Je trouve l’invite facile, un peu téléphonée, et surtout appuyée d’un regard qui me fait chaud dans le bulbe. Frédérique:
– Salut, comment vas tu?
– Oh, Fred quel plaisir de te voir!
Échanges de bises.
Cette femme, la trentaine, deux enfants avec un mari a l’allure un peu brute, reste fraîche, mignonne, l’allure flexible. Oui flexible en ce sens qu’elle a un corps toujours en mouvement, paraissant fluide. Elle m’a toujours donné envie d’en savoir plus, et elle le sait…
– tu ne veux pas acheter ma voiture, elle est à vendre?
En ce mois de mai,elle est habillée d’un mauvais tee-shirt, d’une légère robe fleurie. Mais surtout, visiblement, pas de soutien gorge, deux seins, taille moyenne en liberté !
– ok,mais fais là moi essayer
– viens,elle est là
Quelques pas et elle désigne un mini bus Mercedes 7 places. Pas mon truc.
– tu conduis, dis je, je n’ai pas le permis poids lourds!
Mais j’ai une idée derrière la tête par contre.
Elle se met au volant, moi sur le siège de droite.
Le moteur tourne t-il à peine que j’ai déjà déposé une main sur l’une de ses cuisses
– tu me déconcentre
– Juste pour voir ton self contrôle
Ce coup-ci je caresse le bout d’un sein au travers du coton, érection s’en suit! Je passe à l’autre idem. Pendant ce temps elle roule et j’en reviens à la cuisse,et je remonte très décidé à franchir la culotte. Ça y est, un doigt, deux. Aucune réaction, muette elle est.
– tu self contrôle super dis je
– et toi tu perds rien pour attendre réponds-t-elle stoppant le véhicule. Elle me surprend en me poussant vers l’arrière-plan la place est laissée libre par l’absence de quelques sièges. J’ai déjà le Benard sur les genoux et la bitte en bouche.
Délicieuse cette bouche, envie d’y rester. Elle s’applique, bichonne particulièrement le tour du gland, gobe le tout jusqu’à la garde, a en avoir des spasmes précédent une nausée. Mais elle décide subitement de la suite. Elle vire complètement sa culotte, se met à quatre pattes devant moi, donc je mets mes genoux au sol, commence à farfouiller d’un doigt, de deux l’espace humide et doux. Quelques soupirs m’inspirent de continuer et pourquoi pas chercher le très fameux point G, bonne idée! Et cette charmante odeur exsudat féminin qui me chatouille le nez, et ces gémissements et d’un coup:
-défonces moi,défonces moiiiii
Je ne réponds rien, mais l’embroque tout doucement, doucement, mais profond, jusqu’à ce que mon gland arrive au contact de son utérus. Un râle venu de je ne sais où me répond, surpris je reste au contact, elle continue…Je me retire tout doucement,le râle diminue, s’arrête. Taquin que je suis, je me mets à lutiner du bout de ma bitte, l’entrée du vagin, puis le clito, à tour de rôle, fais mine de pénétrer, titille le clito,les lèvres,et à chaque fausse entrée dans le vagin je sens qu’elle attend le coup de reins et la défonce…et bien non! Tout à mon ouvrage je vois son trou noir se dilater doucement. Tiens, tiens, elle espère une sodomie?
Je continue mon système, un peu agaçant, j’en conviens, lorsqu’elle éclate de rire, un peu hystérique le rire. Alors, d’un coup je la défonce à fond en même temps que je mets deux doigts dans cet anus demandeur. L’effet de surprise est remarquable, le cri de la bête aussi, puis je me mets à limer, pépère, tranquille,mais avec mes doigts introduits dans le fion je fais pression sur mon fidèle popol. Je te le recommande camarade lecteur, essaie, ta gerce t’en sera reconnaissante, puis elle ira à confesse et donnera une bonne idée à monsieur le curé!
– alors, vous dites, un doigt dans…mon dieu, non deux? Mon dieu, mon dieu, et pendant ce temps il vous fourrait avec son appareil? et vous étiez comment? Honteuse, non la position, ah! à quatre pattes, comme une chienne? Mais le pire de tout ma fille, c’est la position, le doigt c’est rien, mais la position quadrupédique, ma fille, vous n’auriez pas dû!
Pour commencer, tous les soirs trois Ave, quatre Pater, mais vous risquez beaucoup plus, je vais réfléchir. Au fait, n’oubliez pas de revenir la semaine prochaine pour me tenir au courant, hein, sans faute!
Bon, je sais pas pourquoi j’ai déliré, pendant que je fais reluire la Fred.
Donc Popol lime pendant que je lui mets deux doigts de pression. Et ça fait son effet sur Popol qui gonfle,qui gonfle dans le vagin accueillant,lequel transmet ces bonnes nouvelles à sa proprio qui extase, explose en vol, au même instant je défouraille Vingt cinq milliards de spermatos à six cent kilomètres à l’heure.
Je m’affole sur la bête qui s’affale au sol. Le temps de reprendre son souffle et ses esprits, la Fred me dit:
– faut pas que j’oublie de récupérer la gosse à l’école de musique, la voix est molle…
Comme elle a dû savoir vivre, elle part à la recherche de la partie, la plus valeureuse de mon anatomie, la trouve, là branlotte, l’autre commence à se réveiller
– ah non on n’a pas le temps
Cependant, sa bonne éducation lui commande de nettoyer les outils avant de les ranger, elle embrasse Popol, lui fait une toilette rapide…
– alors tu me l’achète cette caisse?
– non j’aime que les petits modèles…
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