L’évolution de ma sexualité au cours des années.
Au fil du temps, je prends beaucoup de plaisir à vivre dans la peau d’une fille en stimulant ma sexualité par de nouvelles pratiques.
Attirée par les femmes et les trans, je souhaite de plus en plus leur ressembler.
Je rencontre de temps en temps une trans sur Paris car je ressens comme une fille le besoin de combler ce grand vide que j’ai entre les cuisses…
Je suis une cérébrale toujours à la recherche de sensations fortes.
Perdue dans mes pensées, je songe que je fais partie de ces hommes matures qui éprouvent le profond désir d’être féminisée.
C’est pourquoi je consacre maintenant une bonne partie de mes loisirs à ma vie de femme.
– Quel bonheur de passer du temps à me maquiller devant mon miroir en ajustant avec soin ma perruque blonde coupée au carré.
– D’ouvrir mon armoire débordante de lingerie pour choisir avec fébrilité la guêpière, le string, la nuisette et les escarpins que je vais porter…
– D’enfiler mes bas devant ma glace en prolongeant ce rituel qui fait monter le désir dans mes reins.
– De placer mes volumineux seins en silicone dans les bonnets 105/D de ma guêpière en sentant mes bretelles de soutien gorge s’incruster dans mes épaules à chacun de mes gestes.
– D’attacher mon porte jarretelles à dix attaches autour de ma taille en frottant sensuellement mes cuisses l’une contre l’autre pour entendre le crissement de mes bas.
– De sentir le contact de ma combinaison et de ma guêpière sur ma peau.
– Le soir venu, je me promène souvent dans les rues d’une ville voisine.
En déambulant dans la lueur des vitrines, je m’énivre du bruit cadencé de mes talons sur l’asphalte qui accentuent mon déhanchement et le balancement de mes fesses.
– Comme une fille, je marche à petits pas en croisant les jambes, le bassin en avant et les fesses serrées.
– L’épaisse tige de mon plug qui maintient ma chatte ouverte en permanence m’excite fortement les sens car il peut bouger librement dans ma culotte fendue.
– Je porte un corsage échancré découvrant en partie mes seins siliconés ainsi qu’une robe courte gonflée par deux jupons superposés qui viennent se frotter contre ma queue encagée.
– Quel plaisir de sentir le vent chaud s’engouffrer entre mes cuisses.
– Je m’arrête parfois devant une vitrine pour soulever ma jupe et donner de l’ampleur à mes jupons.
Je ne peux m’empêcher de sourire en voyant le regard plein de désir de mes admirateurs se refléter dans les vitres.
En rentrant chez moi, je contemple devant la glace cette fille androgyne et attirante que je suis devenue au cours des années.
Fervente adepte de la dilatation anale, je m’allonge sur mon lit en commençant à jouer avec mes godes, plugs, speculums, vacuum.
Comme une femme, j’excite mon clito avec un vibro et je m’empale sur mon gode en me servant de mon anus comme d’un vagin.
Je regrette que ma femme ne partage pas mes jeux car elle se prive de tout ce que je peux lui apporter au lit. (soumission, domination, inversion des rôles, bondage, fétichisme…)
J’ai cependant la chance qu’une amie vienne me rejoindre à l’hôtel de temps en temps pour me faire vivre mes fantasmes.
La veille de son passage, je me prépare aux dilatations extrêmes qu’elle va m’infliger en portant la nuit une culotte garnie d’un gode interne de 5 cm de diamètre afin de garder mon oeillet ouvert pendant mon sommeil.
J’arrive un peu en avance dans ma chambre d’hôtel pour enfiler mon corset, mes bas et ma nuisette.
Je porte aussi mon ballstrecher dont le poids de 400 gr m’étire les bourses en me déclenchant une excitante pesanteur entre les jambes.
Natacha adore sentir mes bourses lestées lui fouetter les cuisses quand je lui fais l’amour.
Pour l’occasion, je me suis soigneusement maquillée, parfumée et épilée.
J’achève de me préparer en me glissant dans ma robe de mousseline, toute en transparence qui ne cache rien de mes dessous glamour.
Puis, je prends des poses suggestives devant la glace pour me mettre dans la peau d’une femme.
Lorsque Natacha rentre dans ma chambre, je l’embrasse avec fougue.
Sans perdre de temps, je remonte les cheveux de ma perruque sur ma nuque en lui tournant le dos pour quelle ouvre la fermeture éclair de ma robe qui tombe à mes pieds.
Puis, elle m’enlace longuement en faisant glisser les bretelles de ma nuisette sur mes épaules qui chute à son tour sur le sol.
Soumise, j’attends debout, les yeux baissés et les bras croisés sur ma volumineuse poitrine qui menace de faire exploser mes bonnets de soutien gorge.
Perchée sur mes talons aiguilles, je ne porte plus que mon corset, ma culotte fendue et mes bas.
Natacha me tourne autour en contemplant longuement mon rosebud et mes bourses étirées par mon ballstrecher.
Elle commence la séance en retirant mon bijou anal pour donner à ma rosette l’apparence d’un sexe féminin.
Pour cela, elle gonfle à l’aide d’un vacuum mon ourlet anal qui s’est formé au cours de mes nombreuses années de sodomie.
En faisant le vide d’air, elle le fait grossir peu à peu en lui faisant prendre l’aspect de véritables lèvres vaginales.
Puis, elle me pose une cage de chasteté pour m’empêcher de bander et m’aider à me concentrer sur mon plaisir anal.
C’est avec un sourire prometteur au coin des lèvres qu’elle m’entraîne dans la chambre en me culbutant sur le lit.
Impatiente de me montrer ses talents, elle commence par utiliser les nombreux jouets que je laisse traîner délibérément sur ma commode.
Sachant que je pratique la sodomie depuis longtemps, elle prend d’emblée un gros calibre pour me donner du plaisir.
Peu après, elle finit de me dilater la chatte avec mon speculum XO.
C’est un cylindre creux qui permet d’obtenir un parfait cerclage de l’anus plus large qu’avec les spéculum à deux ou trois branches.
Je sens mes chairs s’écarter lentement sous l’action de ma Maîtresse.
– Actuellement, tu es dilatée à 7 cm, m’assure Natacha.
– C’est le diamètre d’une bouteille de bordeaux mais c’est aussi la bonne ouverture pour te fister.
Quelques instants plus tard, elle fait une pause en voyant mon visage marqué par cette séance éprouvante.
– C’est maintenant l’équivalent d’une bouteille de champagne que tu as dans tes fesses, s’exclame-t-elle en plaçant un miroir entre mes cuisses pour que je contemple ma chatte dilatée à l’extrême.
Puis, elle me retire provisoirement ma cage pour me faire découvrir d’autres jeux en m’enfonçant un plug urétral dans la queue et un plug anal dans les fesses afin de stimuler ma prostate par voie interne et externe.
Elle fait coulisser lentement dans ma verge la tige en inox de trente centimètres de long équipée d’une boule à son extrémité pour masser ma prostate de l’intérieur.
Cette double stimulation de ma glande par voie anale et urétrale m’améne au bord de l’orgasme.
Un moment plus tard, elle décide de me retirer le plug que j’ai dans les fesses en remettant mon oiseau en cage.
J’en comprends la raison quand elle attache un énorme gode ceinture autour de ses hanches en me fixant d’un regard trouble.
Lorsque je le vois se balancer lourdement entre ses cuisses, je suis effrayé par sa taille tout en ayant un début d’érection vite réprimée par ma cage.
– Maintenant, allonge toi sur le dos et écarte les cuisses, me dit-t-elle d’une voix rauque.
Elle vient se placer entre mes jambes en pressant son gode contre mon oeillet qui finit par céder.
Voulant étouffer mes gémissements de plaisir mêlés de douleur, elle écrase ses lèvres contre les miennes.
Puis, dans la position du missionnaire, elle me viole à grands coups de reins.
Comme les femmes qui titillent leur clito et contractent leur vagin pour jouir, je caresse mon frein en serrant mes sphincters sur ce pal monstrueux.
Je cambre les reins en poussant pour aider Natacha à m’empaler plus à fond.
Galvanisée, elle s’acharne sur moi en me transperçant le ventre sous tous les angles.
Après une longue série de va et vient ou elle alterne les rythmes lents et rapides, elle retire le gode de mes fesses qui sort dans un bruit de succion en étant littéralement aspiré par mes chairs.
Puis, ses yeux rivés sur moi, elle enfile de longs gants en latex sur ses bras qu’elle lubrifie avec du crisco.
Elle se place debout devant le lit en levant les mains comme un chirurgien qui s’apprête à officier.
Je suis maintenant allongée sur le dos avec les poignets attachés aux barreaux du lit.
Natacha me pose un bandeau sur les yeux pour que je puisse mieux me concentrer sur mon plaisir.
Elle remonte ma queue encagée sur mon ventre en m’enfonçant sa main gantée dans l’anus.
Mon coeur battant la chamade, je réalise que je ne peux plus me passer de ces plaisirs car mon addiction est devenue autant physique que cérébrale.
Lorsque ma maîtresse toune son poignet dans mes entrailles, j’ai la respiration coupée.
Puis, j’ai l’impression d’être ouverte en deux comme un fruit mure quand sa main franchit la courbure de mon intestin.
Une fois passé cet obstacle, elle poursuit en m’enfonçant son bras plus à fond.
Je gémis de plaisir en voyant perler quelques gouttes séminales à la surface de mon gland.
Les contractions de mon anus devenant de plus en plus fréquentes, Natacha retire ma cage en prenant ma queue dans sa bouche pour recueillir ma sève.
Elle me suce avec une telle ardeur que je vois ses joues se creuser sous les puissantes aspirations de sa bouche devenue une véritable pompe à sperme.
Dans le même temps, elle masse habilement ma prostate en lents mouvements circulaires qu’elle alterne par de savantes pressions sur ma glande.
Ne pensant plus qu’à jouir, j’écarte les cuisses en l’implorant du regard pour qu’elle m’achève.
Ses yeux de braise rivés dans les miens, elle me donne le coup de grâce en pressant ma prostate avec la pulpe de ses doigts tout en tirant sur mon ballstrecher pour faire pression sur mes bourses.
Ne pouvant plus lui résister, je jouis en me vidant lentement et en continu dans sa gorge.
Dans le même temps, elle m’enlève mon bandeau pour que je puisse contempler le fascinant spectacle de son bras plongé dans mon ventre jusqu’au coude.
Je reste stupéfaite en voyant ses doigts soulever ma peau au niveau de mon nombril.
Très excitée, je saisis son bras pour m’empaler plus à fond.
– Tu es vraiment insatiable, me dit-t-elle en riant.
Certaines fois, le scénario est différent car Natacha se sert de mon plug B52 mesurant dix centimétres de diamètre qu’elle réserve aux initiés.
C’est pour moi ma limite, car mon bassin étant plus étroit que celui d’une femme, je ne peux pas prendre plus gros.
Un moment plus tard, souhaitant à mon tour lui donner du plaisir, je l’allonge sur le lit en lui prodiguant d’irrésistibles caresses qui la font craquer rapidement.
Puis, je plaque un vacuum sur sa chatte pour faire le vide d’air.
Lorsque je le retire, son clito et ses lèvres ont doublés de volume.
Je pose alors mon vibro sur son bouton d’amour hypersensible tout en enfonçant lentement ma main dans sa grotte humide de désir.
Je sens les lèvres gonflées de son vagin envelopper mon poignet dans un moelleux manchon.
Trés vite les vibrations lui déclenchent des spasmes de plus en plus rapprochés.
Le ventre en feu, elle regarde ma main disparaître lentement dans sa chatte.
Elle tortille du bassin pour s’empaler plus à fond juqu’à ce qu’une vague déferlante de plaisir l’emporte.
Totalement comblée, elle me quitte un moment plus tard en me promettant quelques surprises la fois prochaine..
Dites moi si au cours des années vos désirs sexuels ont également changés.
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