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L’iris pourpre – Partie 4

L’iris pourpre – Partie 4



Partie 1 :
Partie 2 :
Partie 3 :
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Si vous dislikez, ça serait cool de mettre un commentaire constructif qui m’explique ce qui vous a déplus pour que je puisse améliorer la suite 😉
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Les derniers rayons du soleil d’été se reflétaient contre la vitre. J’allais assister à mon premier cours de l’année, et déterminée, j’étais la première arrivée en classe. Le prof était installé à son bureau et triait ses cours, pendant que je regardais paisiblement par la fenêtre.
Mes pensées furent vite interrompues. Quelqu’un venait de s’asseoir à côté de moi. C’était lui.

« -Finalement, on est dans la même classe. C’est cool !
-…
-Tu ne dis rien ? Pourtant tu n’as pas l’air timide comme fille !
-Tu… T’es qui ? »

Il me regardait droit dans les yeux.

« -T’as de beaux yeux ! Tes iris sont pourpres !
-Arrête tes conneries s’il te plait.
-Comment ça ?
-J’ai les yeux bleu. Alors arrête tes petites manipulations. Je me souviens de toi. »

Il avait l’air surpris de ma réaction. S’en suivit d’un long silence jusqu’à ce que le prof fasse l’appel.

« – Alors comme ça tu t’appelles Juliette ? C’est mieux que coquinette !
– Lâche-moi Evan. »

L’enseignant débuta son cours, que je pris en note péniblement.
A midi, le prof termina ses explications et quitta la salle. J’allais rentrer à mon appartement pour manger avant d’assister au cours de l’après-midi, mais avant, j’avais besoin de m’isoler quelques minutes. Je pris donc la direction des toilettes. Je me regardais dans le miroir en me demandant ce que j’allais devenir, quand la porte s’ouvrit brusquement.
Evan entra et s’approcha de moi. Il bloqua mes bras avec ses grandes mains.

« -Qu’est-ce que tu fais là ? C’est les chiottes des meufs ! »

Sans répondre, il déposa ses lèvres sur les miennes.

« -Attend mais tu fais quoi là ?
-Laisse toi faire ! »

Je ne parvins pas à lui résister. Il me poussa dans une cabine et referma la porte. Il rabaissa le couvercle des toilettes et m’assise dessus. Il releva ma jupe, dégrafa mon string et entama ce qui était mon premier cunnilingus. Il commença par quelques baisés autour de ma fente, puis sur mon clito. Puis il se mit à le téter doucement. Il continua en léchant tendrement, tout en insérant un doigt, puis deux, puis trois. Je ne pouvais plus m’empêcher de gémir. Des filles qui se lavaient les mains se mirent à rire en entendant mes plaintes. Avec mes cris, n’importe qui devineraient ce qui se passait.

Je mouillais de plus en plus. Ma chatte était toute dilatée. Evan s’en était rendu compte, et il en profita pour faire pénétrer entièrement son poing qu’il agitait de plus en plus.
Mes jambes se mirent à trembler, je ressentie une immense chaleur dans le bassin et des frissons au bout des seins. Puis il retira sa main, ce qui laissa échapper un jet de cyprine.

Alors que je reprenais mon souffle, Evan ragrafa mon string et remis ma jupe en place. Il s’assit à côté de moi sur le peu de place qui restait, passa ses bras autour de moi et déposa un baisé sur mon front.
J’étais encore dans les vapes. Il se releva et quitta la cabine, comme si de rien était.
Je rentrais chez moi en titubant. Qu’est ce qui venait de se passer ? Je m’allongeais sur mon lit en essayant de laisser aller mes pensées.

Après avoir mangée, je me remis en chemin. C’était l’heure d’aller en cours. Devant l’école j’aperçus Evan. Nous marchions lentement vers le hall, lorsqu’une idée folle me traversa l’esprit.
J’attrapai sa main et l’entraina dans ma course jusqu’à l’hôtel.

Lorsqu’il vu l’enseigne « L’iris pourpre » il me regarda avec un sourire vicieux puis me demanda :

« -Et les cours ?
-On s’en fiche ! Je te veux. Maintenant ! »

Je n’arrivais pas à croire que ces mots sortaient de ma bouche. Nous prîmes une chambre en vitesse, puis nous dépêchions d’y entrer.
Je le poussais sur le lit et déboutonnais son jean. En même temps que je le retirais, il enleva son caleçon. Je pris sa bite à pleine main, et fis de lents va et viens accompagnés de baisers et de léchouilles. Je continuais de le branler tout en léchant ses boules, puis j’en gobais une et la suça doucement. Il se crispa, ses jambes se tendirent. Je fini par englober son gland avec ma bouche, et fis tourner ma langue autour de celui-ci qui avait l’air de gonfler de plus en plus.

J’aspirais son dard de plus en plus profondément, jusqu’à ce que ma bouche vienne épouser son pubis. J’avais la respiration coupée. Sa queue bloquait ma gorge. Je me retirais doucement afin de saisir de nouveau son gland entre ma langue et mon palais.
Il finit par se contracter. Je sentis un jet gluant et chaud remplir ma bouche, que j’avalais avec plaisir.
Je m’allongeais ensuite à ses côtés.

Nous demeurions ainsi pendant de longues minutes, avant de repartir en cours, sans dire un mot. Lorsque la journée s’acheva, nous repartîmes chez nous chacun de notre côté, sans s’être parlé depuis le midi.

A suivre.

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