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Laurence en séance BDSM dans un club libertin (exp

Laurence en séance BDSM dans un club libertin (exp



Comme vous avez pu le voir sur mon profil, je suis une petite travestie adepte de lingerie coquine. Ma grande passion, c’est d’être le jouet de tous les mâles possibles qui doivent pouvoir m’utiliser comme une pute soumise et gourmande.
Après une recherche sur xhamster, je suis tombée sur le profil d’un monsieur discret (pas de photos, pas de commentaires sur son profil). Par contre, sur sa description j’ai flashé sur ce qu’il souhaitait: une petite travestie, adepte de lingerie coquine, plutôt passive.
Sans trop d’illusions, je lui envoie un message pour me présenter et lui exposer rapidement mes besoins:
« Bonjour. Ton profil me semble sympa. Je suis plutôt soumise comme tu peux le voir sur mes photos et vidéos. Je recherche une compagnie basée sur la confiance réciproque. J’ai quelques tabous : pas de sodomie ni de crade. »
Quelques temps après, je reçois un retour de sa part. Cela commence mal; il demande d’emblée mon adresse mail!!! Après quelques hésitations et quelques échange via la messagerie xhamster, je le contacte par mail.
Se suivent pas mal de proposition de phantasmes de part et d »autres, il m’envoie des photos de bas, de guêpières et de porte-jarretelles – lingerie que je vénère – et me propose de me les faire essayer.
Selon nos disponibilités respectives, et ayant accordé nos désirs réciproques, nous prenons rendez-vous sur Paris un après-midi gris de novembre, devant un sex-shop dans un premier temps. Signe de reconnaissance: la couleur de nos sacs à dos, remplis de lingerie coquine.
La rencontre est en début d »après-midi. C’est la boule au ventre que je me dirige vers le point de rendez-vous. Et là, bien avant d’y arriver, je crise un homme, portant un sac à dos bleu, plutôt mince, fin cinquantaine, décontracté. J’ai un réflexe de surprise, je m’arrête, il se retourne et m’apostrophe: « Laurence? » dit-il. C’est lui, il m’a identifié, ne m’a pas posé un lapin, et me parait correspondre en physique à ses attentes exprimées par mail: discret, courtois, attentionné, bref pas une brute épaisse comme on en voit dans les clubs libertins.
Après quelques échanges, c’est la gorge nouée que nous nous dirigeons vers le club libertin (les afficionados reconnaitront un club situé près de la gare de Lyon à Paris)
Nous rentrons, nous prenons un casier commun dans le vestiaire pour travesti et femme. Il me demande de me dévêtir, fait de même et direction la douche.
Après un savonnage rigoureux, nous retournons au vestiaire. Il ouvre alors son sac et en soir de nombreuses paires de bas, dont de sublimes bas Cervin à coutures, sur lesquels je flashe instantanément! Pour les accompagner, une guêpière noire ayant été portée par son épouse. Il me demande de me retourner, me passe la guêpière et commence à l’agrafer par derrière. Cette sensation – c’est la première fois que l’on m’habille en femme – est indescriptible: je me sens vraiment devenir une petite poupée dans les mains de mon Maître. Il me demande de me retourner me fait assoir et avec douceur, me passe les bas une jambe après l’autre. Il agrafe la jarretière sur les bas en ajustant la couture derrière mes jambes. Pour compléter le tableau, j’enfile un petit tanga noir en dentelle. Je me maquille, me parfume, chausse de beaux escarpins à talon et coiffe ma perruque rousse.
« Et le collier? » demande-t-il. J’avais presqu’oublié que depuis l’entrée dans ce club, j’étais sa chose!
Il me passe le collier de chienne autour du coup, et avec la laisse me tire à l’extérieur du vestiaire pour exhiber dans le club. Mon cœur bat follement d’excitation, je me sens vraiment femelle!

Premier acte: il me fait descendre au sous-sol et convint un monsieur présent de mettre une capote. Il m’intime: « A genoux et ouvre la bouche! » je m’exécute, ouvre la bouche et enfourne le sexe encore mou. En bonne petite salope, je m’active consciencieusement, alternant le suçage de bite et le léchage de couille, avec suffisamment de talent pou que le mec jouisse dans ma bouche. Mon Maître, me demande de retirer la capote et de la lui donner. Il la noue à l’extrémité, et me dit: « Ouvre la bouche et lèche cette capote pleine de sperme! ». J’hésite un instant puis passe ma langue sur la capote d’abord timidement puis avec de plus en plus de passion. Mon Maître me prend en photo en train de sucer cette capote.

Deuxième acte: « Viens avec moi dans une cabine! » Mon Maître m’entraine dans un coin câlin. Il verrouille la porte. « Suce moi! » Je l’enfourne et commence une fellation de femme amoureuse. Je lui lèche les couilles, titille le gland avec la pointe de ma langue. Je la fait passer le long de sa raie fessière, commence à darder son petit trou. J’insiste et pointe le bout de ma langue dans son anus. « tournes-toi! » Je m’exécute, et présente mon clitoris à sa bouche. Il me suce un long moment, avec douceur, je gémis de plaisir, de me savoir l’objet de toutes ses attentions. Il m’aspire les couilles que j’ai entièrement épilées, me fais un peu mal, je gémis, mais j’accepte la douleur, je suis sa femelle. Il me met à quatre pattes – je suis sa chienne -, m’écarte les jambes, et commence à me lécher la raie! je couine de plaisir, comme une femelle en chaleur, je suis aux anges!!!!. « Allez, on va passer aux choses sérieuses! » Il m’entraine alors dans la cabine qui comporte la Croix de Saint-André.

Suite dans un prochain texte: ceci n’est pas une fiction, quelques photos sont disponibles sur mon profil qui illustrent cette aventure: merci pour vos commentaires que je souhaite nombreux et salaces.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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