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Ch. 9 : Lettre à Laura (4)

Ch. 9 : Lettre à Laura (4)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens, de ce soir, où nous avons réalisé mon plus grand fantasme. (Si certains lecteurs ont lu mes précédentes histoires, vous devinerez aisément lequel est-ce).

La veille, je t’ai surprise dans ton bain, tu te faisais du bien devant un porno. Cela a entraîné une discussion sur nos envies et nos fantasmes. Un peu plus tard, j’ai dû te quitter pour rejoindre ma famille. Ce soir là, malgré la présence des cousins et cousines avec lesquels je m’entends super bien, je ne pense qu’à toi.
La fête était sympa, et en allant me coucher, un peu ivre, je t’écris un SMS:
« Bonne nuit ma princesse, fais de beaux rêves. Tu me manques. Bisous »
Sans vraiment m’en rendre compte, je suis en train de tomber amoureux.

Je me souviens, à mon réveil, je lis le message que tu m’as envoyé:
« Bonjour mon chéri, j’espère que ta soirée s’est bien passée. Toi aussi tu me manques, j’ai hâte de te retrouver ce soir. Pour te faire patienter, je t’ai envoyé un petit cadeau sur ta boîte mail. Gros bisous à ce soir. »

Je m’empresse d’ouvrir ce courrier électronique et je découvre une photo de toi, dans une tenue très sexy. Tu es debout dans le salon, tu as deux couettes sur la tête, une sucette dans la bouche, les mains sur les hanches, des bas résille autofixant noirs et un ensemble soutif et tanga noir à dentelle.
Devant ce cliché, je me sens comme le loup de Tex Avery, les yeux exorbités et la langue qui pend.

Nouveau texto:
« Merci ma chérie pour cette belle surprise, tu es super canon. Maintenant à cause de toi, je vais encore tâcher mes draps lol. »
Ta réponse ne se fait pas attendre:
« Hum, petit coquin, j’aimerais bien voir ça… »
« C’est toi la coquine, vas sur MSN et je te montre.

On se retrouve donc par webcams interposées. Tu as toujours tes couettes, mais là, tu es habillée. Je soulève le drap et je t’expose la bête, érigée, dure, toute lisse. Tes mots défilent sur l’écran:
« Hum, j’aimerais l’avoir dans la bouche, j’ai très envie de la sucer. »
Il ne m’en faut pas plus pour me déconnecter du monde réel. Je secoue ma verge de gauche à droite, je me décalotte très lentement pour faire monter ta température. Et cela fonctionne. Ton ordi posé sur ton bureau, tu démarres un strip intégral qui m’excite complétement. Mon érection est totale et ma branlette s’accentue progressivement. Toi aussi, tu commences tes pérégrinations vaginales. Je bande, tu mouilles, on se chauffe en s’écrivant des insanités.
Puis, tu te mets à quatre pattes sur ton lit, fesses face caméra, tu te cambres, jambes bien écartées.
ta main glisse sous ton ventre et vient caresser ton pistil.
J’aperçois ta cyprine dégoulinée le long de tes cuisses et pendant que je m’astique le manche, tu t’enfonces un , deux, puis trois doigts dans le vagin.
J’essaye de me calmer un peu pour faire durer le plaisir, mais tu ne m’en laisses pas l’occasion.
Tes deux mains att****nt tes fesses et les écartes au maximum, me laissant pour seule vision ton anus qui suinte.
je chahute ma queue rapidement en la serrant bien fort. Et lorsque ton majeur voyage sur le pourtour de ton oeillet et qu’il finit par disparaître dans ce trou sombre, j’ai juste le temps de t’écrire:
« Oh ma belle, si tu savais comment j’ai trop envie de t’enculer. »
Une fois le message envoyé, je ne mets que quelques secondes pour gicler partout sur mon ventre en râlant, les doigts de pieds crispés.
De ton côté, tu continues quelques instants ta caresse anale et je te vois jouir intensément.
« Attends ce soir, on testera ça. »
Ce dernier message m’a bouleversé pour le reste de la journée. Je vais enfin connaître la sodomie.

Je prends une douche, je déjeune avec mes parents et mon petit frère, je passe le dimanche après-midi en compagnie de quelques amis et vers 19h, je prends ma voiture pour te rejoindre. Les 150 kilomètres qui nous séparent n’ont jamais été aussi longs.

Je me souviens qu’à mon arrivée, tu es là, assise dans le canapé. Tu m’attends calmement en regardant la télé dans ton peignoir blanc.
Après le film de TF1, nous allons nous coucher. De chaque côté du lit, on se dévisage, la tension sexuelle est palpable. Je me désape, ne gardant que mon boxer. Tu retires ton peignoir, me révélant ton corps nu. Mon sang ne fait qu’un tour comme d’habitude, dès que je te vois à poil, ma queue se raidit. Tu traverses le lit, telle une chatte sur une rampe de balcon, pour venir jusqu’à moi en me disant:
– Où est « Ma Chérie »? (Surnom que tu as donné à mon pénis).
Tu abaisses mon cache-sexe et tu ajoutes:
– Ah, je t’ai retrouvé « Ma Chérie », tu m’as beaucoup manqué…en la saisissant à la base.
Après quelques va-et-vient le long de mon barreau tendu, tu t’empiffres en me suçant coquinement. Je gémis sous tes coups de langue à répétition. Puis ton autre main se faufile sous mes testicules et me pelote les fesses l’une après l’autre. Je trouve cela réjouissant.
Mais tu as une autre idée en tête et je m’en rend compte lorsque ton index s’immisce entre mes hémisphères. Tu titilles ma rondelle et tout en aspirant mon gland, ton doigt pénètre, pour la première fois de ma vie, mon foireux.
Tu plies et déplies cette phalange plusieurs fois dans mon antre, tu y vas de plus en plus profondément. Je me laisse faire, trouvant ça plutôt agréable. Tu me demandes si j’aime ça et je te réponds que je trouve ça un peu spécial car pris au dépourvu, mais que j’aime assez.
– Allonges-toi, tu seras plus à l’aise.
Je m’exécute en me mettant sur le dos, les jambes repliées en l’air, les bras sous le creux de mes genoux, je t’offre sans pudeur mon anus. D’un regard salace, tu me lances:
– Tu vas voir comment je vais te faire monter au septième ciel.

Agenouillée au pied du lit, avec ma queue en main, bien à la verticale, tu me lapes les bourses avec gourmandise et ton index revient me fouiller plus rapidement cette fois-ci. Ce corps étrange dans mon rectum me provoque de drôles de sensations. Ton majeur se joint à la partie et ce massage prostatique me rend plus dur que jamais. Dans ton élan, c’est ta langue qui vient remplacer tes doigts de fée. Cela me procure une sensation différente et une vague de chaleur m’envahit. Je ne peux retenir mes cris de plaisirs. Je n’en reviens pas moi-même, j’adore ce que tu me fais. Jamais je n’ai soupçonné pouvoir prendre du plaisir par derrière.
Et quand ta langue tournoie au fond de mon être, et que tu me branles énergiquement, j’hurle ma jouissance en éjaculant je ne sais où comme un salop.

Je me souviens, tu me souris, fière de toi, du sperme plein la main et dans les cheveux:
– Et ben, je ne t’ai encore jamais vu dans cet état là me confis-tu.
– Attends j’hallucine, tu as réussi à me filer un orgasme en me bouffant le cul, tu ne veux pas recommencer???
– Ah non, maintenant c’est à mon tour d’en profiter.
Tu te positionnes à quatre pattes sur le lit et moi, à genoux derrière toi, je me penche pour écarter tes beautés postérieures. Ma langue parcourt ton sillon inter-fessier, puis de sa pointe, je lèche ta corolle lentement.
Tu connais déjà le plaisir anal, tes doigts s’engouffrant parfois dans ta rosette lors de tes filouteries en solo, mais là, tu réagis de manière bruyante, quand ma salive s’étale sur ton trou qui se dilate petit à petit. Je grossis ma langue pour bien te polir partout. Mes doigts caressent ta vulve pendant que je fourre la frétillante dans ton précieux. Ton abricot jute plus qu’une pêche bien mûre et t’entendre jouir me redonne de la fermeté…
Je suce mon majeur et le guide dans ton anneau qui se contracte. un second doigt me permet de t’ouvrir un peu plus.
Ca y est, je sens que tu es prête, et je le suis aussi.

Je me souviens, je dépose un crachat bien mousseux qui paraît boucher ton anus. Je me lève au dessus de toi, jambes écartées et bite en main. Je fléchis les genoux et pointe mon dard à l’entrée de ton orifice.
Je pousse légèrement jusqu’à ce que mon gland soit totalement entré.
– Ca va ma puce? Tu me le dis si je te fais ma.
– Ok, mais vas-y continues.
Je pousse encore m’enfonçant de moitié, élargissant ton cratère. Tu ne mouftes pas, mais je vois bien à tes poings serrés sur l’oreiller que tu souffres un peu.
Je continues ma progression et je te pénètre entièrement. Je ne vois plus mon sexe. 18cm de chair te remplissent le canal boueux et tu ne dis rien.
Je ne bouge plus, le temps de t’habituer et de reprendre tes esprits. Ma queue est bien au chaud, compressée dans ton cul:
– Ca va toujours, Laura?
– Oui ne t’inquiètes pas, c’est supportable.
Je commence mon travail d’orfèvre par de petits et lents va-et-vient, et quand tes « HOU,HOU,HOU » de douleur se transforme en « MMMHH,MMMHH » de plaisir, j’accélère le rythme. A chaque pénétration, mon bassin recule un peu plus et je prends un malin plaisir à observer mon sexe coulisser dans ton trou béant.
Tu deviens hystérique, tu agonises joyeusement en braillant:
– Vas-y, encore, plus fort, j’adore ça.
Tu es traversée par de multiples orgasmes, ta choupinette, que tu caresses machinalement, s’est métamorphosée en chutes du Niagara.
Devant ton ardeur, je te pilonnes, tel un taureau en rut, mes couilles claquent contre ta main imbibée de ton nectar salé. J’ai chaud, je transpire, je sens que la fin est proche.
Oui, ça y est, dans un ultime aller-retour, je me bloque au fond de ton popotin et je me vide par de puissantes giclées.
Nos cris de bonheur ont sûrement réveillés tout le quartier, mais on s’en contrefout.

Nos nerfs se relâchent, le trop plein de sperme coule sur les draps et nous rigolons ensemble. On se blottis l’un contre l’autre, heureux d’avoir partager cette nouvelle expérience ensemble, qui deviendra plus tard notre hobby favori.
Un dernier bisou avant de s’endormir et tu m’avoues:
– J’ai adoré ça et je suis vraiment contente de l’avoir fait avec toi.
Tu restes me fixer dans les yeux quelques instants et tu me dis « Je T’aime » pour la première fois.

Je me suis endormi paisiblement, ma quête du Graal est maintenant terminée, et je sais que cet acte primaire, auquel on s’est livré, va souder encore plus notre relation. La suite va être torride…

A suivre

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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