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Voyage d’étude au Laos

Voyage d’étude au Laos



Il y a quelques années j’avais été invité par un tour opérateur à un voyage d’étude au Laos. Nous n’étions pas nombreux, il y avait une représentante de la compagnie aérienne qui nous transportait, le patron du tour opérateur, le directeur d’une chaîne hôtelière, un expert de L’UNESCO et moi, cinq personnes en tout.

A l’accueil que nous avions eu et au traitement privilégié dont nous avions été gratifiés nul doute que nous étions considérés comme des VIP…
Les deux premières journées à Ventiane, la capitale, ont été employées à visiter quelques sites guère intéressants et en des rencontres de notables aux sourires de circonstances figés.

C’est à la fin du troisième jour, à Luang-Prabang que je vais vivre ce qui restera pour moi une expérience inoubliable.

Le directeur des services réceptifs, un laotien sans âge, d’une classe raffinée, réputé pour être très sélectif et ne pas montrer sa sympathie à tout le monde.
Laurence, la représentante d’Air France et moi avions eu l’heur de lui être sympathiques et ceci a eu sans doute une importance dans le déroulement des faits qui se passèrent ensuite.

Nous avons été conduits sur une espèce de grosse péniche en bois qui était amarrée dans une crique sur le fleuve Mékong.
Nous- nous sommes installés à genoux et c’est ainsi , dans cette position inconfortable que nous avons passé le début de soirée, dans une obscurité quasi totale ne sachant pas ce que nous mangions ,au demeurant fort goûteux , ni buvions dans de petites tasses de porcelaine.
Des danseuses faisaient tinter des clochettes et nouaient autour de nos poignets des rubans de coton.
Avant la fin du repas saoulés par la musique lancinante et par la boisson, trois de nos collègues se sont endormis comme des masses et nos hôtes les ont conduits dans des cabines.
Ne restaient plus que celui que nous avions nommé «le prince » à cause de son allure aristocratique, Laurence, moi et deux danseuses.
Supportions nous mieux la boisson que nos collègues ou avions nous eu un traitement de faveur ? …
Sans bruit, un homme est entré, s’est installé dans un coin et a préparé des pipes d’opium suivant le rite ancestral qu’il a distribuées à chacun d’entre nous.
« le prince » nous expliqua que c’est une tradition ancienne et qu’une pipe bien préparée ne fera pas de mal et qu’il fallait nous laisser aller en cette nuit particulière de cérémonie « BACI ».
Nous n’avions aucune raison de nous méfier et puis ce n’était pas pour me déplaire, je pris une pipe entre mes doigts, la portai à la bouche et aspirai une première bouffée, puis une seconde…
…Laurence fit de même.

Je repris conscience sans savoir si je l’avais réellement perdue. Des images se bousculaient en moi : les danseuses qui s’étaient dévêtues, Laurence qui s’était laissée dévêtir avec délectation, le coffret de bois précieux incrusté de jade, les trois olisbos à l’intérieur dans leur logement de soie rouge.

Le prince m’expliquait : «  la boisson de vos collègues contenait un somnifère léger mais qui mélangé à l’alcool de riz que nous fabriquons ici devient un anesthésique redoutable, mais sans danger. Ils ne se souviendront que de des danses et du repas.
Le verre de Laurence contenait une drogue de ma composition, subtile combinaison secrète dont la recette me vient de mes ancêtres, elle a pour effet d’être un antalgique puissant, d’annihiler la volonté et d’exacerber tous les sens et plus particulièrement le désir, la sensualité. Elle aussi ne se souviendra de rien.
Quant à vous, vous avez été au même régime que moi : un stimulant qui va vous garder éveillé et qui fixera dans votre mémoire ce que vous allez voir. »

Laurence, nue, était allongée sur des tapis de soie épais, sa tête reposait confortablement appuyée sur des coussins. Sur ses lèvres flottait un sourire de plaisir.
C’était une belle femme mure aux formes épanouies, blonde avec des seins lourds mais fermes dont les globes, dans la position couchée s’étalaient sur torse. Son ventre plat finissait sur un mont de vénus bombé. Et, pour la première fois de ma vie je vis un sexe de femme entièrement épilé.
Dans la lueur des quelques bougies qui avaient été allumées son sexe ressemblait à un gros abricot, rien ne dépassait de sa fente intime.

Les deux danseuses étaient nues elles aussi, mais je n’arrivais pas à les différencier tant elles se ressemblaient, cheveux noirs longs dénoués qui tombaient sur les reins, petits seins en pomme dont les tétons pointaient vers le haut, taille et fesses androgynes, sexes recouverts d’un duvet noir et une toison pubienne aux poils drus mais limitée au mont de vénus. , Des jumelles sans doute tant elles étaient identiques.
Même leurs gestes précis étaient synchrones. Elles s’enduisaient le corps d’une espèce d’huile de couleur ambrée au parfum entêtant.
Quand elles furent toutes deux ointes, luisantes, elles commencèrent à masser Laurence avec cette huile. Leurs doigts agiles aux ongles longs manucurés et décorés se promenaient sur le corps de Laurence et semblaient suive une chorégraphie harmonieuse. Cependant, aucun espace du corps de Laurence n’était oublié, l’intérieur des cuisses, les lèvres du sexe, les seins, et même la rondelle ridée de l’anus.

Une des deux danseuses est venue chevaucher Laurence qui avait été couchée sur le ventre, elle s’est allongée sur elle tête-bêche et a commencé un mouvement de glissade, allant et venant sur le corps de Laurence, les poils de sa toison laissaient un sillage sur son corps à chaque passage du sexe de la danseuse qui semblait coulisser sur un rail le long de la colonne vertébrale.

L’autre danseuse avec des gestes minutieux retiraient les olisbos de leur logement et les montraient au « Prince ».
Celui-ci m’expliqua que ces objets étaient très anciens, ils appartenaient aux épouses d’une dynastie qui a longuement régné sur le Laos. Les épouses délaissées au profit des concubines avaient le droit d’assister aux ébats de leur époux par des ouvertures secrètes ; les olisbos étaient prévus pour le cas où elles auraient voulu se donner du plaisir.

Je me sentais très excité, et pourtant je n’avais aucune érection aucune envie si ce n’était la curiosité d’en voir davantage.
Mon hôte surpris mon regard sur un endroit précis de son individu : je voulais savoir s’il bandait ou pas, si le spectacle l’excitait ou non.
Il comprit au quart de tour et avant que je pose la question qui me brûlait les lèvres, me gratifia d’un sourire et me dit simplement « j’ai pris le même breuvage que vous, quand ses effets s’estomperont, nous serons prêts ».

Le premier olisbos était en ivoire, il n’était pas très gros et d’où j’étais et avec cette faible lumière je ne pus distinguer les riches incrustations et les motifs sculptés en relief sur « la hampe ».
Laurence avait été remise sur son dos à plat sur les tapis de soie.
Une des danseuses saisit l’olisbos comme un stylo et commença à le passer avec un mouvement de va et vient entre les lèvres de la vulve de Laurence qui au contact écarta davantage ses cuisses pour s’ouvrir…
Je ne saurais dire combien de temps dura ce manège ce va et vient lancinant régulier, jusqu’à ce que je vis Laurence se cambrer, soulever ses reins pour venir à la rencontre de l’olisbos que la jeune danseuse lui enfonça d’un seul coup au fond du vagin où il resta planté.

L’autre danseuse n’avait pas perdu son temps, retirée dans l’obscurité , elle « essayait » le second olisbos, une pièce en jade massif, lisse mais d’une taille impressionnante, glissant sur ses fesses, elle vint dans la lumière au moment où Laurence avait son premier orgasme. Elle tenait fermement l’olisbos de jade dans son poing fermé, la taille de l’objet ne permettait pas à ses doigts d’en faire le tour, elle accéléra son mouvement de pilon comme si elle masturbait un sexe d’homme, l’olisbos entrait et sortait du fourreau de chair à une vitesse folle jusqu’à ce qu’elle se tétanise et émette un râle rauque.

Laurence souriait toujours aux anges, elle avait mis une main sur son sexe dans lequel l’olisbos d’ivoire restait planté et masturbait son clitoris.

La danseuse qui s’était occupée de Laurence sortit le dernier olisbos de son logement. Il était encore plus gros que celui resté dans le vagin de sa sœur jumelle. Il avait la forme précise d’un sexe d’homme mais avait des dimensions hors normes.
Une pièce d’argent massif de trente centimètres de long et de huit centimètres de diamètre, monstrueux ! Une poignée était creusée à la base afin de pouvoir le saisir.
Méticuleusement elle le lubrifia avec l’huile ambrée contenu dans un flacon de verre décoré.
Sans un mot, elle s’approcha du « prince », elle lui ouvrit la braguette et sortit un sexe plus petit que la norme malgré une forte érection.

Je fus étonné et ma première réaction fut de regarder mon entrecuisse. Je bandais moi aussi très fort et soudainement un désir brûlait mes reins.

Les choses se sont mises en place, comme dans un scénario bien réglé, la danseuse s’empala sur l’énorme olisbos alors qu’elle administrait une fellation savante au « prince »
L’autre danseuse, la jumelle masturbait Laurence avec son olisbos qui suintait encore de ses propres sécrétions et m’invita à venir dans sa bouche.
J’ai encore en mémoire les bruits de succion, le clapotis des olisbos coulissant dans les fourreaux de chair. J’ai encore dans le nez les parfums mêlés de cet orient extrême, de ces filles épicées, de ces onguents et de l’opium.
Je reverrai toujours le visage heureux de Laurence quand dans une harmonie parfaite nous avons tous les quatre joui en même temps.

J’étais le seul à avoir eu le droit de me souvenir.

J’ai retrouvé Laurence, au matin, à l’hôtel, devant un solide petit déjeuner…

…Pour elle la soirée s’est arrêtée à la dernière gorgée du contenu da tasse de porcelaine.

C’était vachement bien cette cérémonie « BACI » me dit-elle en regardant ses poignets entourés de coton blanc.

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