Fin de journée d’un chaud printemps je suis seul sur Paris et décide d’aller flâner aux Champs Elysées. En remontant l’avenue à proximité du Fouquets je vois une grande fille noire sapée classe qui descend dans ma direction. Je ne peux m’empêcher de la décortiquer en connaisseur car elle a des jambes infinies, une taille d’anorexique et une poitrine minuscule d’adolescente pré-pubère. Arrivée à ma hauteur elle se plante devant moi et me dit « alors, on fait quelque chose » avec un mouvement interrogateur de la main. Surpris je décline en souriant mais elle vise déjà le passant suivant.
Plus haut je regarde la vitrine de luxe d’un d**gstore quand je vois sur le verre le reflet d’une silhouette féminine qui fait de même à quelques pas. Nos regards se croisent dans le reflet et je me tourne vers elle. C’est une pulpeuse blonde aux yeux bleus à la peau très claire, belles courbes bien placées, qui fait mine de ne pas m’avoir vu. Je m’approche un peu. Elle me regarde alors avec une expression charmeuse, lèvres en avant pour me dire « si tu t’ennuies on peut passer un moment ensemble » puis elle me précise son tarif pour une heure avec service complet. A son accent je comprends qu’elle est slave, russe probablement. Son tarif est cher et je la remercie avec un sourire.
La nuit commence à tomber et je fais le tour de la place de l’étoile. Sur un banc deux filles discutent puis l’une s’en va. Je vois que celle qui reste est une éthiopienne très gracieuse avec un long cou, des pommettes haut placées une peau cuivrée et une taille vraiment fine. Un vrai profil de princesse du désert. Je m’assois à côté d’elle sur le banc et la salue. Nous engageons conversation. Elle vient de Lalibela, est de passage pour quelques jours avant de rejoindre une connaissance en Allemagne où elle pense avoir trouvé du travail dans un éros-center. Intrigué je lui demande si elle sait ce qu’elle va y faire. Elle me répond que c’est pour faire le ménage dans les chambres entre les passes. Puis elle pose sa main sur la mienne et me dis « si tu veux je te suce dans les toilettes automatiques juste derrière, je ne prends pas cher ». J’ai eu très envie de la suivre mais j’aurai eu le sentiment de profaner une divinité. Je lui ai souhaité bonne chance.
J’avais soif. Je suis allé prendre un grand coca dans un fast-food proche le long d’une grande avenue. J’étais installé depuis peu quand une jeune femme assez banale est venue commander un simple burger et s’est posée sur la table la plus proche. Je l’ai observée. Elle semblait fatiguée et était vêtue de façon très ordinaire avec une jupe en jean et un tee-shirt en coton mais son physique était plutôt agréable. Bref elle aurait pu être mignonne mieux apprêtée.
J’ai engagé la conversation et elle répondit comme si elle avait envie de se confier. Elle faisait des ménages dans des bureaux et venait de débaucher. C’était un travail fatigant et elle venait souvent là en sortant pour se poser un peu, pour boucher un petit creux mais aussi faire des rencontres. Ensuite elle rentrait dans sa banlieue lointaine. Elle me demanda si j’étais venu en voiture, ce que je lui confirmai. Elle me regarda droit dans les yeux et me dit « si on allait faire un tour ». J’ai accepté car elle était sympa.
Arrivé au parking sous-terrain Nous avons continué à parler de ses goûts, des miens, de ses désirs et des miens. Elle s’appelait Rachelle. La conversation dérivait vers l’intime. Je me tournai vers elle et voulu l’embrasser mais elle tourna la tête et me dit « touche-moi les seins en enlevant son tee-shirt ». Je lui caressai les seins puis lui excitai les tétons. Elle me dit rapidement « plus fort, j’aime quand c’est hard ». Je la regardai dans les yeux et vis qu’elle attendait autre chose. Je lui ai alors pincé les tétons en les vrillant par rotation de plus en plus fort au fur et à mesure que ses gémissements augmentaient. Elle se pencha et enleva sa culotte en me disant « là aussi ». J’ai glissé ma main gauche sous sa jupe. J’ai pris son clito entre mes doigts et j’ai serré en tournant tout en continuant de maltraiter ses tétons de mon autre main. Elle avait les yeux pleins de larmes mais me regardait en disant « continue j’adore ça ». Je crois que j’étais en train de lui faire vraiment mal quand elle a joui d’un orgasme violent qui a mouillé ma main sous sa jupe.
Ensuite elle m’a sucé puis à bu mon sperme et m’a dit « pose moi au métro, il faut que je rentre, je suis en retard et mon mec m’attend ». Lorsque je l’ai déposée elle ajouta « j’ai aimé, si tu veux recommencer repasse à la même heure au fast-food j’y suis souvent »
J’avais connu ma première vraie maso. Paris est une ville formidable. Le lendemain j’ai retrouvé sa culotte par terre dans la voiture.
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