Cette histoire est une fiction
La plage
Moi, c’est Stéphanie, j’ai la cinquantaine passée et je suis mariée. Je fais un mètre soixante-dix pour soixante-cinq kilos. J’ai des kilos en trop ce qui me donne des fesses bien rondes qui s’équilibre parfaitement avec ma poitrine volumineuse qui fait 95 D. Mes cheveux blonds sont taillés dans un carré court d’une grande élégance. Je suis enseignante dans une université.
Alors que l’arrivée de l’été devait annoncer de bons moments passés avec mon mari, je vais me retrouver toute seule dans l’appartement que nous possédons en bord de mer. Le pauvre doit partir en déplacement pour son travail pour une durée de deux mois. Il a beaucoup râlé, il n’était pas heureux du tout de me laisser pendant une telle période et moi non plus, mais il n’a pas le choix.
Rapidement après mon arrivée sur la côte, j’ai découvert par hasard une petite crique tranquille accolée à des dunes et un petit bois. Elle est fréquentée par très peu de personnes, c’est rare qu’on soit plus d’une dizaine l’après-midi.
Ce matin comme tous les matins, je suis là-bas. Alors que j’arrive souvent la première sur place, je découvre un couple enlacé. Ne voulant pas les déranger, je m’installe loin d’eux. Je n’aime pas être indiscrète, mais mon attention est attirée par eux. L’homme est un grand black d’une vingtaine d’années et la femme une toute jeune fille à la peau pâle qui doit à peine avoir dix-huit ans. Elle est allongée sur sa serviette et lui est appuyée contre elle. Il l’embrasse avec fougue. Il la dévore littéralement. Mes lunettes de soleil me permettent d’admirer discrètement la scène. J’ai honte de le penser, mais j’aurais bien aimé rencontrer un tel homme à son âge. Et même maintenant je dois l’avouer. J’ai beau être une épouse fidèle, j’ai beaucoup de plaisir à admirer les hommes, les jeunes de préférence.
Toutes ces idées ont le don de me troubler. Pour me calmer, je pars me baigner.
Lorsque je sors de l’eau, je me sens apaisée, mais cela ne dure pas. Le spectacle que ce couple offre est encore plus indécent. Le black l’embrasse toujours avec la même fougue sauf que désormais il a ses mains sous le haut de son maillot et il lui pelote la poitrine sans vergogne.
De retour à ma serviette, j’essaie de ne plus les regarder, mais c’est dur. J’ai un frisson quand je vois le noir qui doit faire dans les deux mètres et tout en muscle se lever et tirer à lui sa conquête. Il l’emmène avec lui en direction des dunes. Il l’emmène là-bas pour pouvoir la prendre, la baiser. Quelle chanceuse !
Je les vois s’éloigner. Je ne sais pas ce qui me prend, mais dès qu’ils disparaissent, je me lève et pars à leur poursuite. J’ai honte, mais j’ai envie d’en voir plus. Je veux voir ce que cela fait d’être prise par un tel homme.
Lorsque je les retrouve enfin, l’action a déjà commencé. Et quelle action ! Ils sont déjà nus, le black est debout et la femme agenouillée devant lui à le sucer. Non, elle ne le suce pas, c’est lui qui lui baise la bouche. Il tient sa tête à deux mains et avance entre ses lèvres à toute vitesse. J’ai le souffle coupé quand je le vois retirer son sexe de la bouche de sa partenaire pour lui permettre de reprendre sa respiration. Ce n’est pas une bite qu’il a, mais une poutre. Elle me semble absolument gigantesque. Il ne laisse que quelques secondes à la femme pour récupérer. Je comprends à peine comment elle est capable d’avaler un tel monstre en entier.
Quand il la libère de nouveau, elle a le visage écarlate. Il passe derrière elle. Je pense qu’il va la prendre, mais il la saisit par la taille et la porte la tête en bas. Il passe ses jambes sur ses épaules et enfonce son visage entre ses cuisses. Il lui mange littéralement la chatte. Je l’entends gémir de plaisir. La tête en bas, elle lèche sa bite pour le remercier de ce qu’il lui fait et aussi entretenir son érection, mais il veut plus. Il reprend le contrôle et l’att**** par les cheveux. Il la force à rependre sa queue en bouche et recommence à la baiser comme si c’était son vagin.
Je n’en peux plus, c’est trop excitant. C’est mal, mais j’ai besoin de me faire du bien moi aussi. Mes mains descendent vers le bas de mon maillot et je commence à me caresser sans jamais quitter les deux amants des yeux.
— Alors, le spectacle te plaît ?
Je sursaute en entendant la voix grave derrière moi. Je n’ai pas le temps de me retourner, des mains passent autour de ma taille et me serrent.
— Qu’est-ce que vous faites ?
L’homme qui me domine est un maghrébin d’une vingtaine d’années aux cheveux noirs taillées très court. Ses yeux marron brillent d’une lueur a****le. Il est grand, largement plus d’un mètre quatre-vingt. Il m’immobilise de ses bras puissants.
— Chut, pas si fort ou sinon ils vont t’entendre et s’arrêter. Ce serait dommage. Tu es bien venu pour ça, pour les mater ?
— Non.
Je ne peux pas lui avouer qu’une femme avec une éducation comme la mienne puisse s’adonner à une telle activité.
— Ah ! alors c’est par hasard si tu te caresses depuis cinq minutes à côté d’une pute qui se fait tringler ?
Je me sens rougir. J’ai honte de moi. Je n’ai même pas pensé à regarder autour de moi pour être certaine que personne ne pouvait me voir. Je cherche une réponse à lui opposer quand je sens que l’une de ses mains sur son ventre glisse vers ma culotte de bain.
— Arrêtez ou je crie.
— Attend au moins que je te mette la queue dans ta chatte.
Je suis parcouru d’un frisson.
— Vous n’allez pas me violer ?
— Bien sûr que non. Qui parle de viol puisque c’est toi qui vas me demander de t’enfiler.
Il me serre un peu plus contre lui. Je sens son sexe dressé contre mes fesses. J’ai l’impression qu’il a un sexe énorme. Je devrais me débattre, tenter de me libérer, mais je reste passive. Je suis troublée. Plus par la scène qui se poursuit devant nous, mais par ce qui m’arrive. On peut être une femme fidèle et avoir des fantasmes très intenses. J’ai toujours rêvé d’être prise par un inconnu vigoureux.
Plus loin, le jeune black vient de retourner sa partenaire pour la mettre à quatre pattes. Il la prend avec force lui envoyant des coups de reins puissants qui la font hurler.
Ce spectacle me trouble un peu plus et mon inconnu profite de mon égarement pour faire avancer de nouveau sa main. Ses doigts passent mon maillot et rentrent en contact avec mes poils pubiens taillés en ticket de métro avant que je n’aie le temps de réagir. Il les frotte avec force et continue sa descente écartant mes lèvres vaginales.
— J’en étais sur. Tu es trempée. Ta chatte n’attend que ma bite.
— Non.
— Mais si. Regarde.
Il sort sa main de ma culotte et la présente devant mon visage. Ses doigts sont brillants de mouilles. Ils les posent sur mes lèvres que je garde fermées. Ça le fait rire et il remet sa main entre mes cuisses sans que je m’y oppose.
De son autre main, il se saisit de mon poignet gauche qu’il ramène dans mon dos. Je rencontre son torse musclé. Il guide ma main vers son caleçon et plonge dedans. J’ai un frisson en sentant le bout de mes doigts toucher son sexe dressé. Il me libère et ma main reste là à savourer ce sexe d’une taille qui m’est inconnue. Sa main remonte vers le haut de mon maillot qu’il écarte pour empoigner avec force mon imposante poitrine.
— T’as vraiment de bonnes grosses loches. Ça doit être très agréable de se branler avec.
Il malaxe mes seins avec forces, pince mes tétons. J’ai de plus en plus chaud. Je suis si excitée que je ne me rends même pas compte que j’ai commencé à le branler.
— Tu la veux. Hein ? Tu la veux ma salope ? Tu veux que je t’enfile avec ma grosse bite.
— Oui, soupiré-je
— Non, mieux que ça salope.
— Prends-moi.
Sa main sur ma poitrine se referme durement dessus.
— Applique-toi. Sois honnête. Exprime-toi comme la salope que tu es.
— Enfile-moi ! Prends-moi comme la salope que je suis.
Sa main dans ma culotte abandonne ma chatte pour la faire descendre le long de mes cuisses. Il guide ensuite son sexe dur comme du béton à l’entrée de ma chatte pendant que l’autre main quitte mes seins pour venir se poser sur ma bouche. Sans la moindre tendresse, il perfore ma chatte d’un coup de reins d’une v******e inouïe. Sa main sur ma bouche est là pour étouffer mon cri et empêcher que l’on nous surprenne.
Jamais je n’ai eu un sexe d’une telle taille en moi. J’ai l’impression que mon vagin va éclater. Je n’ai pas le temps de m’habituer à l’intrusion de ce sexe monstrueux, il le retire complètement pour mieux me le remettre. De nouveau, il étouffe un de mes cris.
Pendant plus d’une minute, il recommence le même mouvement pour le même effet. J’ai la chatte en feu.
— Pose tes mains sur l’arbre et serre les dents, que je puisse te prendre comme tu le mérites, salope.
Docilement, je lui obéis. Je prends appui sur l’arbre devant moi.
— Cambre-toi. Montre-moi comme tu veux ma bite, sale chienne.
Je me cambre autant que je peux prenant une pose aussi indécente que possible.
Il pose ses deux mains sur mes hanches qu’il empoigne avec force et d’un coup puissant me transperce de nouveau. J’étouffe à grand-peine un cri. Cette fois, plus question pour lui de s’amuser, il me prend dans une série de va-et-vient rapides et puissants.
« Je viens. Prends mon jus, salope !
Le black en face de nous s’écrase dans un dernier coup de rein au fond du vagin de sa partenaire qu’il inonde de son foutre sous ses feulements de plaisir. Ils restent encore accouplés de longues secondes puis le black se relève. J’aperçois la chatte béante de celle qu’il vient de posséder. Même d’où je suis, je vois le sperme s’écouler à gros bouillons.
Les deux amants remettent leurs maillots et s’éloignent par la dune en face de nous.
Mon amant me tire brusquement par les cheveux et bascule ma tête en arrière vers lui.
— Maintenant tu vas pouvoir te lâcher. Fais-moi entendre ta voix de salope.
Il se met à me pilonner comme un fou furieux. J’essaie au début de me retenir par peur d’être entendue, mais il va trop fort et me fait trop de bien. Ma chatte dégouline autour de sa bite qui ramone ma chatte en profondeur.
— Tu la sens ma bite, salope. C’est autre chose qu’avec ton cocu bande mou, je parie.
Mon mari n’est pas très bien membré, en tout cas ça n’a rien de comparable avec ce sexe qui redessine l’intérieur de mon vagin à grands coups de reins, et jamais il ne m’a pris avec une telle intensité durant tout notre mariage. Moi qui me suis habitué à nos petits missionnaires, je perds pied devant des assauts si puissants, si virils. Je sens un orgasme monté, plus puissant que jamais. Je m’abandonne au plaisir et explose dans un long cri de jouissance.
— OUI !!!
Je bascule en avant, mes jambes me portent à peine. Mon orgasme ne calme pas les ardeurs de mon amant qui continue de me bourrer avec la même force.
Encore en pleine jouissance, je remarque la présente du black de tout à l’heure qu’au moment où celui-ci se tient juste devant moi.
— Alors Ahmed, tu t’amuses bien à ce que je vois. Elle est comment ?
— Elle est bien baisable, mais elle ne vaut pas ta petite pute, Idris.
— Une sacrée salope celle-là. Il m’a fallu une semaine pour pouvoir la tringler, mais ça valait le coup.
— Dommage qu’elle reparte ce soir, on aurait bien pu s’amuser avec maintenant que tu l’as décoincée.
— Je crois que tu nous as trouvé de quoi nous occuper pour le reste des vacances.
— Clair ! Admire un peu ces loches comme ils se balancent quand je la bourre.
Pour bien montrer l’effet produit, Ahmed me donne de puissants coups de reins sur toute la longueur de son sexe qui me secoue et fait bouger mes seins dans tous les sens.
— Pas mal.
Idris empoigne l’un de mes seins et le masse énergiquement.
— Ils sont bien gros et lourds. Comment elle s’en sort niveau suce ?
— J’en sais rien, j’ai pas eu le temps de vérifier. Elle était tellement excitée de te voir bourrer ta petite pute que je l’ai fourrée direct comme une bonne salope.
— Et bas on va vérifier ça tout de suite.
Idris me saisit les cheveux et me force à me pencher jusqu’à me retrouver devant son maillot qui disparaît pour laisser apparaître son gros boudin noir.
— Ouvre ta bouche, salope.
Fascinée par ce sexe devant moi, j’ouvre la bouche sans réfléchir.
— Mieux que ça !
J’étire mes mâchoires au maximum permettant à Idris de faire entrer son sexe dans ma bouche. Il ne bande pas encore et j’ai pourtant l’impression d’être déjà totalement remplie.
— Suce-moi. Savoure ma bonne queue d’ébène au parfum de foutre et de jute de pute.
Ces paroles m’enivrent et ma langue s’agite avec gourmandise sur cette bite qui arrosait un vagin encore frais quelques minutes auparavant.
— Alors, c’est une bonne suceuse ?
— Pas terrible, mais on va remédier à ça. T’es en vacance dans le coin pendant combien de temps sale pute de bourge ?
— Deux mois, avoué-je entre deux gémissements.
— Largement assez pour faire de toi la reine des vieilles putes. Et tu es toute seule ou le cocu qui va avec cette bague est là aussi.
— Seule, dis-je dans un long feulement.
Ahmed me prend avec plus de force en riant. Il est excité à l’idée de pouvoir me tirer tranquillement pendant aussi longtemps.
— Parfait, déclare Idris. Première leçon. Les putes comme toi, quand elles ont une queue dans la bouche, elle l’avale en entier, peu importe leur taille.
Sa main dans mes cheveux accentue sa prise pendant qu’il enfonce un peu plus son sexe dans ma bouche jusqu’à atteindre ma gorge dont il essaie de forcer le passage. Jamais un sexe n’est allé aussi loin. J’ai l’impression que je vais étouffer. Je tente de le retenir, de le repousser, mais Ahmed se saisit de mes deux poignets qu’il verrouille dans mon dos.
Idris incline ma tête sur le côté pour une meilleure pénétration. Après de nouveaux efforts, il parvient à ses fins et son gland force le passage de ma gorge et je me retrouve finalement les lèvres écrasées contre ses poils pubiens. Je pleure, j’ai l’impression qu’il va me déboîter la mâchoire et en même temps je suis sur un nuage. J’ai tout son sexe en moi.
— D’ici à ce que tu partes, tu m’avaleras sans difficulté comme une bonne pute.
Et il recommence à me déboîter la mâchoire.
— Deuxième leçon, dit Ahmed. Tous tes trous nous sont offerts.
Sans arrêter de me besogner, il pose un pouce sur mon anus. Il exerce plusieurs pressions dessus avant de finalement parvenir à en forcer le passage. Je pousse un cri que la bite de Idris étouffe complètement.
— Cette salope n’a pas l’air d’avoir l’habitude de se faire enfiler par là.
— J’adore éclater les culs serrés, dit Idris en riant sans s’arrêter de malmener ma gorge.
Mon anus n’a plus connu la visite d’un sexe depuis avant mon mariage il y a plus de vingt ans.
— On échange ? J’ai la bite bien dure.
Ahmed me donne un dernier violent coup de reins avant de laisser la place à son ami qui s’enfonce en moi sans aucune douceur et commence immédiatement à me ramoner. Malgré ce que j’ai déjà pris je sens nettement la différence de taille entre leurs sexes. La sensation de ma chatte qui se dilate encore un peu plus est délicieuse.
Devant moi, Ahmed m’empoigne durement les cheveux pour me présenter sa queue brillante.
— Viens goûter à ta mouille de chienne.
— Attend. Je suis d’accord pour que vous vous amusiez avec ma bouche et mon vagin autant que vous voulez, mais laissez mon anus tranquille.
Ahmed me bifle durement tout en souriant.
— Tu rêves, salope. Ton cul de chienne, on va te le prendre et tu vas nous dire merci.
Ahmed ne me laisse pas le temps de protester davantage, il enfourne sa bite dans ma bouche et me besogne de toute sa longueur comme il le faisait dans mon vagin un instant auparavant. La différence de taille ne rend pas l’expérience plus supportable pour autant et j’ai la gorge en feu. Et pourtant j’aime ça, je prends mon pied comme jamais.
Je me sens soudain vide quand mes deux hommes me libèrent de leur sexe au même moment. Je reste un moment courbée. Je suis sur un petit nuage. J’attends qu’il échange de trous, mais ils ont d’autres projets. Idris me claque violemment les fesses.
— À quatre pattes, Salope. Mets-toi dans ta position naturelle de chienne.
Je leur obéis sans hésiter un instant, me moquant de la façon dont ils se comportent avec moi et me parlent, car je dois en fait l’avouer, j’adore ça. Moi, la femme mariée et auparavant si sage prend un plaisir monstrueux à être humiliée et utilisée ainsi par ces deux jeunes.
Ahmed vient se placer derrière moi et s’agenouille. Il présente sa bite à l’entrée de mon cul. Ça y est, mon cul va de nouveau accueillir une bite et je ne cherche même plus à m’y opposer. J’ai peur de ce qu’il va me faire tout autant que je le désire.
Son gland appuie sur mon anus, mais malgré la pression qu’il exerce il ne parvient pas à rentrer. Je l’entends râler. Il envoie un glaviot épais en plein sur mon œillet qu’il fait entrer en enfonçant brusquement son pouce. Le passage graissé, il retente sa chance pour peu d’effet. Énervé de ne pas y arriver, il m’empoigne férocement les hanches et appuie de toutes ses forces. Son gland force brusquement l’entrée et m’arrache un cri aigu.
— Doucement !
— Ta gueule, pétasse, ou je laisse à Idris le plaisir de t’élargir le cul. Crois-moi, il vaut mieux pas que ce soit lui qui s’en occupe.
J’ai peur qu’il me déchire, mais maintenant que le gland est entré, le reste suit avec beaucoup plus de facilité que je ne l’aurais cru. Je le sens quand même sacrément passer. Pas un instant il ne me laisse le temps de m’habituer, il force son passage toujours plus loin dans mon anus surchauffé.
Arrivé au bout, il lève ses mains qu’il abat de toutes ses forces sur mes fesses.
— Jusqu’à la garde ! Tu la sens ma grosse bite dans ton cul de chienne. T’aimes ça, grosse salope.
— Mon dieu, tu vas me déchirer. Sors, sors !
Ahmed se retire de moi dans une lente délivrance. Mais je ne suis pas entre les mains d’un homme, mais d’un mâle voulant me dresser et me faire sienne. Je n’ai plus que son gland en moi quand il se lance soudain de nouveau à l’assaut de mon cul et m’embroche de toute la longueur de son sexe.
— AH !
Fier de lui et du cri qu’il m’a arraché, il se retire de nouveau pour mieux me reprendre. Je n’arrête pas de crier, j’ai le cul en feu. Je souffre le martyre et pourtant je sens monter en moi une pointe de plaisir. Il me déchire et je commence à aimer ça.
Il continue son travail de démolition de mon anus qui lui oppose de moins en moins de résistance.
— Le passage est fait !
Il se retire de mon anus. Il pose ses mains sur mes fesses qu’il garde écartées pour admirer le spectacle. Mon anus est rouge, il n’arrête pas de s’ouvrir et de se refermer.
Idris présente sa matraque à l’entrée de mon cul. Dès que son gland est en moi, je sens la différence de calibre et je pousse un long feulement à mesure qu’il s’insinue en moi. Il arrive vite à la profondeur d’Ahmed avant d’investir des zones encore vierges.
— Une vraie chienne, elle m’a avalé en entier directe.
Il se lance dans les mêmes assauts que son ami pour le même effet. J’ai mal et j’aime ça.
Quand il laisse sa place à Ahmed, celui-ci rentre en moi sans problème. Mon cul est définitivement grand ouvert. Il se lance aussitôt dans des coups de reins puissants qui me font couiner.
— T’aimes ça te faire ouvrir le cul, salope.
Je pousse un long soupir qui ne le satisfait pas et il me claque durement les fesses.
— Dis-le !
— J’adore me faire éclater le cul. Je suis votre chienne.
— Et on va bien te dresser.
Plus rien ne retient mes deux amants qui se relaient dans mon cul avec une énergie et une force qui me donne un plaisir terrible.
— Troisième leçon. Peu importe d’où sort une bite, tu la suces.
Malgré l’odeur que dégage le sexe dressé d’Ahmed devant moi, j’ouvre machinalement la bouche où il s’engouffre. J’ai des haut-le-cœur. Je salive abondamment pour atténuer le goût pendant qu’il me besogne la bouche. Pendant ce temps, Idris ravage mon cul avec force. Une fois son sexe bien propre, Ahmed retourne investir mon cul tandis qu’Idris m’offre sa poutre noire parfumée à sucer.
Ils répètent l’opération de nombreuses fois. Je ne sais pas si je finis par m’habituer au goût ou si à force mon cul est un peu plus propre, mais je suis de moins en moins écœurée par le goût de leur sexe.
— On va la finir comme elle le mérite.
Ahmed s’allonge devant moi. Idris passe ses bras musclés autour de mes cuisses et sans quitter mon cul et me porte au-dessus de son ami. Il me descend vers sa bite dressée impatiente d’investir de nouveau ma chatte. Le gland d’Ahmed ouvre doucement mes lèvres vaginales. La sensation est décuplée. Je n’arrête pas de gémir à mesure que sa bite disparaît en moi. Sa bite est à moitié en moi quand Ahmed prend le relais de son ami. Il me porte à sa place avant de m’attirer brusquement vers lui faisant disparaître toute sa bite.
— Ah !
Je suis pleine. Idris se remet en action, rapidement rejoint par Ahmed. Ils me prennent dans de longs mouvements amples, ma chatte et mon cul sont stimulés à l’extrême, j’en ai la tête qui tourne. Jamais je n’aurais imaginé prendre un tel plaisir. Rapidement mes deux mâles s’accordent pour prendre leur chienne d’un même rythme. Je n’arrête pas de gémir.
— Écoute-la couiner, cette chienne. Sa première double et elle prend son pied.
— C’est une bonne grosse salope. On va bien la dresser.
— Oui ! Je suis à vous ! Prenez-moi ! Encore ! Encore !
Mes deux amants éclatent de rire. Ils s’amusent de ma réaction. Il continue de m’insulter et ça me fait un peu plus décoller. Ils me bourrent comme la dernière des salopes, ils me claquent le cul et les seins, et moi je n’arrête pas de jouir.
— Putain, je vais bientôt jouir.
— Moi aussi.
Je reprends mes esprits et réalise soudain qu’aucun d’eux n’a mis de capote.
— Pas en moi. Laissez-moi vous boire.
Mes deux mâles ne l’entendent pas ainsi. Ils affermissent leurs prises sur moi et augmentent l’intensité de leurs assauts. Je tente de les convaincre de ne pas jouir en moi, mais mes mots se perdent au milieu de mes gémissements.
— Quatrième leçon. Une chienne, ça se fait remplir tous ces trous de spermes, gémit Idris.
Dans un dernier coup de reins phénoménal, ils m’embrochent aussi loin qu’ils peuvent et hurlent.
— Salope !
Je sens leurs bites exploser au même moment. Leur sperme m’inonde provoquant chez moi un orgasme dévastateur.
— Oui ! Oui ! OUI !
Ils n’arrêtent pas de jouir. J’avais oublié la sensation que cela fait de se faire remplir d’autant de sperme depuis le temps que mon mari n’est plus capable que d’envoyer que quelques gouttes. Et ces bites qui continuent d’être dures même après avoir joui.
Idris est le premier à se retirer. Je me sens vide sans sa grosse poutre entre mes fesses. Mon anus béant se contracte évacuant progressivement le sperme. Il y en a tellement. J’ose à peine imaginer à quel point il aurait inondé mes intestins de foutre s’il n’avait pas rempli la chatte de cette femme juste avant de me prendre. Tout ce jus s’écoule sur les couilles d’Ahmed qui finit par me désemboiter de sa tige. Il me maintient au-dessus de lui le temps que mon vagin laisse ressortir son sperme.
Idris m’att**** par les cheveux et me force à reculer puis il ramène ma tête juste au-dessus de la bite d’Ahmed englué sous le sperme.
— Tu voulais boire notre jus, salope ? Fais-toi plaisir. Nettoie. Leçon numéro cinq. Une chienne nettoie les queues de ses maîtres entre chaque saillie.
Je me penche sur le sexe d’Ahmed et tire la langue pour récupérer la crème blanche qui l’en recouvre. Le goût est fort, surtout celui du sperme sur ses couilles parfumé par mon cul, mais je m’en moque. J’adore ça. J’adore le goût de ces hommes, de mes mâles.
Une fois la queue et les couilles d’Ahmed complètement nettoyés et brillants de salive, je me tourne vers Idris qui m’accueille avec un large sourire, heureux de ma réaction. Je fais disparaître de son sexe d’ébène toutes traces de nos ébats, de ma saillie.
— T’es une bonne chienne, on va bien s’occuper de toi.
— Tu crois qu’on doit s’en occuper nous-même ou on la présente à Paulo ?
— C’est sur qu’il s’ennuie depuis qu’il a fini l’éducation de sa dernière pute ? Mais tu crois qu’elle supportera son examen de passage ? Il nous en a estropié plus d’une.
— Ouep, c’est pas un tendre, mais c’est toujours un sacré spectacle et j’ai trop envie de le voir la dresser pour en faire une parfaite vide couille.
L’excitation retombant, je commence à m’inquiéter de ce Paulo et ce qu’il pourrait me faire.
— Vous savez les garçons, vous êtes tout ce dont j’ai besoin. Je peux être rien qu’à vous pour la durée de mes vacances.
— Leçon numéro six, les chiennes obéissent à leur maître sans poser de question.
Idris m’observe de longues secondes avant de se mettre à sourire.
— On l’emmène se faire éclater par Paulo.
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