J’arrive à la porte d’embarquement, il y a 3 personnes devant moi. Je me dis que j’ai encore failli louper mon vol et que tous les passagers sont rentrés. A ma grande surprise l’avion est presque vide. Il y a une dizaine de personnes en économie et une femme en business assise à côté du hublot gauche. Je m’installe sur la même rangée à l’opposé, côté droit. L’avion décolle, je regarde à l’extérieur, mes pensées sont ailleurs. Comme à l’habitude l’hôtesse nous propose à boire. Une fois que nous sommes servis la passagère lève son verre de champagne dans ma direction.
– J’en ai bien besoin après ma soirée d’hier.
– A bon ? … pourquoi ?
– J’avais un rendez-vous avec un client hier soir au bar d’un hôtel. Il m’a tenu la jambe toute la soirée, j’ai enfin réussi à m’en débarrasser, mais à cause des bouchons, je suis arrivée trop tard pour prendre mon avion et pas d’autre vol avant celui-ci.
Bref, j’ai pris une chambre dans un hôtel prêt de l’aéroport et j’ai passé la soirée avec mon ami le Mini bar à regarder un film dans une langue que je ne comprenais pas !
Elle pose son verre, se lève et viens s’assoir à côté de moi.
Une femme de 40 ans environ, une belle silhouette et de jolies formes. Elle porte une jupe portefeuille noire et un top à bretelles en lin couleur blanc-crème qui embellit une poitrine généreuse. Elle a des cheveux bouclés châtain foncé et ne porte pas de maquillage, juste un parfum floral très léger.
– Attendez, vous étiez aussi dans le bar de l’hôtel hier soir ? Vous étiez au Luxury Suites Amsterdam ?
J’étais dans un coin et je crois vous avoir vu assis au bar avec une jeune femme blonde.
– Oui c’est vrai, j’étais au bar du Luxury Suites Amsterdam avec une jeune femme blonde hier soir. Une suédoise, abandonnée par son petit ami qui a dû partir en urgence.
– Vous aviez l’air de bien vous amuser tous les deux.
– Oui nous avons passé une bonne soirée.
– J’aurai mieux fait de vous rejoindre au lieu d’écouter mon client me parler de sa libido. Je suis avocate et ce gros lourd pensait peut-être que j’allais avoir de la pitié pour sa vie de couple. Je plaide au barreau et lui voulait que je lui lèche le barreau.
Elle se mit à rire de sa blague. Elle avait un sourire malicieux et des yeux verts rieurs et pétillants de vie !
– Oui dommage pour vous. Vous auriez pu faire connaissance de cette jeune créature nordique.
– Vous êtes sympa et pas mal du tout aussi.
Sa main qui effleurait la mienne sur l’accoudoir vint m’agripper après une secousse de l’avion. Elle s’excuse pour la gêne occasionnée et me demande si elle peut garder sa main sur la mienne prétextant la peur de voler. Je lui dis qu’il n’y a pas de problème.
Elle reprend la conversation sur la femme blonde, visiblement, elle est très intéressée par notre soirée.
– Je vous ai vu partir vers 21h00. Ou êtes-vous allez après ?
– Après quelques verres nous sommes montés. Sa chambre était au même étage que la mienne.
– Ah oui ! Et après ?
– je l’ai raccompagné devant sa porte et elle m’a proposé de rentrer prendre un dernier verre.
– Ha oui. Hum, intéressant. Et alors ?
Elle me regarde avec gourmandise et ses lèvres parfaitement dessinées esquissent un sourire sensuel. Sa main douce et chaude est toujours posée sur la mienne. Je la regarde un peu surpris et je me dis que si elle veut des détails je vais lui en donner suffisamment pour la faire frissonner.
Elle rentre en premier, je passe derrière elle, ferme la porte et elle me plaque pour m’embrasser dans le cou, m’embrasse sur la bouche, mêle sa langue à la mienne, sa main posée sur mon entre jambes qu’elle caresse avec envie. Elle me dit qu’elle a une attirance pour les hommes plus agés qu’elle.
Son corps est collé au mien et je sens ses tétons durcirent d’excitation à travers son chemisier. Elle me glisse à l’oreille :
– J’ai envie de toi. J’ai envie que tu me prennes comme une chienne. J’ai envie que tu me défonces la chatte, que tu me baises comme une pute.
Je la repousse doucement et lui dis d’aller se déshabiller, de m’attendre à quatre pattes les jambes écartés sur le lit. Elle part s’en attendre en se déshabillant, un grand sourire aux lèvres.
Je regarde ma voisine se mordiller la lèvre inférieure et agripper une partie de sa jupe pour la faire remonter sur ses cuisses entrouvertes.
– Hum. Votre soirée est de plus en plus intéressante. Dites-moi la suite et n’oubliez rien.
– Je rentre dans la salle de bain, att**** une poignée de lingette et une brosse à cheveux avec un manche en plastique souple, rond et doux comme du velours.
– Je retourne dans la chambre pour retrouver ma compagne. Elle est nue, allongée sur le côté et me regarde faire le tour du lit. Du bout des doigts je caresse sa peau aussi blanche que de la porcelaine. Elle a un cobra tatoué autour de la cuisse dont la gueule ouverte finit sur le bas ventre prête à att****r une proie. Ma main remonte de sa cheville vers son sein, pointu et gorgé d’excitation. Elle a un anneau au bout du téton. Ma main caresse son sein . Elle ne bouge pas et regarde la pointe de son sein que je pince fermement entre mon pouce et mon index. Elle étouffe un gémissement…
Je fais une pose. La jeune hôtesse vient pour resservir une autre coupe de champagne. Ma voisine lui dit non merci. Elle a une cuisse complètement dénudée et son entre jambes largement exposé à la vue. L’hôtesse me regarde et me fait un grand sourire complice avant de repartir.
– Et après ?
– Et après, ma main est descendue de son épaule vers sa cuisse. Je lui ai caressé la fesse…
Ma main claque sur ma cuisse, ma voisine sursaute et pousse un petit souffle.
– … et je lui ai mis une claque sur la fesse ! Elle a poussé un cri de douleur mêlé de surprise et ses joues se sont empourprées. Ma main à laisser une marque rouge sur haut de sa cuisse droite.
– Je t’ai demandé de te déshabiller et de m’attendre à quatre pattes les jambes écartés sur le lit.
– Oui Monsieur.
Elle se redresse pour se mettre à quatre pattes sur le lit en se frottant la fesse pour faire passer la douleur.
Je passe derrière elle et lui caresse les fesses sans dire un mot…
Ma main claque à nouveau sur ma cuisse, ma voisine sursaute et pousse un petit gémissement. Sa main empoigne sa cuisse avant de la caresser.
– … et je lui ai mis une grande claque sur la fesse gauche !
Elle pousse un nouveau cri de douleur.
Ses mains agrippent les draps du lit et sa tête bascule en avant dans l’oreiller pour étouffer son cri de douleur.
– Je viens de te dire d’écarter les jambes.
Elle s’exécute. Ma main a laissé une belle marque rouge écarlate sur sa fesse.
Ma voisine avait ses yeux fixés sur moi et la bouche entre ouverte. Sa main entre ses cuisses caresse discrètement son intimité.
– Continuez s’il vous plait.
– A quatre pattes, les fesses en l’air, les jambes écartés son sexe est largement ouvert. Je peux voir ses lèvres couleur rose pâle et son piercing sur son clitoris gorgé de plaisir. Elle ne bouge pas et attends de se faire prendre par derrière.
A l’aide des lingettes je lui rafraîchit les fesses pour lui calmer le feu des claques.
Je lui nettoie la raie et l’anus. Elle semble apprécier la douceur humide de la fibre. Sa chatte est béante et trempée et elle se masturbe tout en me regardant de côté.
Je lui caresse la fesse et lui dis :
– Je ne t’ai pas autorisé à te caresser.
Elle s’arrête immédiatement en me disant » Pardon Monsieur »
Méticuleusement je lui nettoie son petit trou serré avec les lingettes. Je force l’entrée pour lui enfoncer mon index entouré de la lingette. Elle se cambre, relâche son anus et mon doigt rentre plus facilement. Mon doigt s’enfonce maintenant complètement et je commence à la limer avec un doigt puis deux.
Elle me dit :
-Oh oui, j ‘aime ça, vas-y encore !
Son trou est bien dilaté. J’att**** la brosse, lui enfonce le manche doucement au début et d’un coup sec ensuite. Je fais quelques va et vient avec le manche
– Oh Oui c’est bon, continue, j’aime ça ! Tu vas me faire jouir !
Je regarde ma voisine qui se caresse le sexe à travers le tissu de sa culotte
– J’aime votre histoire, continuez s’il vous plait…
Je l’autorise à se masturber pendant que je me déshabille. Elle glisse sa main entre ses jambes sans attendre pour se masturber et se doigté. Je baisse mon pantalon et mon caleçon. J’enfile une capote sur ma verge en érection. Je retire la brosse de son cul après avoir fait quelques va et vient avec le manche. Le clapotis de ses doigts dans sa chatte ouverte augmente son excitation. J’attrappe ses hanches pour la rapprocher du bord du lit et enfonce ma queue d’un coup puissant au fond de son vagin parfaitement lubrifié.
Je l’insulte, lui dis des mots orduriers. Elle aime ça et me dit » oui traite moi comme une garce, comme une trainée « . Elle a une grande expiration suivie d’un râle de plaisir et un orgasme.
Je regarde les cuisses de ma voisine largement ouvertes. Je peux voir ses superbes cuisses et un morceau de sa culotte en dentelle blanche. Elle remonte l’accoudoir entre nous et pose ma main sur sa cuisse.
Ma voisine se laisse aller au plaisir de ses doigts.
– Oh c’est bon continue, tu me fais mouiller.
– Je sors ma bite de sa chatte et m’enfonce à nouveau dans son vagin trempé, tout doucement.
Elle continue de se masturber pendant que je la lime. Je continue mon va et vient en prenant mon temps. Mon pousse joue avec son petit trou, le pénétrant par moment.
Sa tête est sur le côté. Elle a les yeux fermés, la bouche ouverte, sa main gauche pince le bout de son sein gauche et je sens son autre main entre ses jambes se masturber le clitoris sans aucune retenue. Elle gémit, m’encourage à la prendre comme une chienne, comme une salope…
Elle est prête à jouir et moi aussi. J’accélère elle jouit et se retourne rapidement, retire ma capote pour me prendre dans sa bouche. Elle astique ma queue comme une folle, sa main toujours entre ses jambes pour se masturber. Elle me prend dans sa bouche et j’éjacule une grosse giclé de sperme au fond de sa gorge, elle me lèche et me suce pour ne pas perdre une goute et elle avale tout. Quelques secondes après elle a un dernier orgasme très puissant en se masturbant. Elle ne peut plus se retenir et elle s’effondre sur le dos, épuisée, ravagée, le clitoris gonflé, rougi de plaisir.
La respiration de ma voisine s’accélère. Elle a la bouche sèche et se passe la langue sur les lèvres.
– Tu avais raison, j’aurai peut-être dû venir vous rejoindre au bar hier soir.
Elle remonte le devant de sa jupe complètement, avance et relève ses fesses du siège pour faire glisser sa culotte et elle me la pose sur les cuisses.
– Je n’en ai plus besoin elle est trempée.
Ses doigts rejoignent sa superbe toison brune pour la caresser. Son autre main descend la mienne vers son sexe. Elle glisse délicatement mon doigt dans sa fente humide. Mon majeur pénètre son vagin pour s’y engouffrer délicatement. Je la caresse, la doigte et lui masturbe le clitoris. Elle pose sa main entre mes jambes pour caresser mon membre en érection à travers le pantalon.
– Je ne m’attendais pas à tant de fougue de ta part.
Ma voisine ne dit plus un mot. Elle a les yeux fermés et se laisse aller.
Elle empoigne ma main fermement pour enfoncer mes doigts plus profondément dans sa chatte. J’aime la douceur de ses poils autour de ses grandes lèvres. Je la masturbe sans retenue. Elle se lâche, elle est incontrôlable ! Mes doigts sont au fond de son sexe. Elle gémit et jouit, mes doigts continuent de s’activer dans sa fente un petit moment encore et elle jouit une deuxième fois. Je sors mes doigts trempés par sa mouille.
– Wouahou, c’était bon, merci j’en avais besoin. Je vais m’occuper de toi maintenant. J’ai envie de te sucer…
Elle ouvre la ceinture de mon pantalon, puis le bouton et fait descendre ma braguette.
Elle sort ma bite et mes couilles de mon caleçon et me masturbe gentiment.
Je la regarde approcher son visage au-dessus de mon entre jambes pour me prendre dans sa bouche. Elle pose ses lèvres sur mon sexe et me décalotte pour me libérer le gland. Ma main caresse ses fesses pour ensuite aller chercher sa fente du bout des doigts.
Sa figure sur mon sexe, elle me lèche et me suce goulument.
L’hôtesse repasse dans l’allée. Elle s’arrête intriguée par la position de ma voisine et repart aussitôt l’air gêné. 10 secondes après elle revient vers nous pour nous dire que nous allons bientôt atterrir. Elle nous observe, regarde les mouvements de la tête de ma voisine au-dessus de mon sexe et demande si tout va bien juste pour dire quelque chose. Je souris et affirme que oui de la tête. Elle baisse la tête et regarde mes doigts qui caresse la vulve trempée de mouille.
Ma voisine ne se soucie pas de la présence de la jeune femme qui reste quelques secondes avant de rejoindre sa place.
L’avocate me suce avec passion et désir ! Elle est douée pour tailler une pipe !
Mes doigts s’agitent dans sa chatte, et j’entends ses gémissements et ses encouragements à continuer.
Sa langue me lèche habilement, sa bouche douces et humides me pompe à merveille et je gémis de plaisir. Sa langue va et vient au-dessus de mon sexe. J’enfonce ma verge au fond de sa bouche chaude. Le plaisir monte vite, j’ai vraiment très envie de jouir.
J’explose dans sa bouche et lui remplis la bouche de jets de sperme.
– Elle n’arrête pas de me sucer, je lui dis « oui continue, j’aime ça, vas-y vide moi les couilles ! ».
Je ne bouge plus, déboussolé par ce plaisir intense.
Elle se redresse et se passe la langue sur les lèvres.
– C’était délicieux, le meilleur petit déjeuner d’Air France.
Elle continue à me caresser la bite tout doucement. Regarde entre ses cuisses, son pubis et passe la main sur ses poiles couvert de liquide.
L’hôtesse vient vers nous pour nous dire qu’il faut attacher nos ceintures pour l’atterrissage… et aussi boutonner votre pantalon monsieur…
Je tends la culotte à ma voisine et lui passe ma carte de visite en lui disant que j’aimerai bien la revoir si elle veut.
En sortant l’hôtesse nous attend à la porte et nous demande avec une tête coquine si le vol était agréable.
Deux semaines plus tard je reçois un SMS me donnant rendez-vous dans un café à l’angle de mon bureau. L’avocate est de retour pour une nouvelle affaire à plaider…
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