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Odette 1 Partie

Odette 1 Partie



Odette 1 Partie

Les personnages

Odette Femme de 48 ans célibataire Maso

Quadra célibataire ronde pulpeuse

On pourrait dire Odette tout le monde

Ce style de femme invisible aux yeux

Justement du monde, sauf

Peut-être pour les connaisseurs

Car ce genre de femme plantureuse

Ne laisse pas indifférent les amateurs de SM

Monsieur JP Homme de 65 ans

Maitre sadique marié par deux fois

Pratique le sm depuis son adolescence

Vieux sadique lubrique, beaucoup de tenue, comme du savoir vivre, de l’éducation et épicurien devant l’éternel. Il aime profiter des bonnes choses de la vie

Mais par-dessus tout faire mal maltraiter les chairs

Les organes génitaux de femmes comme d’hommes maso, il ressent un tel plaisir cérébral qu’il est plus

Important, pour lui qu’une simple jouissance sexuelle et cela depuis les premiers émois sexuels de son adolescence

Oui un monsieur pourtant si discret, que son entourage n’imagine pas la possibilité de toutes ces

Pratiques du sexe inavouable pour le commun des mortels, un monsieur qui aime aussi le plaisir des bons livres, de musique classique comme des bon mets et vin

Ces 2 personnes se sont rencontrées lors d’un

Chat ( coco fr ) sur le net et on décidés de se rencontrer

Ils faut dire ils se sont bien trouvés ces deux là

Bien sur Odette avait envoyée des photos d’elles

Et rapidement ils étaient passés à la cam pour

Faire connaissance et déjà les premiers émois

de Plaisir de désir avec cette exhibition virtuelle

pour notre Odette, oui s’exhiber impudique

Montrer sa vulve grande ouverte, ses mamelles

l’avait excitée comme jamais avant

Paris en Février dernier 2018

Le vendredi soir, en sortant du bureau, Odette ne pensait plus qu’à son rendez-vous. D’ailleurs, cela faisait des jours qu’elle gambergeait. Elle sentait ses tétons et son clitoris bien bandés, l’humidité de son orifice était présente depuis des jours, elle avait des papillons dans le ventre, elle ne pensait et ne repensait, que a ces pratiques perverses, elle allait pour une fois, y être la sinistre héroïne elle ne pensait qu’a exhiber son corps gras et flasque, qu’à les lui montrer, en faire don à son futur bourreau, ces mamelles, cette vulve, son gros cul, pour qu’il y fasse du mal ! Elle avait peur aussi, mais l’adrénaline était un puissant moteur elle était excitée comme jamais elle ne l’avait été… Après 20 mm de taxi, elle arriva à l’appartement de Monsieur, et entra sans sonner, comme c’était convenu, lors de leur entretien au tél, la veille, la porte n’était pas fermée à clef, elle le trouva installé dans le petit salon, oui Monsieur qu’elle découvrait pour la première fois, monsieur JP Jean Pierre, ce vieux Mr, un regard dure, des yeux gris acier, aucun sourire, ce dernier habillé tout en noir, devant lui, sur la table basse du salon, peu d’instruments, un martinet, une petite boite rectangulaire en acier polis, des pinces et surtout une énorme pince en acier de couleur marron, une chaise avec des liens, ainsi que un wang, installé dans le fond de la chaise, en la voyant elle trembla de désir ou d’effrois …

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Bonjour Monsieur

Vous êtes déjà là, ? Vous êtes en avance

Impatiente de vous livrer à mes actes

Pervers, démentiels cruels

– Oh pas spécialement Monsieur il n’y avait pas de circulation pour un vendredi soir c’est rare

Surement les gilets jaunes, enfin ca roulait bien

-Vous êtes sûr de vous, madame on peut encore arrêter en rester là je vous invite juste à

Boire juste un apéritif, en toute simplicité

– Non je suis sûr de moi de mon choix, je le veux

Et même commencer tout de suite, j’avoue la situation

Cette attente est bien gênante, pour moi Monsieur

J’attend cette rencontre depuis longtemps

Je veux jouir par la souffrance

… dit-elle d’un seul coup …

D’un sourire un peu comme un chasseur envers une biche, il ouvrit, sans la quitter du regard, les yeux dans les yeux, cette petite boite en acier et lui montra son contenu, des aiguilles. Les yeux d’Odette brillaient. Il ne lui dit rien de plus, Odette se dénuda rapidement puis le fixa. Il la regardait, candide. Elle gardait ses bottes et ses bas en position d’offrande

Les mains derrière le dos en faisant saillir ses énormes mamelles un bon 105 D, de forme en poire tombante, il est vrai, mais si excitante, sans oublier ses énormes tétons, saillant que tout bon sadique en fantasme des nuits entières

– Vous allez m’attacher pour me torturer, Monsieur ?

– Oui, vous m’avez l’air bien excitée, j’imagine trempée

– Oui… toute la journée je n’ai fait que pensez à ce rendez-vous si particulier, à la douleur, que vous alliez me faire du mal, vu que vous êtes sans scrupules

-Vous êtes alors vraiment prête à offrir votre corps

Aux tourments !!!

-Avez-vous signé le contrat de soumission

Et la décharge pour les sévices ?

-Oui Monsieur tenez les voilà dit ‘elle

En sortant les documents de son sac

-Vous allez faire saigner mon clitoris ?

– Je pensais plutôt à vos grosses mamelles, mais là vous m’excitez encore plus, que je n’aurais imaginé

‘Appuie-vous sur le dossier de la chaise

.

-Je veux être votre esclave de torture, prenez-moi quand vous voulez… Je ne suis pas une donzelle de l’année, mais une vieille perverse femme de 48 ans qui veut souffrir, j’ai tellement attendu ce moment-là, j’ai visionnée tellement de vidéo, lu de livres qui montrait les scènes que je vais enfin vivre

Odette se positionna en levrette, appuyée sur le rebord de la chaise, écarta ses jambes, se cambra pour s’offrir. Il lui caressa le dos.

– Ne soyez pas gentil avec moi, Monsieur ! J’suis pas jolie, je suis juste un tas de viande qui se rêve chienne ! Faites-moi du mal, souffrir je suis nés pour cela pour être une offrande aux sadiques !!!

Au moyen âge j’aurais été une sorcière pour les moines inquisiteurs de l’inquisition

– Une vraie petite chienne en chaleur qui mouille Comme une salope ! dit-il en palpant sa vulve, il pinçait le clitoris saillant. Une vraie petite bite ! Il le tirait, le tordait, ses ongles s’enfonçant dedans.

– Aïe ! Ohhh ! Oui, il est tout dur ! Ohhh ! Oui, vous lui faites du mal ! abimer le, trituré le, aucune pitié aucun scrupule Ahhh ! c’est bon

Tendez votre fessier, madame, cambrer le, il prit son martinet et fis passer les lanières sur les globes charnus, puis rapidement crescendo les coups se mire à pleuvoir, de plus en plus fort, il frappait de plus en plus fort, comme possédé les fesses qui rapidement étaient rouge strié des marques des lanières …

Un moment de calme de silence un peu de repos

Il enfonçât sans ménagement le manche du martinet dans son anus et le fit allez et venir brutalement

Plusieurs fois de suite

Il sortit son sexe de sa main gauche tout en revenant de torturer de nouveau le clito les lèvres de la grosse qui gémissait et pleurait, , elle maintenait sa position. Elle ressentait de la chaleur dans son ventre et même des picotements vaginaux, sa vulve ruisselait, elle avait mal, si mal mais ses plaintes se mélangeaient à des sensations de plaisirs interdits ! Elle se sentit brutalement empalée, la verge rentrant dans son rectum, pinçant toujours son clitoris, il tapait dans le fond de la grosse qui se sentait déchirée et qui aurait voulu qu’il défonce l’autre trou. Il lâcha le clitoris et attrapa de ses deux mains les énormes mamelles de Odette . Il enfonça ses ongles dans les gros bouts très durs de la vieille, malmenait les globes, tout en continuant de la pistonner.

– Alors Odette, on continu, on passe aux choses sérieuses ?

– Ahhh ! Je crois… continuez de tirer sur mes bouts, ahhh ! J’aime avoir mal ! Oui ! c’est bon !

– Salope ! vous voudriez que je baise votre moule ?

– Ahhh… oui… J’suis à vous… mon corps la vulve de vieille peau tout est à vous

Cette déclaration provoqua l’éjaculation, il lâcha ses gros seins tout rougis et finit de jouir dans son sillon fessier. Odette, fébrile se releva, regardant son bourreau.

– Vous pouvez tout me faire, j’en rêve depuis que je suis ados je me branle toujours sur ces fantasmes pour jouir

– Alors installez-vous bien accroupie sur cette chaise placez vous bien que votre vulve soit en contact avec le wang, oui voilà comme cela il alluma ce dernier, des milliers de petites vibrations vinrent toucher son intimité trop puissant ahhhhhhhh

Ok il fonctionne bien, puis il fit redescendre ce dernier il y avait un système coulissant permettant de le monter ou le descendre ingénieuse installation

-Avancez-vous au maximum à l’avant de la chaise, svp que votre vulve soit bien a porté de mes ustensiles

-Je vais ligoter vos poignets et vos chevilles et votre grosse vulve de vieille salope sera offerte au bord !

– Voilà, comme ça, Monsieur ? Elle n’est pas belle, j’ai vu celle d’autres filles, elles ont de jolis chatounes bien fermés, elles ont l’air si douces… La mienne est toute ouverte, obscène, avec ses petites lèvres toutes fripées et pendantes et mon énorme clito une vraie petite bite ; une vraie salope pour bourreau sadique pervers qui aime abimer cruellement, lui faire du mal ! vous avez envie Monsieur

Il ne lui répondit pas, la ligotant fermement dans cette position, puis il s’accroupit devant elle, tirant sur les petits poils qui n’avaient poussé que sur les bouts de grosses lèvres, sur les bords il y avait un fin duvet blond, il sortit son briquet. Odette ouvrit de grands yeux mais sentait son ventre palpiter malgré l’angoisse, elle pensait à sa mère qui brûlait comme ça les poulets ou la dinde de Noël ! Il commença par le petit triangle au bas de son pubis, la fine pilosité s’enflammait, il soufflait, ses poils se transformaient en cendres avec une forte odeur de poils roussis. Brigitte sentait la chaleur et des picotements très forts, ce n’était pas aussi douloureux qu’elle le pensait, elle était maintenant lisse comme lorsqu’elle avait dix ans, sauf que son clitoris avait bien grandi et dardait comme jamais !!!

Il sortit un sac d’élastique, qu’il placa en serrant fort sur ses deux grosses mamelles, laissant dépasser les aréoles et ses bouts déjà ronds qui se gorgeaient de sang ! de la couleur classique les masses de chair passaient du rouge au violet

Odette sentit sa respiration s’accélérer, elle était prisonnière, ligotée, obscènement offerte et elle le voyait tripoter les épingles et les tremper dans l’alcool, c’était le moment, il allait vraiment la torturer.

Il reprit le martinet un regard brillant, il allait enfin pouvoir faire ce qu’il aime le plus, flageller cette vulve béante mouillée ouverte devant lui…

Il commençait a en avoir le souffle coupé tellement il était excité Odette elle attendait de son regard elle lui donnais son consentement

Abimer moi Monsieur que ce soit douloureux fort intense et les premiers coups de lanières arrivèrent

Meurtrissant les chairs fragiles du vagin

Violent mais tellement bon Jean Pierre en maitre

De son art savait varier l’intensité des coups de lanières de cuirs

Tantôt douce tantôt cruelle

, de vrai serpent qui s’insinuait dans la peau de la vulve bien sur le clito fragile ne fut pas épargné

Puis d’un coup il fit remonter le wang et l’insinua presque en violent son intimité et mis ce dernier sur la plus forte vitesse de vibration, l’orgasme fut hyper violent si fort et rapide qu’elle en tomba presque dans les pommes

Quelques petites claques et elle revenu à elle

Aucun répit Jean Pierre avait ouvert sa petite boite

Et en sortis une aiguille

– Arggh ! Oh oui ! Ahhhh ! dit-elle alors qu’il lui transperçait le téton droit.

– L’autre est jaloux, madame !

– Oh, Monsieur… Je ne sais pas si je pleure de douleur ou de joie, allez-y Monsieur. Plantez plein d’aiguille dans mes mamelles abimez les transpercez les !

Odette serrait les dents et essayait de tendre son buste le plus possible, chaque aiguille qui transperçait ses vieilles chairs lui provoquait une larme de douleur et une contraction vaginale qui produisait une grosse quantité de cyprine qui coulait ! monsieur ouvrit les petites lèvres fripées et glissa sa langue dans le vagin étroit de la vieille quadra, qui connut un autre orgasme très profond. Il continuait de lui lécher la vulve mais aussi de lui mordiller, aspirer les chairs comme sa cyprine, Odette gémissait, à chacune de ses respirations, elle sentait la vingtaine d’aiguilles qui lui piquaient ses grosses mamelles. Un second orgasme intense s’empara de la femme qui s’évanouit. Revenant à elle, elle fixa son bourreau :

– Monsieur… faites-moi saigner le clito, c’est le moment je suis prête !

Il prit une assez grosse pince en acier et grosse aiguille à tapisserie qu’il avait affûtée. Odette le regardait en souriant, elle sentait son bouton bander très fort, elle grimaça lorsqu’il s’en empara sans douceur, avec la pince en le coinçant entre les 2 bouts d’acier, tirant dessus. Brigitte ne pouvait s’empêcher de fixer l’aiguille qui se rapprochait :

– Ahhh ! Oh ! Ahhh… putain ! Ça fait mal, ohhhhh ! Ça y est ! Je le sens ! Il est percé ! Ohhh ! Encore !

– D’accord, je vais le repercer plus haut ! Tu vas encore plus saigner, sale garce !

– Oui, faites saigner ma grosse chatte de salope ! Ahhh ! Arggg ! Oh… mon dieu… Putain que J’aime, Souffrir monsieur… buvez mon sang en offrande !

Il se précipita et aspira les deux jus qui se mélangeaient sur la fente de la vieille, dont les hanches tressautaient en suivant les aspirations de l’homme. Pleurant, la femme jouissait profondément

Prête à jouir durement oh oui monsieur détruisez ma chatte elle ne sert a personne d’ailleurs personne ne veux de moi m’aimer je suis trop moche

Etes vous certaine de votre demande

Oui monsieur

Alors l’homme pris l’énorme pince et après avoir retirer les aiguilles s’acharna a tenailler les chairs intimes de la vieille la pince mordait les grosses lèvres les petites lèvres les tenailla durement les tordait les tournait Odette avait les yeux révulsés, jamais elle n’avait connu telle douleur mais aussi telles jouissance Monsieur continuait s’acharnait sur ce vieux vagin qui avait connu peu d’homme Odette d’un coup se mit à crier a jouir comme jamais et tomba d’épuisement elle pleurait jouissait et s’effondra, pour la première fois de sa vie, elle avait jouie comme dans ses fantasmes elle était bien épanouie détendue elle souriait

Merci monsieur laissez moi vous donner aussi du plaisir vous libérez de cette tension que j’imagine en vous il la regardait avec passion

puis il se redressa et lui fourra la bite dans la bouche, la vieille le pompa avec ardeur pour le remercier…

Il l’avait libérée des liens, Odette se rhabillait lentement, ses vêtements frottant sur ses parties devenues si sensibles, en remettant sa culotte la douleur était intense électrifiait irradiait ses chairs

-Il est certain dit-il d’un sourire cruel,

Vous n’êtes pas prête, de vous masturber de sitôt

Allez un bourbon 25 ans d’âge,vous l’avez bien mérité je suis agréablement surpris et fière de vous Madame

Et elle pensa justement, en dégustant son bourbon que dès qu’elle arriverait chez elle, elle se masturberait encore plus fort que jamais elle avait encore envie, en fait elle avait toujours envie, elle prendra surement un goupillon de bouteille accessoire qu’elle utilisait souvent, qui lui donnait tant de sensation ou qui sait une autre idée lui venait a l’esprit pourquoi pas le fer a frisé presque brulant qui lui donnait aussi des sensations de malade

Oui elle était folle elle l’avait toujours été même a 14 ans déjà elle ne pouvait que jouir par ex en se faisant mordiller la chatte par son petit teckel affamé de sécrétion vaginale qui avec ses petites dents lui enfonçait dans ses chairs intimes en la léchant intensément oui déjà môme elle avait cette sexualité différente qui lui on caché une vie de couple épanouie

M V

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