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Domination par téléphone

Domination par téléphone



C’était un dimanche après midi vers 14h00, j’étais d’une humeur salope. pas baisé depuis 3 jours, les couilles pleines et des idées salaces me traversaient l’esprit.
J’installe un god sur le coin de ma table, me branche en cam sur un site d’exhib et commence à jouer avec ma langue sur le gland en latex. Le nombre de connexions a vite monté et j’ai dépassé la dizaine de mateur. J’enfonçais de plus en plus le pieu au fond de ma gorge : cela ne fait jamais de mal de s’entraîner à faire des gorges profondes. En message privé, un mateur m’interpelle et me pose quelques questions : oui je suis une lope, j’aime me soumettre. Il m’ordonne de rester connecté sur le site mais me dirige sur skype. sa voix est chaude, j’ai envie de lui obéir. Ses questions sont directes comme j’aime.

J’ai un jean, un polo rouge. Il me demande de reprendre le god en bouche : il veut m’entendre sucer – j’exagère les bruits de succions – il veut m’entendre gémir – je commence à couiner. je sens ma bite se raidir dans mon jean. je recule ma chaise. Je saisis le poppers. je dois prendre 2 sniffs par narine. je commence à me lâcher. j’enlève sous ses ordres mon polo et mon jean. Je suis en boxer jaune. Je bande. Je me caresse sur tout mon torse puis ma queue. Je dois sniffer à nouveau mais là, il veut bien entendre le sniff. Je quitte le sol, je me sens devenir qu’une salope en mal de bites. je sors ma queue. Il coupe.

Frustré, j’enfile un jock, un jogging et je décide d’aller dans un bois proche de la ville, propice aux rencontres. Il me fallait des vrais bites, bien odorantes et baveuses.
Arrivé sur les lieux, je sniffe, descend et m’enfonce dans les bois. Il ne faut pas longtemps pour croiser le regard d’un mec. je souris, il me sourit : le contact est pris. Sur ce, mon tel sonne – enfin skype. Mon lâcheur est au bout – je lui explique le contexte : il est ok pour reprendre notre séance, mais cette fois-ci avec de la vrai queue, pas du plastique. Je mets un casque et me voilà face à ce gars croisé sur le chemin , plutôt bien gaulé d’ailleurs, un écouteur dans une oreille pour écouter les ordres de mon dominateur.

Je me mets à genoux et commence à soupeser les couilles, tire un peu dessus. Je prends ensuite sa bite en main et commence à doucement le branler. J’approche ma bouche et donne des coups de langues sur son frein, puis entrouvre mes lèvres et avale doucement son gland. J’entend dans le casque « gémis » et « prend son pieu entièrement en bouche. Je veux voir sa queue aller et venir dans ta gorge ». Obéissant, je prends mon souffle et ouvrant grand ma bouche, tirant ma langue au maximum, je m’enfonce. Sa bite fait au moins 18 cm ce qui me donnerai envie de vomir si je n’étais pas habitué à l’exercice. Je monte et descend.Mon partenaire est aux anges et je sens ses mains sur la tête, avec une furieuse envie d’imprimer le mouvement pour l’accélérer. ne voulant pas déjà avaler ses jets de sperme, je ralentis. Mon maître m’ordonne de me relever et de trouver une seconde queue à sucer. Nous nous relevâmes et partirent chercher un troisième homme pour plaire à mon Maître.

Mon maître était le roi de la frustration mais la soirée allait être longue.

En marchant, mon complice passa sa main sous mon jogging pour me caresser les fesses : ce moment de tendresse me transporta. je n’avais qu’une envie : me retourner et communier nos langues. Mais cela aurait déplu à mon maître toujours en ligne, et qui s’impatientait que l’on n’ai pas encore trouvé un troisième partenaire. Sur le chemin, nous entendîmes des gémissements derrière une haie. je pris la main de mon partenaire bien décidé à voir ce qui s’y passait. 2 jeunes jouaient avec leurs queues. Une fois la surprise passée, ils nous invitèrent à nous joindre à leurs ébats.

J’entendais dans l’oreillette : »Allez salope assez perdu de temps : à genoux et commence à sucer la plus petite bite. branche ta cam je veux voir ». Je sortis mon bas de jogging et garda mon jockstrap. je ne me mis pas à genoux et me courba simplement pour prendre la première queue. je soupesais les couilles, bien pleines et commença à engloutir le chibre. je remuais un peu mon cul, incitant les 2 autre spectateurs à ouvrir mon trou.

Sous mes coups de langues, le jeune ne put s’empêcher au bout de 3 minuscules minutes de lâcher tout son jus au fond de ma gorge. Je passais à la seconde queue, pas plus longue mais plus épaisse. Ma salive mélangée au sperme me facilitait la pipe et ma queue raide échappait de ce liquide prespermatique si bon. Pendant que je me régalais, une langue s’occupa de mon trou. Il me léchait avec envie et fougue, des mains m’écartaient bien les fesses pour laisser accès à plus de profondeur. Le type que je suçais me retira se branla et je reçus sur le visage 5 jets de sperme chaud. Avec un œil pervers, il se pencha sur moi, me lécha les coulures de sperme et me roula un pelle baveuse. J’étais aux anges.

Dans les oreilles mon maître me hurla « passe à la troisième queue et arrange toi pour te faire remplir ». Je me tourne et avale la dernière bite en érection. J’aspire les couilles, frotte le frein avec un doigt humide que je remplace par ma langue. Ce pieu sent bien la bite comme j’aime. les odeurs ont leur importance. je sors de ma poche ma fiole de poppers et sniffe 3 fois chaque narine. Il ne faut pas quelques secondes pour sentir des bouffées de chaleur, je reste figé sur la queue interrompant tout mouvement. Mon esprit se libère et je sens en moi la lope qui se réveille. je veux être défoncé, rempli. je lâche un « ouiiii » de supplicié quand un doigt puis deux me pénètrent m’élargissant avec habilité. Je branle, je suce…quand enfin…une queue s’enfonce en moi. Elle y va doucement puis arrivé au fond, commence des va et vient plus rapides et plus violents. Je reprend la troisième bite en bouche tout en le branlant. Excité par la scène, ce dernier éclate dans ma bouche. Je bave un mélange de sperme et de salive. Je suis entrain de me faire pilonner. Ayant déjà déchargé, mon baiseur tient bien le coup, je commence à avoir le trou qui chauffe. « Mon dominateur m’ordonna d’interrompre la scène et de na pas jouir ».

Mon maître était le roi de la frustration et la soirée semblait être finie. J’allais dormir avec l’envie de queues.

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