Bonjour, camarades lecteurs et belles amies lectrices. Je me nomme William. Pour vous
parler un peu de moi, je suis un garçon aux cheveux bruns coupés courts relevés avec
du gel et suis d’origine italo-russe. Je mesure environ 1,80m. et suis très attiré par
les filles d’Europe de l’Est. Dans les lignes que vous allez lire, je vous parlerai de
mes expériences vécues à Budapest, en Hongrie.
Tout a commencé lors d’un camp de vacances pour universitaires où j’étais allé avec un
ami. Un soir, avant de nous endormir, nous avions parlé des filles. Les questions que
traitaient nos discussions étaient: « Que penses-tu de cette fille » ou encore « Quel
genre de filles préfères-tu? ». Ce fut la réponse que je donnai à cette deuxième
question qui nous poussa à partir.
«Moi, j’adore les filles de l’Est» répondis-je. Mon ami, Frank, rétorqua:
«Ne dis pas de conneries, Will. Les Françaises sont les plus jolies. C’est bien
connu.»
«On parie? Si on partait en Hongrie pendant deux semaines? On verra lequel de nous
deux a raison.»
Frank accepta ma proposition et, à notre retour du camp, nous commençâmes à préparer
notre voyage, prévu pour les fêtes de Noël.
Nous partîmes le matin du 23 décembre vers 10h et arrivâmes à destination environ une
heure plus tard. Nous récupérâmes nos bagages à l’aéroport et nous dirigeâmes vers
notre hôtel. Arrivés à l’hôtel, Frank et moi défîmes nos bagages et planifiâmes notre
journée.
Heureusement pour nous, l’hôtel disposait de prospectus sur toutes les attractions
touristiques et clubs de la ville. Nous décidâmes de faire le tour de la ville en bus
et de faire un peu les boutiques de sport et, pourquoi pas, si on en trouve, des sex-
shop. Nous décidâmes de passer la soirée dans une discothèque située non loin de notre
hôtel. Notre expérience commençait déjà…
Frank et moi sortîmes de la chambre et nous rendîmes à l’arrêt où le bus touristique
attendait les touristes. Nous payâmes notre ticket et montâmes à bord du véhicule.
Après un petit quart d’heure d’attente, le bus démarra et notre visite de la ville
commença.
Frank et moi écoutions l’histoire de chaque monument historique de ce beau pays qu’est
la Hongrie. Pour ma part, en Hongrie, je me sentais un peu comme chez moi bien que je
n’y sois que depuis une heure à peine. Je me sentais proche des Hongrois par nos goûts
pour les filles (et pas seulement par le d****au) et notre irrépressible envie de
mater les belles jeunes filles de ce pays.
Lorsque nous eûmes fini notre tour de la ville, nous nous rendîmes dans un centre
commercial situé juste en face de l’arrêt où le bus nous avait déposés.
Nous entrâmes dans un magasin de sport et nous y offrîmes un maillot de l’équipe
nationale et un ballon de foot aux couleurs du pays. Nous ressortîmes et essayâmes de
trouver un panneau expliquant où se trouvait chaque boutique. Nous trouvâmes ce que
nous cherchions juste en face du magasin de sport et vîmes avec plaisir qu’un sex-shop
se trouvait à deux étages en-dessous de nous.
En entrant dans le sex-shop, nous fûmes surpris de l’aménagement du magasin. Des
petits cœurs et des sous-vêtements sexys étaient exposés. Pour nous, les petits cœurs
faisaient référence à la Saint-Valentin. Sans nous soucier davantage de ce détail,
nous nous dirigeâmes au rayon préservatifs. Nous en achetâmes chacun une broîte et
passâmes à la caisse. En payant nos articles, nous demandâmes à la vendeuse, en
anglais(nous ne pouvions communiquer autrement),pourquoi elle avait exposé ces petits
cœurs avec la lingerie.
«Ici, nous mélangeons tout. Amour et sexe.»
Elle emballa nos achats dans un sac plastique discret et nous la remerciâmes.
Constatant qu’il nous restait encore un peu de temps avant notre soirée, nous
décidâmes d’aller nous offrir un café dans un petit restaurant du centre avant de
retourner à l’hôtel nous préparer. Nous discutâmes de choses et d’autres, notamment
des filles que nous avions croisées dans le centre commercial. Nous convînmes qu’elles
étaient habillées un peu plus sexy que les filles de chez nous. Leurs manteaux de cuir
moulants à capuchon de fourrure leur allaient à ravir et soulignaient leurs formes
sculptées. Quant aux bas, elles étaient habillées de jeans foncés assortis à leurs
manteaux. Tout ça pour dire que c’était un vrai bonheur de voir des filles habillées
ainsi.
Après avoir tranquillement fini notre café et payé l’addition, nous retournâmes dans
notre chambre d’hôtel pour nous préparer.
Frank et moi revêtîmes un T-shirt blanc et passâmes nos vestes en cuir par-dessus. Mon
ami et moi nous mîmes un peu de gel dans les cheveux et nous partîmes.
La discothèque était déjà si bondée qu’il nous fallut jouer des coudes pour nous
frayer un chemin jusqu’à la piste de danse. Nous y parvînmes tant bien que mal et
commençâmes à nous lâcher. Nous ne connaissions pas la musique mais la trouvions très
entraînante. Frank et moi nous incrustâmes dans la foule et dansâmes avec les
premières filles que nous rencontrâmes. Elles étaient si jolies avec leurs robes
courtes rouges et leur coiffures. Elles n’étaient pas coincées, contrairement à
certaines Françaises de notre cercle de connaissance. Elles se prirent au jeu et
commencèrent même à nous enflammer en nous faisant quelques petits pas pour le
moins…séduisants.
Mon érection se faisait puissante dans mon boxer. Frank, lui aussi, semblait séduit.
Ces deux jeunes filles dansaient pour nous alors qu’elles ne nous connaissaient même
pas! Pour elles, nous étions tous là pour nous amuser. N’y tenant plus, je saisis
l’une des filles par la taille et me mis à danser passionnément avec elle. Ma
partenaire se prit au jeu et se colla à moi. Je sentais ses seins contre ma poitrine
et ses bras autour de mon cou. Frank prit l’autre fille dans ses bras et tous deux se
mirent à danser. Nous continuâmes à danser avec nos partenaires jusqu’à la fin de la
chanson. Un agréable moment. Trop court.
Tentant le tout pour le tout, Frank et moi proposâmes à nos copines d’aller boire un
verre au bar. Les jeunes filles acceptèrent et ma partenaire se présenta:
«Moi, c’est Milena et elle, c’est Ilona. Et vous?»
Frank et moi fûmes surpris d’entendre nos nouvelles amies parler notre langue. Devant
nos airs étonnés, Milena nous expliqua qu’elles avaient appris le français durant
leurs études au lycée. Nous hochâmes la tête et nous présentâmes:
– Moi, c’est William.
– Et moi, c’est Frank.
Frank et moi prîmes deux bières tandis que Milena et Ilona avaient choisi de prendre
deux cocktails. En buvant notre verre, nous discutâmes de nos vies et, avec notre
tempérament d’hommes hétérosexuels et l’incroyable ouverture d’esprit de nos deux
copines, la conversation finit par porter sur le sexe. Désirant Milena comme un fou,
je lui dis que j’aimais les filles de l’Est et que je la trouvais jolie. Elle me
remercia du compliment et me dit quelques mots qui sonnèrent à mes oreilles comme le
plus doux murmures au monde:
«Moi, j’ai toujours souhaité coucher avec un Italien. De plus, tu me plais beaucoup.
Poursuivons à quelque part d’autre.»
Après avoir fini nos verres, nous sortîmes de la discothèque avec nos copines et les
emmenâmes vers notre hôtel. Arrivés à notre chambre, nous les fîmes entrer et
refermâmes la porte derrière nous.
Fous de désir, Frank et moi nous jetâmes sur nos belles et les embrassâmes
passionnément à pleine bouche. Milena me rendit mon baiser. Quel beau baiser! Long,
sensuel, agréable. Budapest: le baiser. (Clin d’œil à l’auteur jpj pour son super
texte sur Budapest en espérant qu’il va lire celui-ci)
Notre baiser se prolongea durant un doux moment après lequel je lui retirai lentement
sa robe. Ses mains me dépouillèrent de ma veste et de mon T-shirt tandis que les
miennes se chargeaient de faire tomber mon pantalon au sol. À présent tous deux en
sous-vêtements, nous nous embrassâmes à nouveau. Son corps m’était beaucoup plus
accessible. Mes mains glissaient sur ses hanches puis remontaient sur ses seins pour
les caresser à travers le soutien-gorge. Milena glissa sa main sur ma queue et la
caressa à travers mon boxer puis cala ses mains entre le sous-vêtement et mon bas
ventre. Mon boxer tomba au sol et je me retrouvai nu devant ma belle hongroise. Je lui
retirai délicatement son soutien-gorge et fis descendre mes mains à la hauteur de sa
petite culotte. Je mis quatre doigts entre sa petite culotte et son ventre puis fis
descendre sa petite culotte tout tranquillement le long de ses jambes. Je la soulevai
ensuite de terre et la posai sur mon lit. Je la couvris de mon corps et l’embrassai
passionnément.
Sur le lit voisin, Frank prenait déjà Ilona en levrette et cette dernière commençait à
jouir. Milena et moi poursuivîmes notre baiser. Je me détachai ensuite de ma
partenaire et la pénétrai doucement afin de lui faire sentir l’entrée de ma queue dans
son antre d’amour. Mes premiers va et vient furent lents et légers puis devinrent de
plus en plus rapides et puissants. Milena cria son plaisir. Les mains crispées dans
ses hanches, je continuais de la pénétrer. À côté de moi, Frank se faisait sucer par
Ilona et semblait être au bord de la jouissance. Je me retirai tranquillement du sexe
de Milena et me mis à la sodomiser. Je fis lentement rentrer mon sexe dans son cul
afin de lui faire désirer le rapport. Mes va et vient se firent lents et tranquilles
puis devinrent rapides et puissants. Ma belle hurla de plaisir sous mes coups de
queue.
Sentant le sperme monter en moi, je me retirai doucement du cul de ma partenaire et me
branlai à quelques centimètres de son visage. Il ne me fallut pas plus de quelques
secondes pour jouir sur le visage de Milena et voir mon sperme couler sur ses seins.
Sur le lit voisin, Frank venait de jouir sur les seins d’Ilona et se caressait
toujours la verge.
Les deux jeunes filles se dirigèrent vers la salle de bain et s’essuyèrent le visage
et les seins puis nous rejoignirent dans nos lits. Milena et moi nous endormîmes dans
les bras l’un de l’autre. Notre séjour allait être plus agréable que prévu.
Bonjour, camarades lecteurs et belles amies lectrices. Je me nomme William. Pour vous
parler un peu de moi, je suis un garçon aux cheveux bruns coupés courts relevés avec
du gel et suis d’origine italo-russe. Je mesure environ 1,80m. et suis très attiré par
les filles d’Europe de l’Est. Dans les lignes que vous allez lire, je vous parlerai de
mes expériences vécues à Budapest, en Hongrie.
Tout a commencé lors d’un camp de vacances pour universitaires où j’étais allé avec un
ami. Un soir, avant de nous endormir, nous avions parlé des filles. Les questions que
traitaient nos discussions étaient: « Que penses-tu de cette fille » ou encore « Quel
genre de filles préfères-tu? ». Ce fut la réponse que je donnai à cette deuxième
question qui nous poussa à partir.
«Moi, j’adore les filles de l’Est» répondis-je. Mon ami, Frank, rétorqua:
«Ne dis pas de conneries, Will. Les Françaises sont les plus jolies. C’est bien
connu.»
«On parie? Si on partait en Hongrie pendant deux semaines? On verra lequel de nous
deux a raison.»
Frank accepta ma proposition et, à notre retour du camp, nous commençâmes à préparer
notre voyage, prévu pour les fêtes de Noël.
Nous partîmes le matin du 23 décembre vers 10h et arrivâmes à destination environ une
heure plus tard. Nous récupérâmes nos bagages à l’aéroport et nous dirigeâmes vers
notre hôtel. Arrivés à l’hôtel, Frank et moi défîmes nos bagages et planifiâmes notre
journée.
Heureusement pour nous, l’hôtel disposait de prospectus sur toutes les attractions
touristiques et clubs de la ville. Nous décidâmes de faire le tour de la ville en bus
et de faire un peu les boutiques de sport et, pourquoi pas, si on en trouve, des sex-
shop. Nous décidâmes de passer la soirée dans une discothèque située non loin de notre
hôtel. Notre expérience commençait déjà…
Frank et moi sortîmes de la chambre et nous rendîmes à l’arrêt où le bus touristique
attendait les touristes. Nous payâmes notre ticket et montâmes à bord du véhicule.
Après un petit quart d’heure d’attente, le bus démarra et notre visite de la ville
commença.
Frank et moi écoutions l’histoire de chaque monument historique de ce beau pays qu’est
la Hongrie. Pour ma part, en Hongrie, je me sentais un peu comme chez moi bien que je
n’y sois que depuis une heure à peine. Je me sentais proche des Hongrois par nos goûts
pour les filles (et pas seulement par le d****au) et notre irrépressible envie de
mater les belles jeunes filles de ce pays.
Lorsque nous eûmes fini notre tour de la ville, nous nous rendîmes dans un centre
commercial situé juste en face de l’arrêt où le bus nous avait déposés.
Nous entrâmes dans un magasin de sport et nous y offrîmes un maillot de l’équipe
nationale et un ballon de foot aux couleurs du pays. Nous ressortîmes et essayâmes de
trouver un panneau expliquant où se trouvait chaque boutique. Nous trouvâmes ce que
nous cherchions juste en face du magasin de sport et vîmes avec plaisir qu’un sex-shop
se trouvait à deux étages en-dessous de nous.
En entrant dans le sex-shop, nous fûmes surpris de l’aménagement du magasin. Des
petits cœurs et des sous-vêtements sexys étaient exposés. Pour nous, les petits cœurs
faisaient référence à la Saint-Valentin. Sans nous soucier davantage de ce détail,
nous nous dirigeâmes au rayon préservatifs. Nous en achetâmes chacun une broîte et
passâmes à la caisse. En payant nos articles, nous demandâmes à la vendeuse, en
anglais(nous ne pouvions communiquer autrement),pourquoi elle avait exposé ces petits
cœurs avec la lingerie.
«Ici, nous mélangeons tout. Amour et sexe.»
Elle emballa nos achats dans un sac plastique discret et nous la remerciâmes.
Constatant qu’il nous restait encore un peu de temps avant notre soirée, nous
décidâmes d’aller nous offrir un café dans un petit restaurant du centre avant de
retourner à l’hôtel nous préparer. Nous discutâmes de choses et d’autres, notamment
des filles que nous avions croisées dans le centre commercial. Nous convînmes qu’elles
étaient habillées un peu plus sexy que les filles de chez nous. Leurs manteaux de cuir
moulants à capuchon de fourrure leur allaient à ravir et soulignaient leurs formes
sculptées. Quant aux bas, elles étaient habillées de jeans foncés assortis à leurs
manteaux. Tout ça pour dire que c’était un vrai bonheur de voir des filles habillées
ainsi.
Après avoir tranquillement fini notre café et payé l’addition, nous retournâmes dans
notre chambre d’hôtel pour nous préparer.
Frank et moi revêtîmes un T-shirt blanc et passâmes nos vestes en cuir par-dessus. Mon
ami et moi nous mîmes un peu de gel dans les cheveux et nous partîmes.
La discothèque était déjà si bondée qu’il nous fallut jouer des coudes pour nous
frayer un chemin jusqu’à la piste de danse. Nous y parvînmes tant bien que mal et
commençâmes à nous lâcher. Nous ne connaissions pas la musique mais la trouvions très
entraînante. Frank et moi nous incrustâmes dans la foule et dansâmes avec les
premières filles que nous rencontrâmes. Elles étaient si jolies avec leurs robes
courtes rouges et leur coiffures. Elles n’étaient pas coincées, contrairement à
certaines Françaises de notre cercle de connaissance. Elles se prirent au jeu et
commencèrent même à nous enflammer en nous faisant quelques petits pas pour le
moins…séduisants.
Mon érection se faisait puissante dans mon boxer. Frank, lui aussi, semblait séduit.
Ces deux jeunes filles dansaient pour nous alors qu’elles ne nous connaissaient même
pas! Pour elles, nous étions tous là pour nous amuser. N’y tenant plus, je saisis
l’une des filles par la taille et me mis à danser passionnément avec elle. Ma
partenaire se prit au jeu et se colla à moi. Je sentais ses seins contre ma poitrine
et ses bras autour de mon cou. Frank prit l’autre fille dans ses bras et tous deux se
mirent à danser. Nous continuâmes à danser avec nos partenaires jusqu’à la fin de la
chanson. Un agréable moment. Trop court.
Tentant le tout pour le tout, Frank et moi proposâmes à nos copines d’aller boire un
verre au bar. Les jeunes filles acceptèrent et ma partenaire se présenta:
«Moi, c’est Milena et elle, c’est Ilona. Et vous?»
Frank et moi fûmes surpris d’entendre nos nouvelles amies parler notre langue. Devant
nos airs étonnés, Milena nous expliqua qu’elles avaient appris le français durant
leurs études au lycée. Nous hochâmes la tête et nous présentâmes:
– Moi, c’est William.
– Et moi, c’est Frank.
Frank et moi prîmes deux bières tandis que Milena et Ilona avaient choisi de prendre
deux cocktails. En buvant notre verre, nous discutâmes de nos vies et, avec notre
tempérament d’hommes hétérosexuels et l’incroyable ouverture d’esprit de nos deux
copines, la conversation finit par porter sur le sexe. Désirant Milena comme un fou,
je lui dis que j’aimais les filles de l’Est et que je la trouvais jolie. Elle me
remercia du compliment et me dit quelques mots qui sonnèrent à mes oreilles comme le
plus doux murmures au monde:
«Moi, j’ai toujours souhaité coucher avec un Italien. De plus, tu me plais beaucoup.
Poursuivons à quelque part d’autre.»
Après avoir fini nos verres, nous sortîmes de la discothèque avec nos copines et les
emmenâmes vers notre hôtel. Arrivés à notre chambre, nous les fîmes entrer et
refermâmes la porte derrière nous.
Fous de désir, Frank et moi nous jetâmes sur nos belles et les embrassâmes
passionnément à pleine bouche. Milena me rendit mon baiser. Quel beau baiser! Long,
sensuel, agréable. Budapest: le baiser. (Clin d’œil à l’auteur jpj pour son super
texte sur Budapest en espérant qu’il va lire celui-ci)
Notre baiser se prolongea durant un doux moment après lequel je lui retirai lentement
sa robe. Ses mains me dépouillèrent de ma veste et de mon T-shirt tandis que les
miennes se chargeaient de faire tomber mon pantalon au sol. À présent tous deux en
sous-vêtements, nous nous embrassâmes à nouveau. Son corps m’était beaucoup plus
accessible. Mes mains glissaient sur ses hanches puis remontaient sur ses seins pour
les caresser à travers le soutien-gorge. Milena glissa sa main sur ma queue et la
caressa à travers mon boxer puis cala ses mains entre le sous-vêtement et mon bas
ventre. Mon boxer tomba au sol et je me retrouvai nu devant ma belle hongroise. Je lui
retirai délicatement son soutien-gorge et fis descendre mes mains à la hauteur de sa
petite culotte. Je mis quatre doigts entre sa petite culotte et son ventre puis fis
descendre sa petite culotte tout tranquillement le long de ses jambes. Je la soulevai
ensuite de terre et la posai sur mon lit. Je la couvris de mon corps et l’embrassai
passionnément.
Sur le lit voisin, Frank prenait déjà Ilona en levrette et cette dernière commençait à
jouir. Milena et moi poursuivîmes notre baiser. Je me détachai ensuite de ma
partenaire et la pénétrai doucement afin de lui faire sentir l’entrée de ma queue dans
son antre d’amour. Mes premiers va et vient furent lents et légers puis devinrent de
plus en plus rapides et puissants. Milena cria son plaisir. Les mains crispées dans
ses hanches, je continuais de la pénétrer. À côté de moi, Frank se faisait sucer par
Ilona et semblait être au bord de la jouissance. Je me retirai tranquillement du sexe
de Milena et me mis à la sodomiser. Je fis lentement rentrer mon sexe dans son cul
afin de lui faire désirer le rapport. Mes va et vient se firent lents et tranquilles
puis devinrent rapides et puissants. Ma belle hurla de plaisir sous mes coups de
queue.
Sentant le sperme monter en moi, je me retirai doucement du cul de ma partenaire et me
branlai à quelques centimètres de son visage. Il ne me fallut pas plus de quelques
secondes pour jouir sur le visage de Milena et voir mon sperme couler sur ses seins.
Sur le lit voisin, Frank venait de jouir sur les seins d’Ilona et se caressait
toujours la verge.
Les deux jeunes filles se dirigèrent vers la salle de bain et s’essuyèrent le visage
et les seins puis nous rejoignirent dans nos lits. Milena et moi nous endormîmes dans
les bras l’un de l’autre. Notre séjour allait être plus agréable que prévu.
Lorsque je rouvris les yeux, je m’aperçus que Milena n’était plus dans mes bras. Je me
demandais où elle pouvait être partie. Ses vêtements étant encore au sol, je me dis
qu’elle ne devait pas être allée très loin et qu’elle allait revenir. J’étais toujours
étendu nu dans le fauteuil, la queue à demi dure, à me remémorer le beau striptease
que ma copine m’avait fait et à me caresser le sexe d’un léger mouvement de va et
vient en repensant à la superbe fellation qu’elle m’avait administrée suivie de la
meilleure branlette espagnole qu’une fille ne m’avait jamais prodiguée.
Des bruits de pas vinrent briser mon rêve éveillé. Milena reparut avec un plateau
chargé de tartines et deux tasses de café. Elle posa le tout sur une petite table de
nuit et s’assit dans un sofa en m’annonçant: «Petit-déjeuner! Tu me diras s’il est
aussi bon que celui de l’hôtel.»
Nous commençâmes à manger. J’eus l’agréable surprise de constater que ma copine était
toujours en petite culotte, ses seins toujours à l’air. Ma queue prit de la vigueur.
Milena en sourit et me demanda d’une voix amusée: «Alors, tu as aimé ma petite
surprise?»
«Oui, j’ai adoré! Je ne m’y attendais vraiment pas. Chez moi, une fille qui m’aurait
parlé de surprise m’aurait plutôt emmené dans une jolie petite chambre bien arrangée
avec de jolies petites bougies et m’aurait sussuré un « Prends-moi ». Mais toi, tu n’as
pas hésité à me faire un show. Pour cela, je garderai un bon souvenir de toi quand je
devrai, à regrets, rentrer en France.»
«Tant mieux! Ce que tu viens de dire me touche beaucoup. Les autres garçons avant toi,
des étrangers pour la plupart, trouvaient que « j’osais »un peu trop. Ne t’en fais pas.
Je te réserve encore une autre surprise avant que tu ne t’en ailles. »
«Ils n’étaient pas faits pour toi. Moi, je t’aime parce que tu n’as pas peur du sexe.
Tu montres clairement ce que tu acceptes de faire et ce que tu ne veux pas dans la
sexualité. Je trouve ça super. J’ai hâte de connaître la surprise que tu me réserves.»
Elle me sourit sans mot dire et nous continuâmes de manger notre repas. Après l’avoir
terminé, nous débarrassâmes les deux tasses sur le plateau et Milena alla le déposer
chez elle en me disant de l’attendre. Je restai donc assis dans le fauteuil à attendre
le retour de ma copine. Milena revint quelques minutes plus tard et vint me rejoindre
dans le fauteuil.
«Merci pour ce petit-déjeuner! Il a été bien meilleur que celui de l’hôtel.»
«En quoi? La qualité de ce que tu as mangé ou celle de la personne qui te l’a servi?»
«Les deux…»
En prononçant ces deux derniers mots, j’attirai Milena à moi et l’embrassai à pleine
bouche. Ma belle me rendit mon baiser et nous passâmes un doux moment à nous
embrasser, enlacés dans les bras l’un de l’autre.
En caressant le corps de Milena, je glissai doucement une main dans sa petite culotte
et fis glisser le sous-vêtement le long de ses jambes. À présent totalement nue elle
aussi, Milena se frotta le sexe contre mon ventre. Pensant qu’elle voulait s’empaler
sur ma queue, je la laissai faire son petit show de masturbation pré-pénétration. Mais
ce qu’elle fit ensuite me surprit agréablement. Au lieu de venir s’empaler sur ma
bite, elle se retourna et se mit à genoux sur moi de façon à ce que son cul arrive à
hauteur de mon visage pour finalement prendre mon sexe en bouche et m’administrer une
agréable fellation. Ne voulant pas rester inactif, je pris le cul de Milena dans mes
mains et me mis à le lécher. Sous l’effet du plaisir que lui procurait l’anulingus que
je lui faisais, ma copine me suça encore plus fort jusqu’à la garde. Et moi, pris dans
ce cercle vertueux du plaisir à deux, sous l’effet du plaisir que me procurait la
fellation que me faisait Milena, je continuai de lui lécher le cul et lui enfonçai
deux doigts dans sa chatte mouillée.
Au bout d’un agréable quart d’heure, il fallut que le cercle vertueux du plaisir à
deux se brise par une explosion tout aussi vertueuse, l’orgasme. Je jouis dans la
bouche de Milena qui avala tout le sperme que je lui offrais et nous retombâmes,
épuisés mais heureux, dans les bras l’un de l’autre. Nous passâmes tout le reste de la
matinée dans notre intimité sans nous soucier de rien. Malheureusement, ce moment fut
de trop courte durée.
Tout à coup, mon téléphone vibra dans mon pantalon. J’avais reçu un message. Je me dis
que c’était probablement Frank qui se demandait où j’étais passé. Je saisis mon
portable pour répondre lorsque je vis avec horreur que le message que j’avais reçu
n’était pas de Frank mais de ma mère.
«Papa a eu un accident de voiture et il est à l’hôpital, inconscient. Je crains le
pire. Il faut que tu rentres au plus vite.»
En voyant ce texto, j’eus tout juste la force de prévenir Frank de notre départ
prématuré avant de lâcher mon portable sous l’effet du choc. En me voyant dans cet
état, Milena me demanda ce qui n’allait pas. Je lui dis que mon père avait eu un
accident de voiture, qu’il était entre la vie et la mort et qu’il fallait que je
rentre en France au plus vite. J’ajoutai avec tristesse que j’aurais voulu connaître
sa surprise.
«Au fait, la surprise que je voulais te faire, c’est te dire que j’ai une maison en
France et que je viendrais avec toi pour le voyage du retour. Mais bon, il va falloir
avancer la surprise à aujourd’hui. Nous affronterons ça ensemble.»
Je hochai la tête et nous nous rhabillâmes en vitesse pour nous rendre à l’aéroport.
En arrivant, je vis que Frank avait déjà rassemblé nos affaires. En me voyant, mon ami
me donna une accolade et me souffla un « désolé mon pote ». Il me tendit les billets et
nous allâmes tous les quatre expliquer la situation aux autorités afin qu’elles
puissent nous réserver une place sur le premier vol pour la France qui partirait. Par
chance, les policiers furent compréhensifs et contactèrent les contrôleurs par
téléphone en leur disant de nous laisser passer avec nos billets. Nous les remerciâmes
et ils nous souhaitèrent un bon voyage ainsi qu’un bon rétablissement à mon père.
Nous embarquâmes dans un avion qui devait décoller une heure après et nous quittâmes
cette belle ville de Budapest dans laquelle nous avions passé si peu de temps mais de
laquelle nous avions ramené tant de souvenirs. Nous arrivâmes en France environ une
heure plus tard. Je prévins ma mère de mon arrivée et Milena, Ilona, Frank et moi
prîmes la direction de l’hôpital. Lorsque nous arrivâmes dans le bâtiment, nous
montâmes les trois étages qui menaient à la chambre de mon père. Dans la chambre se
trouvaient déjà ma mère et mes deux sœurs, Rosalie et Joanna. Mon père, toujours
inconscient, était blanc comme un linge et semblait avoir eu un choc très conséquent
vu la plaie encore sanguinolente qui lui barrait la joue et le menton.
Nous repassâmes tous les jours rendre visite à mon père jusqu’à ce qu’il finisse par
se réveiller et qu’il puisse, avec le feu vert des médecins, rentrer à la maison. Je
finis par épouser Milena et Frank et Ilona se dirent oui peu de temps après Milena et
moi.
Voilà comment se termine mon histoire. J’espère qu’elle vous a plu. Pour ce qui est de
la suite, ma petite sœur Joanna vous l’écrira.
Bonne lecture à toutes et à tous.
William
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