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Deux ouvriers consencieux

Deux ouvriers consencieux



Alors que nous venions d’acheter une maison à restaurer en pleine campagne, nous avons fait appel à des ouvriers pour nous aider dans ces travaux. Comme je ne travaillais pas à ce moment là, je pouvais surveiller l’avancée des travaux.
C’est lété et il fait chaud. Je décide donc de prendre le soleil à l’abri des regards sur mon terrain. J’installe un transat sur la pelouse, me met nue avec sous la main un peignoir au cas ou, et m’allonge pour profiter du soleil qui darde.

Pendant ce temps, j’entends les ouvrier qui bossent dans la maison. Tant que j’entends du bruit c’est qu’ils ne sont pas à me mater.
Il fait si chaud que lesouvriers travaillent en short.

J’arrive à deviner leurs conversations.
«  On se croirait dans un sauna dans cette baraque ! »
« Oui t’a raison même avec les fenêtres ouvertes c’est une étuve ! »
Alors qu’il se penche à la fenêtre pour faire une pause, l’un d’eux s’écrit :
« He ! Viens voir ça ! »
« Qu’est-ce qu’il y a? »
« Viens mater la proprio j’te dit! Elle est à poil !»
Quand je les entends, j’ai le réflexe de vouloir me couvrir. Et puis non, tout compte fait, je vais jouer les salopes et fait celle qui n’a rien entendu. Je me retourne même en me cambrant pour bien les allumer.

Son copain se précipite à la fenêtre et me découvre à entrain de me retourner laissant à leurs regards avides mon intimité féminine.

Il s’exclame clairement :
« La salooope… ! Elle est bonne. J’me la f’rais bien ! »
Son collègue reprend :
« Ouais, même super bonne cette pute ! »
« Parlons plus bas ! Si elle nous entend, elle va se rhabiller. »
« T’as raison, on va pouvoir continuer à la mater cette grosse salope ! »

De les entendre parler de moi dans ces termes, j’en ai des fourmillement dans le bas ventre et je sens mon corps réagir agréablement. Je me dis :
« Il ont raison. Je suis vriment une salope de me laisser mater ainsi et de mouiller à les entendre parler de moi comme une pute à sauter ! »
Puis, sans penser aux ouvriers, je me laisse aller et me caresse le corps, les seins, le sexe. Les mecs n’en perdent pas une goutte et je suis certaine que de me voir me caresser, leurs sexes doivent être au garde à vous.

Le plus âgé dit à son copain :
« Elle est peut-être bandante cette salope mais il faut qu’on se remette au taf ! »
«  Oui, t’as raison mais je bade comme un âne ! »
Ils retournent malgré tout au boulot, leurs sexes encore en érection. Je suis presque déçu qu’il se remettent au travail. Il fait vraiment chaud. J’enfile mon peignoir de bain et vais me prendre une bière blanche citron dans le frigo en me demandant :
« Que font mes ouvriers aprés m’avoir vu me caresser ? Ils ont du bander comme des vicelards , les salops ! »
Je décide d’aller les voir à l’étage. Je les surprends entrain de retourner à la fenêtre pour croyant pouvoir encore me mater. Les deux vicieux on le sexe à la main. Mais le black voit le transat vide.
« Merde elle est passée où cette pute ! »
D’un air faussement choquée, je leurs dit :
« Elle est derrière vous la pute !  Qu’est ce que vous faites la bite à la main à la fenêtre ? »
Les deux hommes sursautent et essaye de s’expliquer :
« C’est à dire, heu.. il fait si chaud… »
« On s’est…. Enfin on faisait une pause ! »
J’ai envie d’éclater de rire, mais essaye de rester sérieuse en leur disant :
« Ha oui et comme ça la bite à la main en me traitant de pute !? Vous vous foutez de moi ou quoi? Vous étiez en train de vous branler en me matant. »
A ce moment, les deux homme reprennent de la confiance et me disent :
« Oui… Bon… C’est vrai.De vous voir à poil entrain de vous masturber ça nous a fait bander. Quoi de plus naturel en fait de bander devant une femme qui s’exhibe comme une salope ! »
Gardant mon sérieux, je leur ordonne :
« J’vous paye pas à me mater alors reprennez le travail et plus vite que ça ! J’vais rester à vous surveiller ! »
Alors que les deux hommes remballent leur engin, je leurs did :
« Laissez vos truc dehors ! Moi aussi je vais mater ! »

En buvant ma bière, mon peignoir s’ouvre, alors que je m’assoie dans un fauteil au coin de la pièce.

Les deux ouvriers ont bien du mal à bosser et n’arrêtent pas de me mater furtivement. Je profite de leurs sexes sont gonflés, mais ils n’osent se masturber. Très coquine, je leur dis :
«  Vous m’avez regardé tout à l’heure, alors que j’étais en train de me caresser? »
«  Oui Madame et alors ! »
Je suis très excité et je leurs lance :
« Et alors ? Au lieu de me mater et de bander dans le vide ! Qu’es ce que vous attendez ? Je suis là ! »
Il n’en faut pas plus pour qu’ils se déchaînent sur moi.J’ai rapidement une queue dans la bouche et une autre dans la chatte. Ils me baisent vigoureusement et bien trop excités, ils jouissent me faisant bénéficier de leur sperme chaud. Je joui à mon tour en poussant de petits cri de plaisirs.

Satisfaite je remet mon peignoir et vais prendre une bonne douche en leurs disant :
« Merci messieurs. Maintenant au boulot ! »

En fin de soirée, je leurs propose de boire l’apéro. Ils acceptent bien sûr en espérant se taper la patronne.
« Alors, bien travaillé malgré tout? »
L’ancien répond :
« Ça avance bien que votre intervention nous a fait perdre du temps et de l’énergie ! »
L’autre rajoute :
«  Ouais, mais qu’est ce qu’on c’est bien éclaté ! »
Je leurs souris en leur disant :
« Avant l’apéro peut-être voulez-vous prendre une douche ? »
Les deux hommes se regardent avec un air de connivence et me répondent :
« Avec plaisir. Surtout si vous nous frottez le dos Madame ! »
Une foi de plus je joue la bourge coincé et leurs réponds :
«  Quoi? Dans vos rêves, il n’en est pas question. »
Ils me regardent en répondant :
«  Dites donc, vous étiez moins pointilleuse cet après-midi, quand on vous a sautée!Peut-être que vous souhaitez qu’on raconte à votre mari comment sa femme est une pute qui saute sur les queues de ses ouvrier ? »
Je fais l’offusquée en leurs laçant :
«  Quoi? Mais c’est vous qui…Et puis dites-lui ce que vous voulez, il ne vous croira pas ! »
L’ancien me rassure :
«  Allez, je ne disais pas ça pour vous contrarier. Soyez sympa, venez avec nous sous la douche. »
«  Après tout, pourquoi pas. Allons-y Messieurs ! »
Nous nous mettons nus et entrons sous la douche. Le savonnage tourne rapidement à la masturbation et aux caresses.

Ils me souléve et m’enfilent par la chatte et le cul. Je pousse un long gémissement de plaisir et savoure pleinement d’être embrochée de la sorte.Ils me souléve et me font redescendre en rythme sur leurs membre bien dure et tendu. C’est vraiment trop bon. Mes seins à chaque mouvement se frotte sur le tors de l’ancien. Les sensations sont extraordinaires.

Au moment d’éjaculer, il ressortent de mes fourreaux et naturellement, je me met à genoux pour recueillir leurs semences. Quand je reçoit leurs premier jet chaud sur mon visage et mes seins, je me met à jouir.

Je suce ensuite leurs queues ramollissantes pour déguster le mélange de nos sécrétions sexuelles et leurs dit :
« Huum que c’est bon. Je vous remercie à nouveau pour ce petit plaisir. Maintenant allons boire un apéro ! »

« C’est nous qui vous remercion Madame. Vous êtes une sacé salope. Une vraie chienne en chaleur ! »
« Merci Messieurs ! »
Nous ne nous rhabillons pas et descendons boire notre apéro dans la tenue d’Eve et d’Adam. Les deux hommes ne peuvent détache leurs yeux de mes seins tout en discutant des travaux et de banalités. Les deux garçons ne perdent rien du spectacle que je leur offre. Je fait le service et leurs reversent un deuxième verre. En les servant, ils me tripotent les fesses et le minou. Mes seins qui se balancent doucement les frôles délicieusement.

Il n’en faut pas beaucoup plus pour voir leurs sexe prendre des dimensions très exploitable. Comme si de rien n’était, je déguste mon verre en continuant à discuter. Insidieusement, je saisis une banae et me met à la manger d’une façon très équivoque.
Je me met à la lécher et la sucer comme s’il s’agissait d’une bite.

Ils posent leurs verres et me disent :
« Vous être vraiment une grosse salope ! Votre mari sait que vous faite la pute avec nous ? »
Sans leur répondre, je me lève, mets un pied sur sa chaise et introduit la banane dans mon vagin. Je fais quelques va-et-vient et le fruit se recouvre rapidement de ma cyprine abondante.

En les regardant, je leur demande :
« Ca vous dit de manger une banane ? »
Ils répondent en cœur sans attendre :
«  Oui avec plaisir ! »
L’autre me dit :
« Moi j’vais te faire gouter la mienne ! »
Aussitôt il me fourre sa queue dans la bouche.

Mais là, je ne sais ce qui me prend et je leurs dis :
« C’est bien beau mais vous me baisez, je vous suce, mais je voudrais bien voir comment vous sucez un mec ! »
Je m’écarte et en remettant la banane dans ma chatte m’en servant de gode, je dis au plus jeune:
« Suces le ! »
Ils ont un moment d’arret et le vieux lui dit :
« Allez c’est pour faire plaisir à Madame. On lui doit bien ça avec l’accuille qu’elle nous réserve ! »
Alors le jeune prend en bouche la queue de son collégue et se met à le sucer maladroitement.

Il suce son collègue du mieux qu’il peut. Il la lèche. Il la suce. Il l’enfonce,au plus profond de sa gorge. Je fais des commentaire approbateur :
« Bravo, tu fais une parfaite fellation… Et toi, viens m’enfiler pendant qu’il te suce ! »
Je m’empale sur la queue de l’ancien avec bonheur.

Le vieux éjacule dans la bouche de son ami et aussitôt, je l’embrasse à pleine bouche pour partager son sperme elors qu’il me gicle dans le vagin.

Il se rhabillent et repartent épuisés mais heureux. Une demie heure plus tard Alain rentre et je lui explique ma journée. Il est si excité qu’il me saute à même le sol en me ramonant sauvagement.

Au moment de jouir, il se termine dans ma bouche et j’avale sont sperme avec délectation. Après une journée aussi chargées, je suis crevée et je vais me coucher.

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