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Un imprévu au taf, la suite

Un imprévu au taf, la suite



Après avoir quitté son bureau j’ai passé le reste de l’après-midi à regarder l’heure tourner. Je sais que d’habitude elle quitte le bureau vers 18h, et par chance mon bureau est en face du sien.
A 17h50 je suis prêt à quitter le bureau, je guette la porte d’en face. Je la vois sortir avec son sac, j’attends quelques secondes histoire que mes collègues ne se rendent compte de rien, puis je quitte moi aussi le bureau.
Je ratt**** Caroline à la sortie de l’entreprise et on commence à discuter :
– Ha ça y est, toi aussi la journée est finie ! me dit-elle.
– Oui, l’après-midi m’a parue interminable.
Elle comprend à quoi je fais allusion forcément.
On marche jusqu’au parking, je guette le moindre geste que je pourrai prendre comme une avance de sa part pour reprendre où on en était. Mais rien. Elle continue à me faire la conversation donc je l’accompagne jusqu’à sa voiture. Elle ouvre la portière passager et pose son sac sur le siège. J’en profite pour regarder ses longues jambes. Puis elle fait le tour tout en continuant de me parler de trucs sans grand intérêt. Arrivée côté chauffeur, elle s’assied sur son siège, laissant une jambe dehors, ce qui a pour effet de remonter sa robe. Je vois presque son sexe que je sais parfaitement lisse.
– Tu dis plus grand chose d’un coup, me dit-elle avec un petit rire.
– C’est que là j’ai plus trop envie de parler !
Je regarde autour, le parking est vide. Mais c’est une heure où beaucoup de gens débauchent, donc on risque d’être dérangé rapidement. Mais bon…je m’accroupis devant elle, je vois qu’elle n’a pas remis son string. Je caresse son mollet, remonte le long de l’intérieur de sa cuisse. Elle ne dit rien. Je continue vers son sexe que je caresse du dos de la main. Ses lèvres sont ouvertes, je titille son clito. Elle a les yeux mi-clos. Toujours personne sur le parking, je caresse un peu plus, je masse son clito. Mon autre main se pose sur son autre jambe, j’approche mes lèvres et commence par poser des baisers le long de ses cuisses. Elle met sa main dans mes cheveux, j’approche de son sexe, l’embrasse, le lèche. Je suce et lèche son clito, sans plus me soucier du monde qui risque d’arriver sur le parking. J’enfonce un doigt dans sa chatte bien humide, elle fait pression sur ma tête pour que je lèche encore. Puis on entend des voix, quelqu’un arrive.
Je me relève et elle me propose de la suivre. Le temps d’aller à ma voiture, et je la suis quelques minutes. On travaille dans un petit village, je sais qu’elle y vit, donc je pensais qu’on allait chez elle. Mais finalement non, elle m’explique qu’elle préfère ne pas m’amener chez elle. Soit, ça ne me dérange pas. On est sur un parking que je connais bien, il n’y a personne et peu de chances qu’on soit dérangé.
Elle est appuyée contre son coffre, et relève petit à petit sa robe. Moi je n’ai qu’une envie, c’est son cul ! Je la retourne face au coffre, et elle comprend : elle se cambre et relève sa robe. J’ai son cul magnifique, que j’ai pu admirer des dizaines de fois dans des tenus toujours sexy, nu et offert devant moi. Je ne résiste pas plus longtemps, je sors ma queue déjà tendue. Je l’approche de son sexe, je frotte mon gland contre ses lèvres, sa mouille me lubrifiera largement assez pour son cul. Pendant ce temps mon pouce masse son anus, elle respire de plus en plus fort. Je fais pression avec mon pouce, j’ai pas besoin de bien insister pour qu’il rentre…
Je pose mes mains sur ses hanches, retenant sa robe, et dirige ma cul vers son cul. Ca rentre presque sans forcer. Je suis tellement excité que j’y vais comme un sauvage. J’encule Caroline sur un parking. Je suis aux anges, je la pilonne sans aucune retenue, encouragé par ses gémissements et ses « vas-y », « encule moi ».
Je sens que je vais pas tarder à cracher, je veux juter au fond de son cul. Elle sent que je vais venir, elle fait pression et tortille du cul pendant que continue de l’enculer en massant son clito.
Je crache finalement tout mon sperme dans un puissant coup de rein, et finit de me vider sur son joli petit cul.

Après l’adrénaline, on reprend chacun notre souffle, elle remet sa robe en place et me remercie. Je ne sais pas trop comment réagir, j’ai l’impression de l’avoir utilisée comme un vide-couilles, mais elle a l’air d’avoir aimé ça.

On s’est quitté sur le parking, j’ai quand même vérifié que personne nous ait vu, mais aucune certitude. Le lendemain je l’ai croisée au bureau, un simple bonjour, nous n’étions pas seuls et de toutes façons, il faut pas que nos rapports changent au boulot !
J’espère avoir à nouveau l’occasion de me retrouver seul avec elle.

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