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VU SUR LE NET: Maman lesbienne (1)

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Je m’appelle Chloé, j’ai 24 ans. Je suis lesbienne depuis toujours et je suis célibataire depuis deux ans. Je suis revenue vivre chez ma mère depuis que c’est fini avec ma copine. Ma mère est également lesbienne et elle a vécu presque quinze ans avec celle qui a été en quelque sorte ma deuxième maman. A leur séparation, maman à changer de comportement. Elle sortait beaucoup, elle rentrait tard, elle avait beaucoup d’aventures avec des femmes.

Il y a quelques années, un soir elle était sortie avec des copines à elle. Étudiante, je ne sortais pas en semaine et n’avais de petite amie à cette époque. Je m’étais couchée vers 23 heures. Je fus réveillée vers une heure du matin par le bruit que faisait maman en rentrant. Elle avait du trop boire car je l’entendais se cogner un peu partout sur le chemin de sa chambre. Le bruit s’estompa un peu et je commençais à me rendormir quand je l’entendis gémir. Inquiète, je me suis levée pour savoir si elle ne se sentait pas mal. La lumière de sa chambre était allumée, la porte grande ouverte. Je n’eus pas besoin de rentrer entièrement dans sa chambre pour comprendre l’origine de ses gémissements. Elle était simplement nue sur son lit en train de se masturber avec un gros gode.

Je n’étais pas choquée car nous étions très libres. Nous pratiquions le naturisme, je l’avais déjà vue nue. Mais c’était la première fois que je la voyais en train de se caresser. Sans être pudiques, nous conservions nos activités sexuelles pour nous, même s’il nous arrivait d’en parler sans gène. Elle ne m’avait pas entendue et continuait allégrement. Peut-être était-ce le fait que je n’avais pas de petite amie en ce moment et que je n’avais pas fait l’amour depuis quelques semaines, mais je n’arrivais pas à détacher mes yeux de cette scène. Je restais à la porte, une douce chaleur commençait à irradier ma chatte et l’excitation me gagnait. C’était fou car je n’avais jamais été attirée par maman. Je n’imaginais même pas pouvoir un jour être excitée ainsi en la regardant.

Je n’avais pas fait de bruit, pourtant maman ouvrit les yeux et me découvrit l’observant. Je ne sais pas si elle me reconnut dans son délire alcoolique, mais elle me sourit et me fit le signe d’approcher. Comme hypnotisée, je m’avançais vers son lit. J’avais juste mon t-shirt de nuit et une culotte. Elle avait toujours le gode planté en elle. Lorsque je fus près d’elle, elle attrapa ma main, m’attira vers elle et me dit « fais moi jouir » avant de m’embrasser furieusement en glissant sa langue dans ma bouche. Cela fit tomber toutes mes inhibitions et tabous. Sans réfléchir je lui rendis son baiser et m’enhardit à lui caresser les seins d’une main. Maman passa une main sous mon t-shirt et essaya de l’enlever. Je l’aidai car elle ne s’en sortait pas. Dès que ce fut fait, elle commença à me caresser les seins. C’était comme une décharge électrique, cela faisait trop longtemps que je n’avais pas fait l’amour. Que ce soit maman qui me caresse ainsi était encore plus excitant.

De mon côté, je ne restais pas inactive. J’étais penchée vers elle et la caressais partout. Sa poitrine était douce, chaude et ferme malgré son âge. Elle faisait un 95c alors que je ne faisais à l’époque qu’un 85b. Je regardais ses seins avec envie et je finis par poser ma bouche sur ses tétons qui durcirent sous ma langue. Nous devions être folles, mais nous ne réfléchissions pas à ce que nous faisions, nous laissant emporter par nos désirs. Je retirais ma culotte pour me trouver comme maman. Je vins me placer sur elle, ma chatte au niveau de sa bouche en 69. Goulûment elle se jeta dessus glissant sa langue entre mes petites lèvres et la posant sur mon clitoris déjà gonflé d’envie. Je glissai ma tête entre ses cuisses pour lécher son clitoris en même temps que je saisis d’une main le gode qui était presque sorti de sa chatte trempée. Sans réfléchir, je la godais d’une main en lui léchant le clitoris. Sa mouille avait un goût délicieux. J’ai toujours aimé la position du 69, se donner ainsi du plaisir mutuellement, mais l’excitation était décuplée du fait que c’était avec ma mère que je le faisais.

Nous dégoulinions littéralement, maman mouillait encore plus que moi. J’ai adoré sa langue fouillant ma chatte. Je sentais qu’elle était aussi excitée que moi. Son bassin ondulait sous la pénétration que je lui prodiguais. A l’époque maman n’était pas rasée. Je n’aimais pas trop lécher une femme poilue, pourtant la situation était tellement troublante que cela ne m’arrêta pas. Je ne sais pas combien de temps cela dura, mais rapidement je sentis l’orgasme m’envahir et me laissa complètement allée. Ce fut une des plus belles jouissances que j’ai connu. Ayant retrouvé un peu mes esprits, je décidais de lui donner le plaisir qu’elle méritait. Je me suis donc appliquée à la lécher avidement en continuant à la goder. Les spasmes de l’orgasme l’envahirent. J’étais fière de l’avoir faite jouir ainsi. Je retirais le gode. Le temps de me relever, elle s’était endormie sous les effets de l’alcool et du plaisir cumulés.

Je la couvris, pris mes affaires, ferma la lumière et la porte de sa chambre. Je me couchai en me demandant si elle se souviendrait de quelque chose demain matin en se levant. Moi en tout cas, je n’oublierais pas, c’est certain. Je m’endormis la tête pleine d’étoiles.

A suivre…

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