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Aux archives

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Une fois par an, je dois faire de l’archivage . Tous nos documents sont stockés dans le sous-sol d’un bâtiment indépendant de nos bureaux. Les archives sont partagées avec d’autres entreprises.
La pièce est plutôt grande avec les classiques rayonnages pour ce genre de local. Une table et trois chaises à l’entrée mais aussi dans le fond de la salle, d’autres box avec une porte que l’on peut verrouiller. La porte principale se ferme automatiquement et un radar commande l’éclairage.
Habituellement, je ne passe qu’une à deux journées dans le box réservé par l’entreprise, mais cette fois ci se sera beaucoup plus long, car je dois faire le tri complet afin de libérer de la place. Aussi je pense en avoir pour minimum une semaine.

Le lundi matin j’arrive vers 8 h 30. Je descends au sous-sol, entre dans la pièce principale, la lumière est automatiquement allumée. Puis je vais au fond à gauche, j’ouvre notre box, une pièce de 25 m² à peu près . Là, j’allume , installe mon ordi sur une petite table prévue à cet effet et commence mon travail.
J’ai bien prévu de la musique et des oreillettes, mais ce sera pour lorsque j’aurais pris le rythme. Je commence dans le silence absolu. Plus de mouvement, la lumière de la pièce principale s’éteint.
Il est 11 heures lorsque j’entends la porte principale s’ouvrir et vois les puissants néons de la grande pièce s’allumer. Quelqu’un vient de rentrer. J’attends quelques minutes, personne ne vient me voir. Je vais tout de même signaler ma présence.
Lorsque j’arrive au bout de la rangée ,en face de l’entrée, je vois deux femmes en train de s’embrasser, je fais un pas en arrière et me cache derrière le rayonnage. La plus grande des deux parait plus âgée .Elle est habillée très classique un chemisier rose, un tailleur noir, de hauts talons, ses cheveux châtains coiffés en chignon. L’autre, je la vois de dos, parait nettement plus jeune. Elle porte un jean et un teeshirt gris clair, ses longs cheveux noirs lui arrivent jusqu’aux fesses.
La plus grande retire sa culotte, s’assoit sur le coin de la table et remonte sa jupe. « Déshabille-toi complètement ! « dit-elle.
L’autre s’exécute et retire tous ses vêtements, qu’elle pose sur la table. Elle est toujours de dos, elle est fine, gracieuse, je ne vois que le bas de ses fesses qui paraissent fermes et rondes. La plus grande, que je vois nettement mieux maintenant doit avoir une bonne cinquantaine d’année. Elle n’est pas vraiment jolie, maquillée de façon excessive. Elle déboutonne son chemisier , dégrafe son soutien gorge par devant, deux gros seins lourds tombent sur son ventre. Ses mamelons forment de larges disques bruns, j’ai peine à y discerner ses tétons. Elle se penche sur le côté et retire de son grand sac à main une ceinture qu’elle passe au cou de la petite qui elle relève ses cheveux.
« Mets- toi à quatre pattes et viens me lécher ma fille » dis t’elle en se mettant debout les jambes écartées. La jeune femme obéit « Oui Madame ». Je vois bien maintenant son petit cul mat et une partie de la fente de son minou. Sa tête, que l’autre maintien vers le haut en tirant sur la ceinture fait des mouvements d’avant en arrière. J’imagine, même, si je ne le vois pas, sa langue parcourir la fente de « Madame ». « Cela suffit ma petite, rhabille toi, laisse Madame et sois ici à la même heure demain .
« Oui Madame »
puis elle se rhabille rapidement et sort.
Madame se place alors face à la table pose sa chatte sur le coin et se masturbe, ainsi . Ses fesses sont tombantes, tout comme ses seins. Elles se balancent comme de la gélatine à chaque coup de bassin. Elle jouit.
Elle est partie ! Je suis encore au même endroit , stupéfaite du spectacle improbable qu’elles viennent toutes deux de me donner. Je constate alors, que malgré tout cela m’a excité car je suis humide entre les cuisses.
Le lendemain, j’arrive encore plus tôt, vers 8 heures. Je me suis posée la question toute la soirée d’hier. Est-ce que je fais en sorte qu’elles sachent que je suis là ? Ou est que je continue à faire ma voyeuse ?
Vers 10 heures alors que j’ai réussi à travailler un peu ! Je parcours les rayonnages cherchant un endroit où j’aurais un meilleur point de vue sans pour autant prendre le risque de me faire voir.
Voilà ! Ici se sera parfait en me mettant accroupie et en poussant un peu ces deux boites d’archivage, j’aurais une vision parfaite de la scène. Elles seront à 3 mètres de mon poste d’observation, et si nécessaire je pourrais retourner à mon box sans être vue.

Il est 10 heures 55, lorsque Madame arrive, elle est seule !
Elle pose son sac sur la table, en retire sa ceinture. Elle déboutonne son chemisier, dégrafe son soutien-gorge puis retire sa culotte. Elle s’assoit sur le coin de la table et commence à se caresser une main sur un de ses gros seins, l’autre entre ses cuisses. Je suis juste en face d’elle. Je vois parfaitement bien ses doigts s’activer sur son clito et entrer en elle profondément. Elle est déjà toute trempée.
11 heures ! On frappe à la porte, Madame va ouvrir, d’où je suis-je ne vois pas qui entre mais le devine.
« Tu es en retard ma fille, tu sais quelle sera ta punition !  »  » Oui Madame ».
La petite brune que je ne vois que de dos se déshabille complètement, se met à quatre pattes .Madame lui passe comme la veille la ceinture autour du cou et vient lui mettre deux claques sur chaque fesse. Elle vient ensuite se placer jambes écartées, jupe relevée, en face d’elle .
« lèche moi maintenant et applique toi «
La petite s’exécute.
Madame a lâché la ceinture et se caresse les seins des deux mains, les remontant et les massant vigoureusement. Elle les laisse retomber soudainement pour mettre ses deux mains sur la tête de la jeune femme.Elle avance son bassin. Son corps est secoué de spasmes ! Elle jouit.
« Essuie toi ma belle « dit-elle en lui tendant un mouchoir « sauve-toi maintenant, à demain ».
Elles sont maintenant toutes deux parties. Mon poste d’observation était parfait pour admirer les jolies fesses rougies de la jeune brune, mais je n’ai toujours pas vu son visage.

Habituellement, à midi je vais déjeuner à la brasserie, quelques rues plus bas, mais aujourd’hui je vais aller au restaurant d’entreprise . Peut-être, y verrais-je la belle petite brune.
Elle est seule à une table, mais décidément je n’ai pas de chance, elle est toujours de dos. Bon aller ! Je vais m’installer en face d’elle.
« Bonjour, bon appétit, je peux m’installer ici ? »
« Oui bien sûr « me répond-elle sans relever la tête de l’épais manuscrit qu’elle lit .
« Vous mangez souvent ici ?».
Enfin elle me regarde. Elle est tout simplement magnifique, une belle bouche aux lèvres pulpeuses un petit nez rond et de grands yeux marrons foncés dans lesquels je me perds un instant. Elle a dû me poser une question car je comprends à son regard qu’elle attend ma réponse mais je ne l’ai pas entendu, complètement éblouie par sa beauté.
« Pardon ! »
« Je vous disais, que je ne vous avez jamais vu ici «
« Effectivement ! C’est la première fois que je viens déjeuner ! Ici ! »
« Pour quelle raison acceptez-vous ce qu’elle vous fait subir ».
Elle me regarde l’air étonnée « pardon ! »
« Je suis aux archives, au sous-sol depuis hier matin «
Elle regarde à droite et à gauche comme pour vérifier que personne n’a pu m’entendre, pose son index sur sa bouche pour me dire de me taire. Elle déchire un morceau de papier à la fin de son manuscrit et écrit. Elle me passe discrètement, le petit mot.

RDV à la brasserie de la gare à 18 heures, je vous expliquerez !
Je n’aurais peut-être pas dû lui dire que je les avais vu toutes les deux ! J’aurais pu continuer à faire la voyeuse. Maintenant la voir contrainte gâchait le plaisir que j’avais à regarder son joli corps.
Bon dans un quart d’heure je la retrouve ! Que va-t-elle me dire ?
J’entre dans le café presque vide. Elle est assise au fond. Quand elle me voit m’avancer vers elle ! Elle me fait signe en tapotant avec sa main sur la banquette de venir m’assoir à ses côtés.
Le garçon ! « Pour Madame ça sera » « un café s’il vous plait ……. Pardon, déca, plutôt vu l’heure «

« Alors racontez-moi ! Qu’avez-vous vu aux archives «
Je lui raconte !
« Alors comme cela vous avez fait la voyeuse ! Cela vous a plu ? Vous vous êtes peut être même caressée en nous regardant ? « « Pas besoin de me répondre vos joues rougissent » dit-elle en souriant.
« Moi c’est Flore, j’ai 24 ans, je suis lesbienne et avec Elisabeth « Madame » je suis toute à fait consentante. C’est une femme très gentille, elle est responsable du service administratif de la société. Grace à elle, je fais mon stage de fin d’étude dans cette entreprise ».
« J’aime beaucoup lui faire plaisir en étant sa soumise et elle est généreuse avec moi, car elle me rémunère, sans elle j’aurais bien du mal à payer mon loyer. »
« Alors ! Voilà ce que je te propose, étant donné que tu as vu mon cul, je peux te tutoyer ! Fais de même !
« D’accord »
« Ma proposition ! Je ne dis rien à Elisabeth et tu continues à faire ta petite voyeuse. Ca va beaucoup m’exciter de te savoir là tout près à nous regarder en te caressant. Et le soir à la même heure on se retrouve ici. «
« Je vais devoir te laisser ! Je ne connais pas ton prénom ! »
« Ellen »
Elle se lève ! Me fait une bises « bonne soirée Ellen « et s’en va !

Mercredi 10 h heures 50, je me place à mon poste d’observation, j’ai trouvé un petit tabouret ce sera plus confortable. J’enlève ma culotte et pose mes fesses directement sur le tabouret, afin d’éviter de mouiller ma robe, on ne sait jamais !
Elles arrivent ensemble , Madame toujours vêtue de la même façon. Flore est en robe courte blanche à pois rouge. Madame comme les autres jours déboutonne son chemisier son soutien-gorge, mais cette fois laisse glisser son tailleur et demande à Flore de lui ôter sa culotte.
« Qu’est-ce que tu attends ma petite ? Déshabille-toi ! «
« J’ai besoin de votre aide Madame pour déboutonner ma robe » Flore se retourne, elle me fait face et me fait un petit clin œil. Madame passe la ceinture autour du coup de Flore et déboutonne sa robe. Le tissu glisse le long de son corps ! Elle ne porte aucun sous vêtement .Je découvre ses deux magnifiques petits seins pointus, son ventre, une petite touffe de poils noirs brillants juste au-dessus de sa petite fente délicate. Elle est terriblement belle, me vient une folle envie de la caresser.
« A genoux ma fille tu vas me lécher » Flore s’agenouille mais toujours face à moi. Madame vient se placer devant elle, jambes écartées , penchée en avant , les mains posées sur la table.
Flore, la lèche avec enthousiasme, mais en même temps ,de ses doigts, elle écarte ses lèvres pour me laisser apercevoir son clito. Je suis toute excitée et ne peux m’empêcher de me caresser, tout en me retenant pour ne pas jouir.
Les fesses et les cuisses, les gros seins de Madame se balancent au rythme des coups de langue de la belle.
Elle sait y faire. Je vois son menton gouter de la liqueur que ses caresses buccales provoquent. Soudain les fesses de Madame se contractent une de ses mains vient appuyer la tête de Flore plus fort contre sa chatte. Elle jouit.
Alors que madame commence à se rhabiller Flore est restée, là à genou, jambes écartées, le bas du visage tout humide. Elle me sourit.
Après qu’ elles soient toutes les deux sorties, il ne me faudra que 2 minutes pour avoir moi aussi un bel orgasme.
Flore m’a prévenu, elles ne seront pas là vendredi, toutes deux en réunion à l’extérieur. Aujourd’hui, Jeudi sera donc la dernière fois ou je ferais ma voyeuse cachée derrière mes boites de rangement. Elle m’a aussi dit que ce serait différent cette fois si, sans vouloir m’en dire plus. Cela m’excite.
A 10 H 50, comme les jours précédents, je suis à mon poste.
Madame arrive cinq minutes plus tard, une mallette noire à la main qu’elle pose sur la table. De la même façon que les autres jours, elle déboutonne son chemisier, dégrafe son soutien-gorge, enlève sa jupe et sa culotte. Malgré ses gros seins lourds tombants, les plis de son ventre, sa chatte pas fraichement rasée dont dépassent de grandes lèvres, elle a un certain charme ou plutôt une certaine classe, perchée sur ses hauts talons.
Flore arrive à son tour.
« Bonjour Madame » l’autre ne répond pas.
Sans directives, Flore se déshabille. Je la vois de dos, toujours aussi belle.
« Mets- toi à plat ventre sur la table, pieds au sol, jambes écartées et mains dans le dos« lui dit Madame en lui montrant la table.
Flore le fait sans rien dire mais s’installe sur un autre coté de la table que celui indiqué par M Elisabeth.
Je comprends pourquoi elle a choisi ce côté, lorsqu’elle pose son visage ,une joue contre la table en me faisant face.
Madame ouvre sa mallette en sort sa ceinture et attache les poignets de Flore, puis c’est un grand double gode flexible qu’elle retire de la mallette.

En le tenant par une extrémité, elle va d’abord promener l’autre sur les fesses de la belle, puis comme avec un grand bâton mou, lui mettre des tapes sur le cul. Elle s’agenouille met un bout de l’impressionnant jouet à sa bouche, le recouvre de salive du bout des lèvres. De l’autre main elle vient écarter le minou de la belle et y introduit le gode. Le tenant comme elle tiendrait un couteau qu’elle voudrait planter .Elle va faire quelques vas et vient, puis le retirer et se redresser.
D’une main elle écarte les fesses de la belle et tente d’introduire l’engin dans son petit trou, apparemment sans succès.
« j’ai besoin de ton aide ma petite « dit-elle en enlevant la ceinture des poignets de Flore.
Sans un mot, sans la moindre expression du visage, Flore vient écarter ses fesses de ses deux mains.
Madame retente alors de sodomiser la belle. Le visage de Flore est fermé, ses yeux grands ouverts comme vides de toute expression. Je vois aux os de sa mâchoire qu’elle serre les dents et quand le gland au bout du gode la pénètre, elle écarquille des yeux, la bouche grande ouverte, sans qu’aucun son n’en sorte.
J’ai mal pour elle, mais j’ai promis de ne pas intervenir, quoiqu’il arrive. Mais, j’avoue qu’à ce moment précis, j’ai hâte que cela cesse et je ne ressens plus aucun plaisir.
Une fois le jouet introduit d’une dizaine de cm, Madame vient de nouveau attacher les mains de la belle au visage devenu inexpressif, comme si elle était absente, endormie les yeux ouverts.
Madame se positionne maintenant derrière elle et coudant le long double sexe se l’introduit dans la chatte. Dans cette position qui la rend un peu ridicule, les jambes pliées, le bassin en avant, tout en maintenant le jouet en son milieu, elle tente quelques va et vient. Elle n’y arrive pas. Il ressort régulièrement de son vagin avec à chaque fois un bruit de ventouse.
Visiblement agacée, elle enlève ses talons, se retourne, se penche en avant pose une main au sol, tenant de son autre main l’extrémité libre du double gode.
Elle commence des mouvements d’avant en arrière en tenant toujours le gode d’une main en son milieu, pliant les genoux afin d’aligner parfaitement les deux orifices remplis.
Lorsqu’elle trouve la position idéale, elle met son autre main au sol et accentue l’amplitude de ses mouvements.
Dans le même temps, le visage de Flore c’est illuminé, ses yeux sont devenus plus clairs et plus brillants . Elle sourit en regardant dans ma direction. Elle est métamorphosée.
Elle relève légèrement la tête, s’appuyant sur son torse, ses petits seins écrasés sur la table, ouvre sa bouche pulpeuse et fait glisser sa langue sur ses lèvres, puis m’envoi un bisou humide d’une sensualité extrême.
Je retrouve le sourire et comprend à ce moment qu’elle jouait son rôle de soumise et que maintenant à l’abri des regards de Madame, elle redevient ma belle, celle qu’elle est réellement.
Malgré tout, quelques petites grimaces à peine perceptibles montrent qu’elle sent bien l’imposant jouet la pénétrer, de plus en plus profondément, à chaque mouvement vers l’arrière que fait Madame.
Flore en appuyant le coté de son front sur la table et en bombant le dos, relève le torse, me laissant un instant admirer ses petits seins pointus. Madame accélère la cadence de ses mouvements d’avant en arrière, leurs fesses se rapprochent petit à petit. Le long jouet s’enfonce de plus en plus loin dans le cul de ma belle, il ne peut en être autrement.
Au deuxième contact de leurs fesses Madame jouit, poussant un cri rauque que je ne saurais vous décrire sinon que par « a****l ».
Flore est toujours allongée, elle ne bouge pas ,elle a repris son air « ailleurs » Madame s’essuie l’entre jambe avec plusieurs mouchoirs. Elle se rhabille remet ses chaussures rouges à talons.
Un mouchoir en main, elle att**** l’extrémité dégoulinante de mouille de l’objet en silicone couleur chair. Elle le retire doucement, cm par cm. Cela n’en fini pas. Flore reste impassible sans réaction aucune, jusqu’au moment où l’extrémité du long gode la quitte, dans un bruit que je ne vous décrirez pas, mais que vous imaginez bien. A ce moment ses joues se teintent de rouge.
Madame dessert la ceinture, Flore se redresse, se rhabille, sans un mot me lance un petit regard furtif avec un très léger sourire, les joues rouges écarlates, visiblement gênée et s’en va sans un mot.
Madame range son « matériel dans la sacoche noire, réajuste sa jupe et sort à son tour.

Il est 18 heures, j’entre dans le café me dirige instinctivement vers notre table, au fond, mais elle n’est pas là. Je regarde autour de moi, peut-être a-t-elle changé de place, mais non !
Je m’installe comme d’habitude, mon regard ne quitte la porte d’entrée que pour regarder l’heure ! Le temps me parait interminable. Pourtant cela fait seulement 10 mn que je suis là, lorsqu’elle pousse la porte, un bouquet de roses à la main et vient vers moi, tout sourire.
Elle se penche en avant, je lui tends la joue pour lui faire la bise, mais c’est sur mes lèvres qu’elle dépose un baiser. Le premier, j’en frisonne encore en y pensant.
Elle se redresse, s’assoit à mes côtés, me tend le bouquet .

« pour me faire pardonner mon retard , ma chérie ».

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