Petite douceur pour une shemale
Comme je le pensais, Carole ouvre une porte et me pousse dans un étroit réduit éclairer au néon cru qui me brûle presque la rétine et la cervelle me faisant plisser les yeux. C’est à peine plus grand qu’une cabine téléphonique. Il y a juste une corbeille a moitié pleine de kleenex collant, une grosse horloge au mur et une tablette sur laquelle il y a un rouleau d’essuie-tout, des condoms, une boîte de kleenex et un contenant de lubrifiant(de l’huile pour bébé.) Coller derrière la porte quelle vient de refermer, un affiche de pin-up nue comme je les déteste, style, Playboy; une fille trop maquiller assise devant un faux foyer, de face, cuisses ouvertes, se tirant les grandes lèvres pour bien montrer l’entré de son vagin, avec des seins trop parfaits. Il y a des posters de filles comme ça écartelées sur tous les murs, des filles trop parfaites. Tout était trop parfait, maudit, Photoshop.
-T’inquiètes pas mal belle, dit Carole en se lubrifiant les mains puis les seins et elle y met du cœur pour m’exciter, ton chum ma mit au courant que t’étais une trans. T’as 15 minutes pour décharger et il a payé, mais pas pour avaler, tu me viendras sur les seins si tu veux, mais pas dans la face. T’es pas gay j’espère?
-Non! Fis-je simplement ne sachant pas trop quoi dire en bandant dure sous mon slip. La bosse est même visible sous ma jupe d’écolière noire et blanche. J’aurais tout donné pour pouvoir filmer ça.
J’en reviens pas d’être la, qu’il m’est payé une pipe et… tout à coup j’allume. Le salaud, c’est pour passer du temps seul avec ma sœur. Merde! N”empêche que c’était drôlement excitant d’être là. Et puis ma sœur sait ce défendre.
– J’ai déjà fait ça avec des trans, mais toi, tes vraiment la plus belle que j’ai vue, je l’aurais jamais deviné. Tu me fais pensé à la jolie Avril Lavigne, enfin un peu.
-Ah oui, merci ma belle, dis-je mal alaise en ramenant mes cheveux derrière mes oreilles tout en fixant le mouvement hypnotique des ses mains se malaxant les seins très mous dans lesquelles ses doigts s’enfoncent. Ses mamelons deviennent plus durs et luisants. J’en salive. Elle le sait et le fait exprès en les pressant et les soulevant et dit :
-WAIS, t’es pas gay, je t’excite ma belle, ça se voit très bien. Tes mamelons sont durs et tu es bandé. Cool!
C’est une première pour moi une pipe dans un isoloir par une danseuse alors, je ne me sens pas très a l’aise en regardant mes mamelons qui on doubler de volume comme les siens. Je ne les ai jamais vus aussi gros ni sentis aussi sensibles, ça chatouille et c’est trop le fun. Tout ça est vraiment très excitant même si je ne suis pas avec une reine de beauté. N’empêche qu’avec des dents je me rend compte qu’elle doit être pas si mal. Mais la perspective d’une bonne pipe me rend fébrile, surtout qu’elle n’a pas de dents, justement. J’ai trop hâte de voir la différence.
Mais je ne peux pas m’empêcher d’imaginer Denis partir avec ma sœur et me planter là. Malgré ce qu’elle m’avait dit, peut-être qu’elle ne pourrait pas lui dire non, il a tellement de beaux yeux bleus et de belles épaules et de charisme. Merde!
-Té petits seins, c’est des vrais ou des implants?
-Hein! Oh, des vrais!
-Super, montre!
De plus en plus exciter, je baisse mon top gothique jusqu’au nombril et bombe le torse fier de les exhiber, elle sourit en les fixant. Mes seins sont tout blanc et parfaitement rond déjà recouvert de chair de poule. Elle se remet du lubrifiant sur les mains et… Seigneurs! Elle me les prend et me les caresse tendrement en me souriant… Ses mains son chaude douce et si glissante. Ouuuffff! Ça chatouille presque trop et me coupe le souffle un moment surtout quand elle me pince les mamelons. Un petit courant électrique me traverse les couilles et la bite et je soupire comme une pucelle. J’aime trop!
-C’est le fun hein, ma belle? Ça chatouille!
-Hum, géniale Carole, répondis-je les yeux déjà tout petits en sentant ma queue prête a explosé. Je me tortille comme si j’avais encore envie de pisser en serrant les cuisses et ça l’amuse.
J’ai trop envie de filmer ça, alors je lui demande :
-Si je te donne un peut plus je pourrais filmer, Carole?
Elle plisse les yeux en me fixant.
-Ben, si je dis oui et que tu mets ça sur internet et qu’ils l’apprennent, les gars de la place, ils vont te retracer et croix moi ma belle, y rigole pas avec ça.
-Ce serait juste pour moi. Je ne me suis jamais faire sucer par une… Ouf.. J’aime ça. Par une… une…
-Une danseuse, dit-elle en me souriant tout en me chatouillant les mamelons avec ses pouces. Bon, a toi de voir et t’es trop mignonne. OK, 40 $ ma chouette. Mais sans farce, garde ce film-là à l’abri et juste pour toi. Tes vraiment trop jolies, ce serait dommage qu’ils t’abîment ton beau visage et si on frappe a la porte, cache ta caméra.
Je déglutis, c’était trop clair et trop net comme menace.
-Comprit, dis-je en ouvrant mon minuscule sac a main, je lui donner les billets et sortit mon iPhone rose déjà tout exciter a l’idée de revoir ça chez moi en me branlant, quand Mimi serait sortie bien sûr.
Je démarrer l’enregistrement et la filmer de bas en haut tandis qu’elle me souriait, mais sans ouvrir la bouche puis filmer ses mains huiler sur mes seins. Trop cool, j’en avais de gros, de très gros frissons.
J’aurais bien aimé lui rendre la politesse et lui toucher les seins, mais je ne savais pas si c’était permis ça aussi. Dans le doute, s’abstenir. Le dorman est vraiment gros et moi, vraiment chétive, déjà que je filmais en plus.
Elle se penche, me pinces les mamelons puis sort la langue percée par une barre identique à la mienne et me les agace l’un après l’autre avant de me les sucer à tour de rôle. Ouuuf… Seigneur que j’aime ça, ça agace tellement. Je gémis tout heureuse de se traitement de faveur et je grimace en posant ma main libre dans ces cheveux décolorer et sec, les jambes toutes molles, genoux fléchit, bander encore plus dure comme si c’était possible. Ma petite culotte est étirée au max et ma jupe a une sacrée bosse. En fait, je gémis comme doit le faire une fillette qui se fait lécher le sexe pour la première fois. J’en ai la chair de poule tout partout cette fois. Puis elle se redresse et me lâche les seins toute heureuse en se léchant les lèvres. Mais mamelons luisent de salive et son encore plus gros et beaucoup plus sensible au moindre courant d’air, j’en reviens pas.
-Ça agace hein ma belle?
-Ouffff, pas mal, merci Carole, fis-je en me les caressant tout en la filmant, car elle se titille les mamelons et joue avec ses piercings que je lui envie, pour ensuite frotter de la main droite ma bosse sur ma mini. J’en sursaute de plaisir. Je filme ça aussi.
-T’as vraiment de beaux petits seins et une queue en plus, t’es hot avec tes tatouages et tes piercings. J’aimerais ça baiser avec toi, tu me fais mouiller à mort; blonde, les yeux bleus en plus. Des verres de contact?
Wow! Justement mes beaux yeux bleus s’arrondissent de surprise. J’ai pas baisé de fille depuis si longtemps, mais au prix que ça coûtait ici… Et là, elle me presse le gland toujours par-dessus ma jupe et ça l’amuse de me voir grimacer.
-Non, ouf… c’est ma vraie couleur. J’aimerais ça moi aussi baiser avec toi, mais… ouuu… Pas les moyens, désoler.
Je dois trop grimacer, car elle me lâche le gland par peur de me faire venir sans doute.
-Ça te tenterait au moins, t’aimes les filles?
La, elle se passe le doigt sous le string et pas a peut près.
-Oui je suis bi et ça fait longtemps que je l’ai pas fait avec une femme.
-Pas de problème, je sais que ça ne doit pas être évident pour toi avec les filles et t’es vraiment belle. Fais-moi penser de te laisser mon numéro de téléphone. T’es trop mignonne et ce seras gratis ma belle, t’inquiète pas.
J’allais répondre quelque chose, mais la, elle sort sa main de son string pour l’enlever avec ses pouces en se tortillant devant moi pour le jeter dans un coin et se frotte la fente a nouveau un doigt en avant jambe écarter, genoux fléchit en ce penchant légèrement en arrière pour me donner une meilleure vue. Je filme ça sans y croire en descendant mon téléphone devant son sexe en déglutissant tellement c’est bandant. Elle a de grandes lèvres brume et semble bien mouiller et visiblement, elle a décidé de mettre le paquet pour moi. J’en salive d’imaginer mon sexe se faufiler par la. Elle est épilée complètement mais son papillon tatouer sur le pubis est bien mal en point le pauvre. Je déglutis vraiment trop exciter tout à coup. Trop hot la Carole. Je soupire très fort tellement j’ai le goût de la baiser.
-Je travaille pas les fins de semaine, dit-elle en continuant a se caresser le vagin et un sein en se redressant, ils prennent juste des jeunes ici. Appelle-moi et on va avoir du plaisir toutes les deux. Je fais dur pas de dent aujourd’hui, mais je vais les avoir demain, et j’ai encore le vagin bien serrer et le cul aussi. Ça te branche-tu?
J’hallucine, moi qui croyais qu’elle voulait juste faire un peu plus d’argent. En plus j’ai jamais vu une femme parler aussi cru et j’aime ça. J’aime tellement ça que j’en suis presque étourdi. Et elle parlait de sodomie en plus… sacrée vicieuse la Carole.
-Wow! C’est sur, j’ai toujours aimé les femmes plus vieilles que moi! Je suis chanceuse comme ça moi aujourd’hui?
-Té super fine en plus. WAIS, té chanceuse comme ça ma belle dit elle me fixant droit dans les yeux un instant avant de regarder ma jupe. Déjà bandé en plus, tu les aimes mes boules hein? Touche un peu, gâte-toi.
Et elle projette sa grosse poitrine huiler et luisante vers moi tout sourire en faisant des cercles maintenant sur son papillon. Wow! J’ai comme trop de choses à filmer. Elle le devine et me prend le téléphone et me filme. WAIS! Vraiment trop hot la Carole. Je tends les mains pour prendre ses seins lourds et lui malaxe doucement, les presses en ravalant ma salive bruyamment. Ma bite n’en peux plus la pauvre et palpite très fort coincer sous mon slip. Ils sont mous, mais pas trop, doux et chauds et glissants. Je flippe fort, les yeux presque fermer, ça faisait si longtemps que je n’avais pas touché des seins, autres que les miens. Je m’imagine déjà la baiser chez moi, Mimi ira au cinéma. Wow! Je joue avec ses piercings de mamelons en lui demandant :
-Ça fait tu ben mal Carole quant tu tes faits percer la? Je veux un.
-WAIS un peut, répondit-elle en se lâchant le pubis pour poser sa main libre sur sa hanche, mais ça vaut le coup. Ça agace en tabarnouche quand on joue avec. T’as quel âge, t’as l’air d’en avoir 16, pas plus, t’es pas mineur j’espère?
Elle se filme les seins, puis la bosse sur ma mini et mes seins. J’aime trop ça.
-21 ans. T’inquiète pas, tu veux voir ma carte?
-Non ça va. Fais-toi percer les deux, tu vas flipper.
Je n’imaginais pas que ça se passerait comme ça. Trop cool!
-Sont encore dure mes seins, hein! Dit-elle fièrement en se les filmant a nouveau.
-WAIS, super Carole, t’es vraiment bandante, dis-je en lui lâchant la poitrine avec regret pour reprendre mon iPhone rose, car je n’en pouvais plus. Il fallait que je sorte ma bite et le temps filait à l’horloge. Quoique, comme je sentais mon scrotum déjà dur, je savais que j’allais jouir en un temps record. Tout ça était beaucoup trop excitant.
-Oui, je vois ça, ta hâte que je te la suce hein? Dit-elle les yeux tout petits et luisants… Bon, allons s’y, lève ta….
Tout a coup, ça frappe à la porte. Je me sens devenir tout électrique, j’ai l’impression que mes cheveux deviennent tout raides et je me rends compte que je dois grimacer autant que Cindy Lauper sur l’acide.
-C’est occupé! Cris Carole, en m’indiquant du menton de cacher mon iPhone et la porte s’ouvre.
Je le place très vite sur mes fesses et cache mes seins avec mon bras gauche et là, j’hallucine en écarquillant les yeux. Mimi apparaît en souriant bêtement, elle entre et referme en faisant vraiment une drôle de mimique tandis que je la regarde ébahie, bouche ouverte. On se regarde les yeux dans les yeux tête pencher toutes les deux à cause de Carole entre nous. L’espace est si exiguë qu’elle se plaque contre le mur de droite pour éviter de toucher la danseuse entièrement nue qui se frotte la plote a nouveau en la regardant de bas en haut. Apparemment, ma petite sœur fait de l’effet à tout le monde. Mimi le voie et déglutit, sans doute aussi de voir la bosse sur ma jupette. Seigneur! On dirait qu’elle veut rentrer dans le mur comme la fille des X-men. Et je me dis en un éclair :
« Mais c’est quoi ce délire. » Mon cœur accélère.
-C’est 20 $ pour regarder ma belle, dit Carole très calme, mains sur les hanches en fixant ma sœur, avant que j’aie pu placer un mot.
-OK, fait Mireille tout énerver en sortant un billet de son sac qu’elle a ramené sur son ventre.
-Noooon! Fis-je en plissant les yeux. Dehors Mimi! Et je lui montre la porte et mes seins par la même occasion que je recache aussitôt. C’était vraiment un peut trop Weird pour moi de voir ma sœur la, même si elle n’est pas vraiment ma sœur, mais c’est tout comme. En plus, ses mamelons gonflent et deviennent de plus en plus apparents sous sa camisole moulante. Tien dont!
Mais Carole a déjà le billet dans la main et se retourne et se plie en deux pour le mettre avec les autres par terre avec son string, le cul en l’air presque a touché Mimi qui ne peut s’empêcher de regarder. Wow! Et j’imagine très bien la vue qu’elle a; de belles fesses, un anus et une vulve gonfler et humide aux grandes lèvres brunes ouvertes et elle doit même en sentir l’odeur. Seigneur! Elle qui venait de m’avouer être bi, je me demandais si cette vue lui faisait vraiment de l’effet. Puis elle me regarde drôlement en ouvrant la bouche pour répondre quelque chose, mais… Carole lui demande en se redressant en la regardant à nouveau comme le ferait un gars :
-T’as une vulve ma belle ou tu es une trans toi aussi?
Mimi, surprise, devient les yeux tout ronds. Ça, c’est trop drôle, je sors ma caméra de mon dos et le film. Là, ses yeux s’arrondissent encore plus en apercevant mon iPhone.
-Une vulve, je suis une vraie fille? Arrête de me filmer toi!
-Je mange les vulves aussi pour 60 $, 15 minutes. Orgasme garanti avec mon piercing de langue et mes doigts, même plusieurs. Pis je te caresse tes grosses boules un peut avant et toi les miennes si tu veux. T’est équipé en tabarouette ma belle. Ça te dit?
Et elle nous montre ses doigts en les agitant comme des pattes d’araignées. Seigneur! Je filme ça aussi. Surtout la face de ma sœur qui est soudainement devenue rouge comme une belle tomate bio.
-Ehhh… bredouille t-elle visiblement un peut dépasser, non merci, je veux juste rester là. Je… Arrête de me filmer Pierre maudit… eh…. Christine.
-Alors, dehors, dis-je. Qu’est-ce qui te prend Mimi?
-Vous êtes en couple toutes les deux? Tes jalouses ma belle? Pas de crêpage de chignon dans l’isoloir les girls.
Elle avait demandé ça à Mireille, elles sont si proches que leur poitrine s’effleure. Mimi déjà mal a l’aise, rougit encore plus quand Carole se caresse a nouveau la fente devant elle et, visiblement, elle trouvait ma sœur a son goût. Je n’avais plus aucun doute là-dessus. J’imaginais déjà le trio chez moi. Wow! Qui sait? Avec un peu de vin et… ouf! « Et tu filmes ça! » Me dit ma petite cervelle de blonde. Vraiment, mais vraiment trop hot. Trois filles bi dans une cabine téléphonique. Ouf!
Bander les gars? Moi je l’étais en tabarnouche. Je vous l’avais dit que cette soirée-là n’avait pas été banale. Pas lue le premier chapitre, tant pis…
-Non! Mais non! Riposte Mimi rapidement. Je suis sa sœur. Je…
-Bon pas de problème, le temps file les filles. Tu peux me tirer les cheveux, me dit-elle en ce retournant vers moi, ça me dérange pas ma belle. C’est quoi ton petit nom déjà?
-Christine. Mais…
-Tu vas flipper Christine.
Et la, elle tombe à genoux et avant que j’aie eu le temps de dire autre chose, rentre les mains sous ma jupe et d’un seul coup, descend ma petite culotte noire aux chevilles puis soulève ma jupette. Bon Dieu! Ma bite, mon presque 8 pouces soudainement a l’air libre, lui rebondit sous le nez sous les yeux de ma sœur. Là, je flippe totalement en m’appuyant au mur derrière moi pour ne pas tomber parce que Mimi regarde ma bite bander dure. C’était déjà bandant avec juste la Carole, mais là… Et ma grosse bite bien droite sursaute a chaque battement de mon cœur affolé. Carole me l’agrippe, décalotte mon gland en ouvrant la bouche et sortant la langue et sans hésiter elle me gobe la queue au complet tout en me malaxant les couilles devant Mimi, ébahit. Elle ne peu s’empêcher de regarder un instant, ses gros mamelons plus visibles que jamais, puis de me regarder et je grimace déjà, les lèvres en cul de poule, les yeux tout petits, mon bras gauche toujours sur mes seins. Seigneur! Quand la Carole commence a donner de la tête en aspirant, je soupire très fort et Mimi, les joues toujours toutes rouges se retourne finalement vers l’une des miss Playboy. De dos comme ça, on jurerait qu’elle a le nez en plein dans le vagin de la playmate, une blonde a gros seins. Ma sœur aussi soupire fort en disant :
-Désoler Pierre… je veux dire Christine, mais Denis est partit furieux.
Et Carole qui me suce comme une démone et je filme a nouveau, pas question de manquer ça. j’ai déjà les yeux tout petits et tout croche. C’est trop bon! Sa bouche est si chaude et pleine de salive et son piercing de langue agace tellement mon gland si sensible que je ne peux m’empêcher de commencer à gémir. Jamais j’aurais cru me faire faire une pipe avec ma sœur juste a côté. Ça redoublait tout mes sensations. Mimi n’allait jamais oublier ça première journée comme coloc avec moi, n’y moi d’ailleurs. Si ma mère savait ça…
Même si j’ai l’esprit quelque peut embrouiller par la pipe baveuse, je devine pourquoi Denis a du prendre le feu au cul. Ma sœur a un sacré caractère. Il avait dû pousser le bouchon trop loin. Mais j’en revenais toujours pas de la voir la, tandis que Carole me pompait la bite et sa pipe baveuse s’entendait de loin et c’est vrai que pas de dents… c’était quelque chose. J’ai beaucoup d’imagination et j’ai souvent fantasmé sur Mimi en inventant toute sorte de situations ou il se passait quelque chose entre nous, mais ça, même dans les fantasmes les plus délirants je n’y aurais jamais songé. Et je filmer le beau cul de ma sœur en passant tandis qu’elle fixait miss Playboy en se rongeant les ongles. Wow!
-Pourquoi il est parti? Demandai-je finalement tant les bruits de succion étaient gênants, ma main gauche a présent dans les cheveux de Carole qui donnait de la tête en me pinçant a l’occasion un mamelon! Ça me coupa le souffle. Je serrai mes petites fesses et donnai de coups de reins. J’arrivais pas a y croire, j’étais la, quasiment nu a me faire sucer devant ma sœur… Trop bandant. C’était même génial même si elle ne regardait pas. Ma queue fait tout de même presque 8 pouces, mais Carole l’avalait au complet comme si de rien n’était. C’était ma première pipe par une femme depuis que j’avais des seins et les voir en regardant sa bouche et les siens qui se balançaient en se frappant mollement m’excitait doublement. Et le filmer en plus. C’était trop bon, fantastique.
Note à moi-même; ne pas oublier de faire des tonnes de copies de ce film.
Se faire faire une pipe par une pro, c’est…, vraiment quelque chose. La situation était déjà excitante au possible, mais avec ma sœur juste à côté, c’était vraiment flippant. J’allais pas tenir longtemps. De toute façon en regardant l’horloge je vis que mon temps était compté.
-Ben,( commença a expliqué Mimi, même si j’avais de la misère a l’écouter,) y as commencé a me tripoter encore une cuisses sous table et avant que j’aie eu le temps d’enlever sa main il l’avait glissé sous ma jupe pour me frotter la plote le sacrement en me disant que j’étais bandante a mort, que j’avais de belles grosses boules et qu’on allait aller au motel tantôt tous les trois se faire du fun. J’ai pas pu me retenir et je l’ai giflé si fort qui en est tombé au bas de ça chaise. Tu me parles d’un vicieux. Tout le monde a bien rit. Je pensais qu’il allait me tueur, mais, il est parti, fou furieux. J’espère que t’a pas perdu ton emploi à cause de moi Christine.
J’ai le goût de rire, mais ça sort en long gémissement, presque un râle d’agonie et pour le moment, je me fou pas mal de mon boulot.
Carole laisse ma bite tremper de salive sortir de sa bouche pour la fourrer entre ses seins en les écrasant dessus en les pressant avec ses mains pour me masturber avec en disant a Mireille :
-Ta ben faite ma belle, si y vous fait du trouble, je vais demander a Gaston, le dorman, de s’occuper de lui. Au moins il t’as payé une pipe, hein, ma belle Christine, aimes-tu ça?
-Oh oui, dis-je les yeux larmoyants tellement j’appréciais et la, elle regarde l’horloge tandis que moi je fixe mon gland qui apparaît et disparaît entre ses seins tout blanc qu’elle se lâche finalement. Elle me ravale pour me finir, car le 15 minutes achevait, déjà. Elle me suce que le gland en me pompant rapidement. Au bord de l’orgasme, je regarde un instant ma sœur qui fixe toujours la vulve de miss Playboy, pas croyable. C’est si bon que j’ai quasiment peur de m’évanouir. Mes petits orteils se replient dans mes bottes punk tandis que mes genoux tremblent. Seigneur, faut pas que je tourne de l’œil, c’est quoi ce délire? Encore mes maudites hormones?
Carole accélère et me pompe à mort en me pressant le scrotum durci. Oufff! Mes genoux se cognent cette fois, j’ai des sueurs, je me prends les seins en me plaignant comme si elle me faisait mal. Et c’est très embarrassant de geindre comme ça devant sa sœur, surtout avec ma voie de fille, car j’en ai pas l’habitude, mais bon… Et Carole sort encore mon gland de sa bouche, mais sans cesser de me masturber pour dire en me fixant :
-T’arrive pas a venir ma belle? N’oublie pas, pas dans la bouche. Je te fait une faveur en te suçant sans capote.
-Oh, merci ! Ça viens, continue, dis-je toute tremblante en lui pesant sur la tête et elle me ravale. Seigneur!
-Vraiment désolé, dit Mimi. J’avais peur qui revienne et j’avais pas envie de rester seul là-bas. Ouf. Fit-elle en agitant sa main devant son visage. C’est gênant, maudit.
Je suis incapable de répondre me sentant tout près de venir, ma bitte dégoutte sur la langue. J’en tremble des pieds à la tête, bouche ouverte en fixant celle de Carole. Un des mes bas nylons a glissé et me chatouille la cuisse pendant que je me pince les mamelons de ma main libre ce qui rajoute a ce que je ressens déjà. C’est trop cool de sentir mes seins et de les voir, de les toucher pendant qu’elle me suce. D’être en fille, ça me semble rendre la pipe encore meilleure. Oh oui, vraiment cool. En plus, elle m’agace le gland du bout de la langue et l’urètre beaucoup trop sensible qui laisse s’échapper de plus en plus de liquide séminal. Seigneur! Une vraie torture, mais une bonne.
Note à moi-même; faire ça au prochain gars que je suce. Lui agacer l’urètre.
Et Carole qui m’lâche encore le gland.
-Pis, ça vient ma belle? Pas dents c’est le fun hein? Me demande t-elle en reprenant son souffle.
-Hum hum! Grommelai-je faiblement le cœur battant et les joues en feux. Vraiment le fun !
Elle me lèche la hampe de haut en bas, me suce les couilles, me mordille le gland trop sensible et me ravale et donne encore de la tête. Elle aspire tellement que ses joues en deviennent bien plus creuses et mes orteils plus croches. Je suis au paradis, oh oui, et sur le bord de l’explosion tandis que l’horloge égraine les minutes qu’il me reste. Moi qui pensais jouir vite, mais l’arriver de Mimi m’en avait empêcher. Mais la, il fallait que je vienne et me concentrer là-dessus toujours en filmant.
Mais elle la sort encore de sa bouche (seigneur) et me dit sans cesser de me masturber :
-T’as vraiment une belle bite pour une blonde et de belles grosses couilles.
Je vais m’évanouir de plaisir si ça ne se termine pas. J’ai des chaleurs incroyables et les aisselles toutes moites malgré mon désodorisant. Ouf! Heureusement j’ai les fesses appuyées au mur, si non…
-Houuuu…, fis-je incapable de prononcer un mot et ça fait rire Carole.
-Tes trop mignonne ma belle a voir grimacer comme ça. Dit-elle en ramenant ses cheveux décolorer derrière ses oreilles. En tout cas, j’aimes ça te sucer et voir tes beaux petits yeux bleus tout croche. J’ai trop hâte qu’on baise ensemble ma belle.
Et Mimi qui écoute. Seigneur! Et je vois sur mon écran que ma pile s’épuise, grosse panique. « Non, non, non, ne me lâche pas maintenant, pitié. »
La v’là qui me pompe a nouveau juste le bout de la bite en me masturbant avec encore plus de vigueur a poing fermer en me pressant les couilles toutes dure. Ses seins en revolent en se frappant mollement, trop cool. Je ne peux par retenir mes gémissement et je vois bien que Mimi trouve le temps long, mais, elle finit par jeter un coup d’œil en souriant, puis me regarde et je lui fais un clin d’œil en lui retournant son sourire et la filme. Elle me tire la langue. Enfin, j’essaie de sourire, mais ça doit plutôt être une grimace tellement je suis près de jouir. Finalement elle se retourne pour admirer le spectacle, les yeux tout petits le rouge aux joues avec les mamelons bandés et encore plus gros. La voir me regarder, enfin regarder la bouche de Carole me pomper la queue m’excite au possible et elle aussi apparemment. Surtout de voir les lèvres charnues couleur cerise de mimi, luisante d’humiliées que j’imagine sur ma bite. J’en frissonne encore en geignant et je recommence à grimacer dix fois plus. Je ne peux plus me retenir. C’est trop bandant ma soeur qui me regarde me faire faire une pipe. Mon cœur s’affole, mon souffle s’accélère, ma main gauche se referme sur mes petits seins et mes couilles rentrent par en dedans. Cette fois, c’est bon, j’en tremble. Mes gémissements de fille remplissent la pièce minuscule comme si on me fouettait les fesses, mes belles petites fesses blanches comme du lait qui se resserrent. Ça me fait encore tout drôle d’entendre mes gémissants avec ma voix de fille. Et là, Carole doit se dire que je ne viendrai jamais, car elle lâche mes couilles pour glisser un doigt entre mes fesses et me toucher l’anus et y pousse son doigt à l’intérieur, mais juste un peut. Me v’là les yeux tout ronds à frémir de plaisir en me frappant la tête contre le mur. Un petit truc de pro j’imagine et qui fonctionne très bien. J’adore qu’on me joue dans ce coin-là, si je m’attendais à ça… Ma bite devient encore plus dure et plus sensible et Mimi qui as le gros sourire.
-Ouuuuffff… je vais venir Carole, lâchai-je en plein extase, pencher vers l’avant a présent en essayant de bien cadré ce qui allait se produire. Mais c’est pas évident, ma main tremble, le clignotant de pile faible s’affole toujours et elle pousse son doigt plus profond dans mon derrière et l’agite. Bon Dieu que ça agasse. J’en ai les yeux tout larmoyants, les pieds tout croche, j’en échappe presque mon iPhone que je prends à deux mains.
Mimi me regarde dans les yeux et me sourit drôlement, comme si elle compatissait pour ma douleur, ou comme si elle était heureuse que je ressente autant de plaisir, allez savoir. Et là, elle dit en tendant la main :
-Donne, je vais filmer. Tant qu’as être la…
J’hésite pas une seconde pour lui donner pour prendre la tête de Carole à deux mains. Cette fois, je plane complètement, bouche ouverte. Son doigt dans mon cul devant ma soeur c’est le top… oh oui !
V’là encore une chose que je n’aurais jamais pu imaginer, que Mimi filme pendant que je me préparais à jouir sur les seins d’une danseuse nue. Bien des choses allait changer entre nous, je le sentais et.. Ouffff… Là, je sentis mon sperme grimper dans ma hampe et mes couilles rentrer par en dedans.
-Ohhhh oui….Attention Carol… je viens….
Elle la sort vite de sa bouche pour me masturber plus fort, mais en pointant mon gland rougi, luisant de salive et qui dégoûte de sperme vers ses seins tout en repliant et agitant toujours son doigt dans mon cul. Doux Jésus! Le premier jet gicle et pas a peut près jusque sur sa gorge pour dégouliner entre ses boules. Je râle de plaisir et de soulagement tellement l’orgasme est intense. Mon anus pulse contre son doigt tandis que mon sperme gicle sur sa poitrine sous les yeux de ma sœur qui filme tout. La tête m’en tourne en priant le ciel que la pile soit encore un peu chargée. Les yeux quasi révulser par la puissance de l’orgasme, bouche entrouverte, me revoilà a gémir comme une gamine.
Et là, v’là la Carole au grand cœur qui se tourne légèrement de côté pour que ma sœur ne manque rien en filmant, une vrai pro. Pas croyable et je regarde mimi qui regarde les yeux un peut rond mon sperme qui gicle sur l’écran de mon iPhone, jets a près jets arrosant copieusement les seins. J’ai pas déchargé autant depuis longtemps. Mimi me fait un autre clin d’œil. Je dois être belle à voir, le visage déformer par le plaisir et pendant un instant, j’imagine ma soeur mouillé dans sa petite culotte. Ça doit sûrement l’exciter de me voir éjaculer. L’orgasme qui me coupe le souffle diminue, peut a peut, déjà, Carole frotte alors mon gland contre ses seins en me pressant la hampe comme une pie de vache jusqu’à ce qu’il n’en sorte plus rien. C’est génial, trop cool. Je reprends mon souffle de peine et de misère en sentant mon cœur ralentir, mais lentement tandis que son doigt sort de mes fesses rajoutant au plaisir. Je vais d’avoir l’un des meilleurs orgasme de ma vie, pas de doute la dessus.
-Wow, fit Carole en se tapant les seins avec ma bite avant de la lâcher, tu décharges pas mal pour une fille. Et elle rit tout comme Mimi, rouge jusqu’aux oreilles.
Mon Dieu! Ma tête heurte le mur tandis que je m’y appuie pour ne pas tomber. Je me presse la queue et la Carole se lève pour s’essuyer les seins et la bouche avec des essuie-tout, puis ma bite en souriant. Je reste la, a tremblé, toujours bandé dure et regarde Mimi.
– Ouf, j’ai chaud, fit-elle en me redonnant mon iPhone puis en se pinçant la camisole entre les seins pour la secouer se faire un peut d’air et elle rit et moi aussi, soulagé, terriblement soulagé tandis que je sens enfin mon cœur reprendre un rythme normal.
Mon téléphone vibre tout à coup me faisant sursauter; Denis, je le brancher sur la boîte vocale et fermer mon téléphone en soupirant fortement ce qui fit rire Carole.
-Je pense que t’as aimé ça, hein ma belle Christine.
-La pipe de ma vie Carole. Seigneur!
-Une cliente satisfaite revient toujours.
Nous v’là à rire toutes les trois. Trop bizarre comme situation.
Quelque peut étourdit et tremblant de tous mes membres je relève mon slip jusque sous ma jupe comme un zombie et Mireille regarde toujours tandis que j’y place ma bite rester dure et mes couilles comme il faut puis je descends ma jupe. Soudain, Carole sort un crayon-feutre de je ne sais ou et me prend le sein droit qu’elle presse comme si elle voulait me le faire éclater et y écrit son numéro de téléphone juste au-dessus de mon mamelon. Bon Dieu que ça chatouille et Mimi, ébahit, me regarde en penchant la tête genre; tu pognes la blonde.
-Tien, me dit Carole en me tapotant le sein avant de remonter mon corsage. Comme ça, tu ne le perdras pas ma belle.
-C’était vraiment cool Carole. Lâchai-je dans un long souffle. Merci!
-Je le sais, fit-elle en riant. Je suis une pro ma belle. N’oublie pas de m’appeler en fin de semaine. Tu le regretteras pas. Et n’oublie pas pour le film.
-Promis. La je regarde ma sœur et dit : WAIS, tu te rinces l’œil ma petite sœur.
-Ben, tant qu’à payer, hein, Carole?
-WAIS, fit-celle-ci en la regardant encore de bas en haut comme le ferais un gars, on baisera a trois si ça vous tente les filles. Ta de belles grosses boules toi, dit-elle a Mireille. Et soudainement, elle lui prend, les presse et les tapote en rajoutant : Wow! Dure comme des boules de quille en plus.
Mireille surprise, se contente d’un sourire tout croche comme réponse, mais elle est si rouge qu’on dirait une chaudière sur le point d’éclater. Trop drôle !
«Merde ! J’ai pas filmer ça.»
-Bon, faut que je retourne au boulot les girls. Dit- Carole en remettant son string. Restez pas dans la cabine, c’est interdit. Elle nous envoie la main et sort. Une fois seul avec Mimi je dit en relevant mon bas et rajustant mon corsage:
-C’est pas gênant, mais pas du tout.
-Autant pour moi, seigneur Pierre, elle m’a pris les boules.
-Ils sont vraiment aussi dur que ça ?
-Rêve pas la blonde. On sort de ce trou et on se prend un taxi? Ouf… j’ai vraiment trop chaud. Une bonne bière froide chez toi ça va faire du bien.
-Oh, oui! Et je rajoute toute coquine; tu pognes aussi ma petite sœur, même avec les filles.
J’eus droit à une belle grimace en fantasmant déjà, m’imaginant toutes les trois dans mon lit. Qui sait, comme c’était parti, pourquoi pas!
Et nous revoilà partis à rire jusqu’à la sortie. Une fois dehors, on stresse un peut, pas de Denis fou furieux, mais le gros dégueulasse qui sort juste derrière nous. Oups! On saute dans l’un des taxis stationner de l’autre côté de la rue et on se sauve en riant comme des folles en lui faisant bye, bye, le pauvre gros bonhomme.
Wais, j’adore ma nouvelle vie… et Mimi. Trop cool ma petite sœur.
Bon, voilà, j’ai raconter ma journée de fou comme promis, enfin… pas tout, mais, une jolie blonde a bien le droit de garder des petits secrets, non?
Quoi? Si j’ai baisé ma demie-sœur? Bien…
Vicieux, vas… vous n’avez pas honte? Si vous voulez le savoir vas falloir vous montrer très très gentil, vraiment gentil avec moi et j’y songerai.
A
Ajouter un commentaire