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Les ramoneurs

Les ramoneurs



Mon histoire débute par un prospectus trouvé dans ma boite à lettre. Il s’agissait d’un avis de passage des ramoneurs. Un samedi matin, on a sonné à la porte. Mon homme dormait. J’ai enfilé une robe de chambre en me demandant qu’elle était le crétin qui osait nous déranger à cette heure là, un samedi matin. je me suis retrouvée face à 2 costaud en bleu de travail. J’avais totalement oublié cette histoire de ramonage ! j’ai fait entrer les 2 hommes qui se sont tout de suite mis au travail. Ils étaient très polis et faisaient attention à ne rien salir. Le plus jeune, avait des yeux malicieux. cela m’a rappelé un film érotique que nous avions vu, où une femme profitait de la présence des deux ouvriers venus réparer sa machine à laver pour assouvir ses fantasmes. J’ai trouvé la coïncidence amusante. Je regardais les 2 hommes s’affairer en repensant à certaines scènes du film. Pour me donner une contenance, je me suis intéressée à leur travail. Ils m’ont expliqué comment ils procédaient et m’ont proposé de regarder dans le conduit de la cheminée. Je me suis mise à quatre pattes. J’ai vu bien distinctement les yeux du plus costaud plonger dans mon décolleté. Je l’ai laissé me mater, amusée. Celui qui était posté derrière moi avait du remarquer que j’étais nue sous ma robe de chambre. Le léger entrebâillement de ma robe de chambre devait constituer un spectacle intéressant. L’idée que leur regard pouvait se poser à tout instant sur mon sexe me rendait toute chose. Les 2 hommes ont échangé un regard complice et se sont approchés de moi. Sans dire un mot, Yvan m’a écarté les jambes. Je l’ai laissé faire. La langue de tonio, s’est frayée un chemin entre mes fesses et a pénétré mon ptit trou plissé. Je me suis remise debout et j’ai baissé son pantalon. Une belle queue robuste en a jailli. Elle était dure et chaude dans ma main. Accroupi derriere moi, Yvan en profitait pour me bouffer les fesses. Mon con inondé trahissait bruyamment mon désir chaque fois que ses mains de travailleur me fouillaient. Je me suis vite retrouvée à genoux devant la queue du jeune italien. Pendant que je dégustais la queue de Tonio, l’autre me pétrissait les seins de ses mains puissantes. Je savais que mon mec pouvait surgir à tout moment, et cela m’excitait encore plus. Tonio, m’a prise dans ses bras puissants. Je me suis assise sur sa queue tendue que j’ai absorbée d’un seul mouvement. Un râle de plaisir s’est échappée de ma bouche quand il a commencé à me mordiller la poitrine. Au moment de jouir, il m’a arraché de son sexe et a fait descendre ma tête sur sa queue. Trop tard : j’ai reçu tout son foutre sur le visage. J’ai sauté sur l’occasion pour aller me rafraichir dans la cuisine. Je me suis contentée de me passer le visage sous le robinet et de m’essuyer avec un torchon. J’ai pris une bouteille d’eau minérale au passage et je suis vite repartie au salon. Quand je suis revenue dans le salon, j’ai vu que Tonio s’était gardé la queue au chaud en se branlant. Décidément, il avait de la suite dans les idées. Je me suis retrouvée allongée sur le dos. Yvan s’est collé à moi et m’a sucé les tétons pendant que son copain me pilonnait la chatte. Je sentais son souffle de bête en rut me chatouiller délicieusement la poitrine et je n’ai pu retenir un cri. Alors que nous étions plongés dans une position acrobatique, Alain est apparu en pyjama sur le seuil du salon. Il avait l’air complétement ébahi. J’ai cru un instant qu’il allait mettre tout le monde à la porte, mais non. Nous devions former un amas de chair fraiche très excitant. Alain a dû trouver la situation cocasse. Quand, il s’est approché, j’ai nettement vu la bosse qui tendait son bas de pyjama. Mon gros loup s’est mis face à moi, sa queue tendue vers mes lèvres. Tonio l’a imité. J’étais assise sur la bite d’Yvan et j’avais les 2 autres dans la bouche. Royal ! je me suis amusée à les sucer en même temps. Leurs pines coulissaient à tour de rôle dans ma bouche. Je les ai ensuite branlés fermement, gland contre gland, en me demandant qui allait gicler en premier. Pendant ce temps-là, en bon professionnel, Yvan me ramonait la cheminée. Sa queue montait et descendait à toutes vitesse dans mon conduit en feu. Il m’a bourrée à m’en faire hurler. Puis il s’est retiré précipitamment pour se soulager contre ma chatte Alain en a profité pour prendre sa place. Yvan m’a aidée à me mettre à califourchon sur mon chéri. J’ai ressenti un énorme bonheur à retrouver le sexe de mon homme en moi. Tonio, qui n’avait pas encore joui, a replacé sa tige dans ma bouche. Les mouvements de bassin d’Alain me faisaient gémir, et chaque gémissement permettait à Tonio de s’enfoncer davantage dans ma bouche. Tonio a ensuite essayé de me prendre par le petit trou. Il a calé le bout de sa queue entre mes fesses et j’ai eu droit à une nouvelle séance de ramonage, dans mon deuxième conduit cette fois. En dessous, je sentais la queue de mon homme aller et venir a l’unisson avec celle de Tonio. J’ai fini mes deux ramoneurs à la main. Alain, lui, a explosé dans mon ventre sous le regard de nos compagnons de jeu. Ses longues giclées de sperme m’ont inondée comme jamais. quand je me suis relevée pour nous servir à boire, je coulais de partout. En repensant à ce samedi matin pas comme les autres, je me dis qu’il doit pas y avoir beaucoup de femmes au foyer qui s’en mettent jusque là quand de beau mecs sonnent à leurs portes. La seule différence, dans mon cas, c’est que le plaisir que j’ai vécu était décuplé car mon homme était là.

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