Cette histoire est traduite avec l’aimable autorisation de l’auteur HotStuffPrya
Cette histoire est une Fiction et ne peut être réelle. Elle raconte l’exploitation sexuelle d’une jeune étudiante. Elle peut choquer. Pour les personnes n’aimant pas les récits de soumission féminine, ne continuez pas à lire.
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Erika est une bombe. Etudiante de 20 ans, elle est le genre de fille qui fait tourner les têtes quand elle marche dans la rue. Et elle le sait.
Elle possède un corps fantastique : des lèvres bien pleines, des seins énormes pour son âge, une taille fine, un ventre plat (avec un piercing au nombril) et un cul bien bombé.
Sa mère a loué un appartement au rez-de-chaussée de ma maison pour 1500 euros par mois. Erika et sa mère ont emménagé il y a quelques années déjà. A cette époque Erika était une simple gamine qui commençait à se développer. Pendant l’été, elle s’habillait de pantalon trop serré et de tee-shirt trop petit. J’ai toujours essayé de ne pas trop la mater mais c’était difficile. L’été dernier, elle se promenait dans le petit jardin autour de la maison dans un petit bikini bleu. Le jour où j’ai dû aller réparer une fuite dans leur appartement, j’ai passé quasiment trois heures à la mater. Elle se promenait devant moi et me demandait si j’avais besoin d’aide. J’ai eu l’impression qu’elle attendait autre chose de moi. A chaque fois qu’elle me regardait, elle avait l’air aguicheuse. Elle me souriait en me donnant l’idée de me jeter sur elle pour lui enlever son bikini.
La mère d’Erika est une femme d’affaire qui voyage beaucoup. Ses déplacements peuvent durer d’un jour à une semaine. Parfois elle partait même durant un mois. Erika restait seule dans l’appartement. Elle disait à sa mère qu’elle n’était plus une gamine et qu’elle n’avait pas besoin de baby-sitter.
Un jour, sa mère me dit qu’elle sera absente pour plus d’un mois à l’étranger et qu’elle s’est assurée que sa fille me donne le loyer le 1er du mois.
Toutefois, une semaine après le début du mois, je n’ai toujours pas reçu le loyer. J’attends donc qu’Erika rentre de la FAC pour e lui demander. Vers 16h00, j’entends la porte de la maison s’ouvrir. Mais au lieu de lui demander abruptement l’argent, je décide d’attendre qu’elle souffle un peu.
J’habite au premier étage. Et une heure plus tard je l’appelle du haut de l’escalier et lui demande de monter.
Quand elle arrive, elle est habillée d’une jupe courte qui tombe à deux centimètres au-dessus de ses genoux et d’un chemisier blanc avec les deux premiers boutons défaits. Nous entrons dans mon salon et je m’assois sur le canapé en lui disant de venir à côté de moi. Je lui propose de prendre un bonbon sur la table basse de mon salon. Quand elle se penche, je vois dans l’ouverture de son chemisier, la fente entre ses deux seins contenus dans un soutien-gorge blanc.
– Comment allez-vous? demande-t-elle avant de mettre le bonbon dans sa bouche.
– Bien. Et toi? comment va ta mère?
– Elle va bien. Elle est en Angleterre puis elle doit aller en Allemagne puis au Japon avant de rentrer.
– Bon je ne vais pas tourner autour du pot. Votre mère m’a dit qu’elle vous laissait l’argent du loyer avant de partir. Et cela fait déjà une semaine que j’aurais dû être payé.
La jeune fille est mal à l’aise sur le canapé. Elle dit doucement :
– Oh le loyer. Eh bien… vous voyez… je ne… je ne l’ai pas.
Je lui jette un regard sévère :
– Vous ne l’avez pas? Votre mère a oublié de vous le donner?
– Euhhh… non. Je l’ai… utilisé.
– Vous l’avez dépensé? Tout ou seulement une partie? demandé-je stupéfait.
– Tout! répond-elle en me regardant.
– Vous avez dépensé 1500 euros? Pour quoi? Demandé
Puis je rajoute :
– Attendez, je ne veux pas savoir, ça ne me regarde pas.
Elle s’approche de moi. Je peux sentir son parfum. Elle me regarde et me dit avec un air désolé :
– S’il vous plait, ne le dites pas à ma mère sinon elle va me tuer.
– Euhhh. Et Bien vous savez Erika, 1500 euros est une grosse somme pour moi. Je ne peux pas l’ignorer.
Elle se lève alors du canapé et s’assoie sur la table basse en face de moi. Sa jupe remonte sur ses jambes. Je peux presque voir sa culotte. Elle me regarde et dit :
– S’il vous plaît, nous pourrions peut-être trouver un moyen de nous arranger.
Je la regarde, un peu en colère. Elle met ses mains sur mes genoux et commence à les déplacer le long de mes cuisses. M’offrirait-elle de payer le loyer en nature? Ce n’est pas possible. J’essaie de ne pas perdre mon sang-froid. Je lui dis :
– Nous arranger? Comment ça?
– Eh bien, je vois bien la façon dont vous me regardez et je peux pratiquement lire vos pensées.
Je veux être sûr de sa proposition :
Me proposez-vous du sexe pour compenser l’argent du loyer?
Elle glisse au bord de la table basse et met ses mains sur mes cuisses puis elle attend.
– Attendez Erika. Je ne dis pas que ça ne m’intéresse pas mais coucher une fois pour 1500 euros c’est très cher. Dis-je en me reculant sur le canapé.
Elle est surprise et a l’air un peu effrayée alors que son plan bien établi vient d’échouer. Elle s’assoie normalement et retire ses mains de mes cuisses. Et elle demande alors :
– Combien de fois alors? Deux fois? Trois? Quatre? Plus que ça?
En la regardant bien, je me rends compte qu’elle a peur si sa mère découvre qu’elle a dépensé l’argent du loyer. C’est l’occasion que je recherche depuis l’été dernier. Alors je la fixe dans les yeux et lui demande :
– Tu ne veux vraiment pas que ta mère sache ce que tu as fait?
– Non. Répond-elle.
– Que crois-tu qu’elle va te faire?
– Je n’ai pas envie de le découvrir.
– Quand revient-elle?
– Dans trois semaines je crois.
– Tu as dépensé l’argent qui m’était destiné, l’argent du loyer pour un mois. En plus, tu n’as rien dit jusqu’à ce que je sois obligé de te le demander. Je ne veux pas faire l’amour avec toi, je veux te baiser rudement. Mais je ne crois pas qu’une ou deux fois suffiront.
– Alors combien de fois pour que ce soit assez?
Je souris et mets mes bras sur le dossier du canapé en me détendant. Je lui dis :
– Ta mère ne va pas être de retour avant trois semaines donc je pense qu’il est normal que je te baise jusqu’à ce que ta mère revienne, le nombre de fois que je voudrais.
– D’accord! Dit-elle rapidement.
– Holà! Attends, je n’ai pas fini!
Je m’arrête de parler et laisse un long silence passer puis je rajoute :
– Ce que je veux c’est que tu deviennes mon esclave, mon esclave sexuelle.
Elle me regarde et se dit que je plaisante. Mais en voyant mon air sérieux elle comprend que non et me dit alors :
– Esclave sexuelle? D’accord!
– Réfléchis bien. Cet esclavage ne se terminera pas avant que ta mère revienne dans trois semaines. Cela signifie que tu m’appartiendras. Je ferais de toi ce que je veux et quand je le voudrais. Tu devras obéir.
– J’ai compris. Je suis d’accord.
Ne voulant plus discuter avec elle je dis simplement :
– Ok, Commençons immédiatement alors. Va te mettre là-bas! Dis-je en pointant du doigt le milieu de la pièce.
Quand elle y arrive je lui demande de se mettre en sous-vêtements. Tandis que mon cœur bat la chamade, elle déboutonne son chemisier. Puis elle l’enlève lentement et le laisse tomber au sol. Ensuite elle dégrafe sa jupe dans son dos qui tombe elle aussi sur mon plancher. Elle la pousse du bout d’un pied.
Debout, au milieu de mon salon, se trouve une jeune femme la plus sexy que je n’ai jamais vue. Ses seins, bonnet C sont retenus dans un soutien-gorge en dentelle blanche. Le string qui l’accompagne est petit et mince. Je peux voir à travers que sa petite chatte est bien rasée.
– Maintenant, établissons certaines règles. Je les dirai seulement une fois. Si tu ne respectes pas ces règles tu seras punie. Est-ce clair?
– Oui.
– Règle numéro 1 : Tu m’appelleras Maître tout le temps. A chaque fois que tu me répondras, que tu me demanderas quelque chose ou que tu me parleras simplement, tu diras Maître.
– Oui Maître. Répond-elle.
– Règle numéro 2 : Sauf indication contraire, dans mon appartement tu seras toujours en sous-vêtements. Lorsque tu y entreras, tu iras là-bas…
Je pointe alors le coin de la cuisine.
-… et tu t’y déshabilleras. Cependant, dans la chambre tu seras toujours complétement nue. Tu n’es pas autorisée à porter des vêtements dans ma chambre.
– Oui Maître.
– Règle numéro 3 : Je vais te baiser encore et encore. Mais je ne mettrai pas de préservatifs. Donc tu as deux solutions : soit tu prends la pilule soit tu espères que je ne te mette pas enceinte. Je peux te dire que je ne vais pas me gêner pour jouir dans ton ventre.
– Oui Maître.
– Prends-tu la pilule?
– Oui Maître. Mais je n’en ai plus.
– Donc tu ne peux pas être baisée n’importe quand. Combien de fois as-tu été baisée?
– J’ai fait l’amour pendant trois mois avec mon ex, Maître.
– Ton ex? Pourquoi c’est terminé? Tu ne sais pas donner du plaisir?
Elle me regarde d’un air blessé comme si je l’avais insulté ou sali son honneur.
– Non Maître. J’ai arrêté avec lui car il baisait mal. Moi je sais.
– Vraiment? Je verrai bien si tu es bonne ou non. Ramène-moi de l’eau du frigo!
Je la regarde sortir de mon salon. Ma bite est raide comme un piquet. J’essaie de me contrôler. Il ne faut pas que je perde la maîtrise de moi-même. Elle revient, me donne l’eau et retourne à sa place. Je bois l’eau en détaillant ma nouvelle esclave. Elle se tient debout les mains dans le dos et les jambes légèrement écartées. Pendant une seconde, j’ai l’impression qu’elle aime ça.
– Règle numéro 4 : …
Je pose mon verre sur la table et continue :
– Tu avaleras mon sperme totalement. A moins que je décide d’éjaculer ailleurs, tu as le devoir d’avaler chatte goutte de la semence de ton Maître. S’il tombe sur le sol, tu le lècheras. S’il en reste sur ma bite ou mes couilles, tu les lècheras.
– Oui Maître.
Je la regarde en me posant quelques questions. Elle dit oui avec fermeté et un peu d’excitation dans la voix. Etait-ce un plan depuis le début? A-t-elle fait exprès de se mettre dans cette position pour m’offrir d’être baisée ensuite? Vous savez quoi? Je m’en fous. Je baiserai cette salope et c’est tout ce qui compte.
– Ok, pas d’autres règles pour le moment. Je te dirai plus tard si je veux autre chose. Mais garde bien à l’esprit que tu m’appartiens maintenant. Je possède ton corps. Tu es ma propriété et rien d’autre, mon jouet, ma suçeuse, ma vide-couille. Je fais ce que je veux et quand je le veux et comme je le veux. Accepte en souriant ou sois punie.
– Oui Maître.
Je ne peux m’empêcher d’avoir moi-même un grand sourire. Je me lève et je me rapproche d’elle. Il est temps d’inspecter mon acquisition. Je pose mes mains sur son doux visage et passe mes doigts sur ses lèvres pâles. Je me penche et je l’embrasse. Elle écarte légèrement les lèvres pour que ma langue passe dans sa bouche. En même temps, je descends mes mains le long de son cou jusqu’à ses seins. Je serre celui de gauche. Puis je commande :
– Enlève ton soutif!
Elle obéit et libère ses seins de leur captivité. Le soutien-gorge tombe au sol et sa poitrine se balance.
– Parfait! Murmuré-je.
Puis à haute fois j’ajoute :
– Les mains dans le dos et je ne veux rien entendre.
Immédiatement, elle met ses mains dans le dos. Je prends son sein droit dans mes mains et commence à le serrer. Puis je pince légèrement son téton entre le pouce et l’index. Ensuite je tire dessus de plus en plus fort. Ses mamelons ont durci. Elle commence à gémir. Je prends l’autre sein dans ma bouche et je commence à le sucer. Je tourne ma langue sur le mamelon dur puis je le mords avec mes dents. Je le suce alors que je continue à tordre l’autre entre mes doigts. Erika commence à se tortiller et essaie de se retenir de ne pas faire de bruit.
Au bout d’une minute, je me relève et laisse tomber mes mains sur son ventre plat. Je descends mes doigts sur son string et je cherche son sexe en écartant le fin tissu. Je mets un doigt puis deux dans sa chatte. Elle se mord la lèvre inférieure et ne laisse échapper qu’un petit gémissement. Je la baise avec deux doigts tandis qu’elle se tord et s’efforce de ne pas gémir.
Quelques minutes plus tard, je me baisse et je descends son string le long de ses jambes. Et je commande :
– Ecarte les jambes!
Elle obéit. Je pose une de ses jambes sur mon épaule et je commence à lécher sa chatte chaude et humide. Avec ma langue, je titille son clitoris. Une fois de plus elle gémit mais un peu plus fort.
Agacé qu’elle n’ait pas respecter mon ordre, je me relève, je la saisis par les cheveux et je lui donne une claque en disant :
– je t’ai dit de ne rien dire!
– Désolé Maître. Dit-elle, étonnée par la gifle.
Sa joue commence à rougir. Pour le plaisir, je gifle son autre joue. Maintenant son visage est uniforme, rouge sur les deux joues. Je récupère son string sur le sol et je le fourre dans sa bouche. Elle devrait être silencieuse comme ça. J’ordonne :
– Garde ça dans ta bouche jusqu’à ce que je te dise de l’enlever.
– Omm Mmmmtrmm. Tente-t-elle de dire.
Je me baisse et recommence de lui lécher la chatte. Avec mes mains, je palpe son cul puis je serre fort ses fesses. A chaque fois que je titille son clito, elle se tord alors j’agrippe ses fesses encore plus pour la maintenir en place. Puis j’arrête de la lécher. J’arrête avant qu’elle ait un orgasme.
Je me mets debout. Je la gifle encore et je la saisis par les cheveux pour l’amener vers le canapé. Je m’assoie dans celui-ci et lui demande d’enlever le string de sa bouche. J’écarte mes jambes et elle comprend immédiatement le sens. Elle se met à genoux et dégrafe mon pantalon pour me l’enlever ainsi que mon caleçon.
Ma bite jaillit, droite et dure. Elle la regarde et écarquille les yeux. Je vois dans son regard qu’elle n’a jamais vu une queue aussi grosse. Elle pose ses mains autour de mon membre et commence à lécher la base de mon sexe. Elle fait glisser sa langue de bas en haut de ma bite. A chaque fois qu’elle arrive au gland, elle l’embrasse. Puis après l’avoir léché à plusieurs reprises, elle ouvre sa bouche et enfourne mon membre.
En partant du sommet, elle glisse vers le bas. Elle est à peu près à mi-chemin quand je sens que ma bite touche le fond de sa gorge. Alors elle commence à me sucer pendant que ses mains massent mes couilles. A chaque fois qu’elle descend sur ma bite, elle essaie de la prendre plus profondément.
Je m’installe mieux et commence à grogner de plaisir. Putain, que cette salope sait bien sucer une bite. Après quelques minutes de cette fellation experte, je me sens prêt à jouir. Alors je me lève et je pense qu’il est temps pour moi d’en profiter.
Je lui ordonne de mettre ses mains derrière son dos puis je prends sa tête entre mes mains et je force ma bite au fond de sa gorge. Je lui demande d’ouvrir encore plus sa bouche et ses yeux. J’enfonce ma queue dans sa gueule de plus en plus profondément. Elle fait des bruits étouffés chaque fois que ma bite entre et sort de sa bouche. Je la pousse aussi loin que je peux sans la faire vomir. Avec une main je lui pince le nez. Elle commence à s’agiter car elle ne peut plus respirer. Mais quelques secondes plus tard, je retire mon sexe et de la salive ainsi que du liquide pré éjaculatoire sortent de sa bouche.
Je souris en voyant ma petite salope, à genoux, les mains dans le dos, en train de baver. Son mascara s’en va et complète l’aspect soumis d’Erika.
Je l’att**** par les cheveux et je la pousse sur le canapé où je lui ordonne de se mettre à genoux. Je passe derrière elle et donne des claques sur son cul. Puis j’écarte ses fesses et je dirige mon sexe dans son petit trou du cul. Elle s’agrippe au canapé et crie très fort. Je saisis ses cheveux pour mieux la tenir et je force son anus. Elle est très étroite. Ma bite étant lubrifiée par sa salive, je l’enfonce de plus en plus profond. Ses cris et ses gémissements augmentent aussi. J’arrive à att****r un sein tout en tirant sur ses cheveux.
Peu de temps après je suis prêt à éjaculer. Alors je me retire rapidement de son cul et je lui ordonne de se retourner. Elle obéit et ouvre la bouche juste à temps pour mon sperme chaud. Comme une professionnelle elle avale tout, ne laissant aucune goutte tomber ailleurs.
Enfin, je la repousse et m’assoie sur le canapé en lui disant :
– Ok! c’était pas mal… mais pas formidable.
Elle me regarde d’un air blessé. Je lui dit alors d’aller se nettoyer et de revenir dans 30 minutes.
Tandis qu’elle se lèvre et se dirige hors de mon appartement vers les escliers, je la regarde et j’admire ses courbes féminines. Jamais de ma vie, je n’aurai cru avoir une jeune fille si salope à ma merci.
« La suite va être amusante » Pensé-je. J’ai beaucoup d’idées sur ce que je vais pouvoir faire avec mon jouet.
A suivre…
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