Sandrine se présenta à 8h45 le lendemain matin. Elle fut accueillie par l’entrée de service, derrière les cuisines, par l’une de mes domestiques, qui lui indiqua l’escalier qui l’aménerait à mon étage. Elle se retrouva dans une pièce que je n’utilisais presque jamais, avec un coin cuisine, une zone de rangement pour le materiel de nettoyage, et une penderie. Il y avait également une table au centre de la table, avec quelques chaises. Sur cette dernière, j’avais posé une enveloppe avec son nom, « Sandrine », écrit au centre. Elle l’ouvrit, et y trouva son contrat, stipulant son salaire et ses horaires, ainsi qu’un premier chèque. J’avais également préparé un planning, indiquant :
9h – 9h10 – Préparation du petit dejeuner. Café, jus d’orange, un fruit, une tartine.
9h15 – Apporter le plateau du petit déjeuner dans ma chambre. Ouvrir les volets.
Assister au petit dejeuner.
9h45 – Nettoyage des toilettes
10h00 – Me prévenir quand le nettoyage est terminé pour verification.
Repassage et entretien des surfaces jusqu’à midi.
Sur la porte de la penderie, j’avais collé un papier sur lequel j’avais noté « Laissez vos affaires personnelles ici ».
Sandrine prit doucement ses marques, relut une fois le contrat, et parut satisfaite du chèque que je lui avais laissé. C’était plus qu’inespéré, surtout pour trois heures de travail par jour. Evidemment, il y avait une contrepartie. Forcemment, elle était critique par rapport à ce que je lui imposais. Mais qu’est ce qui était préférable ? Faire face à la colère des huissiers, ou solutionner une fois pour toute ce problème. Elle se deshabilla, et rangea ses affaires dans la penderie. Il y avait un cintre pour son pantalon et son chemisier, ainsi que des tiroirs pour le reste de ses affaires. Elle se retrouva un peu mal à l’aise après avoir retiré sa culotte. Elle s’approcha du coin cuisine, et commença à préparer ce qui lui était demandé. Elle trouva facilement le plateau, prit une pomme dans la corbeille à fruits, fit couler un café, et servit un jus d’orange. Elle prépara une tartine de confiture, et posa également une serviette en papier. Elle prit le plateau, et alla ouvrir la porte se trouvant de l’autre coté de la pièce. Elle se retrouva dans un couloir, qu’elle reconnut pour l’avoir emprunté la veille. Elle sut que la première porte correspondait à mon bureau, elle se dirigea donc vers la seconde. Elle entra dans ma chambre. Je l’attendais, j’étais eveillé, bien entendu, et l’avais surveillé par le biais de mon smartphone relié à mes différentes cameras. J’étais toujours dans mon lit, et je la regardais avancer dans le noir. Elle me fit un sourire, posa le plateau sur une table basse, et alla ouvrir les volets roulants en appuyant sur les boutons à coté des baies vitrées. La lumière du jour me permit de découvrir le corps de Sandrine, ses deux seins genereux ne tombaient pas, ils étaient fermes, son ventre était assez plat, et son pubis brun était bien entretenu.
Elle prit le plateau repas, et le posa sur mon lit, juste devant moi.
– Merci.
– De rien, répondit-elle.
Je la regardais avec amusement.
– Ne dis pas « de rien ». Réponds dans ces cas là « je vous en prie ».
Sandrine fit un signe de la tête, et répéta à voix basse « je vous en prie ».
– Très bien ! Comment va papa ?
– Il va bien, merci.
– Il est content que tu travailles pour moi ?
Sandrine ne répondit pas.
– Tu ne lui as pas dit ?
– Non… surtout dans ces circonstances…
– Quelles circonstances ?
– Ces caprices… ces exigences… vraiment c’est humiliant pour moi.
– Tu trouves que c’est humiliant d’etre nue devant moi ?
– Evidemment. Et je ne le ferai que le temps de rembourser ce que ton père doit. Par ailleurs, je te remercie d’avoir placé une notion de confidentialité dans le contrat.
– Ca parait normal que personne ne sache que tu sois là.
– Cette nuit j’ai mal dormi en pensant à cette matinée.
– Intimidée ?
– Il y a de quoi. C’est degradant.
– Pousse un peu ta main, que je vois bien ta chatte.
En effet en parlant, Sandrine avait machinalement masqué sa chatte avec sa main. Elle la retira sur le coté, et je fixais son sexe.
– Par contre, je peux poser une question… Par rapport au travail…
– Oui ?
– Va t-il y avoir des exigences de nature… sexuelle… à remplir ?
– A ton avis ?
– Je suppose que oui…
– Tu as lu ton planning ? Tu es là pour le petit déjeuner, le ménage, et un peu de repassage. Tu pensais devenir mon objet sexuel ?
– Je ne sais pas.
– Tu as de l’aplomb d’être là alors. Tu étais prete à un vrai sacrifice pour mon père.
Je m’asseyais sur le bord du lit, et me levais. Je m’approchais de Sandrine.
– Prête à offrir ta chatte pour lui.
Sandrine ne répondit pas. J’approchais ma bouche de son oreille.
– Je vais juste te regarder. Va nettoyer mes chiottes.
Sandrine débarrassa le plateau et retourna lentement vers le coin cuisine. Elle nettoya et rangea ce qui devait l’être, et alla prendre quelques produits d’entretien pour la suite de son travail. Elle retourna dans ma chambre, pour accéder à la salle de bain. Elle posa ses affaires à coté des toilettes, ouvrit le battant, mit des gants en plastique, et prit la brosse.
Je la regardais faire sans rien dire jusqu’à présent. Maintenant qu’elle commençait son travail, je lui apportais quelques consignes.
– Pas de gant s’il te plait, et nettoie à l’éponge.
Je laissais Sandrine s’adapter et s’executer à ces consignes.
– La position aussi est importante. Ne reste pas debout pliée en deux. Mets toi à quatre pattes devant les toilettes.
Sandrine s’agenouilla doucement.
– Pas à genoux, vraiment à quatre pattes.
Sandrine s’installa. Avec le pied, je lui fis écarter les jambes l’une de l’autre. Dans cette position, ses fesses, légèrement entrouvertes, laissaient voir son anus, et sa fente était parfaitement offerte à ma vue, légèrement béante.
Elle prit une éponge à la main, et commença à frotter à l’interieur du cabinet. J’allais chercher une tablette et afficha la photo d’une jeune femme en maillot de bain.
– C’est ta fille ?
Sandrine me jeta un regard étonné, regarda la photo sur l’écran que je lui montrais, et hocha simplement de la tête.
– Emilie c’est ça ? Elle a 19 ans ?
Sandrine hocha simplement la tête.
– J’ai trouvé ses photos sur facebook. J’aime bien cette photo en maillot de bain. Elle doit affoler les mecs… Jolie blonde… Beaux seins visiblement.
Je sortais ma queue, en erection, et commençais à me masturber devant la photo.
– Elle m’excite ta fille…
Sandrine me jeta un coup d’oeil.
– Tu fais quoi ? Tu as du travail… Frotte…
Je me branlais de plus belle. Emilie était souriante. J’imagine que la photo avait été prise par sa mère. Je regardais son visage, et son maillot au niveau de ses seins. Je sentis mon sperme arriver, je me tournais vers Sandrine, et lui ejaculais sur le dos, à trois reprises, et par terre.
Mal à l’aise, elle ne réagit pas, attendait que ça se passe, se focalisant sur son travail.
– Je te laisse continuer. Viens me chercher quand tu auras fini. Je vais te préparer du linge à repasser en attendant.
Je fis demi tour, et me rendis dans mon bureau. Je m’installais dans mon fauteuil, et allumait mes différents écrans. J’allumais la camera de ma salle de bain. Je pus voir Sandrine, toujours dans la même position, en train de frotter l’interieur des toilettes. Au niveau audio, je l’entendis sangloter.
A SUIVRE
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