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Annabelle raconte : le déménagement

Annabelle raconte : le déménagement



Nous étions en juillet précisément le jour de mon anniversaire, je venais d’avoir 72 ans et j’étais un peu déboussolée par le fait que nous devions déménager dans les jours qui suivaient, mon mari était parti pour diriger les travaux dans le nouvel appartement et je flânais avec nostalgie dans le jardin que j’allais quitter quand Fabrice, notre jeune voisin marié 35 ans, me dit bonjour à travers le grillage.
Toute contente d’abandonner mes pensées moroses, je m’avançais pour discuter et l’informer que nous partions.

– C’est malheureux de vous voir partir, vous étiez bien sympas tous les deux, votre maison pourrait nous intéresser, y-a-t ’il moyen de la visiter ?

– Mon mari est absent mais il n’y a aucun problème, nous sommes dans les cartons, vous voulez la voir tout de suite ?

– Je reviendrai avec ma femme, mais si vous avez du temps ça m’intéresserait de la voir si elle pourrait nous intéresser.

– Je vous ouvre dis-je toute contente de cet intermède

Je lui ouvre la porte, il est mince et à côté de moi, encore plus grand que je ne pensais.

Nous visitons en premier le rez-de chaussée, ensuite je passe devant pour lui présenter l’étage ; dans l’escalier j’ai la désagréable sensation qu’il reluque mes fesses moulées dans un short blanc ; effectivement nous sommes à peine à mi étage…

– Vous savez que ça fait longtemps que j’ai envie de vous baiser ma belle voisine ?

Je me sens coincée dans cet escalier étroit, je ne réponds pas, j’atteins le palier, je me retourne pour lui répondre, il m’a rejointe, il est sur moi, me prends la tête d’une main et presse ses lèvres sur les miennes pendant que l’autre main enserre mes fesses et me colle contre la bosse de son sexe. Interloquée, j’essaie de me dégager, il me serre encore plus fort ; je me sens toute molle dans ses bras et à ma grand honte, je lui rends son baiser ; sa langue s’enroule autour de la mienne, je sens son sexe battre sur le mien, nous restons un long moment sur le palier serrés l’un contre l’autre jusqu’à ce qu’il ouvre une porte de chambre et aille s’assoir sur le grand lit. Il me regarde avec intensité alors que je suis toujours debout devant lui.

– Déshabille-toi !

J’hésite et je me dis que c’est sans doute la dernière occasion de ma vie et que ce serai idiot de la laisser passer… Je retire mon caraco bleu, je suis en soutien-gorge blanc ; ses yeux se portent sur mon short, Complètement subjuguée, j’enlève la ceinture, il tombe au sol, je l’enjambe, je suis en petite culotte blanche transparente devant ce presque inconnu. Je pense avec horreur que je n’ai pas fait le maillot depuis longtemps et que j’ai les poils pubiens qui doivent dépasser du slip ; je me dépêche de m’allonger un peu tremblante à son côté, je ne veux pas rester debout pour enlever le soutien-gorge, qu’il voit ma poitrine tombante.

De son côté, il retire pantalon et maillot, il est maintenant en slip, un slip déformé par une grosse bosse.

Il me prend dans ses bras, nos bouches se rejoignent pour un long baiser, il a sorti un sein de son alvéole, le téton durcit sous la caresse et je sens une douce moiteur envahir mon sexe, je m’entends ronronner, je mouille comme à 20 ans…

L’autre main n’est pas restée inactive, elle a trouvé l’attache du soutien-gorge qui tombe entre nous, je le dégage au sol et je saisis son sexe gluant que je commence à masturber avec ardeur ; il veut que je le prenne dans la bouche, je refuse, ce n’est pas mon truc.
Il baisse ma culotte, son doigt me pénètre, dès qu’il me touche le clitoris j’ai un orgasme, je crie et je le masturbe avec tellement d’ardeur qu’il explose, j’en ai partout, sur le ventre, les seins, la bouche, la chevelure.

On peut dire que nous nous sommes tous deux fait surprendre, mais nous n’allons pas en rester là, je suis frustrée, je n’ai pas eu mon compte… en plus, J’ai horreur d’être toute collante, je me lève je vais chercher une serviette, je n’ai plus honte de ma poitrine tombante. J’enlève ma petite culotte blanche, je lui retire son slip et je saisis dans la bouche son sexe ramolli, je le nettoie avec la langue, je lui lèche les couilles, à sa surprise, je lui mets un doigt dans le cul puis deux, je lui branle l’anus, je m’enfonce jusqu’à caresser la prostate ; c’est à son tour de gueuler et il ne s’en prive pas alors que son sexe s’érige à nouveau.

Il est à nouveau fièrement dressé et prêt à l’usage, Fabrice me met sur le côté, ses mains pressent mes bouts de seins jusqu’à la douleur ils sont tout raides, je sens mon bas ventre s’inonder une nouvelle fois ; il me pénètre immédiatement, de toutes façons, je suis trempée et je n’attends que cela, sa queue n’est pas très longue mais très épaisse, j’ai le vagin comblé, j’espère que cette fois il va tenir la distance ; j’ai un premier orgasme pendant qu’il me pilonne, je m’entends crier, un long cri de plaisir ; pour relancer la machine, mes mains partent à l’assaut de mon clitoris, j’appuie fortement dessus pour qu’il vienne au contact de la base de son sexe. Le résultat est immédiat et j’explose dans un hurlement qui alerterait mon voisin s’il n’était pas ici en train de me faire jouir.

Il se dégage, un bref coup d’œil, je suis rassurée, il est toujours en forme…

– Mets-toi à genoux, lève ta croupe et caresse toi !

J’obéis, j’ai la tête dans l’oreiller, je me cambre au maximum pour lui présenter mon sexe béant, je me titille le clitoris, je sens un nouvel orgasme arriver et comme toujours, je ne peux pas rester silencieuse, mon « moaning » comme disent les anglais, est très apprécié de mon mari, un mélange de halètements et de grognements que je ne sais pas retenir.

Fabrice ne résiste pas non plus il me pénètre avec vigueur et cette fois je hurle sous les coups de boutoir.

Après ce second orgasme, il ressort, m’écarte les fesses, crache sur l’anus et présente son sexe gluant à la petite entrée ; je suis un peu inquiète, je ne suis pas habituée à être prise de ce côté.

– Ne te contracte pas, laisse toi aller, je ne vais pas te faire mal mais j’ai très envie de baiser ton gros cul !

C’est vrai que je n’ai pas des petites fesses, mais il aurait pu le dire autrement !

Il rentre progressivement, ça me fait un peu mal, il remet un jet de salive, je sens le gland pénétrer totalement, maintenant il pousse progressivement, il gagne du terrain à chaque aller-retour jusqu’à ce que ses couilles viennent taper sur mon sexe. La sensation n’est pas désagréable, mais ce n’est pas comme cela que je vais jouir, il s’en rend compte, se retire, rejoint les doigts d’une main et les enfourne dans mon sexe dilaté, je le sens s’enfoncer, il est en moi jusqu’au poignet, il referme le poing et commence un mouvement de va et vient. Sentir en moi cette énorme chose me branler déclenche une sensation inconnue où se mêlent la douleur et le plaisir, je me caresse à nouveau le clitoris et cette fois le plaisir l’emporte, je repars vers l’orgasme, je prononce des mots sans suite.

Me sentant repartie il en profite simultanément pour me sodomiser une nouvelle fois, je hurle de douleur et de plaisir, il ne fait plus dans le dentelle et me pilonne de plus belle jusqu’à ce qu’il se libère dans mes reins avec un cri qui sonne comme un sanglot.

Je reste dans la position, je sens le sperme qui reflue de mon intestin, qui repasse par l’anus à travers le sphincter toujours dilaté et qui coule le long de ma fente.

Je suis épuisée et je file prendre une douche.

Quand je reviens, il est habillé, il me lorgne une dernière fois comme un maquignon qui évalue la bête.

– C’est malheureux que tu partes, je regrette de ne pas avoir su avant que tu étais aussi bonne et aussi salope ! Si tu es encore dispo demain, viens à la maison passer l’après-midi !

– OK je viendrai, je ne pars que le lendemain !

– Ça ne te dérange pas que je sois avec mon pote ? il devrait te plaire, c’est un grand black !

Petite hésitation de ma part :

– D’accord pour demain !

Mais ceci est une autre histoire…

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