Ce soir c’est le grand soir. Elle me présente enfin à sa famille. Mr et Mme de La Taille, héritiers d’une fortune issue du XIXème siècle. Il me faudra donc être impeccable pour pénétrer le domaine familial. Elle m’a même demandé de me raser. Une éternité que je n’ai plus de rasoir. Adieu ma barbe, à plus.
J’essuie la buée du miroir et je la devine derrière la paroi de la douche. Un corps fin, à la peau tannée se dessine. Elle me donne envie. Je la rejoins; elle me fait face, se rapproche Mon sexe en érection vient frotter le haut de sa cuisse. Quelle sensation divine!! L’eau chaude coule sur nos deux corps nus. Elle s’empare du savon et me frotte le dos. Je me tourne; ses mains m’encerclent, me savonnent. Des bulles viennent perler sur ma poitrine velue. Je sens ses seins dans mon dos. Ses tétons excités par le ruissellement et le contact avec ma peau se sont durcis. Ils pointent et me le font savoir. Je me retourne et les prends à pleine main. Ma bouche vient avaler le gauche. Ma langue roule autour. Je suce, je lèche, j’avale, j’aspire. Un petit goût de fruit, la pomme verte, c’est son gel douche. J’ai alors l’envie de voir si sa chatte est aussi fraîche et parfumée. Je me baisse et colle mon nez dans sa fente. Je sors la langue et lèche doucement.; elle trouve son chemin, ses lèvres s’écartent délicatement.
« non, non, on va être en retard »
Entre l’eau, le savon et son plaisir humide, je ne sais plus ce que ma bouche recueille mais c’est délicieux, et, c’est donc dans un soupir de contentement que je stoppe. On se rince mutuellement et chacun son tour, on sort de la douche.
Je suis déjà habillé, engoncé dans cette chemise blanche quand elle sort de la salle de bain. Seule une serviette enturbannée sur ses cheveux la couvre. Ses petits seins me narguent dans la chaude lumière de la chambre. Elle regarde sa robe étalée sur le lit. Je l’ai déjà vu la porter et mon dieu qu’elle est belle avec, elle est faite pour elle. On croirait presque une seconde peau. Noire, scintillante et fendue sur la cuisse gauche, deux fines bretelles pour à peine zébrer ses fines épaules.
En riant je lui dis qu’elle me donne encore envie, et me répond qu’on n’est pas en avance. J’acquiesce pour la dédouaner.
Nous ne sommes plus très loin du domaine. Le col de cette chemise est un enfer pour moi et ce damné pantalon n’est pas mieux. Qu’il est loin mon blue jeans. Elle voit mon malaise et me remercie de mes efforts et me susurre de ne pas angoisser.
« ils vont t’apprécier »
Au portail, elle sort, nous annonce à l’interphone. La porte s’ouvre d’elle-même, lentement. Une longue allée bordée d’arbres millénaires devant nous. A peine avons nous franchi l’entrée du parc qu’elle me fait arrêter la voiture.
«ça va te donner un peu de courage »
Elle pose sa main sur mon entrejambe, elle me caresse doucement et fait glisser le zip de mon pantalon. Je suis déjà en semi érection, sa main se faufile sous le tissu et se crispe sur mon sexe. Un ou deux petits coups de va et vient et je suis raide, au bord de l’explosion. Tout en se baissant, elle écarte ses cheveux derrière son épaule. Ses intentions sont claires. Sa bouche se pose sur mon gland. Un petit baiser, un petit coup de langue et elle me suce pour de bon. Cette fellation inattendue est un délice. J’ai l’impression, tellement je me sens bien, que cela dure une éternité mais quelques instants seulement viennent de s’écouler. A penser à mon introduction auprès de ses parents dans la minute qui va suivre, je suis un peu perturbé. Je suis sûr qu’ils vont s’apercevoir de quelque chose. Elle me rassure en me déposant un doux baiser sur l’oreille.
Son père est déjà au bas de l’escalier et veut savoir pourquoi nous avons mis si longtemps à arriver. Elle prétexte une soi disante panne. Il dévisage alors ma voiture, je me sens tout petit et penaud sous son œil inquisiteur. Je le salue; sa poigne est ferme et virile.
Et les chaises de la salle à manger, si lourdes et énormes, ne sont pas là pour me réconforter. Seul son pied, qui vient régulièrement se frotter à ma jambe me réchauffe le cœur par cette glaciale soirée.
Une fois dans notre chambre, enfin tous les deux, seuls, elle me félicite. Son père ne m’ayant pas proposé le cognac et le cigare, je suis accepté.
« sinon tu aurais eu le coup de grâce au petit salon »
Je suis soulagé, je quitte vite fait ces vêtements qui m’oppressent depuis quatre longues heures. Sa robe glisse si vite sur sa poitrine pour venir mourir sur ses hanches. Elle libère ses cheveux, alors je la saisis par la taille et la couche sur le lit, je la couvre de baisers. Elle glousse, ses seins secoués comme par de doux hoquets. Je fais rouler sa robe pour lui enlever, elle se soulève; le tissu glisse sur ses fesses blanches. Elle me révèle sa fine toison pubienne que je je la pénètre hardiment, mon sexe en elle, je ressens la moiteur de sa chatte. Je me penche vers elle et embrasse à pleine bouche. Frénétiquement nous faisons l’amour sur ce lit ancestrale et les draps de soie nm’empresse d’embrasser goulûment Elle rit de plus belle, la pression est retombée. Excité au plus haut point, ous font glisser inexorablement vers le sol. Hilares, notre étreinte n’en est que plus torride, elle gît sur le ventre les jambes écartées, et moi je la domine, la prenant sauvagement par derrière, mon sexe glisse en elle aisément. Je suis au bord de la rupture. Dans un râle contenu et étouffé je jouis en elle. Elle referme ses cuisses, se tourne vers moi, et avec un regard malicieux me dit qu’avec un peu de chance dans neuf mois il y aura un nouvel héritier dans cette maison…
tonight is the night. she will finally introduce me to her family. Mr and Mrs de La Taille, heirs of a fortune from the 19th century. i will have to be smart to enter the family domain. she even asked me to shave my beard. an eternity i don’t have a razor at home. farwell to my beard then, see you later again….there’s some steam on the mirror i wipe out. and i can guess her on the shower. a thin body, with taned skin. desire is coming.
i join her under the water, we’re facing. she gets closer. my hard sex comes to touch her thigh. what a divine sensation!!! the hot water drops on our naked bodies. she grabs the soap and start rub my back with the soap. i turn, her hands are around me, still soaping me. bubbles on my hairy chest, i can feel her breasts on my back. her nipples are hard under the water and are geting even harder with the contact with my skin . they are so round and firm. so i face her again grab her tits and i swallow the left nipple…my tongue turn and turn around it, i suck, i lick, i swallow, hmm alittle flavour of green apple, her shower gel…i want to know if her pussy is also as fresh and perfumed. i get on my knees et put my nose between the thin lips. my tongue is reaching out and licks slowly, finding her way while the lips are spreading gently
« no no, we’re gonna be late »
between the water, the soap and her wetness i don’t know what my mouth is swallowing, but it’s o so delicious and in a whisper of contentment i stop licking her. we clean eachother and we get out of the shower.
i’m already dressed in a white shirt when she finally gets out the bathroom, with only a towel on her head . her little breasts are mocking me in the warm light of the bedroom and she stares at her dress on the bed, i have already seen her wearing it, and oh my god how beautiful she was!!!it has been made for her, like a second skin for her, black dress, shiny one, open onnthe left thigh, with two thin straps on the shoulders
laughing, i say i still want her now, but she argues once again we’re late
now, we’re not far from the family domain. what a hell is this shirt collar for me, and i hate my trousers, so far away are my bluejeans… she sees how bad i feel and thanks me for all the great efforts i did provide for now
« they’re gonna love you… »
at the door, she gets out the car and she announces us on the phone. the gate opens by itself, slowly, a long alley with old trees from ages, but we have just enter the doamin that she makes me stop the car.
« i’m gonna give you courage »
she puts her hand on my crutch, caresing me slowly, she opens the zip of my trousers, i’m already half hard, her hands search under the briefs and grab my sex, one or two move son it and i’m totally hard, close to explode, she bends to me she outs her hair away behind her shoulder. i can see clear in her mind. her mouth comes to my cockhead, she kisses it gently and starts to suck it deep. this unexpected blowjob is delightfull, i have the feeling it does last for hours but just a few seconds are down. i think to my soon and next introduction to her family and i feel a bit embarassed , i’m sure they will know for that, so she comforts me by blowing a kiss to my ear.
her father is already down stairs and wants to know what takes us all this time to come. she answers we had problems with the car. he looks at my car and i feel truely ashamed under his inquisitive eyes.i salute him, his fistfull is firm and manly.
the chairs around the diner table are so big and heavy that i still don’t feel good. only her foot coming to my leg time to time is warming me up in this cold evening…
in our room, at last, alone together she congratulates me. as her dad did not ask me to join him in the private office to smoke a cigar and have a brandy i’m part of the family now
« otherwise he would have gave you the finale knockdown in his private room «
i’m breathing again, leaving my clothes quickly that i did endure for four long hours. her dres slips fastly on her body and come son her hips…she frees her hair so i grab her and lay her on the bed, covering her body with my kisses. she moans, her breasts moving as she’s having sweet hipcups…i roll down her dress to get it off, the stuff gets down her white buttocks…and offer me a nice view of her pube, her hairy pube that i kiss in a mouthfull of desire. she laughs, heat is down now , nomore under pressure i can feel.
i’m so excited that i get my sex inside her, i feel the wetness and moisture of her vagina. i face her and kiss her with a deep frenchkiss…passionately we’re making love on this ancient bed and with the silky sheets we are slipping to the floor. laughing together, our bodies are hot. she lays on her belly her legs wide open and i’m over her, takingher wildly from behind, my sex slips inside her so easily. i’m close to cum and in a muffled moan i come in her. she gets her thighs close, face me and with a c***dish look she says tome that probably in nine months there gonna be a new born in the family…
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