De temps en temps un homme prénommé André qui réside dans la ville qui est la préfecture du département fait appel à mes services quand il se déplace dans la ville ou je réside ou dans les environs et nous faisons l’amour dans une chambre D’hôtel.
Veuf ayant la quarantaine, de taille moyenne, brun et élégant il se montre toujours satisfait de mes prestations sexuelles et est d’une compagnie agréable.
A chaque fois il me parle de son association qui a pour but de venir en aide aux enfants défavorisés de sa ville en proposant des sorties, des activités ou l’aide à des familles en difficultés afin que leur progéniture vive un peu mieux surtout au niveau scolaire et récréatif.
Ils se sont mis en tête de recueillir suffisamment d’argent pour organiser un séjour à la mer pour des enfants, un endroit ou ils ne sont jamais allés pour la plupart d’entre eux.
Ils utilisent tous les moyens à leur disposition mais ce n’est pas toujours facile.
Ce jour là il me dit qu’ils n’arrivent pas à boucler le budget pour le séjour à la mer et en blaguant je lui dis:
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Une semaine plus tard André me téléphone.
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Il avance des arguments et essaie de me convaincre.
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Pour réfléchir, je réfléchis beaucoup, plus je le fais et plus ce qui me semblait impossible l’est de moins en moins et comme on ne se refait pas.
Une semaine passe et j’appelle André. Je sais que ce n’est pas raisonnable et que je vais prendre de gros risques.
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Je lui expose comment je vois la chose et dans les semaines qui suivent nous restons en contact et attendons de nous rencontrer dans un hôtel pour faire l’amour et finaliser le projet.
Une fois ses envies sexuelles assouvies (il a éjaculé dans ma bouche puis ensuite deux fois dans mon vagin) nous parlons longtemps et réglons les détails de ma prestation. Je le préviens qu’au moindre problème j’arrête.
Je sais qu’il y aura du beau monde (pour récupérer le maximum d’argent) et que cela va se passer dans un ancien corps de ferme, le prétexte est une réunion inter-associations réservée aux hommes en vue de récolter des dons.
Je loue des cassettes ou des femmes se déshabillent en se déhanchant, devant un miroir je m’entraîne à faire bouger mon corps et enlever mes vêtements en pour ressembler le mieux possible à une streaptiseuse sans paraître empruntée.
Le jour de ma prestation est arrivé, je prépare une petite valise, André vient me chercher et en voiture nous gagnons un lieu assez éloigné dans la campagne.
Nous pénétrons dans une propriété, une ancienne ferme rénovée, qui comporte plusieurs bâtiments en plus de l’habitation.
Je commence à stresser.
André me montre la salle ou je dois m’exhiber. Elle est grande avec au fond un bar, elle est remplie de tables, bancs et chaises et à une extrémité se trouve une scène sur laquelle je vois une banquette recouverte de tissu rouge, sans compter un micro.
Nous gagnons une pièce meublée d’une table surmontée d’un miroir, une chaise, un canapé et dans un angle un lavabo. C’est là que je dois me préparer.
Le temps passe et par la fenêtre je vois des voitures se garer et de plus en plus d’hommes arriver.
Je commence à me sentir mal, la peur s’installe en moi.
André qui s’était éclipsé revient avec une bouteille de champagne et des verres.
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finalement je bois plusieurs verres et je commence à me sentir euphorique, mon trac s’envole.
Je me maquille afin de faire ressortir le bleu de mes yeux et d’accentuer la forme de mes lèvres.
Je m’habille avec des sous-vêtements sexy noirs, des bas noirs avec le porte-jarretelles assorti à mes dessous, une jupe en cuir rouge brillant, un Chemisier blanc à boutons et des chaussures à hauts talons rouges.
André me trouve parfaite et très désirable. C’est vrai que mon physique de salope attire déjà les mâles alors vêtue sexy ce n’en est que mieux.
j’entends un homme qui s’adresse à l’assistance et leur fixe les règles du jeu et le montant de la mise requise que doit mettre chaque participant pour que je perde un vêtement.
Outre deux costauds qui se tiennent au bord de l’estrade pour ma sécurité deux hommes sont tirés au sort pour m’assister dans ma tâche (surtout pour que je me sente moins seule).
Il précise que si la majorité de l’assistance ne participe pas à chaque appel de fonds la soirée sera annulée et qu’aussi des enfants comptent sur eux.
Il interdit suite à une de mes exigences les appareils photos.
André vient me chercher et je me recouvre d’une cape rouge.
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Il m’amène sur l’estrade.
Mon regard fait le tour de la salle.
Je dois affronter le regard d’une bonne quantité d’hommes et étonnant de trois femmes qui vu leur âge ne risquent pas de venir s’exhiber sur la scène.
Les tables ont été retirées et empilées au fond de la salle et les personnes sont assises, agglutinées au plus près de la scène.
En apercevant les cadavres de bouteilles sur et à côté du bar je vois que des boissons payantes sont servies ce n’est pas étranger à l’ambiance qui règne ici.
On baisse l’éclairage de la salle par contre c’est l’inverse sur scène, je n’échappe pas aux projecteurs et je suis bien en vue des spectateurs.
Je ne me sens plus moi même, j’ai l’impression de ne plus toucher terre et de vivre les événements comme si je rêvais.
Le speaker me présente et me remercie de participer activement à leur oeuvre et demande à l’assistance de m’applaudir. Heureusement que le champagne que j’ai bu fait son effet et m’évite le trac sinon j’aurais quittée la pièce en courant tellement c’est impressionnant.
Il demande aux préposés à la quête de faire passer dans la salle leurs corbeilles et de recueillir la première tournée de dons. Ils reviennent vers l’estrade, déposent l’argent dans un grand récipient en verre et indiquent que le spectacle peut commencer.
Les deux personnes tirées au sort me délestent de la cape et me promènent de long en large sur l’estrade en me tenant les mains et en me faisant tourner sur moi-même.
Le présentateur fait des commentaires sur mon physique.
Deuxième quête. Sur une musique appropriée à l’événement, tout en dansant, enfin si on peut appeler les mouvements de mon corps danser, je perds le chemisier que je déboutonne lentement et maintenant seul le soutien-gorge cache mes seins.
Des remarques fusent dans la salle.
Et de nouveau ce petit tour sur l’estrade qui se reproduira à chaque fois ensuite assise ou couchée sur la banquette disposée au bord de la scène je prends des attitudes lascives pendant que la quête recommence.
Entre temps un peu de champagne m’aide à rester euphorique.
Troisième tour, après avoir fait bouger mon corps en rythme avec la musique lentement je retire ma jupe, je suis en sous vêtements, le regard des hommes change et j’entends des commentaires graveleux surtout quand je prends des poses subjectives.
Quatrième tour, assise sur la banquette après que j’aie prise des poses lascives les deux hommes font lentement glisser mes bas le long de mes jambes et les enlèvent.
Cinquième tour, je danse puis perds le porte-jarretelles.
L’assistance est de plus en plus intéressée et les commentaires fusent de plus en plus, tout le monde est debout entassé au plus près de l’estrade et les dons augmentent sensiblement.
De dos par rapport au public c’est au tour de mon soutien-gorge de disparaître et je ne parle pas de la réaction de l’assistance quand de nouveau je lui fais face les seins à l’air et que je me caresse puis quand je fais un tour sur l’estrade.
C’est la dernière quête et mon string descend lentement, glisse le long de mes jambes que je lève tour à tour pour m’en débarrasser.
Je suis nue, je montre d’abord mes fesses puis me tourne pour me présenter de face, c’est la folie dans la salle surtout quand impudique assise puis allongée sur la banquette je me caresse, j’écarte les cuisses et que l’assistance a une belle vue sur mon sexe.
Je parle avec le présentateur et il annonce à la salle qu’il met aux enchères mes sous-vêtements.
Tour à tour mes bas, le porte-jarretelles, le soutien-gorge et enfin à prix d’or le string trouvent acquéreurs.
Au prix ou ils partent s’ils coûtaient autant en magasin très peu de femmes porteraient des dessous car beaucoup trop chers pour leur bourse.
Celui qui a réussi à obtenir mon string le sent puis sans le lâcher le fait sentir à ses voisins, le fond est humide et imprégné de l’odeur de ma mouillure car la séance m’a excitée.
Je dois encore m’exhiber sur la bord de la scène pour que les mâles puissent bien voir avec qui il peuvent passer une soirée avant que mon corps ne soit mis aux enchères.
Au moment ou je passe devant une femme elle me dit:
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Je retourne sur la banquette prendre des poses et les enchères commencent.
Au début beaucoup de personnes enchérissent puis au fur et à mesure les abandons se succèdent.
A la fin deux participants se disputent mon corps pour une soirée.
Finalement l’un des deux capitule.
Quand j’entends ce que le gagnant débourse je n’en reviens pas de valoir aussi cher.
Je regagne ma « loge » et me rhabille.
Alain le gagnant vient me voir, vu l’âge que je lui donne il pourrait être mon père, sans être beau il a un physique passe-partout, je pouvais m’attendre à pire, nous nous accordons pour le jour, le lieu et l’heure du rendez-vous.
Nous trinquons avec un verre de champagne et parlons un moment puis il s’en va.
André vient me voir.
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Quand on est une putain on ne se refait pas.
Je me déshabille.
Le premier qui se présente, un homme bedonnant au front dégarni, veut une fellation, il sort son sexe et à genoux je le masturbe un peu puis je suce, il met du temps avant de se soulager dans ma bouche et je dois m’activer, je recrache dans le lavabo.
Ensuite j’ai droit à deux pénétrations consécutives plus ou moins longues allongée sur le canapé. Mon vagin se fait arroser.
Le quatrième a droit à une pipe et éjacule rapidement dans ma bouche, je recrache une bonne quantité de sperme dans le lavabo, il n’avait pas du faire la vidange depuis un certain temps.
Pour le dernier je me penche en avant, positionné derrière moi il me pénètre en levrette à grands coups de reins, sa queue fait des va-et-vient dans ma chatte dégoulinante du sperme des deux collègues qui l’ont précédé. Il me défonce pendant un moment, l’alcool qu’il a ingurgité ne favorise pas la chose, je soupire quand enfin son sperme coule dans mon vagin.
La seule chose que ces hommes m’ont fait c’est me tripoter les seins.
Je me nettoie dans le lavabo, heureusement j’avais prévu le nécessaire de toilette.
Je me rhabille prends ce qu’ils ont posé sur la table et je rejoins André.
Sur le chemin du retour il me remercie, la soirée a été une réussite pour son association.
Le jour du rendez-vous avec la gagnant des enchères est arrivé.
Je me maquille et m’habille sexy pour plaire à l’homme à qui je vais appartenir pour la soirée.
Alain m’attend sur la grand place, je le rejoins et il m’embrasse sur la joue.
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Nous entrons dans un établissement chic.
Pendant le repas il se montre prévenant, aimable et je m’aperçois qu’il est cultivé.
J’apprécie l’excellent dîner et le champagne que nous buvons en apéritif puis pendant le repas. L’alcool me monte à la tête ce qui est mieux pour la suite.
Nous quittons le restaurant et arrivés dans la rue il me dit:
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Nous nous dirigeons vers un hôtel ou il a déjà réservé, il récupère une clé à la réception.
Il me prend par le bras et me conduit dans sa chambre.
Arrivés à l’intérieur je me colle contre Alain, je l’enlace et l’embrasse, il coopère et nos langues se mélangent dans un long baiser.
Je retire mes vêtements lentement devant lui, je tourne sur moi-même et me colle contre lui.
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Je l’ai empêché de se déshabiller seul,je le fais lentement en caressant, léchant et embrassant sans me presser les parties de son corps que je dénude en commençant par son cou puis son torse pour finir sur son ventre rebondi.
Il soulève les jambes une à une pour que je le débarrasse de son pantalon et de son slip.
Lui debout, moi à genoux je l’oblige à écarter les jambes pour pouvoir embrasser et lécher longuement ses cuisses même à l’intérieur jusqu’aux testicules mes mains caressent ses fesses. A son grand désappointement je me désintéresse de son sexe de taille moyenne bien érigé. Il caresse mes cheveux.
Aux mouvements de son corps je constate que ce que je lui fais l’énerve car il aspire à autre chose, j’ai atteins mon but.
Gardant les mains sur ses cuisses ma langue lèche son gland puis sa queue jusqu’aux bourses sans oublier un morceau de peau. Il aime, son corps se raidit et ses doigts s’agrippent à mes épaules.
Il sursaute quand je prends son pénis dans ma bouche et que je le fais coulisser jusqu’au fond de ma gorge.
Pris par le plaisir qu’il ressent il me traite de petite salope.
Je commence la fellation par des aller-retour lents de ma bouche sur sa queue puis j’accélère, le résultat est rapide car il est à point. Ses ongles s’incrustent dans mes épaules à me faire mal. Son corps se tend, sa verge enfle et tressaute dans ma bouche en envoyant des giclées de sperme au fond de ma gorge. J’avale le liquide et continue un peu à sucer pour éviter qu’il ne débande.
Je m’allonge sur le lit et écarte les cuisses.
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Il ne se fait pas prier, s’allonge sur moi et me pénètre. Il s’active à grands coups de reins pour faire coulisser son pénis dans ma chatte pendant que mon bassin remue pour accompagner ses mouvements, ses bourses tapent contre mes fesses.
Non pressé d’en finir il s’arrête de temps en temps pour m’embrasser ou caresser mes seins et agacer les tétons pendant que je caresse sa poitrine et son dos.
Je commence à mouiller, il a beau se retenir je ne ralentis pas les mouvements de mon bassin. Il s’agrippe à moi, il se raidit, dans mon ventre je sens sa queue s’agiter et son sperme inonde mon vagin.
Alain s’allonge à côté de moi en soufflant.
<<ça t'a plu, tu as eu du plaisir>>.
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Je caresse puis embrasse et lèche son corps pendant un moment.
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Une de mes mains s’attaque à son sexe qu’elle caresse et masturbe.
Notre position lui permet de caresser mes seins et de torturer les tétons puis après avoir caressé mon sexe des doigts titillent puis masturbent mon clitoris.
Sa queue est de nouveau en érection bien que encore un peu molle, je la prends dans ma bouche et je commence une fellation.
Excité il masturbe mon clitoris violemment ce qui fait monter le plaisir dans mon ventre et énervée je le suce énergiquement, ma bouche et mon nez se perdent dans la toison abondante de son pubis en butant dessus.
Ni l’un ni l’autre ne veut lâcher et le plaisir que je ressens est à son maximum, comme il insiste mon corps est pris de spasmes et je jouis arrosant sa main de ma cyprine et en émettant des sons confus car son pénis est toujours dans ma bouche.
Il est content du résultat.
Je me retrouve la tête dans les draps agenouillée les jambes écartées, Alain se met derrière moi et sa queue pénètre ma chatte gluante de sperme et de mouillure. Il me défonce sans ménagement, une de ses mains martyrise mes tétons pendant un moment puis masturbe mon clitoris. Je caresse ses cuisses et triture ses testicules.
Le plaisir qui ne m’a pas quittée devient insupportable, j’ai un orgasme et je m’écroule sur le lit.
Alain place les oreillers sous mon ventre et continue à me prendre en levrette vigoureusement puis sa queue quitte ma chatte et vient buter contre mon anus dans lequel elle s’enfonce et il recommence les aller-retour en donnant de bons coups de reins jusqu’au moment ou son sexe s’agite et que ses ongles s’enfoncent dans la chair de mes cuisses, il éjacule dans mon cul.
Allongés côte à côte nous récupérons.
Je ne suis pas décidée à abandonner la partie et j’estime qu’il a droit à plus.
Je l’embrasse longuement et pendant que nos langues se mêlent je caresse son corps puis je délaisse sa bouche pour encore lécher et embrasser son torse puis son ventre pour finir par ses cuisses et son sexe.
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Tout en embrassant son ventre je caresse puis masturbe sa queue ramollie, il me faut un certain temps pour le faire rebander mais je suis obstinée et j’arrive à un résultat puis je lui fais une nouvelle fellation avec des va-et-vient rapides de ma bouche sur sa verge.
Il recommence à masturber sans ménagements mon clitoris qu’il sait maintenant être mon point faible.
Nous nous acharnons moi sur sa queue avec ma bouche et lui sur mon clitoris avec ses doigts, le plaisir ne tarde pas à remonter dans mon ventre et quand je suis à la limite de jouir je me déplace et me mets à califourchon sur lui les jambes de chaque côte de son corps.
Je m’empale sur son pénis et commence des mouvements de haut en bas pour faire coulisser son membre dans ma chatte, il donne des coups de reins pour m’accompagner les doigts agrippés à mes tétons qu’il tord et étire.
Le plaisir que je ressens ne baisse pas au contraire et comme il s’active en même temps que moi j’atteins encore l’orgasme et je me couche sur lui son pénis toujours en moi.
Il m’embrasse puis je recommence à remuer sur lui après avoir fait pénétrer sa verge dans mon anus jusqu’au moment ou il me couche sur le dos et de nouveau me pénètre allongé sur moi.
Ses coups de reins sont violents, j’essaie de bouger en harmonie avec lui mais il m’est difficile de suivre son rythme.
Je plie mes jambes, mes genoux se trouvent à hauteur de ma poitrine, ce qui lui facilite l’accès à mon cul dans lequel son pénis s’enfonce.
Notre étreinte dure longtemps et que je jouisse ne perturbe pas ses coups de boutoir. Son éjaculation est longue à venir.
Comme le plaisir ne baisse plus dans mon ventre j’ai encore un orgasme avant qu’enfin il ne se soulage dans mon corps.
Il se couche sur moi en soufflant puis après avoir un peu récupéré il s’allonge sur le lit.
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nous nous lavons puis il prend des boissons dans le mini bar et nous buvons en parlant.
Rhabillés nous quittons l’hôtel et nous nous séparons après un dernier baiser.
Lors du rendez-vous tarifé André m’a raconté que Alain ne tarissait pas d’éloges à mon sujet et souhaitait que dans l’avenir ils m’invitent pour certaines de leurs manifestations. Mais pour moi une fois cela suffit.
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