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Trixie chap 14 – Un anniversaire sex…traordinair

Trixie chap 14 – Un anniversaire sex…traordinair



C’était l’anniversaire de Maxime, je ne savais pas quoi lui offrir, une montre, une gourmette non… il n’était pas bijou. Alors quoi ? Je ne voyais pas… Tout d’un coup il me vint une idée.
Au début de notre relation, il m’avait dit, qu’il aurait aimé me voir baiser par un noir, et nous l’avions fait et pas seulement avec Gérald, mais aussi avec deux de ses potes noirs de l’équipe de basket. Il avait aussi apprécié de me voir me faire prendre par Guy et le gros patron du bistrot, lors d’une mémorable partie de pétanque. Il avait aussi raffolé de voir la vidéo tournée avec le pharmacien noir qui m’enfilait son énorme sexe…
N’aurait-il pas un penchant vers le candaulisme ? Mais si, c’était évident… il me disait qu’il n’était absolument pas jaloux, lorsque d’autres hommes me prenaient devant lui… Une idée plus que perverse germait dans ma tête.
Le jour de son anniversaire, je l’invitais à déjeuner à la maison.
« Le repas était bon ? Maintenant tu vas avoir droit à une surprise…
– Si elle est aussi bonne que le repas, je suis partant
– Tu devrais apprécier ! »
Je le laissais seul et parti dans ma chambre. J’avais préparé tous les accessoires, je me mis nue. J’enfilais des bas blanc, un porte-jarretelles très fin en dentelle. Je revêtis un string blanc transparent, une large ouverture, laissait apparaître ma chatte et mon petit triangle de poils bien épilés. La fente se prolongeait jusqu’à mon anus qu’elle laissait découvert lui aussi. Un soutien gorge ou sur chaque seins deux minces bandes de tissu en dentelle blanche encadraient mes aréoles aux mamelons dressés et se rejoignaient ensuite derrière mon cou. Je chaussais des talons aiguilles blancs. J’étais extrêmement bronzée, cette lingerie mettait mon corps en valeur.
« C’est pour moi… ??
– Çà te plaît ? Tu te demandes pour quelle raison je me suis habillée ainsi, c’est une surprise pour ton anniversaire… Nous attendons de la visite… Je sais que tu aimes bien me voir faire l’amour avec d’autres mecs… Alors pour ton anniversaire, je veux satisfaire un de tes fantasmes… J’espère ne pas m’être trompée… »
J’avais à peine fini ma phrase qu’un coup de sonnette retenti. Je passais un peignoir, attachais assez lâchement la ceinture pour le laisser bailler légèrement et j’ouvris la porte, c’était bien les deux fermiers, le père et le fils, chez qui j’allais chercher mes légumes qui se tenaient derrière celle-ci. Je leur avais téléphoné et donné rendez-vous chez moi, sans trop de précision… Je savais qu’ils n’avaient qu’une envie… me baiser à nouveau !
Je les regardais, ils étaient vraiment laids. On aurait dit Don Quichotte et Sancho Panza. Le père avait environ soixante quinze ans si ce n’est plus, il était maigre et sec, le visage ridé, en lame de couteau barré par une moustache, le crâne dégarni, des sourcils broussailleux.
Son fils, un homme d’environ quarante cinq ans, était déjà venu ici. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. La fermeture éclair de sa salopette descendue jusqu’à ses poils pubiens laissait apparaître une touffe noire, l’ouverture dévoilait un torse velu. Maculé de poussière, son vêtement sentait la transpiration. On pouvait les qualifier de répugnants.
Mais ils avaient quelque chose qui supplantait leur laideur, mes yeux se portèrent sur « cette chose ». Ils regardaient mes jambes, l’entrebâillement du peignoir laissait voir les attaches de mon porte-jarretelles et baillait sur mes seins. Deux énormes bosses commençaient à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus dessous. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas ventre, je commençais à mouiller en pensant à ce qui allait sûrement suivre.
« En… entrez bredouillais-je…
– Bonjour, on peut s’embrasser non ?»
A me voir habillée ainsi, ils avaient du deviner la raison pour laquelle je les avait fait venir. Le petit gros s’approcha de moi, il m’enlaça et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres, une de ses mains se glissa sous le peignoir et se plaqua sur un sein, l’autre dénoua la ceinture de mon peignoir qui s’ouvrit largement.
« Oh, putain… !! »
Son père rapide comme l’éclair passa dans mon dos, et me quitta le vêtement.
« Putain elle est super cette culotte ! La fente c’est pour faire ça ? »
S’exclama le gros, son majeur s’enfonça entre les lèvres humides de ma chatte, son baiser s’éternisait. Mentalement je me traitais de salope mais, je lui rendis son baiser. C’est le cadeau d’anniversaire de Maxime… pensais-je pour me donner bonne conscience ! Leur laideur m’excitait… surtout la grosse bite qui se frottait contre ma cuisse. Une de mes boucles d’oreille se détacha, je la rattrapais…
« Papa, la petite Salope mouille déjà !
– Eh, mais tu pourrais dire bonjour à tout le monde… Il y a un Monsieur !
– Entrez, suivez moi au salon. Nous avons préparé des collations ! »
Je me dégageais doucement et passais devant devant eux pour les conduire vers Maxime.
« Putain, dit le vieux fermier, l’envers du string vaut l’endroit… !! »
Je laissais tomber devant moi, ma boucle d’oreille. Les jambes légèrement écartées, je pliais mon tronc pour la ramasser. Mon anus entrouvert se dévoila à leurs regards. Je sentis la main du vieux se poser sur ma fesse, un doigt glisser le long de ma raie et entrer entièrement dans mon trou intime, je gloussais…
« Je vous présente Maxime, un bon ami à moi, c’est son anniversaire aujourd’hui et nous allons le lui fêter ! »
Maxime leur serra la main. Les deux hommes restaient plantés face à lui, au milieu de la pièce comme tétanisés par le spectacle que je leur offrais. Une splendide blonde presque nue, aux cheveux blonds tombant sur les épaules, un nez aquilin, des yeux bleu-verts, une bouche gourmande, un corps parfait mis en valeur par une lingerie plus que sexy. Un désir fou se lisait dans leurs yeux, surtout que ce n’était pas la première fois qu’ils me baisaient… Le son de la voix de Maxime sembla les tirer de leur léthargie.
«Alors, vous connaissez Trixie ? J’ai ouï dire que chez vous tout était démesuré. Elle m’a fait l’éloge autant de vos légumes que de votre anatomie… A table j’ai pu apprécier vos grosses courgettes, mais je suis curieux de voir le reste… qui d’après ce que je vois, ne doit rien leur envier tant en longueur qu’en grosseur… Trixie veux-tu bien me donner un aperçu des ustensiles qui vont te servir à satisfaire mon cadeau ! C’est une très, très bonne idée que tu as eu là ! Je vais me semble-t-il me régaler ! »
Je passais derrière le vieux et très doucement j’abaissais la fermeture éclair de sa salopette, comme je le pensais, il était nu dessous. Ma main, se faufila à l’intérieur, descendis lentement le long de son torse. Je sorti son sexe monumental et turgescent, il bandait énormément, je le calottais et décalottais deux ou trois fois, il trembla et cela lui tira un gémissement de plaisir.
Je lui mordillais le lobe de l’oreille en lui murmurant.
« Tu n’ as qu’une énorme envie c’est de mettre ta bite dans ma chatte… vieux sadique !
– Et toi petite Salope, tu adores que je te l’enfile entièrement… Je vais te faire hurler de plaisir devant ton jeune copain…  »
Je fis glisser sa salopette sur ses épaules dévoilant son torse osseux couvert de poils blancs, elle tomba à ses pieds. Son sexe monstrueux de plus de six centimètres de diamètre dépassait largement son nombril. Ses deux gros testicules s’étalaient sur ses cuisses.
« Ooooohhhh putain le bel engin, s’exclama Maxime… ! Il ne doit rien à celui de Gérald.»
Son fils dont la combinaison était déjà bien ouverte, commença à se déshabiller rapidement, Maxime put ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité.
Mais c’est son pénis qui fascinait. Il était presque noir, en érection, il devait mesurer une vingtaine de centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ça procurerait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d’un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des œufs de poule.
Je regardais Maxime, une sorte de rictus de dédain, sûrement du à la laideur des deux hommes, déformait sa bouche, mais ses yeux brillaient de convoitise en attendant la suite du spectacle… sa magnifique blonde baisée par ces deux monstres !! Rien que d’y penser, il bandait comme un âne !
Ludo, car c’était son nom dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme, me faisaient penser à un primate. Mais, malgré une répulsion certaine, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque me chauffait le bas-ventre, ma chatte était trempée. Je cédais encore une fois à ce désir malsain, en me donnant comme mauvaise excuse que je devais satisfaire la libido de Maxime, alors que je savais que je me mentais, j’allais tirer du plaisir en me faisant baiser par ses deux êtres abjects… et de plus devant Maxime ce qui mettait encore plus de piment à ce jeu pervers, car j’étais consciente que cela en était un !
Il s’était extirpé de sa salopette et se tenait gauchement. Je m’approchais cette fois ce fut
moi qui l’enlaçait, je frottais mes mamelons durcis contre la toison noire et étonnamment douce de sa poitrine, une décharge électrique me traversa le corps. Je luis saisis la bite et le masturbais doucement, je l’embrassais goulûment, puis ma langue descendit sur ses pectoraux velus et je lui mordillait et suçait les tétons.
Je sentis que l’on prenait ma main… Maxime voulait-il faire cesser ce jeu dévoyé ? Non, il m’entraîna sur une sorte de pouf sur pied, il s’ accroupit à côté. Il ôta mon string et me fit asseoir les jambes largement écartées en face des deux hommes.
Tout en titillant d’une main mes mamelons durcis par le désir, il écarta les grandes lèvres de mon sexe faisant saillir mon clitoris, de la cyprine coulait à flot de ma chatte.
« Regardez comme sa chatte et humide et baveuse… Voyez mon doigt, il est luisant de son foutre, vous allez vous régaler… Et toi petite coquine, ta chatte palpite toute seule…! Il est l’heure de donner un acompte à ces messieurs, je suis certain qu’ils vont te faire jouir… Qui va être le premier ? »
Ludo, le petit gros s’approcha. J’étais assise et ma bouche était à hauteur de son sexe. Malgré son odeur aigrelette, j’enserrai sa taille de mes bras. Ma bouche se posa à hauteur de son nombril, je sortis ma langue et elle se faufila lentement à travers sa toison pubienne vers la base du sexe que je tenais de ma main droite.
Je le calottais et décalottais plusieurs fois, m’extasiant chaque fois mentalement devant son gland à la forme si particulière… Il est vrai que j’avais vraiment apprécié ses pénétrations lors de sa première visite chez moi. Je fis pénétrer le bout pointu entre mes lèvres, salivais énormément et aspirais, je le sentis avoir un spasme. Lentement j’enfournais ce gland mauve dans ma bouche et le suçais doucement. Je sentis alors couler du liquide pré-éjaculatoire sur ma langue, il en produisit une assez grande quantité, je tirais la langue en direction de Maxime puis déglutissait le liquide visqueux et incolore en le regardant en souriant. Je recommençais à enfourner le gland dans ma cavité buccale, et en l’ouvrant démesurément avalais lentement demi centimètre par demi centimètre le membre aussi gros que mon poignet. Je réussi à en faire entrer la presque la totalité. Je recommençais trois fois l’opération, lui tirant chaque fois des grognements de plaisir, puis je le masturbais vigoureusement, ne faisant pénétrer dans ma bouche que son gland un peu plus loin que sa couronne, ma fellation dut durer une dizaine de minutes, puis je sentis des grands jets de sperme gicler dans ma gorge, je les avalais au fur et à mesure. Avant que sa bite ne redevienne flasque, j’aspirais le sperme qui restait dans son méat… Un tremblement l’agita, il hurla de satisfaction. Je regardais Maxime, il souriait.
« Bien, bien… Passons dans la chambre, dit celui-ci, ce sera mieux pour la suite… Je vois que tu te régales petite Salope…»
Je m’étais couchée sur le lit, étendue sur le dos, les jambes grandes ouvertes pour que Maxime qui se trouvait debout au pied de celui-ci, ne puisse rien perdre de ce qui allait suivre. Il avait sorti son sexe et se masturbait doucement.
Le vieux Louis s’allongea à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposait sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas. Sa main gauche calleuse aux ongles sales, se posa sur ma cuisse droite, il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte, son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent… Maxime me demanda d’écarter un peu plus les jambes, j’obéis. Le paysan en profita pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frottais mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémissais de plaisir… Ma chatte écartelée ruisselait, son pouce quitta mon clito et vint s’adjoindre aux autres doigts, il poussa doucement la moitié de sa main dans mon vagin… Il recommença plusieurs fois l’opération me tirant des gémissements d’extase.
« Putain ce que tu es bonne, petite salope… Tu aimes les caresses du vieux… Tiens lèche ton foutre sur ma main… »
Ma langue essuya sa main… Il se mit à genoux face à Maxime. Sa bite avait maintenant une proportion phénoménale, le bout de son méat atteignait presque son sternum. Il me demanda de le sucer, pour me dit-il la faire durcir encore un peu.
Je lui léchais le pourtour du gland lentement en l’humectant avec ma salive.

« Met la dans ta bouche… »
Ce que je fis, et je commençais à avaler cette immense hampe. Il posa main derrière ma tête et appuya doucement pour faire glisser son pénis dans ma gorge.
« Woouuuaaahhhhhh, c’est merveilleux, tu vas arriver à tout avaler… Doucement, doucement ne me fais pas éjaculer… pas encore ! »
Malgré ma bonne volonté et les encouragements de Maxime, je ne parvins pas à avaler entièrement cet énorme boa. Louis, me positionna sur le côté, me fit poser le pied droit sur son genou, comme cela Maxime était vraiment un spectateur privilégié pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta au maximum les lanières de ce qui me servait de soutien gorge, elles compressèrent mes deux globes et les fit durcir. Ses deux énormes couilles reposaient sur sa cuisse, il attrapa de sa main droite la monstrueuse bite et présenta le gland à l’entrée de mon orifice vaginal, je frémissais de plaisir attendant avec impatience cette longue et démesurée pénétration, il dut le sentir mon excitation.
« Alors petite Salope, on est impatiente de recevoir l’énorme bite du vieux Louis, tiens voilà… tu la sens entrer dans ta chatte ? Elle est grosse, hein ? Elle te plaît… putain ce que tu mouilles… elle entre toute seule… Mais tu commences à la connaître… et à l’apprécier ! Làààààà… tu aimes… la sentir glisser»
Tout en parlant il enfonça lentement, les vingt-neuf centimètres et je senti bientôt ses couilles frotter mon entrejambe. Sa main gauche me triturait le sein droit, griffant mon aréole et pinçant mon mamelon.
« Tu aimes, ma grosse queue… dis le que tu aimes… Tu aimes que je t’enfile mes 29 cm… Tu les veux entièrement…
– Aaaahhhhh, Aaaaaahhhhhh oui….. ouuuuiiiiiii
Je regardais Maxime, il avait l’air de se régaler de voir ce gros piston coulisser en moi. Le vieux accéléra sa cadence pénétration, me tirant des cris de plaisir, mon regard n’avait pas quitté Maxime, essayant de deviner s’il appréciait de me voir prendre du plaisir avec cet épouvantail. Il semblait aux anges, il était nu maintenant et se masturbait doucement.
Louis me fit basculer sur dos, sa bouche se plaqua sur mon sein droit, il aspira mon aréole, suça mon mamelon puis lorsque mon petit cône brun fut en pleine érection, il le mordit assez cruellement, je poussais un cri de douleur mêlé à de la jouissance…
« Oh oui, oh oui… à…. l’au… tre, c’est bon… »
Je me cambrais pour le lui offrir, et essayer de faire pénétrer encore plus profondément la bite qui me pourfendait.
Il avait ralentit sa cadence de pénétration, et s’appliquait à me tirer des cris et des grognements de plaisir, parfois il cessait complètement, puis d’un seul coup entrait la totalité de son membre.
Je devenais folle de plaisir… je sentais monter mon orgasme, cela devait faire plus de vingt minutes qu’il enfonçait son pieu dans mes entrailles… Je sentais qu’il était lui aussi au bord de l’explosion !
« Ouiiiiiiii, je veux ton sperme… éjacule, éjacule dans ma chatte…. ouiiii, c’est bon….
– Eh Papa… dépêche toi… tu n’es pas tout seul… j’ai moi aussi droit à ma part du gâteau…
– Laisse moi tranquille, fiston… cela fait cinquante ans que je suis marié à ta mère, je n’ai jamais réussi à lui enfiler complètement ma bite… Ici c’est le pi…. piiiiiieeeeeeeddddddd …. Ahhhhhhh tiens salope, tiens… Je jouis… Tiens mon sperme… putain c’est bon d’éjaculer au fond de ta chatte…»
Un grand coup de rein enfonça la totalité, de membre colossal et il vida en moi sa semence avec de grands spasmes accompagnés de cris gutturaux, vantant mes mérites… Son éjaculation précipita mon orgasme, à mon tour je me cambrais hurlant de plaisir, lui entourant la taille avec mes jambes.
Il se retira, me laissant pantelante sur le dos, je sentais son sperme couler de ma chatte.
« Parfait, parfait dit Maxime… Mais je crois que je n’ai vu que la moitié de mon cadeau… »
Je le regardais, il avait fait attention de ne pas éjaculer en se masturbant… Il attendait la suite pour conclure…
Le petit gros, bandant comme un âne s’approcha du lit…. Je jouissais encore lorsque doucement, Ludo écarta mes cuisses et se pencha sur ma chatte ruisselante.« Putain, Papa ce que tu as pu décharger comme sperme !!
– Oui répondit Maxime, cela s’appelle de l’hyperspermie due en général à la prostate ou à une longue période d’abstinence !!
– Quoiqu’il en soit, c’est dommage de laisser perdre ce nectar !! Il n’y aurait pas un petit verre à liqueur ? »
Maxime se précipita et revint avec un petit verre ciselé sur pied ressemblant à un verre à cognac . Le gros Ludo le plaça à la sortie de mon orifice vaginal et écarta mes lèvres, l’enfonça légèrement, le remonta doucement pour récupérer le sperme mêlé à mon foutre qui s’écoulait.
« Contracte bien ta chatte, elle est encore pleine de sperme, voilà comme ça… regardez, comme ça coule, il doit y avoir plus de 12 ml… Tout à l’heure, elle va se régaler la petite salope… Écarte bien tes cuisses que tout le monde en profite bien… »
Il se coucha à côté de moi, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue s’insinua, je ne desserrai pas les dents… il grogna, il me saisit le mamelon droit et le pinça fortement, un petit cri de douleur mêlé à du plaisir me fit ouvrir la bouche, sa langue envahie, ma cavité buccale. Sa salive au goût suret coula dans ma bouche. Il avait du sentir que j’aimais son pincement, car il se saisit de mon autre téton et lui fit subir le même sort.
Ma poitrine se tendit vers l’avant comme pour en redemander, et vaincue par le plaisir et la légère douleur qui irradiait de mes seins les faisant durcir, je lui rendis son baiser avec fougue.
Il écarta les bandes de tissu qui encadraient mes aréoles, faisant bien jaillir les globes qui se trouvaient légèrement compressés par les lanières de dentelles.
Sa bouche entourée de poils rêches et piquants descendit le long de mon cou, son menton aux poils rêches se frotta sur le haut de ma poitrine et ses dents encerclèrent mes bouts en totale érection. Il se mit à me les mordiller assez vigoureusement.
« Ouuuuiiiii, ouuuuuiiiii…. vas-y mords moi bien les tétons, ouuiiiii comme ça !!! Ça m’excite… mord les bouts, les bouts… ouiiiiiii comme ça…»
Je sentais son gland triangulaire dur comme un roc se frotter au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et le frotta doucement sur ma peau nue. Son majeur s’était insinué dans ma chatte et ma vulve commençait à me chatouiller et a devenir à nouveau moite. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre, sa salive laissait une traînée visqueuse sur ma peau. Il avait passé ses deux mains sous mes fesses et malaxait mes deux globes fermes. Les étirant pour ouvrir mon anus qui subissait la pression de ses majeurs.
Ses yeux sombres ne quittaient pas le spectacle obscène de mon sexe à la fente rose et humide largement ouverte qui palpitait sous son regard lubrique.
Je lui saisis la tête et plaquais sa bouche sur ma chatte en feu, qui n’attendait que la pénétration de son gland décalotté mauve foncé. Il me plaisait beaucoup, il était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, cela m’avait procuré des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors de notre précédent coït.
Ses lèvres se posèrent sur la peau de ma jambe droite, là où s’arrête le bas. Sa langue remonta le long de l’attache jusqu’à mon mont de venus , redescendit dans l’aine, puis il pressa son visage contre ma vulve ruisselante humant le foutre qui coulait, et sa langue lécha le bord de mes lèvres. Des mouvements lascifs firent tressauter mes hanches. Au fur et à mesure que sa langue, écartant mes grandes lèvres s’enfonçait dans mes entrailles, mes cuisses s’ouvraient, son pouce titilla mon clitoris, un cri d’extase jaillit de ma gorge.
Maxime aimait regarder mes ébats… mais moi aussi, j’étais friande des sensations que ceux-ci pouvaient provoquer chez lui, je n’avais pas besoin de tricher, je prenais du plaisir avec ces deux épouvantails. Il ne voulait pas l’avouer, mais j’étais sûre que ce brave Maxime était un peu jaloux de voir que ces deux montres me faisaient grimper au septième ciel… et cela augmentait mon plaisir…
Ludo me fit asseoir sur ses cuisses jambes largement ouvertes, face aux deux autres hommes, puis il se mit à caresser mon corps, malaxant ma poitrine ferme et douce, ce qui me tira un gloussement de plaisir.
Sa queue commença à se frotter le long des lèvres de ma chatte, son érection géante les écartait et son membre glissait entre elles, du bout de son gland, jusqu’à la base garnie de poils rêches.
Il posa une main sur ma chatte et commença me masturber le clitoris, tandis que l’autre me malaxait un sein et me tirait le mamelon. Doucement, sa langue baveuse me léchait le cou.
Je poussais un gémissement de plaisir et pris une profonde inspiration.
Le gros fermier frottait mon clitoris et fourrait sa queue de haut en bas dans ma fente, la faisant glisser lentement contre ma chatte humide et tremblante, puis sur mon mont de venus jusqu’à la faire passer sous la dentelle de mon porte-jarretelles.
Je sentais des sensations sauvages envahir mon corps, il me semblait que je n’avais jamais ressenti cela et je laissais un long gémissement agréable sortir de ma gorge.
Ludo essaya de glisser trois doigts dans ma chatte humide, mais il ne put les intégrer que jusqu’à sa deuxième phalange ils étaient trop boudinés.
Sa queue engorgée de sang, bandait énormément, il avait ressorti ses doigts trempés de mon foutre les avait léchés avec délice et il me chuchota à l’oreille :
« Petite salope, je vais te mettre ma queue… ! »
A ces mots, je commençais à frotter doucement son énorme bite. Je l ‘attrapais avec la main pour la masturber lentement. Mes yeux s’écarquillèrent de stupéfaction, le monstrueux phallus s’était encore élargi. Je continuais à le branler lentement, et je me penchais en avant pour prendre sa queue dans ma bouche.
Il enfonça sa bite dure et tendue dans ma cavité buccale douce et pulpeuse, je l’avalais et ma langue s’agita autour de ce qui ressemblait à un champignon géant, puis je commençais à sucer toute la longueur.
J’étais obsédée par ce sexe monstrueux et je ne pouvais pas arrêter ma fellation, je n’entendais pas les commentaires des deux autres hommes.
J’avais un désir profond de vouloir le faire éjaculer dans ma bouche, mais cette fois, je voulais que ce soit différent de ce que je lui avais fait par le passé. Je caressais les couilles géantes de Ludo, les soulevant, les soupesant en soupirant de convoitise, elles étaient comme des outres géantes remplies de sperme bouillonnant, destiné à moi toute seule
« Je ne peux pas croire à quel point ta bite a atteint ce diamètre phénoménal et elle devient encore plus grande… ! »
J’ouvris la bouche aussi large que possible. Je devais insister pour avaler l’énorme mandrin dans ma gorge. J’arrivais à la base lorsque je pu déguster le bouillonnement du liquide pré-éjaculatoire qui commençait à s’écouler régulièrement de la pointe de son gland évasé. Je sortais son membre et posant mes lèvres sur son méat aspirais le liquide séminal, il trembla de satisfaction.
Il poussa vers le bas ma tête, en appuyant derrière. Il sentit que je le suçais comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Il haletait à perdre l’esprit… Il avait une énorme envie d’éjaculer… mais il se retenait.
« Trixie, c’est ce qui arrive à une grosse queue quand elle est prête à aller s’enfoncer à l’intérieur d’une jolie chatte comme le tienne… »
Ludo m’attrapa, autour de la taille et me hissa sans effort sur le lit. Je posais le dos sur le matelas et regardais son énorme et gigantesque bite lancinante comme si j’étais en transe. Il m’embrassa, sa langue s’insinua dans ma bouche, son corps nu et velu se frottait sur mes seins, il m’embrassa avec passion me clouant sur le dos.
Nerveusement, j’ai accepté son baiser submergée par le désir. Il épousait mon corps, frottant son énorme bâton contre mon ventre et mes seins.
Je me dégageais et m’assis, je repliais mes jambes ensembles, comme pour me protéger, je le poussais en arrière, pour l’énerver un peu, son pieu était monstrueux
« Non ! Tu ne peux pas me baiser ainsi !! Je ne veux pas tomber enceinte… Je viens de me rappeler que je n’ai pas pris ma pilule… et tu vas éjaculer dans ma chatte.»
Cela réussit, il grimaça de mécontentement il me recoucha et essaya de pousser sa monstrueuse bite entre les plis de ma chatte, je m’assis à nouveau et je renforçais ma position de départ, comme pour le faire entrer dans un  état second.
Il me fusilla du regard, se rapprocha de mon visage et en me regardant dans les yeux, il me poussa sur le dos, je m’étalais sur le lit.
Il posa ses mains calleuses à hauteur des attaches de mon porte-jarretelles et écarta fermement mes jambes, je cédais.
«Pour l’instant, je ne vais mettre que mon gland, juste le bout, nous allons voir ce que nous pouvons te faire ressentir avec mon gros bout dans ta douce chatte, je suis sûr que tu vas adorer, tu vas en redemander…. »
Je retins un soupir de désir et regardais à nouveau avec envie son énorme queue gorgée de sang et palpitante comme douée d’une vie propre, s’approcher de ma chatte trempée qui ne demandait qu’a l’accueillir.
Une partie de moi désirait cette pénétration, mon corps me faisait savoir qu’il en avait envie, mais dans mon cerveau une autre partie de moi refusait cet accouplement avec cet être bestial, et primaire, à la propreté toute relative, tout le contraire d’un apollon, il était vraiment repoussant… Mais c’est mon corps qui prit le dessus… Je ne pensais plus à Maxime.
Ludo se jeta sur moi et enfila rudement sa très grosse queue entre les lèvres de ma chatte, il continua à forcer son chemin dans mon jeune vagin humide, je contractais mes muscles vaginaux pour profiter de cette pénétration ardente.
Il attrapa ma taille au-dessus de mon porte-jarretelles et tira mon corps vers le sien, son gland épanoui en corolle força le passage, je me mordis les lèvres pour ne pas crier de volupté.
Ensuite, je criai de plaisir lorsque je sentis la délicieuse brûlure se propager le long de mon vagin.
Il écarta mes jambes encore plus et son gland monstrueux glissa à l’intérieur de ma chatte humide et trempée. Maladroitement, j’essayais avec mon bassin de suivre ses pénétrations, mais ensuite pressées et écartées par la dure corolle mes parois vaginales se contractaient et se relâchaient comme pour aspirer le piston, voulant qu’il aille plus profond. Je poussais un énorme gémissement de plaisir. J’avais oublié sa laideur… il n’était plus qu’un sexe merveilleux.
Ludo laissa échapper un grognement puissant et plongea son phallus géant et encore plus profond en moi, ne s’arrêtant que lorsqu’il eut rentré 15 centimètres dans ma chatte écartelée et palpitante.
Je recommençais à crier mon plaisir, lorsqu’il commença de rapides va et vient, la dureté et la largeur de sa queue la faisait entrer avec puissance dans ma chatte. Il sentait maintenant mon acceptation totale et le resserrement étroit de mon vagin autour de sa longue bite géante, semblait satisfaire son arbre veiné palpitant comme jamais…
Il me regarda et sourit comme un démon, il glissa ses bras sous mon dos et saisit mes épaules, me positionna de sorte qu’il puisse tirer mon corps vers lui et enfoncer la totalité de son membre démesuré au plus profond de moi.
Maintenant, je hoquetais de plaisir, mon sexe était en feu. Il me chevauchait, enfonçant en moi, sa bite démesurée avec une rage lubrique.
D’un coup, il me pénétra plus violemment, plus je criais et plus il aimait poignarder la fente de ma chatte ruisselante et chaude avec sa perche géante.
Il me fouillait de plus en plus fort, il plongeait sans discontinuer sa bite démesurée en moi, mes cris finissaient en gémissements et gloussements de plaisir et je rejetais ma tête en arrière retenant des larmes de joie.
Ludo me baisait sur un rythme soutenu, mais régulier et mes cris de ravissement, intenses et profonds se transformèrent en gémissements de plaisir mélangés à une douleur lancinante et sourde procurée par la grosseur de sa queue qui écartelait mes parois vaginales.
Je sentais la bite monstrueuse de grosseur racler au plus profond de mon vagin et je me suis mis à crier de plaisir à nouveau.
Il commença à me baiser sauvagement, comme un a****l, mes seins rebondissaient, mes mamelons en érection totale, frottaient contre les pectoraux graisseux et velus de Ludo. Je m’accrochais à lui et j’ entourais mes bras et mes jambes autour de lui.
Ses coups de boutoir étaient un peu douloureux, mais je me sentais si bien, ma tête tournait alors qu’une lancinante vague de plaisir commençait à sourdre à l’intérieur de mes entrailles.
Il avait entré la presque totalité de sa queue géante en moi. Il forçait pour enfoncer en entier les derniers centimètres de sa queue, ma chatte était ouverte au maximum.
Mon corps commença à trembler, mes seins se durcirent, je sentais qu’un puissant orgasme était en train de naître au tréfonds de moi, il déferla :
« ohh, ohh, s’il te plaît vas plus lentement, oui plus profond … oh chéri … Je jouiiiiii … oui plus profond… Pénètre-moi doucement…. Ouuuiiiiiii !!!!! Ta bite est une pure merveille… ooouuuiii !!!! Ejacule, éjacule… éjacule au fond de ma chatte ! »
Pendant de longues minutes Ludo me tint enlacé étroitement, sa bite bien enfoncée pour bien laisser mon foutre couler sur ses grosses couilles velues, il m’ embrassa passionnément.
Alors je sentis dans ma chatte une éjaculation conséquente et profonde qui coula à travers moi, la bite de Ludo se déversait avec de grands spasmes.
Son sperme chaud coulait à l’intérieur de ma féminité béante, il haletait et gémissait à chaque fois que ses couilles frappaient mon cul.
Sa queue était encore dure à l’intérieur de ma chatte, et il commença à frotter ses couilles contre mes fesses dures et poussa sa bite aussi profondément qu’il le put en moi. Puis il bascula sur le dos me mettant à califourchon sur ses cuisses. Il ne bougeait plus semblant récupérer. J’essayais de récupérer en respirant lentement, je réalisais qu’il ne fallait pas qu’il me prenne pour sa putain de service !! Je me secouais, Ludo était couché sur le lit caressant ma poitrine et je sentais sa grosse bite encore à moitié et dure, poussant fort entre mes jambes et frôlant à nouveau mon ventre au-dessus de mon porte-jarretelles. Je me suis senti confuse et un sentiment de honte m’envahit. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi et comment je pouvais laisser ce gros porc, laid comme un pou, profiter de moi devant Maxime! Mais je reconnaissais qu’il m’avait donné énormément de plaisir les deux fois qu’il m’avait baisé… Je pensais que j’étais une vraie petite salope, accroc aux énormes bites… Tandis que ces pensées traversaient mon esprit, je regardais la bite de Ludo à nouveau dure comme du bois, venir flageller mes seins.
« Putain, Trixie, tu es vraiment faite pour ma grosse queue… »
Il remit ça en me l’enfilant à nouveau dans la chatte.
Maxime complètement nu s’approcha du lit, il se masturbait, il calottait et décalottait sa queue qui avait atteint une érection maximale. Je le regardais d’un petit air contrit, comme pour me faire pardonner d’avoir tant joui avec le gros Ludo.
« Suce mon gland petite Salope, je vais te sodomiser… Je ne croyais pas que ce porc allait te faire autant jouir…»
Je m’appliquais à lui obéir, Ludo lui avait repris le malaxage de mes seins, mes mamelons commençaient à me faire mal à force d’être triturés, mais je ne détestais pas cette légère douleur qui les tenait en érection permanente.
Maxime passa derrière moi et se mit à genoux sur le lit, il me fit pencher en avant, Ludo en profita pour sucer mes tétons, comme s’il voulait en tirer du lait.
La queue de Maxime se positionna a l’entrée de mon anus et il poussa lentement, mon ampoule rectale ne résista pas et son gland entra dans mon petit trou. Il me connaissait, il savait que j’appréciais les pénétrations lentes, avec beaucoup de va et vient. Il savait aussi que j’acceptais dans mes entrailles la totalité de sa queue, alors il prenait son temps pour me faire savourer chaque centimètre qui entrait en moi.
Avec ces deux énormes bites en moi, Ludo bougeait lui aussi doucement dans mon vagin, je m’envolais vers le paradis de la luxure. Les deux hommes me besognèrent pendant six ou sept minutes.
« Dis, Maxime , je ne pourrais pas la sodomiser… Elle a l’air d’aimer ça !!
– Bien sûr Monsieur, c’est vous l’invité… répondit Max avec un air dédaigneux.»
Maxime lui avait répondu poliment, mais d’un air contrit avec un peu d’agacement, il lui laissa la place. Le gros fermier, mit sa bite au ras de mon cul, la pointe de son gland y pénétrant légèrement.
« Allez assieds toi dessus, et tu ne t’arrêteras que lorsque tu sentiras mes poils te chatouiller les fesses, puis tu me chevaucheras toute seule, tu m’as épuisé tout à l’heure ! »
Je lui obéis à la lettre, j’entendais Maxime soupirer de déception.
« Maxime , dit le père de Ludo, vous devriez, en profiter aussi, Trixie doit pouvoir accueillir deux bites, essayez, j’adorerai voir cela !! »
Maxime remonta sur le lit se mit à genoux faisant passer mes jambes sur ses cuisses, Ludo les mains sur mes hanches à hauteur de mon porte-jarretelles bloquait mon bassin, puis une fois qu’il sentit le gland de Maxime se positionner sur sa bite à l’entrée de mon trou intime, il m’attrapa sous les cuisses et écarta le plus possible mes jambes. Maxime s’aidant d’une main poussa lentement. Je sentais petit à petit son gland glisser au dessus de la bite de Ludo. J’étais excitée, mes sphincters étaient détendus juste pour permettre cette énorme intrusion. Il cracha sur son gland, passa deux doigts dans ma chatte pour récupérer du sperme gluant, qu’il badigeonna sur la tête de sa bite pour bien la lubrifier. Maxime procédait lentement, attentif aux expressions de mon visage, il ne voulait pas me faire mal, sitôt que j’ouvrais la bouche, retenant ma respiration, il stoppait sa progression. Il était arrivé à entrer les deux tiers de sa queue, il se retira de 10 cm, puis d’un petit coup de rein sec, il les remit en place, profitant de gagner un peu plus de profondeur, je hoquetais de plaisir. Il recommença l’opération plusieurs fois, Ludo lui pour l’instant ne bougeait pas.
Maxime voyant que j’acceptais doucement les deux énormes membres, accéléra sa cadence de pénétration, sa bite était presque entièrement entrée.
Ludo l’avait compris et lui aussi commença a faire des va et vient dans mon conduit anal, démesurément distendu.
Ma bouche était grande ouverte, et je cherchais frénétiquement de l’air, submergée par les puissantes sensations de plaisir, d’avoir deux bites monstrueuses enfoncées profondément dans mon cul.
J’enfouis mon visage dans les poils de la poitrine de Ludo, après quelques minutes de baise anale profonde, je commençais à gémir comme une petite chienne.
Je hurlais avec force, quand Ludo accéléra ses pénétrations. Il me sodomisait plus férocement, je pouvais sentir tous les cm de sa bite qui entraient en moi, mes parois anales devenaient plus sensibles.
Maxime, attrapa mes fesses et les écarta, il appela le vieux :
« Venez voir Monsieur, vous aurez un point de vue magnifique, sur son cul !! Je crois que ne vais pas tarder à éjaculer. Dois je le faire à l’intérieur, ou voulez vous voir gicler mon sperme dans sa raie ?
– Moi aussi je vais jouir, Papa fait moi passer le petit verre… »
Maxime attrapa le verre à liqueur et le tendit à Ludo, celui-ci avec dextérité y déversa sa semence, tandis que Maxime avec de sourds grognements, commença à éjaculer son sperme tiède dans la raie de mes fesses.
« Non, non dit le gros Ludo, dans le verre, dans le verre »
Il réussi a récupérer la presque totalité du sperme dans le petit récipient.
Le vieux fermier lui se masturbait vigoureusement, le spectacle l’avait entièrement comblé et assouvi ses fantasmes, il était au bord de l’éjaculation.
« Attend Papa, mélange ton sperme au notre dans le petit verre…
– Oui, mais pourquoi ? »
Dit le vieux en s’exécutant. Le verre était plein du sperme de son fils et de celui de Maxime .
« Trixie, approche. Ouvre la bouche, penche la tête en arrière, tire la langue… »
Le gros Ludo versa avec dévotion par petites rasades, le mélange de spermes translucides sur ma langue…
« Allez avale…. Tu aimes… Allez montre nous que tu adores… »
J’obtempérais, et déglutis le cocktail de sperme…
Une fois que le fermier et son fils furent partis, Maxime m’enlaça tendrement.
« Je te remercie vraiment, c’est une super idée que tu as eu là, J’ai adoré te voir baiser avec ces deux monstres hirsutes ! Et tu es une super comédiennes, tu leur as fait croire qu’ils te faisait jouir…c’était très convaincant…
– Euhhhh, ce n’était pas du cinéma… ils m’ont vraiment fait jouir… je sais je suis un vrai Salope…lui répondis-je en rougissant jusqu’à la racine de mes cheveux…

A suivre…

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