Sur le chemin du retour, Morgane et moi passâmes devant un « Leclerc ».
— Hum… J’aimerais bien faire un petit détour avant de rentrer, histoire de te donner un petit avant-goût de ce que j’aimerais te voir faire avec les garçons du lycée.
— Non ! Je t’ai déjà dit que je ne voulais pas faire ça tout de suite. Je ne me sens pas prête.
— Vous vous êtes bien amusées avec moi, tout à l’heure, toi et tes copines.
— Tu sais que je déteste ta répartie, petit frère ? Bon, allons-y si tu y tiens tant.
Ma soeur et moi nous dirigeâmes vers le centre. Nous descendîmes ensuite les escaliers jusqu’au sous-sol et entrâmes dans les toilettes des filles. Morgane entra dans une cabine et y retira ses vêtements. J’entrai à sa suite et refermai la porte derrière nous.
— Excitant, n’est-ce pas, grande soeur ?
— Ferme-la et mets-toi à poil. Qu’on en finisse.
Je retirai à mon tour mes vêtements, dévoilant à mon aînée mon phallus dans toute sa fermeté. Morgane s’agenouilla devant moi et emboucha mon sexe. Ma soeur commença par faire de timides va-et-vient, sans doute par peur d’être surprise par l’arrivée impromptue d’une autre dame. Puis, prenant peu à peu ses marques, Morgane accéléra son mouvement sur mon pénis, n’hésitant pas à le gober jusqu’à la base.
Après quelques rapides va-et-vient, mon aînée recracha mon phallus pour reprendre son souffle. Je lui fis alors signe de s’appuyer contre la cloison de la cabine et de se cambrer le plus possible. Morgane obtempéra et je me plaçai derrière elle. Je posai une main sur sa hanche et, de l’autre, dirigeai mon sexe vers le sien. Lorsque j’eus achevé de m’enfoncer en elle, je posai mes mains sur sa poitrine et me mis à la baiser en faisant de puissants va-et-vient en lui malaxant les seins avec frénésie.
Au bout de quelques allées et venues dans son antre intime, je me retirai pour la prendre par l’autre voie qu’elle m’offrait. Comme dans son sexe quelques minutes auparavant, j’enfonçai lentement ma verge dans son fondement. Lorsque je me fus à nouveau bien enfoncé en elle, je saisis les hanches de ma soeur et me mis à la sodomiser avec passion.
Les gémissements de plaisir de mon aînée faisant monter mon excitation à son paroxysme, je dus me retirer de son fessier avant d’y jouir. C’est alors qu’une idée me vint à l’esprit : je soulevai le couvercle des toilettes et éjaculai sur la lunette.
Lorsque j’eus fini de jouir, je m’adressai à ma soeur.
— Grande soeur chérie, tu ne voudrais tout de même pas que la prochaine fille qui s’assoira sur ces toilettes se prenne le sperme de ton petit frère ?
Comprenant ce que j’attendais d’elle, Morgane s’agenouilla devant les toilettes et lécha la lunette souillée de ma semence. Lorsqu’elle eut fini, je voulus savoir ce qu’elle avait pensé de ce trip.
— Alors, grande soeur ? Tu as aimé ?
— Oui, pas mal. Finalement, ton fantasme peut être très excitant mais pas autant que ce que je vais te faire quand on sera revenus à la maison.
Morgane et moi nous rhabillâmes et nous dirigeâmes vers chez nous. Ce fut avec un mélange d’excitation et d’appréhension que j’attendis de savoir ce que faire ma soeur pour me donner la rançon de ma gourmandise.
[ à suivre ]
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