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La femme de Marc [7]

La femme de Marc [7]



Il commençait à se faire tard et on avait prévu de se lever assez tôt le lendemain pour profiter de la dernière journée avant le départ. Je décide donc de partir, et retourne dans l’appart. A peine le temps de me déshabiller que j’entends la porte s’ouvrir et se refermer : Emilie avait décidé que la soirée était finie pour elle aussi. J’avais passé pas mal de temps à la draguer, aussi quand elle est arrivée j’espérais trouver un moyen de conclure. Elle était sur le canapé en train de préparer le lit et je me suis proposé de l’aider, habillé seulement de mon boxer.

Alors que le lit était quasiment fini elle m’a demandé si j’avais bien maté ce matin, et si je comptais faire pareil demain au réveil. Elle faisait allusion sûrement au moment où elle m’a surpris en train de mater le cul de Jessica, à moins qu’elle était réveillée quand je suis arrivé et qu’elle a compris que je la matais elle aussi. Je souris un peu gêné, alors qu’elle se met en petite tenue devant moi. Elle retire son t-shirt, et fini en string et soutif. Ne la voyant pas farouche, l’alcool aidant, je m’approche d’elle et la prend par la taille, je l’embrasse en dégrafant son soutif, puis on s’allonge sur le clic clac. Les autres ne vont pas tarder à nous rejoindre, l’objectif c’est clairement de faire une petite baise avant d’aller dormir. Je masse sa chatte à travers son string, qui est déjà bien humide. Elle se retourne et me dis qu’on n’a pas trop de temps à perdre. A 4 pattes devant moi, j’écarte son string, et frotte ma queue contre sa chatte. Puis j’entre, lentement, sans à-coups, en elle.

Le clic-clac ne donne pas directement sur la porte d’entrée, on compte un peu là-dessus si jamais les autres reviennent. Je commence à accélérer mes coups de bassin tout en lui donnant une claque sur le cul. Elle gémit et se rebiffe un peu quand ma main claque sur sa fesse ; une deuxième claque lui arrache un gémissement un peu plus fort. Elle commence à remuer ses hanches et à s’empaler elle-même sur ma queue. Alors qu’elle fait ça, je vois son petit trou tout serré, je me mouille le majeur et le pose sur sa rondelle. Pas de réaction immédiate, je pousse alors pour le faire rentrer, et la sent se contracter et s’arrêter de bouger. Mon doigt toujours en elle, elle ne dit rien ni ne bouge. Je l’enfonce un peu plus, et commence à faire des va-et-vients avec. Sa chatte se contracte, resserrant ma queue toujours à l’intérieur. Mon doigt toujours en train de faire son travail, je me remets à la baiser. Elle gémit fort, et son sexe contracte le mien par à-coups de temps en temps, jusqu’à ce qu’elle m’expulse avant d’inonder les draps dans un long râle.
Un peu surpris, je la regarde : elle a les larmes aux yeux et les jambes tremblotantes. Elle m’avoue n’avoir jamais osé testé la sodomie, même avec un doigt. En temps normal elle m’aurait interdit ça mais la situation a fait qu’elle a voulu se laisser faire.
On regarde les dégâts, et on se met vite à l’action, moi toujours avec une demie-érection. On change les draps, sèche tout ce qu’on peut, et à peine a-t-on fini que j’entends les autres discuter dans le couloir et se dire au revoir. Julien, Jessica et Marc entrent dans l’appart alors que je quitte discrètement Emilie, lui soufflant de dire que j’ai renversé une bouteille s’il y a des questions.

Sophie ferme la porte et chacun se prépare à aller dormir ; sauf Julien qui, toujours chaud, veut baiser Sophie. A peine arrivé dans la chambre il me demande comment je compte faire. La tête ailleurs je ne comprends pas de suite de quoi il parle.
– Sophie ! me dit-il, comment tu comptes faire pour qu’elle nous remontre ses seins ?!
Pas le temps de répondre qu’il sort déjà son téléphone.
– Arrête de la faire chier, lui dis-je alors. Si tu continues elle voudra plus rien faire.
– On fait quoi alors.
– Attends qu’elle aille se démaquiller et on ira la voir.

Sophie devait en avoir marre et être dégoûtée de la tournure des évènements. Je ne pense pas que ça allait changer grand-chose à son couple, Julien avait l’air de vouloir garder ça pour lui pour en tirer un max de profit. Il surveillait les bruits de porte quand il m’a finalement fait signe. On s’est dirigé vers la salle de bains, qui était fermée à clé. J’ai vérifié que Marc était seul dans leur chambre, il dormait à en ronfler déjà… Julien avait déjà sorti un petit couteau à beurre pour ouvrir la porte de la salle de bains. A peine fait, on est rentré sans laissé le temps à Sophie de réagir. Elle était en nuisette, avait finie de se démaquiller. Elle était tellement désirable qu’on est tous resté silencieux quelques secondes. Julien a fini par lui dire :
– Allez, montre-nous les maintenant, j’attends que ça depuis tout à l’heure.
Sophie a l’air énervée, elle chuchote avec force et véhémence à Julien qu’au départ c’était juste un jeu, et que ça devient trop risqué. Julien, tout penaud, s’excuse et lui dit qu’il veut juste s’amuser, mais pas faire de tort à son couple. Il n’en fallait pas beaucoup plus pour rassurer Sophie.
– Efface les photos et tu verras mes seins.
– Une photo pour tes seins, une autre pour les toucher, dit-il.
Elle accepte, voyant où cela allait mener. Elle enlève sa nuisette et se retrouve en string devant nous. Très excités, on commence à la peloter. Mes doigts vont vite sous son string.
– Une pipe et tu effaces tout ? propose-t-elle.

Julien est aux anges, je me demande seulement si Sophie se rend compte que j’ai toujours les photos, et que Julien peut y accéder via whatsapp. Peut-être que les excuses de Julien lui suffisent et qu’elle joue maintenant pour de bon…En tout cas excité comme je l’étais je ne voulais pas trop y penser.

La pipe qu’elle entame est vraiment gourmande, tellement que je re-bande rien qu’à la voir faire. Pendant qu’elle le suce, je l’invite à sa cambrer plutôt que de rester accroupie, et je commence à prendre soin de sa petite chatte. Alors que tout le monde dort à côté, notre plan à 3 devient de plus en plus excitant. Elle est trempée, et je pense que malgré tout, elle avait adoré nous vider la dernière fois.

Les bruits de succion sont de moins en moins discret ; Julien joue en même temps avec les seins de Sophie, qu’il pince et gifle de temps en temps, lui arrachant quelques petits râles. Je lui mordille une fesse, puis les écarte et crache sur son petit trou. Pas besoin d’y mettre un doigt pour la préparer, je me redresse et sors ma queue, que j’enfonce dans sa rondelle. La queue de Julien dans la bouche, elle n’a pas possibilité de se plaindre, ainsi je recommence, et encore, toujours plus profondément dans son petit cul.

C’est à ce moment-là que je réalise que la porte de la salle de bain n’est pas fermée à clé. D’ailleurs, elle est entre-ouverte. On l’avait pas refermée ? Impossible de m’en rappeler, ni de savoir si quelqu’un nous voit de l’autre côté ; de toutes façons même si c’est Marc, pris pour pris autant en profiter, non ?

Le fait d’imaginer Marc nous regarder rajoute un degré d’excitation supplémentaire. Lui qui se vante toujours de ses prouesses avec Sophie, et qui est jaloux comme tout… Je fais se redresser Sophie, et propose à Julien qu’on la prenne à 2. Sophie commence à dire que ça suffit, mais elle n’a plus son mot à dire, et semble tellement excitée qu’elle ne se rebelle pas vraiment. Julien la prend par la taille et la soulève comme un fétu de paille ; Sophie passe ses jambes autour de la taille de Julien et ses bras sur ses épaules. Julien dirige sa queue et l’insère dans sa chatte ruisselante. J’arrive alors derrière elle et enfonce ma queue dans son cul déjà bien ouvert. Julien s’adosse au mur de la salle de bains, et je commence à lui bourriner le cul alors qu’elle peine à retenir ses gémissements, la tête enfouie dans le creux de l’épaule de Julien. Ce dernier lui malaxe les fesses et essaye tant bien que mal de la faire glisser sur sa queue en la soulevant plus ou moins. Soudain pris de contractions, il se vide avec trois ou quatre derniers coups de rein en elle. Sophie épuisée ne dit plus rien. Il la repose, mais j’ai toujours mon érection. Je suis néanmoins au bord de l’explosion, et alors qu’elle se vide sur le carrelage je me branle devant elle pour finir par lui gicler au visage.

Un sourire entendu avec Julien, on sort un par un discrètement, la laissant se nettoyer et retourner dormir. Une question restant en suspens : a-t-on était vus ?

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