En attendant que je puisse continuer à traduire la suite des récits postés ici, je vous propose une histoire tirée de mes archives dont l’auteur est un certain GERONIMO. Merci à cet auteur.
Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle sous contraintes de plusieurs femmes. Cette histoire peut choquer alors si vous n’aimez pas ce genre de récits, ne lisez pas. Je rappelle que cette histoire est fictive et les personnages imaginaires.
Mon mari est militaire. Officier dans un régiment de parachutistes, il est donc fréquemment absent. Il part souvent en opération extérieure et dans des pays à risques comme l’Afghanistan, le Kosovo ou la Bosnie.
Je m’appelle Patricia, j’ai 38 ans, je ne suis pas très grande, brune, plutôt jolie. Marc, mon mari, m’a fait 5 beaux enfants que j’élève seule la plupart du temps. Je vis en caserne dans la région parisienne.
Il y a une grande solidarité entre femmes de militaire quand l’une d’entre elle se retrouve seule pour de longs mois. Depuis deux mois, mon mari ainsi que plusieurs autres sont partis en mission nous laissant de nouveau seule. Je passe souvent l’après-midi avec d’autres femmes de militaire quand les enfants sont à l’école.
L’une d’entre elle, Béatrice, est la femme du commandant de la garnison : La cinquantaine épanouie, toujours tirée à quatre épingles, rivalisant d’élégance dans des tailleurs très chics. J’ai un peu honte de m’habiller qu’en pantalon ou avec de longues jupes et des chaussures à talons plats alors qu’elle ne met que des escarpins aux talons qui me paraissent démesurément grand ! Mais avec les enfants à m’occuper, il est vrai que je ne prends plus le temps de prendre soin de moi. Et puis pourquoi m’habiller plus sexy ? Pour plaire à qui ? Je n’ai qu’un seul homme dans ma vie, mon mari !
Un jour, la voiture de fonction du commandant rentre dans la cour, conduite d’une main de maître par David, le chauffeur du commandant. Celui-ci n’étant pas là, il doit s’agir de Béatrice. En effet, elle sort de la voiture que David s’empresse de lui ouvrir. Elle sort en dévoilant généreusement ses jambes gainées de nylon noir, la jupe remontée pratiquement jusqu’à l’aine. Le chauffeur se rince l’œil et regarde les cuisses de la femme du commandant. Je suis choquée de la voir se comporter de cette façon, elle pourrait faire attention quand même et mieux se conduire ! Mais enfin, ceci ne me regarde pas après tout.
Le soir même, je sors rapidement de chez moi, les enfants étant couchés, pour aller demander à une de mes voisines de bien vouloir me donner des œufs pour faire une omelette. Je traverse la cour sous le regard de plusieurs militaires qui me dévisagent, ce qui me fait rougir comme une première communiante.
Je passe devant le garage et j’entends un bruit. Je m’arrête net, tendant l’oreille. Un voleur ? Non pas possible. Je m’interroge. Dois-je prévenir la Sentinelle ? Le cœur battant la chamade dans ma poitrine, je m’approche du garage et entrouvre la porte. J’aperçois un homme debout, de dos. Je reconnais David. Il est face à Béatrice, toujours vêtue de son tailleur du matin.
– Alors ? Tu te décides ?
Béatrice, blanche, semble abattue. Que se passe-t-il donc ?
Elle ouvre la veste de son tailleur d’une main tremblante dévoilant sa généreuse poitrine qui déborde de son soutien-gorge. David s’approche et lui baisse les balconnets. Les seins lourds de Béatrice le narguent, les pointes dardant fièrement.
David lui appuie sur la tête et elle s’agenouille devant lui. Je ne vois plus bien la scène maintenant, mais il n’est pas bien compliqué de comprendre qu’elle est en train de lui sortir son sexe pour lui faire une fellation.
Je reste interloquée. Je n’aurais jamais pensé que la femme du commandant pouvait se comporter de cette façon. Je n’entends plus que les halètements de David qui donne des coups de rein pour mieux s’enfoncer dans la bouche de Béatrice.
Puis, David la relève et la cambre sur le capot de la voiture de son mari. Il lui relève sa jupe dévoilant ses bas noirs et le porte-jarretelles. Son sexe, tendu, luisant dans l’obscurité est impressionnant par sa taille.
Je rougis en pensant que je suis en train de regarder cette scène honteuse. Mais je ne pars pas, je reste comme hypnotisée.
David embroche Béatrice d’un furieux coup de rein et celle-ci pousse un long gémissement quand elle sent la bite de David la pénétrer. Il commence à la bourrer frénétiquement, la baisant sauvagement en lui donnant des grands coups de rein. Béatrice, les cheveux en bataille, la bouche ouverte, le rouge aux joues, halète et secoue la tête dans tous les sens en balbutiant des mots sans suite :
– Oui. Plus loin. Plus fort.
Je ressens une douce chaleur dans mon bas-ventre. J’ai la gorge sèche. Je n’arrive pas à détacher mon regard de cette horrible scène qui est en train de se dérouler sous mes yeux. Je ne peux que regarder la bite de David qui entre et sort de la chatte de Béatrice qui gémit de plus en plus fort.
Sans m’en rendre compte, ma main descend à hauteur de mon bas ventre et commence à caresser mon mont de vénus.
Je suis vêtue d’une jupe longue que, après avoir hésité une fraction de seconde, je commence à relever. Je regarde autour de moi, terrorisée. Et si quelqu’un me voyait ? Je me caresse à travers mon collant couleur chair. Ma main se faufile dans mon collant et écarte mon string. Mes doigts impatients s’emparent de mon clitoris et le pincent, le tordent.
David a relevé Béatrice et l’a mise sur le capot, ses jambes relevées à la verticale, posées sur ses épaules. De nouveau, il la défonce à grands coups de rein. Il s’enfonce avec tellement de fougue qu’un des escarpins de Béatrice tombe par terre. Elle donne des coups de bassin comme pour mieux s’empaler sur la queue de l’homme qui la pistonne.
Je titille mon clitoris en me mordant les lèvres. Je donne inconsciemment des coups de bassin. Je gémis.
Et sans le savoir, Béatrice répond à mon gémissement en poussant un cri. Elle vient de jouir.
David continue de la baiser en lui demandant si elle aime se faire troncher comme une salope. Elle ne répond pas, ne poussant qu’un gémissement.
Une houle délicieuse traverse mon bas ventre. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler quand l’orgasme me terrasse. Les jambes flageolantes, je manque de tomber par terre.
David a sorti sa bite et se masturbe au-dessus du visage de la femme du commandant qui ouvre la bouche et sort sa langue. Il pousse un cri en déchargeant tout son sperme sur le visage de Béatrice. Elle reçoit sur son nez des filaments qui coulent jusque sur son menton. Honteuse, je laisse retomber ma jupe et fais demi-tour pour rentrer chez moi.
J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir après avoir été le témoin involontaire des débauches de la femme du commandant. Toute seule dans mon lit, je me suis masturbée plusieurs fois avant de sombrer dans un sommeil réparateur.
Le lendemain matin, je sors pour aller faire des courses en centre-ville quand je tombe sur Béatrice et son époux de commandant qui me saluent. Il est vraiment la caricature du militaire, raide comme la Justice, les cheveux coupés très courts, un regard froid, une allure martiale. Je discute avec eux parlant de tout et de rien. Pendant qu’il me parle, je me demande s’il est au courant que sa femme se fait troncher par son chauffeur ? J’intercepte plusieurs fois le regard inquiet de Béatrice posée sur moi. Un doute affreux me saisit. M’aurait-elle vu hier soir ?
Les enfants sont couchés et je suis devant la télé où je regarde « Qui veut gagner des Millions ? ». Jean-Pierre Foucault est en train de poser les premières questions du 1er palier (les plus faciles) quand la sonnette retentit. Je me lève pour aller ouvrir. Je n’ai pas peur, je vis avec des militaires. Il n’y a pas mieux comme protection.
Je suis étonnée de découvrir Béatrice et David. Celui-ci pousse Béatrice dans mon appartement et ils entrent sans vraiment me demander mon avis. Je suis suffoquée par autant de sans-gêne mais je ne dis rien, c’est quand même l’épouse du commandant.
Béatrice est habillée de façon curieuse. Elle porte un manteau de fourrure ce qui est surprenant, la température extérieure n’étant pas particulièrement fraiche ce soir.
Je suis vêtue d’un jogging et je m’en excuse auprès de mes « invités » de dernière minute. David me regarde et me lance :
– C’est vrai que ce n’est pas tellement sexy, vous pourriez vous habiller autrement, prenez exemple sur Madame la commandante.
Je reste stupéfaite devant autant d’aplomb. De quel droit un simple chauffeur se permet-il de me parler sur ce ton ? mais pour qui se prend-il ? Je regarde Béatrice qui ne dit pas un mot, baissant les yeux. David s’approche de moi :
– Tu t’es bien rincée l’œil hier soir, pas vrai ? T’as pris ton pied, ma salope ?
Mon visage s’empourpre et je sens mon cœur s’accélérer. Mon Dieu ! Il m’avait vu !
David sort des photos de sa poche, me les tendant avec un sourire ironique. Je faillis m’évanouir en me reconnaissant sur les clichés. On me voie nettement en train de me masturber. Qui a pu prendre ces photos ? Ce ne peut pas être David puisqu’il était trop occupé à ce moment-là, ni Béatrice. Comme s’il lisait dans mes pensées, David m’explique :
– C’est Bruno la sentinelle de garde hier soir qui t’as vu et a pris ces photos avec son téléphone portable. Bon elles ne sont pas de super qualités, mais on te reconnaît bien non ?
Je ne réponds pas. Oui on me reconnaît très bien même.
David s’approche de Béatrice et lui demande d’ouvrir son manteau de fourrure. Elle rougit violemment et me lance un regard apeuré. Elle s’exécute et écarte les pans de son manteau. Elle apparait uniquement vêtue d’un porte-jarretelle rouge avec des bas et des talons aiguilles rouges également. Je reste sans voix en découvrant la femme du commandant attifée de cette manière : Comme une pute.
– Tu vas venir avec nous, je vais te monter quelque chose de très intéressant.
Je proteste que je ne veux pas venir avec eux mais David me menace alors de montrer les photos à tous les trouffions de la caserne. J’imagine la réaction de mon mari s’il l’apprend. Je vais pour enfiler un anorak quand David m’arrête.
– Attends ! Tu vas te saper autrement. Tu n’as rien de plus sexy ?
Je suis contrainte de l’emmener dans ma chambre où il inspecte ma garde-robe. Il me sort un short que je ne mets que l’été et une paire de collant noir mais brillant satiné avec des escarpins à hauts talons que je n’ai dû mettre qu’une fois dans ma vie au cours d’une soirée.
Il me demande de rester seins nus comme Béatrice. J’enfile un imperméable. Je proteste une dernière fois que je ne peux partir en laissant mes enfants seules. David sort son téléphone et appelle quelqu’un.
Quelques minutes plus tard, une jeune fille en uniforme de soldat arrive. Je la connais de vue, elle vient d’être affectée dans cette caserne. Elle embrasse goulûment David sur la bouche. Ils sont donc amants. Elle me regarde et demande :
– C’est elle ta nouvelle recrue ?
Je reste interdite. Nouvelle recrue ? Il y en aurait d’autres ? Et recrue pourquoi faire ?
Elle s’approche de moi et écarte les pans de l’imperméable. Ses mains s’emparent de mes seins et commence à jouer avec. Les triturant, les malaxant, elle me tord les pointes et je pousse un petit cri.
David a demandé à l’épouse du commandant de s’agenouiller et elle s’active sur son pantalon pour lui sortir sa queue. Je subis les attouchements de cette jeune fille qui me semble aussi perverse que David. Elle me caresse partout sur le corps et je commence à être troublée. Sa main s’aventure dans ma chatte, elle y introduit deux doigts et les fait coulisser.
– Quelle cochonne ! Elle est déjà trempée.
J’ai l’impression de suffoquer. J’ouvre la bouche et je pousse une légère plainte. Les doigts me branlent sans s’arrêter, me pincent mon clitoris. Je donne des coups de rein involontaires. J’entends, comme dans un brouillard, les bruits de succions produits par la bouche de Béatrice qui pompe la bite de David avec application.
La jeune fille, qui s’appelle Audrey, baisse le pantalon de son uniforme ainsi que son string, me dévoilant une chatte rasée et bien lisse. Elle m’empoigne les cheveux et approche mon visage de sa vulve.
– Suce salope !
Subjuguée par l’autorité de cette jeune fille, j’obéis. Je sors ma langue et commence à lui lécher la chatte. Elle m’appuie fermement sur la nuque me contraignant à la lécher. Pendant ce temps, David décharge dans la bouche de la femme du commandant en lui ordonnant de tout avaler.
Audrey ne tarde pas à jouir me barbouillant le visage de sa mouille. David me relève et m’explique qu’Audrey va rester pour surveiller les enfants. Nous sortons et nous dirigeons vers la cantine où mangent tous les soldats.
Il est un peu plus de 21 heures, il n’y a donc plus personne qui mange à cette heure-là. Nous retrouvons le cuistot et quelques soldats, tous assez jeunes. J’ignore le nom de la plupart. Tous juste ai-je remarqué qu’ils dévisagent parfois les femmes des officiers avec envie.
David nous ordonne d’enlever nos manteaux et nous apparaissons dans nos tenues de putes. J’entends des cris étouffés et des protestations et je suis surpris de voir débarquer encadrées par deux autres trouffions, Marie-Dominique, la femme de l’adjudant-chef chargé de la formation des jeunes soldats et qui leur en fait baver régulièrement ainsi que Valérie, une jolie blonde, mère de 3 enfants, épouse d’un autre officier. Elles sont vêtues elle aussi de manière très provocante : Mini-jupes, bas, talons aiguilles et seins nus. Alors qu’habituellement, je ne les vois habillées que très sagement d’un pantalon et des chaussures plates. Quelle métamorphose !
Automatiquement, on nous positionne à quatre pattes sur le carrelage froid de la cantine devant les hommes. David m’explique que toutes ces femmes ont quelque chose à se reprocher. Quand leurs maris s’absentent et risquent leurs vies dans des pays en guerre, elles aguichent les jeunes recrues. David avec la complicité des autres leur a tendu un piège dans lequel elles sont toutes tombées. Succombant à l’appel des sirènes, ou plutôt de la luxure, elles ont trompé leurs maris. Prisent en photo ou filmées, elles n’ont plus d’autres choix que d’obéir.
Nous nous regardons toutes, effondrées. Les soldats ont tous sortis leurs queues et se masturbent. C’est terrifiant de penser que dorénavant quand je croiserai dans la caserne un de ces jeunes soldats, je devrais baisser le regard.
David sort une caméra et commence à filmer. Les 5 soldats s’approchent et, nous tirant par les cheveux, nous contraignent à avaler leurs bites. J’entends des gémissements étouffés, des petits cris de protestation. La bite que je suce est énorme et j’ai l’impression d’étouffer. Je m’applique en le pompant, lui suçant le gland.
Pendant que je suce cet homme, les soldats ont inventé un jeu extrêmement pervers. Pour se venger de l’adjudant-chef qui leur fait subir des exercices contraignants toute la journée, ils décident de faire de même avec sa femme. Marie-Dominique, à plat ventre, doit ramper sur le sol sous les quolibets des soldats. Puis on lui ordonne de faires des pompes et de courir dans le réfectoire. Avec des talons aiguilles ce n’est vraiment pas évident, et elle manque de tomber plusieurs fois.
Pendant ce temps, Béatrice, emmanchée jusqu’à la garde par un des soldats, se fait ramoner à grands coups de rein. Valérie, elle, se fait enculer, la bouche ouverte, de la bave coulant sur son menton. Le visage ravagé, elle subit les assauts de son enculeur qui la menace de la faire défoncer par son doberman la prochaine fois. Celui que je suce m’éjacule dans la bouche et je suis contrainte d’avaler son foutre. Aussitôt un autre le remplace et un second me pénètre par derrière me déchirant l’anus. Je pousse un hurlement étouffé par la bite que je suce.
Marie-Dominique, empalée sur une bite dressée et enculée par une autre se fait défoncer pendant qu’elle suce un autre soldat qui lui a enfoncé sa bite dans sa bouche. Elle pousse des gémissements.
Cela dura des heures. Nous fûmes toutes les trois humiliées et contraintes a toutes les dépravations de la part de ces soldats : Enculées, baisées, soumises à toutes leurs volontés. Et le tout filmé par David que je dus sucer à la fin de la séance mais qui nous arrosa toutes les quatre de sa semence.
Nous fûmes reconduites dans nos appartements respectifs, couvertes de sperme, les bas déchirés, Marie-Dominique titubante car un de ses talons s’est cassé lors de la 2ème séance d’exercice où elle a dû encore courir dans le réfectoire.
David nous a menacé de diffuser les films et les photos dans toute la caserne si nous en parlions à nos maris.
Régulièrement, je suis emmenée dans la cantine ou je retrouve Marie-Dominique, Valérie et la femme du commandant, Béatrice. Aucune d’entre nous n’en a parlé à son mari et ils ne se doutent de rien. Une nouvelle famille est arrivée dernièrement, la femme de l’officier, une aristocrate, mère de trois enfants, catholique pratiquante, excite beaucoup David. Il m’a demandé de l’aider à la piéger.
A suivre….
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