Le quartier des sex shops que je découvrais à Bordeaux à l’époque (années 80) me divertissait beaucoup.
J’avais l’impression d’être dans un parc d’attraction, rempli de jouets, de couleurs, de manèges, de personnages fantastiques. J’y allais aux heures creuses, pour ne pas croiser trop de monde et j’ étais toujours dans mon désir aveugle de vengeance, l’alibi parfait pour continuer de m’initier à la débauche !
C’est au Sexodrome que je rencontrai Marina, une très jolie brune de mon âge, qui faisait des effeuillages dans les Peep show du coin . Le principe du peep show, comme dans le clip de Madonna « Open your heart » c’est qu’une strip steaseuse fasse son numéro de charme dans une cabine vitrée, les hommes assis dans des petits salons autour, pouvant lui parler.
Bizarrement, Marina n’était pas une fille très sexuelle. Juste une étudiante (supérieure) qui arrondissait ses fins de mois ainsi, c’était moins fatiguant que de bosser dans un magasin.
Un jour elle m’invita à la regarder pendant une de ses exhibitions. Je pris place sur un petit fauteuil et le spectacle m’excita beaucoup. Marina était particulièrement gracieuse, avec ses longues jambes, sa poitrine ferme et son sexe épilé. Sa taille de guêpe faisait ressortir ses fesses bombées et sa cambrure était d’une divine sensualité. Un vrai félin qui se caressait, prenait les poses les plus érotiques, faisait le grand écart à 20 cm de la vitre.
Je compris alors pourquoi ce spectacle plaisait tant aux hommes. J’étais moi-même très excitée par la beauté suggestive du corps de mon amie. Je me souviens m’être caressée sans relâche du début à la fin de son show !
Je la retrouvai dans sa petite loge après sa performance.
« ça t’a plu ? »
« Oui !!! J’ai adoré. J’en suis encore toute chaude ! »
« j’ai vu que tu t’es caressée, ça m’a encore pus motivée… »
Le patron du sex shop entre alors sans frapper dans la loge.
« Bravo Marina, c’était super, y’a de plus en plus de monde, dommage que tu partes à la fin du mois… »
« Merci Mario…je reviendrais peut-être un jour… »
Mario n’avait pas trop fait attention à moi, il prenait parait-il pas mal de cocaïne ces temps-ci.
« Ah, bonjour Louise »
« Salut »
Je ne le connaissais pas beaucoup plus que de vue mais comme je venais régulièrement voir Marina, il avait quand même retenu mon prénom.
« ça te dirait de remplacer Marina au peep ? »
« … »
J’avais vu qu’ils affichaient des annonces à la caisse du sex shop « cherche actrices débutantes pour spectacle », mais je n’y avais jamais prêté attention.
« vous n’avez qu’à essayer ensemble ce soir à 21h… »
Et il sortit.
« Oh oui Loulou, fais le avec moi, ça va être super !! »
« Tu crois ? »
« Bien sûr ! Je vais te prêter de la lingerie. »
L’idée me séduisait quand même beaucoup. Je m’imaginais déjà exciter tous ces hommes, caressant Marina, montrant mon intimité. Quelle farce…moi la bourgeoise si bien élevée, catéchisme et bonnes manières à la pelle…en train de me gouiner dans un sex shop devant des hommes qui se masturbent…Il ne manquerait plus que mon salaud de mari soit là !
Nous passâmes alors une bonne demi-heure à me préparer, maquiller, motiver. Le moment fut tellement joyeux que toute inhibition était maintenant levée. 21H c’est l’heure de grande affluence, on allait chauffer tous ces hommes à blanc. Ayant toujours peur d’être reconnue, j’ai réclamé à Marina de porter un masque. Elle me dénicha un bandeau pour les yeux, du style ****tou, qui m’allait à ravir.
« Dans 5 minutes les filles ! » nous annonça Mario en nous apportant deux whiskies et 3 gros godes de son magasin.
Marina entre la première, me tenant par la main. La cabine est petite, nos deux corps se touchent en permanence. Une musique disco démarre. « I feel love » de Donna Summer. Je prends un malin plaisir à me déshabiller lentement en me trémoussant, pendant que Marina commence déjà à suçoter un gode en tournant sur elle-même. Les premières consignes fusent.
« embrassez-vous ! », « bouffe-lui la chatte ! » « mettez-vous les godes ! »
Il y a effectivement plus d’hommes que d’habitude, Mario a du faire de la pub. Ils sont trois ou quatre par petit salon, la plupart debout, se masturbant le nez collé aux vitres.
On se sent dans un ring de boxe.
Tout à coup je comprends…Marina est lesbienne en fait. Je ne l’ai jamais vue dans une telle énergie, m’embrassant, me caressant avec fièvre. Nos deux corps ondulent avec grâce, la blonde nordique et la brune incendiaire. Elle me fait allonger sur le tapis épais et commence à me dévorer la chatte en offrant ses fesses aux voyeurs. Je n’ai jamais vraiment eu d’aventure homosexuelle, à part quand ma tante Jacquie m’avait fait un unique cunnilingus lors d’une nuit de transit en camping. Mais je ne demande qu’à apprendre…
Marina me fait décoller, sa bouche a la gourmandise d’un petit chien qui lape du lait sucré, j’enfonce sa tête entre mes jambes pour la sentir encore plus loin en moi. Elle saisit un gode et me pénètre délicieusement pendant qu’elle me suce. Je ferme les yeux et pars dans un premier orgasme, emplie du souvenir de la bouche de ma tante qui m’avait faite jouir sous les draps lorsque j’avais 14 ans. J’en veux encore.
Je prends le gode et l’active nerveusement dans ma chatte pendant que Marina m’embrasse dans un long baiser au goût de ma mouille.
Les hommes sont en transe, mais je les oublie. Je murmure à l’oreille de Marina, en lui tendant un deuxième gode.
« sodomise-moi… »
Ce gode, le « Jeff Stryker » est magnifique, hyper réaliste, joliment courbé avec des couilles bien dures. Je le veux dans mon petit trou sans attendre, comme pour bien vérifier mes prédispositions au plaisir anal.
Je me mets à quatre pattes, ne faisant pas attention aux cris des hommes déchainés derrière les minces vitres, les imaginer me suffit, ils doivent tous bander comme des poneys, s’astiquant le chibre. Peut-être certains se sont même rapprochés, se caressant mutuellement, désinhibés par l’excitation.
Marina me fouille l’anus avec sa langue agile, je suis archi prête pour la pénétration.
Je crie maintenant aussi fort que la musique.
« Vas-y ! »
Elle prend tout son temps, rentre le gland, le fait tortiller dans mon petit œillet ouvert, l’insert davantage, le ressort, réintroduit le gode sans relâche. Je monte en pression quand ses mouvements se font plus intrusifs, elle s’active et m’encule maintenant avec vigueur. Elle m’introduit un deuxième jouet dans la chatte et là je pars en vrille, l’orgasme se déclenche en deux secondes, me fait hurler, la bouche collée à la vitre qu’un homme est en train de souiller de sperme au niveau de mon visage. Je fais mine de nettoyer le carreau, je passe des grands coups de langue comme pour récupérer sa semence avant qu’elle ne coule vers le bas. Un deuxième homme présente sa queue et jouit aussi sur le carreau, étalant son foutre sur la paroi comme si c’était sur mes lèvres. Je sors la langue pour lui montrer que j’aime ça alors que la lumière s’éteint sur scène.
30 minutes sont passées, le show est fini, les hommes en ont eu pour leur argent. On retourne en loge.
Mario nous y attend.
« – Vous avez cartonné les filles !!! J’ai jamais vu un bordel pareil, il va falloir que j’embauche un service d’ordre ! »
On entend du bruit, les chiens sont en rut dans le couloir, essayent d’ouvrir la porte que Mario protège tant bien que mal.
« On veut les voir tes salopes !! »
« Laissez-les tranquilles !! Foutez nous la paix ou j’appelle les flics !! »
La porte cède. Trois types genre rugbyman entre de force, frappent Mario au visage et le dégagent comme une poupée de chiffons dans le couloir. Ils ferment le verrou de la porte de la petite loge. Ce sont des touristes, je ne les ai jamais croisés avant. Ils ont un fort accent du terroir, version Montauban ou Béziers.
» Salut les petites cailles, vous êtes drôlement chaudes !! Surtout toi la blonde ! Ça vous plairait qu’on continue la soirée ensemble ? »
Rires gras.
Marina se défend.
-« Faites pas chier, le spectacle est terminé, sortez d’ici, on n’est pas des putes !! »
Étrangement je n’ai pas peur. J’ai déjà tellement croisé d’hommes en rut malgré mon jeune âge que sais à quel point ils sont vulnérables une fois leur queue dans ma bouche. J’espère aussi protéger Marina qui n’est pas forcément habituée aux hommes rudes.
J’att**** le plus costaud par les couilles.
« -Vas-y, sors là et montre moi ce que tu sais faire, connard ! »
Comme il reste interdit, je prends les choses en mains, je défais sa braguette et sors son engin tout gonflé. Je le branle, très vite. Il a perdu toute agressivité, gémit de mes caresses. J’espère le faire jouir rapidement. Au bord de l’explosion, il demande en haletant :
« – ….ta bouche…s’il te plait…. »
« -Tu veux une pipe gratos, c’est ça hein ? Tu veux jouir dans ma bouche et que j’avale ton foutre ?
« – Oui…Oui !! »
Et il éjacule dans ma main. Mes mots l’ont achevé, il se déverse sur mes jambes nues pendant que les deux autres assistent médusés à la scène.
« Cassez vous maintenant ! »
Mon autorité est implacable. En moins de trois secondes ils sont dehors.
« – Merci Loulou, t’es incroyable… » me dit Marina en pleurs. Je la prends dans mes bras.
Mario arrive en trombe, en furie. Il saigne de la lèvre inférieure mais rien de grave apparemment. On le fait assoir pour jouer aux bonnes infirmières, lui nettoyer la bouche et le calmer. Pour le remercier aussi d’avoir essayé de nous protéger.
« – Comment vous avez fait pour les faire partir ? »
« – c’est Louise qui a …pris les choses en mains »
« – comment ? »
Comme il se lève, je m’approche de lui et pose mes doigts sur son paquet.
« – Comme ça… »
Je défais sa braguette, découvre son sexe en demi érection, et entame à genoux une pipe pleine de gratitude, goulue, presque avec amour. Il prend tellement son pied que moi aussi je suis terriblement excitée. Je le fais jouir sans les mains, en me caressant la vulve, rien qu’avec la succion de ma bouche qui ventouse son gland. Son éjaculation me fait partir, son sperme gras me remplit la bouche pendant que mon clito explose de bonheur pour la troisième fois ce soir.
Je ne lâche son sexe qu’après être sûre que la dernière goutte a bien coulé dans ma gorge, lui nettoie le gland, rentre sa queue dans son slip et referme sa braguette.
Il se rassoit lourdement
« Putain, je t’embauche ! »
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