habitude que j’ai prise depuis tout jeune et que je réitère chaque année. Cette année-là, nous nous sommes trouvé un petit camping en bord de mer, au sud de la France. Nous avons pris des bungalows. Le premier accueille mon meilleur ami David, ma soeur Sarah et moi. Nous dormons dans la même chambre avec David, tandis que ma petite soeur Sarah dispose de la deuxième chambre. Dans le deuxième bungalow, un couple de potes, Loic et Caroline qui partagent une chambre et notre nouvelle venue de cette année, Mélanie.
J’avoue avoir tout tenté pour pouvoir inviter Mélanie cette année. Elle est si belle et sexy, elle a de longs cheveux blonds platine, des yeux verts clairs et d’énormes obus qui lui servent de seins posés sur sa peau claire. J’aimerais beaucoup tenter ma chance avec elle, mais on verra si c’est possible.
Ce soir-là, nous étions posés sur la plage en fin de journée et c’est David, mon meilleur pote qui lança la conversation qui allait tout changer pour moi. Il revenait de la mer, encore tout mouillé et se roulait dans sa serviette.
– P’tain, hier soir j’ai sympathisé avec des campeurs là, ils m’ont parlé d’un de ces trucs.. lanca David.
– Comment ça, quel truc? Demandais-je.
Il s’essuya le visage et s’asseya près de moi, tout le monde était là et tous tournèrent la tête vers lui.
– Y’a une sorte de cabine de change là-bas, il pointa un petit bâtiment du genre cabine de douche etc, mais tu ne fais pas que de te changer apparemment..
– Quoi? Avons-nous tous répondu d’une seule voix.
– Ouais je vous jure, dans une des cabines, y’a un trou dans le mur qui donne sur les chiottes… et les gars, c’est bien ce que vous pensez… un putain de gloryhole!!
On laissa tous échapper un énorme “what” de stupéfaction.
– Mais arrêtes, tu te fous de notre gueule, lui dis-je.
– Mais mec!! S’exclama-t-il. Pas du tout, je te jures que c’est vrai, j’ai été vérifier tout à l’heure, depuis les chiottes… Y’a vraiment un trou! Il est bouché par une planche de bois, mais tu peux l’ouvrir depuis le côté chiottes, j’ai vu un cul de mec d’ailleurs!
– Whaaaaat?!? Mais sérieux?!? Lancais-je.
– T’iras vérifier si tu veux! Réponda-t-il.
Tous abasourdi par cette nouvelle on explosa de rire. Mais David continua:
– Attendez, c’est pas tout, il paraîtrait, et ça je l’ai pas vérifié je vous assure, que si tu vas à minuit pile dans la cabine du gloryhole, y’a quelqu’un dans les chiottes qui ouvre le trou et tu peux y faire ton affaire! C’est la baise mystère du camping!
– Mais quoi?! m’esclaffais-je. C’est tellement n’importe quoi, on dirait une histoire pour faire parler à la con, genre la légende de la nuit haha.
– Bah en tout cas, termina David, moi j’irai pas tenter, c’est un coup à te faire sucer par un vieux pervers de l’autre côté, et mois je suis plus penché bombasses, genre Mél.
Mais va te faire! Lui répondit Mélanie.
Désirant changer de sujet, je proposa à tout le monde d’aller se faire un ping pong, et ils acceptèrent avec plaisir.
——-
C’était la première soirée sur le camping et le la nuit était gentiment tombée, David, Sarah et moi avions déjà regagné notre bungalow, David zonait dans la chambre tandis que ma soeur et moi étions assis sur la banquette de la pièce centrale, à lire chacun un livre.
– Lourde première journée, je suis crevée, dit Sarah.
– C’est vrai que je suis assez fatigué aussi, répondis-je, ce n’est pas ce soir que je vais partir en mode fiesta à la place centrale du camping.
Je posais mon livre sur le côté et regarda ma soeur.
– Je suis quand même intrigué par cette histoire de trou dans les chiottes… commençais-je..
– Arf.. encore cette histoire, t’as bloqué là dessus? Sarah leva les yeux au ciel.
– Non mais… ce qui m’étonnes, répondis-je, c’est que ça ressemble pas à une connerie que David aurait inventé pour se la péter…
– Et?
– Eh bien, ça se trouve c’est vrai, y’a vraiment un gloryhole dans une putain de cabine dans ce camping! Et ça ce serait trop drôle!
Sarah ricana et posa son livre à son tour.
– Tu sais si t’es tellement intrigué, fais comme David a dit, va mettre ta queue dans le cul d’un vieux pervers haha.
– Franchement… répondis-je. Tu sais quoi? Je vais juste aller vérifier je crois… Juste pour rire… Tu viens avec moi?
– Non merci, lâcha Sarah avec un air dégoûté, c’est pas vraiment le genre de trucs qui m’intéressent… Si ça existe, tant mieux pour les crados, mais moi j’espère ne pas me retrouver dans ces cabines c’est tout…
Je me leva et pris ma lampe torche.
– Bon allez, je vais voir, haha, tant pis pour toi. David tu me montres où c’est?
– Sérieux, répondit-il derrière la porte de la chambre, j’ai pas envie de bouger là, t’as qu’à y aller, ça doit être une cabine au milieu, parce que de dans les chiottes ça semble être au milieu. Amuse-toi bien, Kev! Et eh! Capote hein, on sait pas dans quel cul ta queue va finir hahahaha
Je sortis du bungalow et me dirigea vers la plage, puis pris la direction que David avait indiqué dans la journée. Rapidement je vis le bâtiment, la nuit était tombée mais était claire, la lune éclairait fortement le ciel. Et ce n’était pas trop glauque car à quelques mètres plus loin sur la plage, des jeunes avaient allumé un feu de camp et riaient ensemble. Je m’approcha du bâtiment et vu le grand panneau “toilettes” sur la gauche et un autre “cabines” sur la droite, je continua donc sur la droite et déboula enfin devant la rangée de cabines de change. J’éclaira les cabines avec ma lampe torche et tout semblait tranquille et normal. Je ne sais pas trop quelle image délurée je m’étais faite du truc…
Je poussa la porte d’une des cabines vers le centre, mais rien, une cabine simple, sobre, en bois. Mais effectivement le mur du fond de la cabine était bien celui des toilettes de l’autre côté. J’observais attentivement et tendait également l’oreille. Mais rien… le silence de la plage et les cris des jeunes un peu plus loin. Je poussa une deuxième, puis une troisième porte mais rien.. Mon petit délire tombait en lambeaux car il semblait bien que David se soit foutu de moi. Je poussais la porte d’une troisième cabine l’air dépité, mais là encore rien…
Quoique…
Je passa la lampe torche sur le mur d’en face, il m’avait semblé voir quelque chose de différent. Je cherchais le long du mur, descendit le faisceau lumineux jusqu’à arriver sur quelque chose.. Un renfoncement dans le mur… J’approchais un peu, est-ce que c’était ça? De plus près je pus distinguer que ce renfoncement donnait sur une sorte de double fond. La fameuse planche en bois des toilettes? Je bloquais devant ce trou… le gloryhole était réel.
Je me remettais de mes émotions et m’asseya sur la banquette en bois de la cabine. Je n’y croyais pas. Soudain, j’entendis un bruit léger et rapide, ça venait du trou! Je dirigea la lampe torche dessus et eu juste le temps de voir un bout de papier se faire jeter du trou et la planche de bois se refermer. Je ramassa le papier, dessus quelque chose était griffoné au crayon gris:
Règles du gloryhole: cabine fermée, client debout. Pas de tentative de regarder au travers du trou. Toute tentative fermera définitivement le trou. Demandes possible par écrit, à passer dans le trou. Venir à minuit pour le fun.
Mon coeur fit un bond dans sa poitrine… Mais je me repris, on me faisait une sale blague! Je sortis en trombe de la cabine et partit en courant faire le tour de la structure en béton des toilettes. Mais c’était plus long que je pensais de faire le tour, je réalisa en courant que la personne dans les toilettes pouvait s’enfuir très facilement sans que j’aie le temps de voir qui c’était.
J’arrivais enfin à l’entrée et entra en trombe, plaqua chaque portes des chiottes mais toutes étaient vides. Je chercha la fameuse cabine du gloryhole et la trouva rapidement. Ici dans une cabine au centre, la planche de bois. Je la poussa rapidement et vérifia, le trou donnait bien sur la cabine de change d’avant. Bordel… on s’était foutu de moi, j’en étais sûr.
————-
J’étais revenu au bungalow et j’avais tout raconté à David qui s’était grave foutu de moi, ma soeur quant à elle avait prit un air dégoùtée et avait mis des écouteurs pour ne plus entendre parler de cette histoire.
– Et donc? Demanda David. Tu vas y retourner à minuit?!
Je regardais l’heure, il était 23h30.
– Pff pas question, y’a quelqu’un parmis vous qui se fout de moi là, j’ai bien compris haha.
J’avalais des shots de Tequila pour noyer ma honte, mais j’avoue que je n’étais pas trop sûr de moi et de ce que je disais. Il fallait que je trouve le fin mot de cette histoire. Je commençais à sentir ma tête tourner.
– Tu sais quoi David? lançais-je. Je vais aller pécho Mélanie! Maintenant! Je suis grave excité et je sais pas pourquoi!
David explosa de rire.
– T’es surtout grave bourré, ouais! Va pas foutre un malaise pour le reste des vacances hein! Lança mon meilleur ami.
Mais je n’écoutais plus et je sortis du bungalow en titubant un peu. J’allais vers le bungalow de nos potes, bien décidé à “charmer” Mélanie et j’entra dans le bungalow rapidement:
– Mél?! Lancais-je.
Mais elle ne répondit pas, au lieu de ça je tourna mon regard et je fus abasourdi. Là sur le canapé de la pièce centrale, Loic mon ami était en train de se faire sucer, le corps tout allongé et complètement nu. Mais le choc ne s’arrêta pas là. Je connais le couple de Loic et Caroline depuis longtemps. 2 ou 3 ans et ils ont toujours été ensemble. Loic est grand et porte de longs cheveux bruns, tandis que sa copine Caroline est petite et rousse. Une différence de taille qui est devenue significative de leur couple inséparable. Mais la personne qui s’acharnait avec plaisir sur la queue de mon ami, ne possédait absolument pas de chevelure rousse. Elle était… blonde… platine.
– Loic?! Mél?!
Mélanie releva la tête en panique et Loic se cacha rapidement le sexe avec ses mains.
– Mais putain vous… vous êtes sérieux?!? Criais-je presque.
Loic me fit signe d’un doigt de me taire et se leva rapidement pour se cacher dans la chambre de Mélanie. Pendant ce temps Mélanie se releva et remettait ses cheveux en place.
– A..attends Kevin, c’est pas ce que tu crois… On a un peu trop bu et… je voulais juste…
J’étais choqué… et je n’avais pas envie d’entendre ses excuses à la con.
– Oh putain… dis-je. Laissez tomber, sérieux laissez tomber, je suis plus là, j’ai rien vu.
Je me tira du bungalow et marcha vers la plage, choqué et déçu comme on dit. Oh bordel.. Loic trompait sa meuf avec Mélanie… Et moi je venais d’être mis dans une position très désagréable. Je finis assis sur le sable avec la tête dans les mains.
“ Putaaaaain” me dis-je. “Comment oublier ça?”
Je passa mes mains sur moi et remarqua qu’à ma grande surprise, ma queue formait une bosse dans mon pantalon. J’étais excité de ce que j’avais vu… Je n’en croyais pas mes yeux, mon propre corps trahissait une émotion que je refusais de m’avouer. J’étais complètement bourré alors je voulu commencer à me toucher à travers mes poches. Mais en touchant l’intérieur de ma poche, je ressortis le papier griffoné du gloryhole. Putain tout était disproportionné aujoud’hui… Alors pourquoi ne pas aller jusqu’au bout du délire?
Je regarda ma montre, 23h50. Je chercha dans mon autre poche, et trouva un crayon que j’avais subtilement mis là plus tôt. Je griffona quelque chose à mon tour. Il était temps de s’amuser…
———–
Minuit. Je respirais fort, je ferma la porte de la cabine. Mon coeur battait fort mais mon érection était toujours présente et très puissante. Je ne savais pas si ce que je faisais était une bonne idée mais ma tête tournait et avec ce que je venais de voir, j’avais besoin de faire tomber la pression. Il fallait que je sache.
Un bruit de raclement et le trou était ouvert… Oserais-je? Je pris le bout de papier que j’avais dans la poche. J’y avais noté “Laisse-moi toucher ta chatte avant que je passe ma queue stp”. C’était débile mais j’avais besoin de savoir que ce n’était pas un homme. Je n’étais pas homophobe mais me considérais comme totalement hétéro. Je regardais le trou depuis ma hauteur, me forçant à ne pas tricher.
J’entendis un peu de bruit venant du trou puis une main sortit du trou et me fis signe d’un doigt de passer ma main dans le trou. Je plaçais ma main tremblante dans l’ouverture sans savoir ce qui m’attendait de l’autre côté. Mais la surprise me fit sursauter de plaisir. Mes doigts se posèrent bien sur une vulve. Je la découvrais du bout des doigts, c’était terriblement excitant. Un clitoris très gonflé et une fente très serrée. Aucuns poil, parfaitement rasée. Mon érection redoubla dans mon pantalon. Je joua quelques secondes avec mais la main de mon interlocutrice mystère m’incita à m’arrêter là. Je retira donc ma main du trou. J’entendis alors un petit chuchotement:
– Sors ta queue mon grand, je veux te sucer.
Oh mon dieu. C’était réel. Je m’executa et déboutonna mon pantalon. Mon gros sexe sortit de sa prison et jaillit dans la fraîcheur de la nuit. Doucement j’approcha ma verge du trou et je la fis passer à l’intérieur, collant mes hanches contre le mur. La femme mystère commença par sucer mon gland, lentement, goulument. Puis commença véritablement la pipe, je la sentis prendre toute la verge au plus profond et faire des va-et-vient de sa bouche. La chaleur de sa gorge envahissait mon gland. Le mouvement était tellement parfait et la femme de l’autre côté de ce mur savait tellement ce qu’elle faisait, c’était forcément une putain de pro. Elle accéléra le mouvement et je dus fermer les yeux et serrer les dents pour ne pas jouir tout de suite. Mais la suceuse mystère accéléra encore et resserra sa bouche le long de ma queue. Je n’en pouvais déjà plus. Je serrais les dents et mon corps se tendit contre le mur, je laissa échapper un râle de plaisir. Connaissant les films de cul sur les gloryhole, je tenta de lui signaler que j’allais jouir en tocant contre le mur de briques.
Mon corps se tendit et je sentis mon sperme jaillir tandis que ma suceuse mystère ne bougea pas d’un pouce, elle laissa la totalité de ma semence se décharger dans sa gorge tandis qu’elle ralentissait les mouvements de va-et-vient. Je finis mon orgasme et me laissa tomber en arrière alors que le trou se referma immédiatement dans un petit bruit de raclement. Je m’asseya sur le banc de la cabine et repris mon souffle, cette cochonne avait dû me vider en moins de 3 minutes. Entre deux essouflements je lançais:
– Vorace hein? Je savais pas que c’était contre la montre…
Mais je n’obtins aucune réponse, seulement le bruit des vagues au loin et des jeunes faisant la fête. Je me releva au bout d’un instant, me rhabilla et quitta la cabine en silence. Je mourrais évidemment d’envie de savoir quelle cochonne pouvait se cacher derrière ce trou, mais d’une part j’avais déjà remarqué plus tôt que je n’avais pas le temps de faire le tour, et de l’autre je ne voulais pas forcément découvrir ce secret de suite, de peur de m’être fais sucé par une vieille dégueu…
Je passa une main dans mes cheveux, abasourdi par ce qui venait de se passer et marcha très lentement vers le camping…
A suivre…
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