Histoires de sexe arabes Histoires de sexe lesbiennes Histoires de sexe noir

Marie, Henry, Patricia et moi

Marie, Henry, Patricia et moi



Après cette soirée totalement inédite pour tous les trois, Marie me propose une soirée « diner et plus » à quatre. La vie sexuelle de Marie se débride à chacune de nos rencontres et ses penchants pour la gente féminine, longtemps refoulés, semblent maintenant totalement dissipés. Marie savait très bien, pour le lui avoir dit, que Patricia avait essayé de s’inviter à la précédente soirée, et s’était vu écartée par une décision unilatérale qu’elle avait plus subi, qu’accepté.

Patricia était une jeune fille mère. Elle avait 30 ans et avait eu son fils à 18, suite à un accident de parcours. Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée déguisée et notre attirance l’un pour l’autre a fait le reste avant même la fin de la soirée. C’était la colombine de la soirée, une petite blonde avec un carré au dessus des épaules. Ses yeux bleus « Marie-brizard » et son sourire enjôleur, ont eu raison de mes sentiments. Ce n’est qu’après quelques jours de relations à découvrir son corps tout aussi enivrant, que je lui ai avoué mes penchants libertins, qui étonnamment de l’ont pas apeuré. Peut-être une attirance cachée ou inavouée pour ce type d’expérience. Patricia a accepté mes pratiques que je ne devais pas lui cacher, et c’est même dit prête à partager quelques unes de mes aventures. C’est comme cela, que nous nous sommes retrouvé chez Marie et Henry pour un diner.

Nos hôtes avaient placé leurs enfants pour la soirée, et Patricia, elle, avait laissé son fils à ses parents, chez qui elle vivait encore toute la semaine. Nous sommes arrivés vers 20h, moi, en jeans, chemise blanche HB et Church aux pieds, ma belle, en robe bleu outremer épousant au plus près son petit corps parfait et chaussures ouvertes à talons laissant ses ongles rouges trancher avec le bleu de ses escarpins. Sa tenue laissait deviner l’absence de soutient gorge,il aurait été trop visible sous le fin tissu qu’elle portait, et la présence d’un string minimaliste. Une petite pression sur la sonnette, le portillon s’ouvre aussitôt, nous faisons les quelques pas qui nous séparent encore de la maison et la porte d’entrée s’ouvre. Henry et Marie nous accueillent ensemble. Lui toujours aussi mal apprêté, avec un pantalon souple, plus proche du survêtement que du costume, et d’un polo rayé. Une tenue que, même pour une soirée déguisée « mauvais gout », j’aurai eu du mal à imaginer. Elle, comme à son habitude, resplendissante, jupe noir au dessus des genoux, chemisier fleuri noir et blanc entrouvert laissant apparaître le haut de la dentelle de son soutient gorge, et de escarpin noir. Un maquillage simple et léger accentuant la profondeur de son regard et la taille de ses grands yeux. Seul le rouge à lèvres contrastait avec l’image de Marie, qui aurait pu sortir d’une revue de photos en noir et blanc.

Nous entrons, distribuons un petit bouquet de roses rouges à Marie et une bonne bouteille de Cristal de Roederer à Henry. Je fais les présentations, puis nous dirigeons tous vers le salon. Marie part mettre les fleurs dans l’eau, tandis qu’Henry débouche la bouteille de champagne et sert les quatre coupes présentes sur la table basse. Marie nous rejoint avec un plateau de toasts maisons et soulève sa coupe pour trinquer à cette soirée. Nous buvons tranquillement, les coupes se vident et se remplissent entrainant des sourires, puis des rires qui montrent la bonne ambiance de ce début de soirée. Tout le monde semble à l’aise et décontracté. Les filles commencent à se tutoyer, même Henry se surprend à lâcher un « tu » lorsqu’il s’adresse à moi.
L’apéritif file bon train dans une atmosphère joviale. A la fin de la troisième bouteille de champagne, Marie qui s’était installé à coté de Patricia, était tout sourire. Les deux femmes se regardaient dans les yeux, parlant et riant sans cesse. Puis c’est Patricia, à ma surprise comme à celle de nos hôtes, qui vola le premier baiser de la soirée à Marie. Un baiser léger, du bout des lèvres, avec une pointe d’hésitation et de timidité. Le second est venu de Marie, sans aucune retenue, une main derrière la nuque de Patricia. Leurs lèvres se collaient, puis s’ouvraient pour que leurs langues se mettent à danser. Leurs mains glissaient à la découverte du corps de l’autre, promenaient sur les cuisses, les hanches, le ventre et les seins. Nous restions observateurs, j’apercevais, de mon fauteuil, les petits seins de Patricia qui trahissaient son excitation. Les tétons pointaient déjà contre le fin tissu et ne demandaient qu’à traverser le léger obstacle.
Une main de Patricia se battait avec les boutons du chemisier pendant que l’autre caressait un sein à travers la dentelle. Une fois ouvert en grand, Marie le retira puis fit voler le dernier rempart qui libéra sa poitrine surmontée de deux boutons qui pouvaient rivaliser, sans honte, de dureté avec les tétons de sa nouvelle amie. Patricia saute sûr les deux seins, les mains en avant, caressant, pétrissant, puis faisant rouler ses deux bouts bandés entre ses doigts faisant gémir Marie immédiatement qui bascule sur le dos et s’allonge sur canapé. Ma chérie joue avec les tétons, les roulant, les pinçant, les léchant puis les prenant entre ses lèvres en les tétant. Marie pousse des petits cris de plaisir, l’hypersensibilité de ses seins irradie son sexe qui s’inonde peu à peu. Patricia, fait glisser le zip de la jupe et la retire avec l’aide de la belle brune. Nous constatons tous l’absence de petite culotte, Marie est nue. Henry s’agite dans son fauteuil, pour repositionner son sexe dans son slip et lui trouver une position moins douloureuse. La situation est très excitante et je sens ma matraque gonfler le long de ma cuisse droite. Marie essaye d’att****r la robe moulante de Patricia, mais elle est si près du corps et si moulante qu’elle n’a aucune prise. La voyant se débattre avec le bout de tissu bleu, je me décide à intervenir, attrapant la robe au niveau des genoux, je la remonte en la retroussant comme un t-shirt jusqu’au passage de la tête puis reprend ma place. Les voilà, une nue, l’autre seulement vêtue d’un triangle de soie. Une sûr l’autre, seins contre seins, lèvres contre lèvres, elles s’embrassent langoureusement.

Patricia, glisse peu à peu, embrassant toutes les parties du corps de Marie passant à la portée de sa bouche, jusqu’à s’immobiliser un long moment sur un sein et son bourgeon, puis, passer à l’autre qu’elle malaxait fermement. Marie gémit, caresse tantôt les cheveux, tantôt les épaules et le haut du dos de Patricia. La bouche de ma chérie abandonne la poitrine pour glisser vers la zone brulante de notre hôte. Henry ne tient plus en place, se lève, retire, chaussures, pantalon et slip, et commence à se caresser, en regardant la scène, debout en polo et chaussettes.

Ma blondinette, après avoir caressé et embrassé tous les centimètres carrés du ventre, atteint enfin la fourche des jambes de Marie. La bouche et la langue découvre le pubis glabre, s’attardent sur le mont vénus, puis plonge gober l’abricot mûr à point. La pointe de la langue le fend en deux tel un sabre, et laisse s’écouler un peu plaisir liquide sous les gémissements puissant de Marie qui a remonté ses jambes et les maintient largement écarter pour facilité la dégustation de son fruit d’amour. Patricia la dévore, la lèche, la suce, lui caresse la peau douce de l’intérieur des cuisses. Sa langue passe de l’anus au clitoris en visitant la profonde vallée brulante qui les sépare. Marie cri, elle tremble de tout son corps, un orgasme l’emporte sous les délicieuses caresses de Patricia dont la langue tourne à l’entrée et dans le vagin comme s’il s’agissait d’une bouche. Le plaisir de Marie est bruyant, l’excitation de Patricia est, elle, bien visible, une tâche plus sombre marque nettement sont string minuscule.

Patricia se relève après avoir laisser quelques minutes de récupération à la brunette et tout en écartant le bout de tissu vient s’agenouiller sur la bouche de Marie en lui offrant sa vulve trempée de bonheur et surmontée d’une douce toison fraichement taillée en un petit trait blond. Henry vient s’agenouiller devant le sexe et les jambes écartées de sa femme. Il glisse l’index et le majeur dans l’anus et tout en s’enfonçant, pénètre le vagin avec le pouce. Henry commence une lente masturbation des orifices de Marie d’une main tout en se caressant délicatement les testicules et la verge de l’autre. D’un signe, Patricia me fait comprendre qu’il me faut rentre dans la partie. Mes vêtements volent et je me retrouve nu devant ma chérie qui se penche en avant pour venir me masturber et sucer mon gland violacé. Nous gémissons tous de concert tandis qu’Henry résiste à la tentation de se faire jouir tout seul. Patricia frémit sous les léchouilles appuyées de Marie, chez qui le plaisir monte à toute vitesse sous la double pénétration manuelle de son mari. Les belles partent dans un orgasme simultané, leurs corps tremblent lorsque le plaisir les atteint. Leurs chants étouffés sonnent le début des hostilités masculines. Nous voilà dans le jeu.

Les esprits retrouvés, la respiration de nouveau régulière et le cœur ayant des battements plus proche de la normale, les femmes se déconnectent l’une de l’autre. Une se séparant de ma verge, l’autre des doigts investigateurs. Patricia s’allonge sur le canapé, Marie s’agenouille entre les cuisses ouvertes, empaume et suce les seins, devant elle, offert. Le cul de Marie tendu vers le plafond est irrésistible, l’offrande est trop belle, je fonce vers cette merveille, me positionne et m’enfonce lentement entre ses chairs brulantes et inondées par deux orgasmes successifs. Les nymphes s’ouvrent à mon passage, comme la mer rouge à la demande de Moïse, pour me laisser m’enfoncer en elle lentement, mais d’un seul coup, jusqu’à sentir l’humidité résurgente sur mes couilles. La pénétration oblige Marie à abandonner les tétons de Patricia quelques instants pour lui permettre de chanter son bonheur. J’entreprends un pilonnage long et régulier du vagin de Marie qui lance des « hummm ouuiiii » à chaque vas et chaque vient. Henry grimaçant de douleur et de bonheur mélangé, offre son sexe tendu à Patricia, en passant au dessus de sa tête et se tenant debout, en bout de canapé. Il lui offre ses bourses à lécher, puis la hampe, sans jamais glisser son gland dans la bouche de ma chérie, qui malgré sa répugnance à la pilosité, me surprend en léchant volontiers tout ce que lui présente Henry. Elle y va de bon cœur, lèche, gobe les couilles une à une, puis embouche les bourses pour les téter délicatement. Le bonheur d’Henry lui font verser quelques larmes de plaisir, tout en retenu, il subit mais résiste au doux supplice qui lui est infligé. Pourfendant sans cesse le con de sa femme, je lui fais signe de faire demi tour, et sans bien comprendre, se libère et s’exécute. Patricia l’att****, une main par dessus chacune de ses cuisses, et le tire vers elle pour qu’il vienne s’asseoir sur son visage. Une fois installé, Patricia relâche les cuisses et vient de ses deux mains écarter largement les fesses d’Henry pour entamer un jubilatoire anulingus. Cette vision fait partir Marie dans un nouvel orgasme. Voir son mari, si prude, se faire lécher l’anus et les coups de boutoirs lents, puissants et profonds que je lui assène lui font rendre les armes. Elle se liquéfie et hurle de plaisir. Ses contractions ont raison de mon endurance, ses chairs me tête jusqu’à ce que toute ma semence se répande au fond de son vagin brulant. Henry ne peut résister plus longtemps à son traitement, il se retourne pour tenter de s’enfoncer dans la bouche ouverte de Patricia mais se déverse lui aussi en quelques jets de sperme arrosant le visage de Patricia, mais également celui de sa femme qui lui fait face. D’une main, Patricia dirige la verge, en perte immédiate d’érection, vers sa bouche pour en extraire les quelques gouttes retardataires. Henry se retire et j’en fais de même, pour venir présenter ma queue demi molle aux deux bouches féminines qui s’affairent à un nettoyage mutuel et s’embrassent, heureuse. Alors que les filles me lèchent, qui par dessous, qui par dessus, mon membre retrouve rapidement de la vigueur. Henry, comme il en a pris l’habitude, fait le ménage autour et dans le sexe de sa femme dégoulinant de notre jus d’amour.

Après cette délicieuse toilette, nous voilà près pour reprendre la partie. Tout le monde est debout devant le canapé et Marie nous informe que l’apéritif étant terminé, nous allons maintenant nous diriger vers la chambre pour la suite de la soirée. Henry ouvre la marche, toujours en Polo et chaussettes, Marie lui emboite le pas, Patricia me pose un baiser sur les lèvres et me chuchote à l’oreille « plutôt sympa le début de soirée » et lui répond par un sourire et la suit dans l’escalier en fermant la marche. Une fois dans la chambre, Marie me demande de m’allonger sur le lit. Installé, Elle vient se positionner à quatre pattes entre mes jambes, att**** mon sexe en légère érection et commence à le lécher comme si elle dégustait une glace. Sa langue tourne autour de mon gland avec une légère pression et me fait frémir de plaisir. L’hypersensibilité de l’extrémité de mon membre est exacerbée par l’éjaculation précédente et rend cette caresse délicieusement désagréable, un mélange de sentiment de « oui vas-y continue » et « houlà, houlà, arrête ». Puis le plaisir reprend lentement le dessus. Sa main me masturbe lentement, m’enserre délicatement les bourses au moment de faire pénétrer une partie du bâton de chair dans sa bouche. Pendant ce temps, Patricia s’est installée, elle aussi à quatre patte sur le tapis, au pied du lit, les coudes posés sur le lit, et s’affaire entre les jolies fesses de Marie, qui gémit doucement aux coups de langues légers qu’elle reçoit. Henry, est assit sur le lit, ses mains parcourent le corps de sa femme. Des caresses délicates sur les fesses,puis il malaxe les seins en pinçant les tétons toujours raides d’excitation. Mes mains posées sur la nuque de Marie, je l’accompagne sans effort, dans sa quête d’engloutir profondément mon membre dans sa gorge. Cette gorge profonde la fait saliver et des hauts le cœur la font momentanément reculer. Patricia lèche et caresse d’une main toute la fente chaude et humide de Marie qui peu à peu s’irrigue. Henry, dans ses caresses a changé de partenaire, il s’attaque maintenant au corps de Patricia, dont les petites fesses proches de celles d’un jeune adolescente l’attirent et lui fond presque retrouver un début d’érection. De coté, il passe sa main sous le ficelle et dans cette petite vallée très ferme.

Je suis fasciné par l’enthousiasme de Marie qui se refuse à l’échec. Le contact de mon gland qui s’écrase contre sa luette, la fait presque vomir, mais elle insiste, sa salive épaisse recouvre tout mon manche et même mes couilles posées dans une de ses mains. La main de Patricia la fouille maintenant, ses doigts s’introduisent dans la cavité luisante et la masturbent dans un bruit à la fois sensuel et excitant de « floc floc floc ». Ses gémissements sont presque inaudibles, mais ses fesses s’agitent autour des doigts ma chérie. Les doigts bien lubrifiés, Patricia remonte vers l’anus qui la regarde tel un cyclope, le caresse et le force facilement avec trois doigts. Marie réagit à cette introduction soudaine par un mouvement de la tête vers le bas, mon gland passe la luette et s’écrase contre ses amygdales. Marie reste, de longues secondes, immobile dans un gémissement étouffé puis remonte brusquement libérant ma queue entièrement, seulement reliée à sa bouche par un épais filet de bave. J’aperçois la main de Patricia dont quatre doigts coulissent maintenant entre les fesses de Marie. La tête levée vers le plafond, les reins creusés, elle chante son plaisir à haute voix. La main s’introduit peu à peu jusqu’à la garde du pouce faisant tressauter la brune de bonheur. Henry caresse sans cesse la vulve gluante de Patricia, il se positionne derrière sa proie, retire le minuscule srting et se lance dans une levrette dans laquelle il se trouve au large. Cette largesse le rassure, et lui permet d’entreprendre un coït durable. Patricia, contrairement à Marie qui a subi des césariennes, a un vagin large, certainement détendu par le passage de son fils. Il ne ressent pas la pression permanente que lui inflige le vagin de sa femme, et profite du plaisir et du confort que lui offre le sexe de ma chérie. Patricia apprécie la délicatesse et le rythme lent que lui inflige Henry. Elle l’encourage par de doux gémissements et des « oui c’est bon comme ça ». Marie replonge de plus belle et s’enfonce mon pieu jusqu’au fond de la gorge et me procure la plus délicieuse des sensations. Mes couilles remontent se plaquer contre la base de la verge chaque fois que mon gland force le passage de la gorge. Je bouillonne. Marie s’accroche à mes hanches et se maintient ainsi la bouche remplie au maximum par mon sexe. Elle ne bouge plus, immobile à s’en étouffer. Je vois ses grands yeux exorbités lâcher quelques petites larmes. Je me relève sur les coudes et constate que Patricia a introduit non seulement le cinquième doigt, mais le poignet aussi. Patricia fait des petits mouvements rotatifs dans le cul de Marie, qui reste inerte. Immédiatement, je saisi son visage à deux mains et la libère de mon sexe qui la clou littéralement. Marie prend une grande bouffée d’air et part dans un hurlement de jouissance. Le plaisir qui la traverse la tétanise, elle est statufiée, incapable de la moindre action ou réaction, elle subit le jouissif fist-fucking que lui inflige Patricia. J’entreprends une rapide masturbation pour palier au manquement passager de Marie. Henry augmente la cadence faisant partir ma chérie dans des gémissements profonds annonciateurs de l’orgasme en approche. Les contractions jouissives de Patricia entrainent Henry dans une explosion de plaisir. En se retirant du vagin en cru, pour retarder l’éjaculation, il se repend en arrosant le dos et les fesses de Patricia qui agite son poignet toujours fiché dans le cul de Marie, au rythme des spasmes qui la traverse.

Marie hurle de plaisir, une jouissance longue et puissante, la renverse et la couche sur le coté. Je me lève rapidement pour jouir sur ce corps magnifique, recouvert d’une fine couche de sueur. Voyant qu’elle s’allonge sur le dos, pivotant sur le poignet de Patricia, elle m’offre un tableau excitant. Je soulève ses jambes, me positionne pour m’introduire dans son vagin. Lentement, difficilement même, le fourreau habituellement étroit est pratiquement obstrué par la main de Patricia, je pénètre peu à eu le conduit vaginal heureusement totalement inondé. Sa jouissance qui commence à s’estomper retrouve de l’intensité dès que les mouvements de mon mandrin démarrent. L’étroitesse exceptionnelle de Marie et la main de Patricia qui caresse mon membre à travers la fine cloison me font exploser en à peine quelques allers et retours. Je me retire et jouis puissamment, projetant le premier jet de sperme du nombril, jusqu’à la vallée de ses seins, le second sur le dessus du pubis et le reste s’écoule, arrosant le mont vénus, la vulve, le poignet et la main de Patricia qui s’échappe lentement de l’anus de Marie. Je m’écroule à droite de Marie, Patricia s’allonge sur je ventre, tout contre Marie et l’embrasse langoureusement. Henry reste debout, contemple la scène en caressant les douces cuisses de sa femme.

La fin de soirée, ou plutôt de la nuit a été, plus classique, plus conventionnelle. J’ai fait l’amour à Patricia, et avons jouit ensemble plusieurs fois. Marie s’est attelé à redonner vie au sexe d’Henry pour qu’il la sodomise longuement et qu’il finisse par se répandre dans le fondement de sa femme, déclenchant chez elle un dernier petit orgasme.

Cette invitation a été la première d’une série, mais n’a pas mis fin pour autant aux rencontres entre Marie et Moi. Elle était heureuse de ce qu’elle avait réussi à obtenir d’Henry, même si au fond d’elle je la savais toujours insatisfaite.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire