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Souvenirs 3

Souvenirs 3



LES TROIS VIEUX

J’avais environ 25 ans au moment des faits que je relate dans ce récit.

C’est la fin du printemps, il fait très chaud depuis une bonne semaine.
Chaque jour en me rendant à ma boulangerie habituelle je passe devant un bar.
Trois hommes bien âgés qui résident dans une des maisons de retraite de la ville profitent du beau temps en passant un bon moment attablés sur la terrasse d’un bar laquelle donne sur la rue.
Vu leur âge qui me semble très avancé ils ne paraissent pas très vaillants mais lèvent très bien le coude et l’alcool les rend très loquaces.
Ils sont là tous les matins, comme de vieux cochons ils ne se gênent pas pour siffler certaines femmes ou jeunes filles qui passent devant eux et surtout pour les draguer en leur faisant des propositions, les mots qu’ils emploient sont souvent crus.
Evidemment quand je passe dans la rue ils ne me ratent pas, vu qu’il fait chaud ma tenue légère et mes jupes très courtes les inspirent.
Cela m’amuse et sans m’arrêter je les regarde en souriant.
Enhardis ils commencent à me faire des propositions qui deviennent de plus en plus osées.

Un jour je passe devant le bar en compagnie de mon amie Martine, les vieux nous interpellent.
Nous nous arrêtons et parlons un peu avec eux, nous passons surtout notre temps à répondre à leurs propos graveleux et à leurs demandes indécentes.
Une fois seules Martine me dit:
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Comme une idiote je réponds sans réfléchir.
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Martine ne rate pas l’occasion de me mettre au défi.
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Comme d’habitude j’agis sans réfléchir et je fais des choses insensées mais je ne vais pas me dégonfler.

Le lendemain voulant me moquer un peu d’eux et surtout voir s’ils joindront les actes aux paroles je m’arrête et j’entame la conversation.
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Evidemment j’ai touché le point sensible: leur orgueil de mâles.
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Ils sont touchés par ma remarque mais surtout énervés par le fait que je puisse mettre en doute leur virilité.
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Vexés et excités à cause de l’alcool qu’ils ont bu ils m’annoncent ce qu’ils peuvent me donner, évidemment je leur réponds que c’est trop peu et que je ne fais pas l’aumône.
Du coup on se croirait à une vente aux enchères, échauffés par les boissons alcoolisées qu’ils ont ingurgitées, ils en arrivent à une somme tout à fait correcte, le montant correspond à ce qu’une putain leur demanderait en échange d’une prestation sexuelle.

Moi qui les chambrais je suis prise à mon propre jeu et j’espère qu’une fois à jeun ils oublieront notre conversation.
Pas de chance les jours suivants obstinés et se montant mutuellement la tête ils réitèrent leur proposition.
Acculée et ne voulant pas perdre le pari que j’ai fait avec Martine, après une longue discussion, je finis par accepter de les rejoindre le lendemain à la maison de retraite.
Ma curiosité est grande de voir comment ils vont s’en sortir: est ce qu’ils se vantent où sont t’ils réellement encore capables de prouesses sexuelles.

Donc sans entrain le lendemain je me rends dans une petite rue qui passe derrière la maison de retraite et j’attends devant une porte qui est une sortie de secours.
Après quelques minutes d’attente la porte s’ouvre et l’un des trois hommes, Denis, m’invite à entrer.
Il est voûté et a du mal à marcher, je le suis et discrètement nous gagnons sa chambre.
Pendant que je me déshabille il en fait autant et la vue de son corps décharné ne m’attire pas, j’ai plutôt envie de fuir.
Il est maigre, les os sont apparents sans parler de la peau bien ridée. Je remarque aussi son imposante toison blanche.
Ce que je vois entre ses jambes ne me fait pas envie: un pénis fripé qui bande mollement et deux bourses bien poilues qui pendent lamentablement.
Ne perdant pas de temps il s’approche de moi, passe ses bras autour de mon cou et veut m’embrasser, je le laisse faire quand il colle ses lèvres contre les miennes, évitant de me focaliser sur son dentier qui bouge et faisant abstraction de sa mauvaise haleine ma langue va à la rencontre de la sienne dans un court baiser.

Une fois allongés sur le lit je le laisse me tripoter, ses mains se promènent partout sur mon corps, il est comme un gamin.
Il caresse mon sexe, j’écarte les jambes quand un doigt pénètre mon intimité et la doigte frénétiquement.
Ses attouchements durent un bon moment, je le laisse faire même s’il me fait mal en triturant mes tétons qu’ensuite il se met à sucer et surtout à aspirer comme s’il tétait.
Je saisis et masturbe sa queue assez longue mais pas très grosse, aux veines très bleutées qui ressortent, il est effectivement maintenant en érection (enfin presque).
Enfin il en a assez de me peloter.
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J’obéis en lui disant:
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Il se couche sur moi, il galère pour me pénétrer et avec une main je dois positionner sa queue à l’entrée de ma chatte.
Il s’affale sur moi pendant que la verge s’enfonce dans mon intimité puis il donne des coups de reins mais ses mouvements manquent de souplesse et ses articulations craquent.
Il continue à se laisser aller et m’écrase avec le poids de son corps, en plus d’avoir des difficultés à respirer je ne peux pas faire bouger mon bassin correctement pour accompagner ses mouvements.
Il souffle beaucoup et je crains que notre étreinte ne dure un long moment sans qu’il n’arrive au résultat escompté.
Je finis par lui dire:
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Une fois qu’il est couché sur le dos je me positionne à genoux au dessus de lui, les jambes de chaque côté de son corps, avec une main je tiens sa queue et la positionne contre mon sexe puis en me baissant je la fais pénétrer à l’intérieur.
Je fais bouger mon corps pour faire aller et venir la verge dans mon ventre pendant que j’observe son visage, il grimace.
Ses mains sont agrippées à mes seins, il crispe ses doigts et ses ongles pénètrent dans ma chair, c’est douloureux et je serre les dents pour ne rien laisser paraître.
Je remue un bon moment à une cadence accélérée avant qu’enfin son corps ne s’agite et que je ressente les soubresauts de sa queue en moi pendant qu’il éjacule en geignant.
Ce n’est pas l’inondation du siècle dans mon vagin.
Je me déplace et à genoux à côté de lui je constate que son pénis se recroqueville très rapidement.
Je masturbe avec ardeur le membre mou et rabougri sans me soucier de ses gémissements et plaintes pendant qu’avec ma main libre je caresse son corps osseux et velu.
Au bout d’un moment j’obtiens un semblant d’érection.
Tout en continuant la masturbation je lèche le pénis, surtout le gland.
Je prends le membre dans ma bouche et en serrant bien mes lèvres sur la queue je lui fais une longue fellation.
Le résultat n’est pas probant, il râle beaucoup et se raidit puis me demande d’arrêter me disant qu’il en a assez et ne pourra pas bander de nouveau.
Je sais que je ne pourrais plus rien tirer de lui donc je n’insiste pas.
Il souffle beaucoup, il est fatigué et reste allongé sur le lit.
Je me rhabille et quitte la chambre après que Denis m’aie indiqué ou je devais me rendre pour la suite.

Je me dirige vers la chambre située à gauche de celle que je viens de quitter.
Après avoir frappé à la porte j’entre dans celle du deuxième homme prénommé Léon.
Je le trouve couché dans son lit.
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Je me déshabille et m’approche du lit.
Il me regarde de la tête aux pieds comme s’il n’avait jamais vu une femme nue.
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Je soulève le drap, il est nu comme un ver, la vue de son corps gras, boudiné et flétri n’est pas des plus agréables, les muscles sont remplacés par de la graisse.
Au milieu d’une forêt de poils assez longs je remarque ses testicules pas très gonflées et son pénis de bonnes dimensions mais recroquevillé.
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Il se colle contre moi et m’embrasse, faisant fi de ce que j’ai aperçu de sa dentition en mauvais état et de l’odeur qui émane de sa bouche je réponds à son baiser et ma langue va à la rencontre de la sienne.
Je fais en sorte que le baiser ne s’éternise pas mais malheureusement comme il insiste nous nous embrassons plusieurs fois.

Il caresse mon corps en s’attardant sur les seins et agaçant les tétons puis une main caresse mon sexe pendant un moment avant qu’il ne se mette à doigter ma chatte.
Pendant ce temps je caresse puis masturbe d’abord doucement puis ensuite vigoureusement sa verge qui finit par gonfler et se dresser.
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Je me positionne à genoux le cul tourné vers lui pour qu’il puisse continuer à me tripoter les fesses et l’entre-jambes.
Je suis incommodée par les odeurs désagréables qui se dégagent de son corps, il ne doit pas user le savon.
Malgré cela je lèche consciencieusement son pénis puis je sucote le gland pendant un moment pour l’énerver.
Quand j’enfonce la queue dans ma bouche je sens son corps se cabrer.
Je serre les lèvres et ma bouche fait des aller-retour d’abord lents puis de plus en plus rapides sur la verge.
Il est aux anges et les mots exprimant sa satisfaction sortent de sa bouche sans arrêt.
Il ne se contente pas de caresser mes fesses, il fouille ma chatte et enhardi car je ne dis rien quand un de ses doigts effleure mon anus il s’enfonce dans mon cul.
La fellation dure un moment avant que je ne ressente les soubresauts du membre dans ma bouche pendant qu’il y déverse son sperme qui n’a pas un très bon goût ce qui ne me donne pas envie de l’avaler.
Je me lève et recrache sa semence dans une serviette de toilette puis je reviens dans le lit et reprends la fellation mais son pénis ramollit.
Sans lui laisser le temps de respirer je le masturbe vigoureusement et miracle au bout d’un moment qui m’a paru interminable il bande de nouveau.
Il s’allonge (s’avachit plutôt) sur moi, je l’aide à positionner sa queue puis je la sens s’enfoncer dans mon intimité.
Il donne des coups de reins mais manquant nettement de souplesse cela laisse à désirer.
Avec des mouvements verticaux de mon bassin j’essaye de remuer en cadence avec lui.
Je sens sa verge rétrécir et sortir de mon intimité, je le repousse puis je le masturbe jusqu’à ce qu’il bande de nouveau.
Il me demande de me mettre à genoux, je passe une main entre mes cuisses et saisis son pénis que je positionne à l’entrée de mon intimité dans laquelle il l’enfonce en se collant contre moi.
Il me prend en levrette mais au bout d’un moment débande encore malgré que pour le maintenir en forme je triture ses testicules pas très gonflées.
De nouveau, une fois qu’il s’est allongé, je le masturbe puis lui fais une fellation jusqu’à obtenir une érection disons satisfaisante.
Je garde l’initiative et me mets à genoux au dessus de lui, une fois que j’ai fais pénétrer sa queue dans mon ventre je fais bouger mon corps de façon que les va-et-vient de ma chatte sur son pénis soient rapides.
De temps en temps je me soulève et le masturbe pour maintenir son érection.
Je m’escrime un bon moment et je commence à désespérer quand enfin son visage change d’expression, ses doigts se crispent sur mes hanches, sa verge s’agite dans mon vagin pendant qu’il a un semblant d’éjaculation.
En entendant le long gémissement qui sort de sa bouche je constate que cette deuxième jouissance est douloureuse pour lui.
<<ça va aller>>.
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Je remets mes vêtements puis je le quitte.

Je me dirige vers la chambre située en face de celle que je viens de quitter.
Le troisième larron, Robert, m’attend en pyjama assis sur le lit.
De nouveau je retire mes vêtements puis je dois déshabiller l’homme tout en caressant son corps.
Il est très bedonnant et a évidemment un corps loin d’être attirant vu son âge.
Il fait des commentaires sur mon physique après m’avoir regardée sous toutes les coutures.
Je le laisse me peloter partout tout le temps qu’il le souhaite, un gros doigt boudiné fouille ma chatte.
Il s’assoit au bord de son lit.
Il est bien monté le bougre même si son pénis n’est plus très fringuant.
A genoux entre ses jambes je caresse sa queue puis je la masturbe un moment avant d’obtenir une érection.
Je mets ma tête sous son ventre que je repousse pour atteindre au mieux sa verge avec ma bouche.
Je la lèche puis je lui fais une fellation avec des va-et-vient rapides de ma bouche.
Je m’escrime longtemps avant que prise de soubresauts la verge ne déverse des jets de sperme dans ma gorge.
Je me lève et vais recracher le liquide au goût infect dans le lavabo.
Pendant ce temps Robert s’est allongé sur le lit.

Je reviens près de lui et à genoux le cul tourné vers son visage je masturbe et caresse sa queue pendant un bon moment avant qu’elle ne redonne signe de vie puis je lui fais une fellation énergique.
Il est de nouveau en érection, même si celle-ci n’est pas parfaite.
Je ne perds pas de temps, tout en le masturbant je m’accroupis au dessus de lui puis je présente sa queue devant mon intimité et en me baissant je la fais coulisser à l’intérieur.
Je donne des coups de reins, il gémit beaucoup pendant que sa grosse queue coulisse dans ma chatte.
Au bout d’un moment, pendant que je m’active, je sens la verge diminuer de volume et ramollir.
Nouvelle masturbation puis fellation, je m’efforce de remettre son membre de nouveau en forme ce qui finit par arriver.
De nouveau positionnée au dessus de lui j’introduis le pénis dans mon intimité et je fais bouger mon corps pour faire aller et venir le membre dans mon ventre.
Pendant qu’il reste d’abord raide comme un piquet je remue longtemps, alternant avec des masturbations quand je constate que la queue perd de sa vigueur, pendant qu’il gémit en permanence et me traite de salope tout en caressant mes seins et martyrisant les tétons.
Je me dépense beaucoup et désespère d’arriver à un résultat, maintenant son corps tremble et tressaute, il geint pendant que je fais aller et venir ma chatte sur sa verge mais il n’a même pas un semblant d’éjaculation.
Il n’en peut plus et de voir son visage décomposé me fait peur, j’abandonne.

Je me rhabille pendant qu’il essaye de récupérer.
Je suis prête à sortir de la chambre.
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Vexé il reste sans voix.
Une fois qu’il a ravalé sa fierté nous échangeons encore quelques phrases puis je sors de la chambre.
Discrètement je quitte l’établissement par l’issue de secours.

Le lendemain je passe devant le bar avec mon amie Martine qui veut s’assurer que j’ai bien gagné le pari.
Avinés ils fanfaronnent, je leur rappelle leurs piètres prestations de la veille ce qui les calme rapidement.
Martine leur dit:
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Les jours suivants en me rendant chez le boulanger je constate leur absence à la terrasse du bar ou ils se rendaient régulièrement.
Le mercredi en allant au marché je les aperçois dans un autre café, j’en conclus que redoutant et craignant que je parle devant tout le monde de leurs exploits au lit et leur mette la honte alors ils ont changé de crèmerie pour ne pas me rencontrer.

Il ne me reste plus qu’à savourer le repas que Martine doit me payer.

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